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Sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead

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Sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead

Près du campus
2 juin
@Ji-hun Hwang
Jeu à boire

La guerre qui faisait rage entre les deux brunes était stupide et puérile, n'importe qui aurait ou tirer ce constat. N'importe qui de sobre en tout cas, et Joyce ne l'était plus assez pour rester sagement en retrait et ne pas rétorquer avec un sens du venin similaire à celui qu'elle avait saisi chez la meneuse de jeu. L'envie débordante de lui faire ravaler sa fierté, le sous-entendu n'est absolument pas voilé et c'est le but : que l'assemblée et que cette rivale saisisse qu'elle sait parfaitement comment se comporte Jay à la verticale pour avoir mainte fois expérimenté la chose. Après tout, ensemble ils avaient même découvert des choses qui brûlaient encore dans certains de ses fantasmes. Et si elle était trop pudique pour s'étaler là-dessus, elle n'y songeait pas moins. Et qu'est ce que ça lui manquait !
La redoutable adversaire qu'elle s'était faite, néanmoins, n'en reste pas là bien décidé à en découdre et sûrement pas habituée à perdre. Cran de pression aussitôt appuyé, règles inventées à la va vite et provocation en direction du doctorant qui se retrouve la cible de tous les regards comme une pauvre biche en pleine partie de chasse. Aïe, la situation n'est pas agréable... Joyce lance un regard noir à l'autre brune avant de suivre à son tour le centre d'attention, le myocarde rebondissant trop fort dans sa poitrine. Surtout que les yeux un peu trop avides de cet ancien amant, clairement dirigé vers la poitrine qui lui est offerte sur un plateau, ne mentent pas. La fille lui plaît, c'est certain. Et la biologiste ne devrait même pas être surprise ! Elle le connaît après tout, assez pour savoir que l'étudiante avec ses mèches brunes, son sourire charmeur et ses formes généreuses, est typiquement au goût de Jay. Objectivement elle est probablement même plus jolie et attirante que Joyce qui aurait sans doute dû se contenter de balancer le nom d'un acteur quelconque à la vérité qui a précédé. Ça lui aurait sûrement évité beaucoup de problèmes. Et de désillusions.

Car dans sa tête le choix brûle et est clair. Sûrement qu'il va vouloir embrasser cette autre ; après tout il n'avait plus voulu d'elle quelques semaines auparavant, pourquoi aurait-il changé d'avis entre temps ? Il avait beau dire que ça ne lui plaisait pas de la voir se faire tripoter par d'autres, leur relation était terminée et il fallait savoir avancer dans la vie. Plus de J², chacune de son côté.
Les mots choisis par le doctorant la traversent sans la pénétrer, déjà incapable d'écouter, muraille construite entre le monde et elle. Elle sait qu'elle ne supportera pas de le voir embrasser une autre, se doute que ça la poussera à se lever d'un coup et à partir. Elle aurait mieux fait de rester chez elle ce soir. Fichue soirée, son collègue avait intérêt à choper, au moins que tout ça ait servi à quelque chose. En tout cas une certitude : elle ne l'accompagnerait plus à des fêtes. Tout ça pour se faire ridiculiser en public...
Et pourtant... pourtant le mouvement qu'elle perçoit à ses côtés est aussi inattendu que bouleversant. Question posée du bout des lèvres, elle reste coite et consent uniquement grâce à un signe de la tête, le cœur qui cogne trop fort dans sa poitrine. C'est vers elle qu'il s'est tourné et sur ses lèvres qu'il dépose les siennes, baiser qui a le goût amer de la nostalgie et dans lequel elle se glisse en un frisson. Ça lui avait manqué. Beaucoup trop, et c'est une tempête qui déferle dans son esprit alors que les bouches se chevauchent, redécouvrant avec délice leur saveur d'antan. Pour peu, elle en oublierait les gens qui les entoure et aurait envie de toute envoyer valser, glissant sa main dans ses cheveux, arrachant leurs vêtements, retrouvant cette complicité qu'elle sait encore palpitante quelque part entre eux. Si tentant...
Mais tout a une fin et le baiser s'achève sur les lèvres encore tremblantes et les joues rouges. À peine capable de parler elle baragouine qu'elle veut bien une bière et avale de travers le temps qu'il reparte, peine à se reconcentrer sur la partie, consciente des regards rivés sur elle.

- Hmm, oui, heu... toi, dit-elle en désignant une personne au hasard. Action ou vérité ?
- Vérité.
- Combien de partenaires as-tu eu cette année ?

Mais déjà elle n'écoute plus la réponse, son esprit dirigé tout entier vers la scène qui vient de se dérouler et qui a éveillé en elle quelque chose de puissant. Et tentateur. Désir qui coule dans ses veines et l'envoûte, jeu qu'elle suit d'une oreille, soulagée de voir que la balle ne revient pas dans sa direction jusqu'au retour de Jay à ses côtés. Bière récupérée, elle le remercie avant d'en boire quelques gorgées, espérant que ça fasse diminuer la chaleur qui a envahit son corps.

- Oh, rien de particulier. Quelques baisers, des aveux et des shots.

Le principe du jeu finalement : faire boire, mais également révéler les ambiguïtés qui rampent dans les coins et recoins des hormones de ces jeunes adultes. Reprenant ume gorgée comme s'il s'agissait d'une potion de courage, Joyce se penche vers son voisin histoire de lui murmurer discrètement :

- Dis, j'ai un peu envie de rentrer. Est-ce que... enfin ça te dirait de me raccompagner ?

C'est quitte ou double. Et ce n'est probablement pas la meilleure idée de la soirée. Si Haley était dans le coin elle lui dirait de ne sûrement pas jouer ainsi avec des limites aussi dangereuses qui risquerait de la faire finir dans le même lit que son ex. Le problème, c'est que c'est précisément ce dont elle a envie en ce moment. Et comme Haley n'est pas là et qu'elle n'a même plus de batterie pour la contacter... Pourquoi donc chercher absolument à aller à l'encontre de ses besoins ?
(Invité)
Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Sometimes it lasts in love, but sometimes it hurts instead - Page 2 Ezgif-6-4c286bf7b0
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : Lunaarg (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Ji-hun Hwang
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STUDENT › proud member of harvard university
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Incapable de consentir à mentir, son action fut tournée vers celle qu'il avait fréquentée, parce que c'était avec elle qu'il avait le plus envie de coucher. Annoncée autrement, il n'aurait eu que l'embarras du choix, aurait probablement désiré poser ses lèvres sur la brune qui se redressa, remballant la marchandise qu'elle avait exposée dans l'espoir d'être celle qu'il aurait réchauffé d'un baiser. Consentement donné d'un signe de tête, il n'aurait jamais pensé avouer la préférer aussi ouvertement lors d'une fête. Lui plutôt discret, volontaire à préserver sa vie privée, il se pencha pourtant sur la jeune femme sans hésiter. Joue caressée de ces doigts qui la connaissaient, les lèvres ne tardèrent pas à se poser sur la bouche qu'il convoitait. Pression engagée, le goût alcoolisé de ses chairs lui rappela la première fois qu'ils avaient sauté le pas, à cette époque où tout semblait filer droit – et ça lui manqua, la nostalgie l'imprégna, et les mouvements de mâchoires il ajouta. Son cœur envoyait la sauce dans ses veines pendant qu'il se permettait de la refaire sienne, qu'importait si court était l'instant, ne comptait vraiment que le moment présent.

Il aurait bien attisé le lien d'une langue avide de retrouver celle avec qui elle s'était mise très souvent à danser, mais le rappel des autres joueurs à la réalité l'empêcha de s'y atteler ; il y avait des hôtels pour ça, ils avaient plaisanté. Ou des chambres, comme celle qu'ils s'étaient refusé de rejoindre lors de la pool party à laquelle ils avaient participé. En reculant, il n'osa pas lui adresser trop longtemps ce regard brûlant, celui-là même qui suggéra qu'il ne se serait pas arrêté là s'il n'y avait eu qu'un « toi et moi ». Il dévia ses yeux bridés pour ne pas risquer de le lui avouer, même s'il fallait être stupide pour penser qu'elle n'avait pas eu le temps de le remarquer – combien de temps avaient-ils passé ensemble depuis l'année passée ? Elle le connaissait. Peut-être pas par cœur, mais on n'était pas très loin de la vérité. Il trouva l'excuse de s'éclipser, remercia intérieurement son verre de s'être vidé avec tant de rapidité, mais il n'oublia pas de proposer à la demoiselle à ses côtés si, elle aussi, avait besoin de s'hydrater. Bière commandée, il lui rendit le droit à questionner qui lui avait été dérobé et partit rejoindre le rez-de-chaussée.

Le nord-coréen y croisa l'un de ses alliés et confessa qu'il n'était pas sûr de rester. Plus tôt dans la journée, il avait participé à un laser game avec les Dorés, et ça avait été sportif comme activité. Il avait besoin de s'allonger, même s'il ne se sentait pas vraiment fatigué. Son acolyte comprit parfaitement, demanda à être prévenu de son départ – tout simplement. Il rejoignit le cercle de joueurs qui n'avaient cessé de s'amuser, les rires le portèrent à croire qu'il y avait eu quelques épisodes intéressants qui s'étaient passés. Gobelets des doctorants à présent remplis, il interrogea son ex-copine sur ce qui s'était dit ; la téquila était montée à la tête des participants. Il suivit de près les échanges qu'il y avait, non sans se satisfaire de quelques gorgées dont il se délectait, jouait avec le liquide qu'il laissait traîner contre les papilles. Quelques sourires s'échappaient lors du tout qui se terminait. Bientôt un doigt sera de nouveau pointé sur eux ; à quoi pouvaient-ils bien s'attendre tous les deux ? La piratesse en décida autrement, et avant que ne soit dirigée vers elle ou lui l'interrogation, fit une proposition ; celle de la raccompagner à la Dudley.

Il arrêta de compter à combien d'étudiants fut proposé le « action ou vérité », et sa tête se tourna vers celle qui, à lui, s'était discrètement adressée. Il semblerait que ton collègue ait réussi à charmer la demoiselle qu'il était venu retrouver, conclut-il de l'absence de ce dernier dans les parages qu'ils occupaient, tu penses bien que je ne vais pas te laisser repartir toute seule. Il l'informa qu'il marchera dans ses pas, pour s'assurer qu'en sécurité elle sera jusqu'à la voir franchir son « chez soi ». Maintenant, lui proposa-t-il de bouger, finissant son verre d'une traite avant de se lever. Mouvement qui ne passa pas inaperçu de la brune qui n'avait cessé de les observer, elle les interpella avant qu'ils ne puissent s'en aller. Ji-hun la regarda, elle se leva, s'approcha et lui demanda s'il avait meetsa. Plus pratique pour garder contact, elle voulait le revoir et le dit sans aucun tact. Il tâtonna l'arrière de son pantalon, attrapa son téléphone et ouvrit l'application, lui tendit pour qu'elle y inscrive son nom. Pendant ce temps il posa ses pierres sur son ancienne dulcinée, pinça légèrement ses lèvres et lui offrit un sourire dans l'espoir débile de la rassurer.

La voix de la jeune femme le rappela, et par politesse sur elle il se concentra. Elle ne put s'empêcher d'avouer qu'elle avait bien compris qu'il l'avait choisie pour ne pas la blesser, et qu'elle appréciait d'autant plus les hommes éduqués, c'était peut-être pour ça que, par lui, elle se sentait attirée. Maintenant ils pourront échanger plus amplement, et elle attendait ça impatiemment. Je te contacte dès que je suis rentré, lui promit-il de lui envoyer un message en premier. Elle parut heureuse, posa une main sur son épaule pour l'obliger à se baisser, et murmura quelque chose à l'oreille tendue de son côté, non sans un regard fixé sur la doctorant qu'elle désirait rendre furieuse. Je vois, rit-il des mots qu'elle avait glissés, on verra. Il lui avait des choses qu'il ne pouvait contrôler, c'était surtout le feeling qui parlait dans le genre de situation qu'elle exposait. On y va, se tourna-t-il vers Joyce après avoir récupéré le mobile qu'elle lui avait emprunté. Merci pour la soirée, c'était sympa, lança-t-il au groupe qui leur fit signe avant que l'escalier ne soit dévalé. Je nous appelle un lyft, ça te va, demanda-t-il alors qu'il appuyait sur le logo.

Il ne se voyait pas marcher, sportif mais pas à ce point-là passionné – il avait déjà effectué au matin sa course à pieds. Tu n'as pas froid, s'inquiéta-t-il, prêt à déposer sur ses épaules la veste qu'il avait récupérée si elle acquiesçait. La nuit était bien avancée, et les nuages rafraîchissaient l'environnement dans lequel ils attendaient. J'ai oublié de prévenir mes collèges, tiens, s'inquiéta-t-il soudainement de ce détail, s'activa à écrire un message instantanée pour éviter qu'il n'y ait de faille. Il appuya sur le bouton au moment où la voiture fit son apparition ; pile à l'heure, ils seront à la Maison de « bonne heure ». Il ouvrit la portière à celle avec qui il s'était vu emménager et passa de l'autre côté. L'adresse avait déjà été communiquée, alors Ji-hun put se permettre de fermer les yeux durant le trajet, et ainsi se reposer le temps que ça prendrait. Il fut réveillé par le ralentissement qui s'imposait, les paupières s'ouvrirent sur le paysage qu'il traversait et, naturellement, il plaça sa main sur la sienne pour la lui caresser, au cas où elle s'était assoupie, elle aussi. On y est, la prévint-il d'une voix encore un peu endormie.

Il s'assura que le paiement avait bien été validé et, confirmation donnée, il souhaita une bonne fin de soirée au conducteur, avant de sortir à l'extérieur. Quelques mètres restèrent à parcourir, il ne la laissa pas là pour s'enfuir, la reconduit jusqu'à l'entrée avant de se tourner et de lui parler. Je suis content de t'avoir revue, dit-il, et que ça se soit bien passé. C'était important pour lui de savoir qu'ils pouvaient encore discuter sans inviter l'amertume de la récente rupture qu'ils avaient dû affronter ; et maintenant, est-ce qu'il devait lui souhaiter de bien se reposer ? Je vais rentrer, lâcha-t-il rapidement, je dors à Somerville en ce moment, et ce n'est pas la porte à côté. Il valait donc mieux pour lui de se bouger, et ne pas trop tarder. L'impression pourtant de ne pas pouvoir faire un pas en arrière, comme s'il lui restait une dernière chose à faire. Bonne nuit, supposa-t-il que c'était ça, et qu'il articula ; est-ce qu'elle lui répondra ?

@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)



Blossoming
In the land of cherry blossoms,
Love bloomed like delicate petals.
Hearts entwined, two souls aligned.
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2 juin
@Ji-hun Hwang
-
Le feu qui crépite sur les joues de Joyce n’échappe pas à Garry qui glousse en silence dans son coin ; pas plus sans doute que les flammes ne doivent échapper à la brune qui a mis Jay au défi, même si la doctorante n’ose pas lever les yeux vers elle. La rivalité ne l’appelle pas assez pour qu’elle ait envie de la défier, elle se doute que le coup a été dur pour l’étudiante – il l’aurait été si pour elle si les rôles avaient été inversés – et ce n’est pas dans sa nature de se vanter. La biologiste préfère de toute manière se laisser porter par les vagues d‘émotion et de désir qui l’ont envahie que de rester sur ses mauvais aprioris d’une fille qui reste avant tout une inconnue. Si ça se trouve cette dernière, bonne joueuse, a lâché le terrain ? Et elle est probablement très sympa ; dans tous les cas il vaut mieux s’occuper de son propre navire que de se comparer aux yacht qui nous entourent.
C’est sur la pensée de cette analogie maritime que son ex dont le goût s’échoue encore sur ses lèvres revient, leur boisson dans les mains. Bière qui vient rafraîchir ses pensées et son gosier avant que n’éclose une proposition à sa bouche. La raccompagnerait-il ? Elle ignore si son collègue a pu conclure ou si, dépité, il a fuit la soirée après s’être pris un râteau ; à vrai dire elle s’en fiche un peu. Il lui racontera tout ça lundi pendant leur pause café – temps habituel des commérages puisqu’à midi il y avait souvent trop de monde qui les accompagnait pour qu’il lui raconte ses aventures. Et combien même il serait encore dans le coin, qu’importe, elle a d’autres idées en tête – et il comprendra sans nul doute qu’elle ait pu le laisser à son sort à cette fête. Après tout, c’était lui qui l’avait abandonnée en premier.
Si Joyce n’a pas particulièrement peur de parcourir les rues jusqu’à la maison Dudley toute seule – l’alcool donne toujours une réserve de courage surprenante et elle s’était résolue à ça quand elle l’avait vu qu’il ne lui restait plus de batterie sur son téléphone –, elle contient cependant cette pensée. Qu’importe sous quel prétexte Jay la raccompagne jusqu’à la maison es roses, elle voulait simplement passer un peu plus de temps en sa compagnie – et plus si affinité, beaucoup plus… Alors elle acquiesce une fois de plus pour lui indiquer que maintenant lui paraît le moment adéquat, avant que le jeu ne revienne à eux et qu’ils doivent avouer des vérités sur lesquels ils pourraient s’écorcher, ou réaliser des actions qui ne lui plairaient pas. Bière qu’elle termine à son tour, gorgée un peu plus lente alors que lui est déjà redressé, happé cependant par la cheffe autoproclamée du jeu que Joyce avait complètement oublié. Ok, peut-être qu’elle n’est pas si sympa que ça et qu’elle n’a pas vraiment déserté le terrain de la conquête de Jay. Elle se force à avaler des plus grandes gorgées avant de poser le gobelet dans la corbeille juste derrière elle, d’étreindre Garry au passage, puis de se redresser, sans manquer de remarquer le téléphone dans les mains de cette rivale impromptue. Mâchoire qui se serre lorsqu’elle entend qu’il la contactera dès qu’il sera rentré et une voix – un peu méchante, il faut bien le reconnaître – en elle ne peut s’empêcher de penser qu’elle fera tout pour qu’il ne rentre pas de si tôt. Mais l’échange ne s’arrête pas là, s’efface dans des chuchotements où les corps se rapprochent bien trop et les yeux de la doctorante bondisse en direction du plafond sans néanmoins qu’elle intervienne. Elle n’a aucun droit sur ça, ils ne sont plus en couple. Et même à l’époque où ils étaient ensemble, elle avait suffisamment confiance en lui pour se douter qu’il la repousserait sans une hésitation. Sauf que désormais la situation n’est plus la même ; et elle est condamnée à s’énerver en silence.
Énervement, cependant, qui s’apaise bien vite quand elle réalise que dans tout ça, c’est avec elle qui repart. Peut-être que lorsqu’elle verra l’inconnue aimer les photos de son ex sur meetsa, ce sentiment reviendra ; mais ça c’est un problème pour la Joyce de plus tard. La Joyce de maintenant est simplement heureuse de pouvoir descendre les escaliers aux côtés de Jay, retrouver la nuit déjà fraîche pendant qu’ils attendent la voiture commandée par le biochimiste.

– Un peu, accepte-t-elle la veste qui lui est proposée.

Odeurs qui reviennent en même temps que les souvenirs. Ça lui rappelle ce premier véritable date, repas aussi copieux que délicieux et les confidence s échangées autour d’une cigarette. Ça lui semble remonter plusieurs années auparavant alors que le temps ne se compte qu’en mois ; mais ils étaient alors si différents… Parfois, elle aimerait bien retrouver cette innocence d’antan.
La voiture arrive rapidement, probablement déjà dans le coin à ramener d’autres étudiants de d’autres soirées. À peine le temps pour Jay d’envoyer un message et pour elle de s’envelopper un peu plus dans sa veste. Sur les sièges où il s’endort, elle se plaît à le contempler sous l’œil silencieux du chauffeur à qui pourtant, rien n’échappe. À l’extérieur la ville défile et elle finit par fermer les yeux, à peine une ou deux minutes avant q’ils n’arrivent à destination.

– Merci beaucoup et bonne soirée, salue-t-elle le conducteur avant e sortir de la voiture, laissant celui qui avait commandé la voiture, l’application entre les mains, gérer les derniers détails.

La Maison est étrangement calme, aucune fête à l’horizon, il faut croire que les étudiants de la Dudley sont trop concentrés sur leurs révisions. Tant mieux, pas de bruit ou de rencontres inattendues pour troubler ce moment où il la raccompagne jusqu’à la porte d’entrée.

– Moi aussi, répond-t-elle, sincère.

Langue qui humidifie ses lèvres alors qu’il lui annonce avoir rentrer jusqu’à Somerville. La proposition qui tourne en tête depuis qu’ils ont quitté la fête lui paraît soudain beaucoup moins évidente à développer qu’elle ne l’avait imaginée ; néanmoins Joyce ne veut pas clore cette soirée sur des regrets et, alors qu’il lui dit bonne nuit, sa main attrape la sienne pour attirer son attention.

– Jay… pourquoi ne passerais-tu pas la nuit ici ?

Peut-être bien que c’est trop tôt et qu’il refusera, mais qu’importe, au moins elle aura essayé.

– J’ai vraiment très envie de toi.


Et de ce qu’elle avait pu saisir dans le baiser échangé un peu plus tôt lors de la partie d’Action ou Vérité, elle n’était pas la seule dans ce cas.
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Ji-hun Hwang

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warning : rapprochement physique
Veste prêtée directement à la Dudley, puisque cette dernière avoua ressentir cette fraîcheur que le printemps ne semblait pas vouloir abandonner en soirée. Il savait que l'attente ne sera pas bien longue avant qu'on ne vienne les récupérer, ne s'inquiéta donc pas plus que ça, savait qu'elle avait traversé des marées bien plus pires que ce petit souffle de froid. Il prit le temps d'ouvrir sa messagerie pour prévenir ses amis, comme il l'avait un peu plus tôt promis, quelques secondes accordées à peine avant que ne s'arrête devant eux le taxi qu'il avait appelé. Portière de son ex instinctivement ouverte, il monta de l'autre côté avant de s'entretenir avec le chauffeur qui avait déjà fait bien trop de navettes, ramenant des étudiants plus ou moins bourrés de la petite fête à laquelle ils avaient participée. Confirmation de l'adresse donnée, Ji-hun se cala entièrement sur le dossier. Sur le pare-brise avant ses yeux étaient rivés avant de progressivement se fermer. Il s'accorda une pause bien méritée, car entre le laser game et la soirée, il fallait encore qu'il retrouve Somerville et la maisonnée dans laquelle il squattait depuis un petit moment le canapé. La respiration longue et apaisée, il se permit de somnoler durant le trajet.

Ralentissement ressenti pourtant, l'habitude lui dicta d'ouvrir les paupières en grand. Il reconnut le quartier dans lequel ils allaient bientôt être laissés, et se permit alors de passer sa main sur celle de Joyce au cas où elle s'était, elle aussi, assoupie. Il s'étira légèrement avant que le lyft ne se gare et, d'une pression sur un bouton de l'application, conclut avec lui le transfert des dollars. À son tour il sortit, et le véhicule repartit vers sa prochaine course de la nuit. Les derniers mètres à parcourir à pieds ne furent pas nombreux, ils purent profiter de la verdure alentours et des bruits nocturnes en restant silencieux. Ils atteignirent l'entrée de la résidence où la doctorante restait, et il enchaîna quelques répliques sympathiques avant de constater que l'heure tournait et qu'il était grand-temps pour lui d'y aller. Obligation d'appeler un autre conducteur pour le transporter chez sa marraine, il sembla que Joyce n'en avait pas terminé, elle lui proposa de rester. Il la regarda sans broncher, la laissa finir de s'exprimer ; elle avait envie de lui – très. Le brun baissa son regard sur les doigts qui le retenait, n'aurait sans doute pas imaginé que ça puisse de nouveau arriver. Pourtant ils en étaient là, à si peu de franchir le pas. Il n'hésita pas : si tu me laisses fumer avant d'y aller.

Est-ce que Joyce comprit qu'il lui offrait un « oui » ? Il l'espérait, car s'il l'obligea à défaire l'étreinte précédemment initiée, ce fut simplement pour sortir son paquet et le briquet ; s'il avait pu le faire d'une main pour la garder, croyez-le qu'il l'aurait fait. Personne en vue et le bâtiment semblait endormi alors, après avoir allumé la cigarette qu'il avait prise, de simplement s'éloigner de quelques mètres il se permit, non sans attraper la palme de sa vis-à-vis pour l'emmener avec lui. Il se délecta des bouffées qui lui avaient manqué, tout en débutant de faibles caresses de ses pulpes sous les phalanges allongées de la demoiselle avec qui il s'apprêtait à coucher – faire l'amour était plus approprié, elle le connaissait, pas vrai ? Effleurements mesurés, autant pour la faire gentiment patienter que pour l'attiser dans cette tentation qu'ils s'étaient avoués lors d'un jeu « action ou vérité » ; lui qui avait été sceptique quant à l'idée se trouvait là bien contenté. Et sans un mot adressé, il la fixa, regard perdu dans celui qu'elle lui donna, et dont il tenta de traduire chaque lueur pour s'assurer que ce qui suivra ne sera que bonheur ; aucun doute, aucune peur, aucune erreur. L'envie de ne lui faire que du bien avait toujours été la préoccupation principale du brun.

Le cylindre arriva à sa fin, le nord-coréen écrasa le mégot sous sa semelle et trouva une poubelle pour laisser derrière lui un espace sain. Il rendit aussi sa liberté, arrêta les douceurs qu'il avait laissées pour se concentrer sur l'entrée. On peut y aller, la prévint-il, prêt à marcher dans ses pas. Même s'il connaissait par coeur le chemin pour avoir très souvent dormi à la Dudley, il préférait lui emboîter le pas – surtout pour profiter de la mater, il ne fallait pas se leurrer. Yeux figés sur la colonne vertébrale musclée qu'il avait tant de fois pu admirer, il descendit sur le fessier bien formé de la jeune femme qu'il suivait et manqua de tomber dans l'escalier qui menait à l'étage des chambrées. Marche loupée, un éclat rapide s'échappa, et il ajouta : excuse-moi ; un peu de concentration, voyons ! Il haussa les épaules et joua parfaitement l'innocent avant qu'ils ne continuent à se rapprocher de la porte derrière laquelle tout allait être acté plus sérieusement. Encadrement passé, pièce pénétrée, Ji-hun ferma le pan mobile derrière lui et se pencha en avant pour se défaire des chaussures qu'il rangea de côté immédiatement ; c'était systématique pour l'Asiatique. Il se redressa et la chercha. Il ne mit pas longtemps à la trouver, et encore moins à s'en rapprocher.

À peine deux enjambées qu'il se retrouva à sa hauteur, et la défit de cette veste empruntée, et de celle qu'elle avait enfilée pour la soirée, puisqu'il n'était plus question de fraîcheur – il jurait de pouvoir lui-même lui apporter de la chaleur. Vêtements jetés de côté, sa paume droite passa sur sa taille marquée quand l'autre se fondit dans ses cheveux lâchés. Mouvements lents donnés de ses doigts dans les mèches brunes, il l'invita à se rapprocher pour la faire entrer dans sa bulle. Le front put se coller contre le sien et son nez vint dandiner contre l'arête nasale, accompagné d'un sourire en coin. Pas besoin de se presser, ils avaient toute la nuit – et le petit matin – pour profiter, et rattraper un peu du temps qui s'était écoulé. De leurs hanches simplement collées, il put sentir le début de la tension dessiner, dans son esprit un peu envoûté, quelques actions et autres positions qui pourraient les enchanter ; merci à l'alchimie – elle ne les avait jamais quittés, il fallait simplement la réveiller. Un petit instant à la serrer juste comme ça, puis sa bouche contre la sienne il passa. Une fois, deux fois, avant qu'il n'exécute une pression qui, des précédents, différa mais qu'il ne réitéra pas, parce que : je ne t'ai pas demandé si je pouvais, pardonne-moi.

Devait-il vraiment s'en inquiéter ? C'était important, prouvait qu'il avait été bien éduqué par tous les divers événements qui avaient marqué le quotidien depuis son arrivée, mais ne devaient-ils tout simplement pas profiter de l'instant ? Qui savait si une occasion pareille se représenterait vraiment ? Ils en avaient tous les deux envie, et y avaient pleinement consenti, alors si on arrêtait un peu d'être poli ? Il pinça sa propre lèvre de ses dents, avant de se pencher sur celles qui posaient juste devant. Baiser enfin véritablement volé, le biochimiste ne fut pas en mesure de l'écourter. Semblable à celui qu'il lui avait donné autour du cercle formé lors de la soirée, à une différence près : il put le pousser, sortir sa langue à un moment donné et l'intégrer à la danse des lippes qu'ils avaient débutée. La palme gauche se plaqua à l'arrière du crâne de son ex, la droite s'autorisa à glisser dans le bas de son dos et, même s'il l'avait toujours trouvé beau, préféra descendre sur la rondeur qu'il avait toujours préférée et fantasmée, depuis qu'une certaine photo lui avait été envoyée. Doucereuse fut sa manière de l'apprivoiser, avant qu'il n'attrape sa fesse d'une bonne poignée ; combien de fois il en avait rêvé depuis qu'ils s'étaient séparés...

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rapprochements physiques

Le cœur palpite trop fort entre ses tempes, paru peur de se faire abandonné ou rejeté – c’est toujours le risque dans ce genre de jeu. Joyce a l’impression que les choses se passent bien entre eux, qu’ils ont flirté lors de la soirée et que ce baiser a montré à quel point leur attirance était toujours aussi forte et mutuelle. Ça ne veut pour autant pas dire que tout est gagné – loin de là. Une myriade de possibilités pour lesquelles il la rejetterait lui effleurent l’esprit, et sans doute qu’il en existe une myriade d’autres auxquelles elle n’a pas songé. Après tout, le passé a démontré qu’ils ne se comprenaient pas toujours quand il s’agissait d’utiliser les mots. Les corps, eux, sont beaucoup plus en accord – ça ne suffit pas toujours. Alors faut-il se fier au baiser qui les a enflammés un peu plus tôt dans la soirée ?
Apparemment, oui. La réponse offerte, même si elle retarde de quelques latte le moment, est plutôt claire dans sa tête. Acquiescement de sa part – il pourrait fumer tout son paquet, qu’importe, son cœur est en joie. Les palpitations sont toujours aussi rapides, mais pour une toute autre raison désormais. Elle anticipe avec frissons de quoi la nuit sera faite, devine déjà les caresses qui se dessine, les corps qui se connaissent si bien qui se retrouvent. Ça fait longtemps et ça la titille ; mal pris en patience cependant, le temps que la cigarette grille aux lèvres qu’elle imagine déjà s’écraser sur son cou, sa gorge, sa poitrine. Main reprise, volute de la pulpe sur la peau, les regards ne se quittent et la doctorante sent son corps qui frémit. Là, sous la Lune et les étoiles, elle ne peut se mentir à elle-même : elle l’aime encore, puissamment, intensément. Elle ne peut cependant révéler ce secret à voix haute, consciente que ça pourrait bien là lui faire prendre la poudre d’escampette. Alors elle préfère avoir cet air détacher bien que forcément un peu fébrile – même sans sentiment, qui aimerait voir son ex embrasser une autre ? une pointe de manipulation, probablement pas le moyen le plus sain de faire un deuil de cette rupture – mais qu’importe. Elle a des bleus au cœur, Joyce, et envie que ce soit Jay qui étale de la pommade dessus. Et si au final ça empire les choses, tant pis. Elle veut bien accepter la perspective de se morfondre dans son lit sous le contre-coup, si c’est pour pouvoir profiter ce soir. Tout le reste est un problème pour plus tard.

Le grésillement de la cigarette meurt contre une semelle et il relâche sa main pour chercher une poubelle et elle apprécie cette conscience là, qu’il retienne la précipitation pour ne pas laisser son mégot se décomposer pendant un siècle devant la maison Dudley. Poignée qui tourne sous la pression de sa paume, elle se glisse à l’intérieur en l’invitant à sa suite, lui laisse le soin e refermer doucement la cloison de bois dans leur dos, et avance dans le hall plongé dans le noir. Elle n’oublie pas que, si eux sont doctorants et épargnés par les révisions, c’est loin d’être le cas de la majorité de sa Maison qui étudie peut-être encore à la lueur de leur lampe de chevet ou profitent d’un repos studieux avant de se lever à l’aube pour aller à la bibliothèque. Mine de rien, elle est heureuse d’être épargnée de cette session d’examens stressante qui lui permet de profiter d’autre chose… et précisément ce soir d’une autre personne.
Elle s’enfile dans les escaliers, Jay toujours sur la talons dans la semi-obscurité à peine troublée par quelques lumières filtrant sous les portes ou les lampadaires qui s’introduisent par les fenêtres. Tout est calme, du moins jusqu’à ce qu’il trouble le silence en loupant une marche, ce qui la fait immédiatement se retourner, à moitié hilare, un doigt sur la bouche.

– Attention, tu vas réveiller toute la Maison.

Entre le rire et les vapeurs d’alcool, ses joues se colorent de rouge dans l’obscurité. Derniers mètres enfin parcourus, ils atteignent sans plus d’encombre sa chambre et elle appuie aussitôt sur l’interrupteur, n’oubliant pas de refermer à clé dans leur dos. Sandales égarées du bout des pieds et négligemment abandonné devant sa commode, elle est bien vite rejointe par celui qui bouscule son pouls et s’occupe e la débarrasser de ses vestes. Clairement, elle n’en a plus besoin entre la chaleur accumulée à l’intérieur des murs de sa chambre pendant la journée et, surtout, la chaleur des corps qu’ils dégagent. Oh non, elle a bien d’autres préoccupations en tête, comme ses lèvres qui s’emparent des siennes non sans délice, et ces hanches qui se rapprochent encore un peu plus, cherchent encore et encore à s’apprivoiser.

– Tu peux.

Murmure qui se blottit contre sa bouche, bientôt éprise à nouveau d’un baiser. Les mains se font baladeuses, sursaut conquis quand sa paume enveloppe ses fesses, tant que ses pulpes caressent d’un côté un joue, e l’autre s’aventure sous le tissu d’un haut pour effleurer les abdominaux dessinés par la natation et conservés depuis par le côté sportif de son ex. Il n’a pas changé, et ça la fait toujours autant fantasmer de sentir son corps contre le sien. Sa jambe, mue par sa propre indépendance, remonte le long de la sienne, comme si elle cherchait déjà à s’accrocher à son bassin, à s’enrouler autour de lui. Robe qui se soulève un peu sur le mouvement, le brasier brûle fort en elle, vague de désir qui s’échoue sur la plage des fantasmes.

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Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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