Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityfavorite crime (kennelieux) - Page 2
Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – Crépuscule de la ...
Voir le deal


favorite crime (kennelieux)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

favorite crime

dans un restaurant du centre-ville
19/05/23, vers 23h
@Hope J.F. Kennedy  
relation toxique, addiction, grossièretés.

il n'a pas envie de commettre une erreur, une erreur de plus. et l'embrasser en cet instant, ça sonne plus comme une faiblesse qu'autre chose. ce serait plus facile de céder. il en a envie. il en a tellement envie que ça lui en coupe le souffle, que ça lui en serre le coeur. ça peut-être une bonne fin de soirée, même s'il la regrettera sans doute dès qu'il ouvrira les yeux au petit matin. ça peut être doux, bon, ou tout autre chose. passionné, désespéré, incandescent. entre rondeur et tranchant. quoiqu'il en soit ça le tente. il en faudrait peu pour qu'il craque, pour qu'il cède et quand il ouvre la bouche il perçoit la lutte dans ses propres mots. la lutte, la douleur, la division. et il sait qu'elle va s'énerver de ça, de son combat. qu'elle va s'agacer d'avoir fait cette demande, même si c'était pas raisonnable, et de se voir opposer des réticences, un non, quand ça se voit comme le nez au milieu de la figure qu'il brule au contraire de dire oui. elle ne l'aide pas, elle ne l'aide vraiment pas. elle pousse, elle tire, l'attire à lui. il doit pas seulement lutter contre lui-même, contre ce à quoi il aspire. elle l'oblige à lutter contre elle aussi. putain mais t'es vraiment insupportable. tu peux pas t'en empêcher hein. je mets mon coeur sur la table, j'ose dire ce que je veux et toi tu me sors que j'en ai pas vraiment envie ? mais va te faire foutre ça manque pas. et ça fait mal putain, c'est comme des baffes. il a mérité qu'elle se défoule. mais putain il essaie. moi au moins j'ose le dire. il essaie vraiment. il essaie de faire ce qu'il faut pour eux deux, quoique cela puisse bien être. et il prétend pas avoir toutes les solutions, avoir un avis plus éclairé qu'elle, mais il sait que le prendre un baiser là ce serait pas juste. que ça n'éclipsera pas le reste, que ça ne règlera pas tout ce qui pose problème. il serre les dents, il encaisse. des têtes se tournent vers eux. ils commencent à devenir une putain d'attraction. son regard glisse brièvement sur les visages amicaux, les regards compatissants de certains de ses amis qui savent de quoi il en retourne même s'ils ne connaissent pas tous les détails de sa relation dramatiquement compliquée avec hope. instant d'égarement vite éclipsé toutefois, il en reviens rapidement à hope, à sa colère dirigée contre lui. est-ce qu'elle le déteste ? elle l'aime encore, ça il le sait, mais l'amour et la haine peuvent cohabiter, non ? il lui semble même qu'il suffit de rien pour que soudain elles aillent de paire. et elle a bien des raisons de le détester ? il lui a brisé le coeur et il continue dans cette voie, même lorqu'il essaie à l'inverse de la préserver. et quel bien ça te fait ? qu'il lâche à nouveau entre ses dents, un masque de frustration, de douleur et de colère incrusté profondément sur ses traits. t'as rien à gagner à entendre ce que je ressens il a déjà été honnête sur meetsa, a révélé qu'elle lui manque, que ses sentiments sont pas morts, loin de là et quel putain de bien ça peut bien faire de le dire à voix haute ? il ne s'agit pas d'une fiction là, d'une histoire qu'on peut réparer d'un baiser.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

favorite crime

dans un restaurant du centre-ville
19/05/23, vers 23h
@Tristan Deslieux  
relation toxique, autodestruction

tu passes ta vie à réfléchir. tu réfléchis toujours encore et encore et tu ne te laisses pas vivre. t'as tellement réfléchis qu'une part de moi me demande si c'est pas ça qui a tout gâché entre nous. j'ai parfois eu besoin que tu sois une spontané. parce que je suis comme ça moi, je me laisse aller à faire et vivre ce qui me plait à l'instant T. alors ouais c'est peut-être un peu con parfois parce que je ne pense pas aux conséquences, et je me les prends en pleine gueule. mais au final je vis. je me sens vivante et je ne regrette presque rien. presque. je regrette de ne pas avoir assez fait en réalité. je regrette de ne pas t'avoir embrassé quand j'en ai eu envie, de ne pas t'avoir crié à quel point je t'aimais quand j'aurais dû le faire plutôt que de me taire. alors réagis Tristan, vis et arrête de réfléchir ! ça me fait du bien de dire les choses. ça me fait du bien d'ouvrir ma bouche et d'oser dire les choses plutôt que de les garder pour moi et de ruminer dans ma tête en me disant que j'aurais dû. je secoue la tête en essayant d'éviter les regards de ceux qui nous fixent avec un insistance, parce que le ton commence à monter entre nous. je te jure que parfois t'es un rabat joie. la spontanéité ça fait pas de mal. moi en tout cas contrairement à toi je rentre pas chez moi avec des regrets. que je le lâche droit dans les yeux. c'est pas à toi de décider ce que je gagne à entendre ce que tu ressens. c'est pas à toi de décider ce que je dois dire ou penser. je fais un pas vers toi, réduisant l'espace qui nous sépare. alors je te le répète. ferme là et embrasse moi que j'ordonne un peu plus durement.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

favorite crime

dans un restaurant du centre-ville
19/05/23, vers 23h
@Hope J.F. Kennedy  
relation toxique, addiction, grossièretés.

est-ce que c'est lui le problème ici ? est-ce qu'il rend les choses trop compliquées ? c'est lui qui a tout fait merdé la dernière fois, même si c'est pas plus simple que ça. est-ce qu'il est le roi des cons de lutter maintenant contre une attraction, contre une force dont il sait pertinemment, au fond de lui, qu'elle aura forcément raison de tous ses efforts au final ?s'il pouvait passer outre ces sentiments pour hope, ça se saurait. des années que ça dure. des années passées à l'aimer au point où ça lui en troue le coeur. ill peut pas être avec elle, car ils s'écharpent l'un l'autre. il peut pas être sans elle, car c'est tout aussi invivable. il voudrait que ce soit plus simple. il voudrait que le voyage dans le temps fonctionne de sorte à pouvoir d'un claquement de doigts se catapulter dans l'avenir, dans dix ou quinze ans. pouvoir savoir où il en sera alors. s'il sera avec elle, s'il sera auprès d'un autre. si ça valait vraiment la peine de lutter si fort ou s'il fait que gâcher des jours, des mois, des années. son visage, réduit à un masque de frustration. il est divisé, complètement paumé. et elle est là, à le pousser, à le titiller. elle le connaît. elle le connaît tellement bien. elle sait quoi dire, ou aller, quel bouton presser. le faire réagir, obtenir de lui ce qu'elle désire ou ce qu'elle croit désirer. ça me fait du bien de dire les choses. ça me fait du bien d'ouvrir ma bouche et d'oser dire les choses plutôt que de les garder pour moi et de ruminer dans ma tête en me disant que j'aurais dû. autant de reproches qui le heurtent, qui lui coupent le souffle. son expression douloureuse, comme un masque qui se fragilise, se couvrent de lézardes, de fissures, laissant son visage à nu. les têtes qui se tournent vers eux. elle en fait abstraction et il en va de même pour lui. elle tire la couverture vers elle et ça marche. il oublie le reste, réduit son univers à elle seule. elle a ce pouvoir sur lui, sur sa vie. c'est effrayant, excitant aussi. putain, il voudrait que ça ne soit pas aussi excitant. il voudrait ne pas sentir cette connexion qu'il a avec elle et dont il est sûr au fond de lui que rien ne pourra jamais la détruire. je te jure que parfois t'es un rabat joie. la spontanéité ça fait pas de mal. moi en tout cas contrairement à toi je rentre pas chez moi avec des regrets. il répond pas, ses lèvres scellées, ses yeux bleus brulant d'émotions. le masque qui s'effrite, les défenses qui font de même. merde. merde. merde. c'est pas à toi de décider ce que je gagne à entendre ce que tu ressens. c'est pas à toi de décider ce que je dois dire ou penser. pas en avant. elle est si proche qu'il s'en suffirait d'un rien pour que leurs lèvres se touchent. et c'est ce qu'elle lui réclame. elle pousse encore et encore, jusqu'au point de rupture. alors je te le répète. ferme là et embrasse moi nouveau râle entre ses lèvres. la conscience des regards sur eux qu'il retrouve dans un gros effort. il veut pas se donner en spectacle, être l'attraction du soir. il referme sa main sur le poignée de hope. son geste ferme, brusque alors qu'il leur fait rejoindre tous les deux la porte des toilettes pour homme, la première qui lui tombe sous la main. il la pousse sans lâcher hope, sa prise sur son bras ferme, l'agitation et son coeur qui martèle la poitrine allant au mépris de gestes plus doux. il s'engouffre dans les toilettes, elle a sa suite et ils sont à peine entrés, qu'il la plaque contre la porte, l'entourant de ses bras placés de chaque côté d'elle, l'enfermant contre lui. et il presse ses lèvres contre les siennes, dans un baiser vorace, abandonné, qui n'a rien de tendre mais tout de passionné. et c'est bon. putain c'est tellement bon que son corps se raidit, qu'il en voit presque des étoiles. il fait durer le baiser avant de reculer son visage, le regard intens. putain, tu me rends barge. qu'il grogne, se faisant l'effet d'être plus un animal qu'un homme. ça l'embarrasse, mais c'est en lui. elle est en lui. il peut pas blâmer l'alcool. juste elle. combien il l'aime, combien ça dépasse tout le reste.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

favorite crime

dans un restaurant du centre-ville
19/05/23, vers 23h
@Tristan Deslieux  
relation toxique, autodestruction

j'ai bu un peu oui. j'ai tenté de noyer la douleur qui réside au creux de ma poitrine. celle-ci même qui est née de ton absence et de ton départ. latente, elle se réveille par vague et elle balaie tout sur son passage. elle me fait faire face à des obstacles qui sont uniquement dans ma tête et dans mon coeur. elle me prend à la gorge dans des moments où je devrais penser à autre chose. elle vient me hanter la nuit, me réveille à 4h par une sensation d'étouffement. et quand elle me laisse tranquille.. j'ai juste la sensation d'être vide et sans sentiments. alors tu vois Tristan, quand t'es pas là j'étouffe, je me sens vide, j'ai mal. tu comprends mieux pourquoi je te demande de m'embrasser ?  parce que j'ai remplacé la drogue par tes lèvres. j'ai remplacé l'addiction par ta présence. je veux ma dose. je veux me sentir vivante, entendre mon palpitant battre dans mes tempes, avoirs les papillons dans le ventre. le temps de quelques minutes. emporter ce souvenir avec moi et faire défiler les images dans ma tête, comme un mantra, toutes les fois où j'aurais les larmes aux yeux et l'envie de hurler. je veux pouvoir me raccrocher à ce moment, me dire que c'était il y a quelques heures, quelques jours et non pas il y a si longtemps. peut-être que c'est mal, surement que ça l'est de remplacer une addiction par une autre, mais je suis une toxico. et je le serais toujours. alors je viens prendre ma dose et tu me reverras surement pour une prochaine. pourtant, à la seconde où je t'ordonne à nouveau de m'embrasser, je ne suis même pas sûr que tu vas le faire. je m'attends même à ce que tu me mettes un autre stop. que tu me dises que c'est n'importe quoi, que tu ne vas pas faire ça. alors quand tu saisis mon poignet pour m'emporter au loin avec toi, mon coeur s'arrête quelques secondes avant de redémarrer au quart de tour. les toilettes pour homme, rien de romantique mais j'en ai rien à faire. je cherche pas du romantisme, je veux te trouver toi. la porte qui se referme et mon dos qui est plaqué contre celle-ci. tes bras de part et d'autres de mon visage. j'ai juste le temps de voir un lueur de sauvagerie dans ton regard avant que tu ne attrapes presque brutalement mes lèvres. ça a toujours plutôt été doux entre nous. mais j'ai toujours su que tu avais ça en toi, cet animal tapis dans l'ombre que je suis surement la seule à réveiller de cette manière. c'est probablement toxique d'avoir le pouvoir d'appeler cette part sombre qui sommeille en toi. mais moi je l'aime. elle fait écho à la mienne. baiser passionné, sauvage qu'on s'échange dans les ténèbres, avant que tu ne recules, mon souffle haletant que je tente de reprendre.  et j'adore ça que je lâche en souriant. mes mains qui viennent attraper ton visage pour te tirer contre moi et t'embrasser à nouveau. ta lèvre inférieur que je mordille presque jusqu'au sang avant de glisser ma langue jusqu'à la tienne pour la caresser sensuellement. c'est animal entre nous, mais c'est ma manière de te montrer à quel point je te veux. c'est le retour de la princesse désordonnée et chaotique que j'ai toujours été.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

favorite crime

dans un restaurant du centre-ville
19/05/23, vers 23h
@Tristan Deslieux  
relation toxique, autodestruction

si j'écoute ma conscience, ma tête, elle me dicte d'arrêter. elle me crie que je suis en train de faire une énorme erreur, que mes désirs mettent en dangers ma santé mentale. les conséquences sont trop fortes pour que le risque soit pris. pourtant.. pourtant je cède à mon envie. elle est plus forte que ma raison et je suis faible. t'es ma faiblesse. la preuve, presque quatre ans sans toucher un rail de coke. j'en ai eu envie mais je n'ai jamais cédé à mes pulsions. toi ? je suis incapable de me retenir. t'es pire que la cocaïne, parce que tu me fais encore plus de bien, tu me fais t'aimer et être encore plus accro. et la chute ? elle est encore plus difficile. quant au sevrage ? on en parle même pas. alors rester clean.. j'en suis incapable. et j'en ai aucune envie surtout. voilà pourquoi je te demande une seconde fois de l'embrasser, cette fois-ci avec plus d'ardeur. voilà pourquoi je me laisse embraquer dans ce toilette, voilà pourquoi je te rends ton baiser et voilà pourquoi je t'embrasse à nouveau. mon corps qui se colle contre le tiens, mes lèvres qui agrippent les tiennes comme dans un besoin vital. parce que ça l'est en fin de compte. j'ai tellement besoin de toi à cet instant. mes dents qui mordent passionnément ta lèvre, une de mes mains qui attrape ta nuque, l'autre qui serre le tissu de ta veste entre mes doigts pour te tenir bien contre moi. la peur que tu m'échappes, que tu décides que c'est trop, que tu coupes court à tout et que tu me laisses là. ta main qui tape contre la porte, ne me fait absolument pas sursauter au contraire, elle me donne envie de t'embrasser encore plus fort, te faire sentir que je suis là et que je te veux plus que tout au monde à cet instant. mon corps s'embrase sous ton baiser, une chaleur délicieuse qui m'enveloppe rapidement. mon corps pressé contre le tien, je sens ta queue durcir contre mon ventre. ça m'arrache un sourire, bien vite rattrapé par tes paroles. baise moi que je te supplie entre deux baisers.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)