hold me like a grudge.

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sept avril, kendall square
w/ @nathanaël arnault.
tw - agression, violence physique.

Maman, je te demande de t'occuper de Rocco deux heures demain, c'est trop demandé ? Je soupire fortement lorsque j'entends l'énième refus de ma mère. Elle est toujours partante pour m'aider et pour m'arranger mais là, elle refuse tout bonnement de le faire et je ne comprends pas pourquoi. Si c'est sa manière de me dire d'être un peu plus responsable, elle est bien mignonne mais je le suis depuis des années déjà. C'est juste que j'ai accepté un peu trop de contrat ces derniers jours et que je dois me déplacer sur New-York pour présenter un nouveau projet au siège de l'association dont je fais partie. Il est gentil. Je sais bien qu'on dirait pas comme ça mais c'est une crème. Je sais bien qu'il s'agit d'un staffordshire terrier mais c'est un amour et n'ai eu absolument aucun soucis avec lui. Pas grave, je demanderai à papa. Et puisque mon père dit oui à tout de toute façon, elle finit par accepter pour que je ne le dérange pas. Manipulatrice et fille à papa ? Absolument. Merciiiii. Promis, je te ramène un cadeau de New-Y... Je n'ai pas le temps de finir ma phrase parce que quelqu'un me rentre dedans. Mon bras part en arrière et mon cellulaire fait un vol plané près de la bouche d'égout, Vous pouviez pas faire attention putain ? Que je crache, agacée en me dirigeant vers le bout de technologie complètement éclaté au sol. Cependant, je n'ai pas le temps de l'attraper qu'une main se referme autour de mon bras, me forçant à me redresser et faire face à celui qui m'a empoigné de la sorte. Mes yeux dans les siens, je crois qu'il ne se rend pas compte de la personne à qui il s'oppose. Lâche moi et trace ta route crétin. Pas délicate pour un sous, c'est bien tout ce qu'il me fallait pour que je m'énerve et démarre au quart de tour. Oh, t'es sourd ? Que je rajoute en le défiant du regard et en pointant mon oreille gauche de ma main libre. Ça va mal finir cette histoire mais je sais me défendre alors tout va bien.

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w/ @Chiara Berrettini .

« Vous pouviez pas faire attention putain ? » Alors que tu étais assis dans un café, en appel important avec l’Espagne, tu pouvais entendre cette jeune fille crier, ou plutôt gueuler contre un autre gars. Tu sais que s’asseoir a l’extérieur n’est jamais une bonne idée, mais tu ne pensais pas devoir entendre des gamineries. Tu tentais alors de te concentrer sur ton appel. Tu devais parler espagnol, qui n’est pas ta langue maternelle. La concentration était davantage là. « Lâche moi et trace ta route crétin » Ils n’avaient donc pas terminé ces deux-là ? Tu ne comprenais pas ce qui se passait, mais cela perturbait ton appel et ça commençait sérieusement à t’agacer. « Oh, t'es sourd ? » Là, s’en était trop. Tu demandas à ton interlocuteur de le rappeler. Chose que tu ne fais jamais. Ce n’est pas professionnel. Tu détestes ça. Mais là, tu ne pouvais pas faire autrement. Après avoir raccroché, tu te levais pour aller vers les deux personnes. « Qu’est ce qui se passe ici ? » Ton regard tournait entre la jeune fille et l’homme. Ta taille et ta carrure donnait toujours cette impression de grandeur. On ne voulait jamais te tester. On se taisait la plupart du temps. « Vous êtes en train d’emmerder tout le monde-là. » Et ce tout le monde était toi. Mais tu ne le précisais pas. Et bizarrement l’homme en question s’en alla. Tout en hochant de la tête, agacé de la situation, tu roulas même des yeux. Tu avais stoppé ton appel pour ça, sérieusement ? Tu ne comprenais toujours pas ce qui s’était passé d’ailleurs. « Ca va ? » Demandas-tu tout de même a la jeune femme. Juste par politesse. Par principe. Tu n’es pas une brute. Juste agacé que l’on t’ait dérangé pendant un appel assez important.

S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est le manque de respect des gens. Quand on bouscule quelqu’un - même si ça m’écorche la tronche de le faire - on s’excuse et voilà. C’est probablement pour cela que je sors si vite de mes gonds et que les vulgarités fusent si rapidement. Je ne supporte pas que l’on me manque de respect ou que l’on m’ignore. C’est vraiment quelque chose qui m’exècre et je ne compte pas changer là-dessus. Je mérite déjà tellement plus que le respect que l’on m’accorde et ce n’est pas un inconnu qui va me faire changer là-dessus. Mon regard agrippé au sien, j’enfonce le clou comme si je savais qu’il ne pourrait rien m’arriver. Cependant, vu la poigne qu’il a sur moi, je ne sais pas ce que ça va donner. Une troisième personne s’immisce dans la dynamique et je fronce les yeux en voyant l’armure derrière moi. Qu’est-ce qu’il se passe ? Je ne sais pas, ouvres tes yeux et analyses la situation mon grand. Bah vas boire ton café plus loin. Que je souffle en levant les yeux au ciel. Je ne suis pas une demoiselle en détresse, pour commencer, et je n’ai vraiment besoin de personnes pour m’aider. Seulement, il semblerait que l'intervention divine du tas de muscles ait eu son effet sur le salopard qui m’a tué mon téléphone puisqu’il relâche la poigne qu’il avait sur mon bras et continue son chemin. Je frotte ce dernier de mon autre main et souffle fortement. Oui, tout va bien, Mario. C’est bien le but de tous les Mario non, sauver la princesse Peach ? Je suis incapable de garder mon sarcasme pour moi, agacée par la situation. Ce connard m’a - Et lorsque mes yeux s’accrochent au sien, je grimace. Shit. Putain. Je suis deux femmes bien différentes au travail et dans la vie privée et je fais toujours tout pour que les deux ne se croisent pas. Là, c’est foutu.

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w/ @Chiara Berrettini .

Tu n’aimes pas travailler chez toi, ou dans la chambre d’hôtel où tu peux être. Tu logeais d’ailleurs chez Betsi et tu ne voulais pas l’embêter plus que ça. Alors tu préférais y rester le moins possible. Juste le temps de dormir. Tu appréciais normalement de pouvoir travailler dehors, surtout lorsque la météo s’y prête. Et après toutes ces jolies petites villes où tu avais pu être, tu en avais oublié le brouhaha de Boston. Entre les voitures, et les gens qui râlent, tu étais servi. Tu avais mis fin à ton appel, ce qui te déplaisait fortement. Tu t’étais avancé vers les deux personnes où un problème semblait être présent, sans réellement vouloir en savoir davantage. Tu souhaitais simplement trouver un semblant de calme. Pour peut-être pouvoir enfin continuer ton appel. Tu ne répondis rien à sa provocation. Tu semblais faire face à une femme de caractère et tu savais donc que répondre ne servirait à rien. « Mario ? Non, ce n’est pas mon prénom. » Comme ton frère t’avait dit, tu es trop premier degré. Tu ne comprenais pas sa référence et tu pensais vraiment qu’elle t’appelait de la sorte. Pensait-elle que tu étais une autre personne ? Alors que son regard croisa le tien, tu vis qu’elle semblait surprise, choquée, et sur le cul. Tout en fronçant des sourcils, tu lui demandais. « Quoi ? » Tu passas ta main sur ta bouche, pensant que tu t’étais mis de la chantilly de ton café viennois. « Ce connard vous a quoi ? » Tentais-tu d’avoir la fin de sa phrase. Sa tête ne te disait rien. Pourtant, la tienne semblait lui dire quelque chose. « On se connait ? » Fait-elle partie de tes conquêtes ? De celles dont tu ne t’en rappelles pas ? Celles que tu oublies car sans intérêt.

Si je l’ai importuné, ce n’est pas vraiment mon problème. Je me fiche totalement des répercussions de mes actions sur le commun des mortels - chacun devrait juste s’occuper de sa vie et venir en aide si besoin. Là, il n’y avait pas besoin. J’avais la situation sous contrôle et il l’aurait vu s’il avait gardé son popotin musclé là où il se trouvait. Alors forcément, je suis quelque peu excédée et ne relève qu’avec sarcasme et roulement d’yeux, comme si ça allait aider d’une manière ou d’une autre. Je ne peux m’empêcher de souffler fortement quand il répond qu’il ne s’appelle pas Mario et me concentre sur le fait qu’il est définitivement encore plus con que ce que je pensais. Son visage n’a rien rappelé pour le moment dans mon esprit et c’est bien pour cela que je suis aussi nonchalante. Et quand mon cerveau fait le lien, je me retrouve bête, complètement destabilisée et incapable de finir ma phrase. Je me redresse, tente de reprendre contenance et de montrer ma posture droite et respectable, pas comme ce petit cinéma que je viens de lui offrir. J’espère que ça ne me sera pas préjudiciable parce que le contrat n’est pas encore conclu. C’est en bonne voie mais ce n’est pas signé. Il m’a bousculé et a fait tomber mon téléphone, coupant mon appel avec ma mère. Elle doit être en train de me chercher dans tout Boston. Parce qu’elle est comme ça, un peu “over the top” quand ça me concerne et je ne suis pas sûre d’avoir envie de l’entendre dire qu’elle s’est terriblement inquiétée pour moi, a parcouru tous les hôpitaux de la ville et a appelé tous les postes de police dans le but de signaler ma disparition qui n’en est pas une. Et oui, on se connait. Que je souffle rapidement, fronçant les sourcils. Chiara Berrettini. Que j’ajoute, comme pour lui remettre les idées en place. Il est hors de questions que je lui dise d’où, comment et pourquoi. Je suis pourtant inoubliable putain !

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w/ @Chiara Berrettini .

Si tu restes chez toi, tu commences à péter un plomb. Tu es rarement chez toi, mais ça reste pour dormir, et des repas privés. Sinon, tu préfères être dehors. Pas du tout casanier, tu n’as pas le temps de faire ton ménage, ou ton linge. Trop occupé par ton business qui te fait aller aux quatre coins du monde. Tu en rencontre des gens, et ne peux donc pas te souvenir de tous les visages que tu peux rencontrer. Encore moins les noms. Sauf s’ils sont importants pour ton business. « Ah les mères. » Dis-tu presque compatissant. Tu lui tendis ton portable, en rajoutant. « Si vous souhaitez la prévenir. » Parce que oui, tu ne voulais pas voir la police ou le FBI débarquer en hélicoptère au-dessus de vous. Et alors que tu voyais sa façon de te regarder, tu la trouvais bizarre. Comme l’impression que tu devais la connaitre. Et tu fus surpris lorsqu’elle te dit que oui, vous vous connaissiez. Fronçant des sourcils, tu tentais de la replacer. Son nom ne te disait rien non plus. « Non pardon, ça ne me dit rien. » Allez réfléchis Nath, tu peux t’en rappeler. Tu pris ton portable, et nota le nom, pour voir si tu la trouvais dans tes contacts ou mail, jusqu’à ce que tu vois un mail apparaitre. Comme s’il apparaissait de nulle part. Ah oui … Tu comprenais alors pourquoi tu ne t’en souvenais pas. « C’est bon, ok, je sais qui vous êtes. » Comment avais-tu pu oublier ? Surement la tête ailleurs. Et surtout, tu n’avais pas eu besoin de ses services depuis bien longtemps. Tu avais laissé trainer, jusqu’au jour où tu en aurais besoin.

Je regarde la main qu’il me tend et le cellulaire qui va avec et hésite quelques secondes. Pas trop longtemps pourtant parce que même si ça me fait chier de demander de l’aide - enfin, d’accepter de l’aide - ma mère risque d’être déjà en train de courir partout et d’harceler mon père pour me retrouver. Je la vois déjà dire que je dois avoir été bâillonnée et dans un conteneur en direction de l’Asie. Elle a une imagination débordante, je le sais. Je compose le numéro de ma mère et lorsqu’elle décroche, je souffle - en italien C’est Chiara. Je me suis fais bousculer et on m’a cassé mon téléphone, n’envoies pas la police. Je souris légèrement et écoute sa réponse qui me prouve que j’ai bien fait de l’appeler parce qu’elle crie rapidement à mon père que je vais bien. En tout cas, si jamais il m’arrive un truc un jour, les Berrettini ne laisseront rien m’arriver. Je raccroche, supprime le numéro et souffle Merci. Et c’est à ce moment que mes yeux se reposent sur lui et que je le replace. Shit. J’essaye de me contrôler mais ce n’est pas facile, toutes mes émotions jouant un ballet plutôt mouvementées. Je roule des yeux quand il souffle que mon nom ne lui dit rien. Connard. Abruti. Ok Mario, laisses moi tranquille, j’ai pas vraiment besoin de toi, je m’en sors très bien de toute façon. Vous faites toujours aussi peu attention aux gens que vous employez pour moderniser votre entreprise ? Ça en dit gros sur la personne qu’il est. Il n’a peut-être pas le temps pour le commun des mortels mais sans nous, je doute qu’il aille bien loin.

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w/ @Chiara Berrettini .

Tu ne savais pas trop pourquoi tu avais arrêté ton coup de fil. Tu aurais pu bouger, ou entrer à l’intérieur. Mais ça c’était fait si rapidement, que tu avais coupé court. Pour aller te plaindre aux perturbateurs. Tu l’entendis alors parler italien, tu ne comprenais pas, mais tu avais saisi l’intonation. Connaissant le français, portugais et espagnol, tu avais deviné quelques mots et ça te fit sourire. Tu imaginais la maman paniquée à l’autre bout. Ta propre mère aurait pu faire la même chose, mais depuis bien longtemps tu lui avais fais comprendre qu’elle n’avait pas besoin de faire ça. Tu avais organisé des appels hebdomadaires avec elle. Tu lui envoyais un sms à chaque fois que tu atterrissais dans un nouveau pays, et tu faisais la même chose en arrivant dans l’hôtel. De quoi la rassurer le plus possible. « De rien. » Et tu allais t’en aller, jusqu’à ce que tu voies qu’elle te regardait d’une drôle de façon. Assez insistante, tu ne comprenais pas. Jusqu’à ce qu’elle te dise son prénom et que tu la cherches. « Oh vous savez si je devais me rappeler de toutes les personnes avec qui je bosse… je ne m’en sortirais pas. » Tu n’allais pas t’excuser de ne pas l’avoir replacé tout de suite. Pourtant, elle semblait réellement vexé que tu ne sache pas qui elle était. « Du coup, Chiara, vous savez que je ne m’appelle pas Mario, pourquoi m’appeler ainsi ? » Non, tu ne comprenais toujours pas la référence.

Il est arrivé grognon mais il semblerait que le jeune homme soit plus doux que ce qu’il n’y paraît. Un ours mal léché. Ou mal baisé, au choix. Si sur le premier choix, je ne peux pas aider, je crois que je me ferais un plaisir de m’occuper du second. Enfin, jusqu’à ce que je me rende compte de qui est la montagne face à moi. Ce n’est pas n’importe qui et ça me fait clairement chier qu’il m’ait vu dans un moment aussi vulnérable et colérique. Seulement, il lui faut bien trop de temps pour se souvenir de moi et je ne supporte pas cela. L’égo piqué, je peste intérieurement et le dévisage de haut en bas. Vous n’en avez donc rien à faire des gens avec qui vous signez des contrats ? Que je souffle en ne me gênant pas pour ajouter Ça fait peur pour votre sécurité. Il n’est pas une multinationale dans le monde des finances, certes, mais s’il ne retient pas les noms et les visages aussi beaux que le mien, comment peut-il se souvenir des insignifiants qui le côtoient ? C’est un très mauvais point pour lui, en plus d’avoir piétiné mon égo. Et la suite de la conversation me parait lunaire. Avec mon professionnalisme - et cette envie de l’enterrer - je dis Et vous n’avez pas non plus de culture jeu-vidéo à ce que je vois… Moi qui adore cela - j’aurais été une Reine chez les Kirk - ça me chagrine tout particulièrement. Y a-t-il vraiment un humain sur terre qui ne connaît pas Mario et sa quête pour aller récupérer cette reloue de Peach des mains de Browser ? Mais avant de lui donner la référence, je dis Ne me dites pas que je n’y connais probablement rien en automobile parce que je risquerais de vous prouver le contraire. Je m’intéresse toujours à mes clients avant de travailler avec eux. Alors oui, je ne connais peut-être pas tout mais sans étude de terrain, je ne comprendrais pas leurs besoins à cent pour cent, surtout ceux qu’ils pensent logiques et n’énoncent pas. Mario, qui vient sauver la princesse Peach ? Ça ne vous dit rien ? Là, je le juge carrément.

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w/ @Chiara Berrettini .

Elle était là, face à toi. Un nom parmi tant d’autre. Un contrat parmi tant d’autres. Il t’avait fallu un peu de temps avant de la resituer. Et elle semblait fâchée. Toi, tu t’en fichais. Ca t’énervait presque même un peu qu’elle réagisse de la sorte. Ce n’est pas comme si vous vous étiez déjà rencontrés. Mais il est certain que maintenant tu n’allais pas l’oublier. « Je ne peux pas me rappeler de tout le monde. » Peu importe si ta réponse lui convenait ou pas. « Vous vous inquiétez pour ma sécurité maintenant ? » Demandais-tu en riant. Ah les femmes. « Je vous rassure, je ne vais plus vous oublier maintenant. » Chiara Berrettini, ou la femme qui emmerde tout le monde dans la rue, qui t’appelle par un prénom qui n’est pas le tien et surtout qui te prend la tête parce que tu ne te rappelais pas d’elle. Au moins elle était sûre maintenant de rester dans ta mémoire. « Je n’ai pas vraiment le temps de jouer à quoique ce soit… » Les sourcils froncés tu sentais cela comme un reproche. Tu te demandais encore pourquoi tu étais là. Et si elle n’avait pas un contrat avec toi, tu serais surement déjà partie d’ailleurs. « Du coup, vous êtes la princesse, c’est ça ? » Tu n’y comprenais décidément rien. Jusqu’au moment où tu compris qu’elle voulait parler du bricoleur Mario, le petit personnage avec sa salopette bleue et sa casquette rouge. « OK, je viens de comprendre. » Oui, décidemment aujourd’hui, tu étais long à la détente. En même temps, tu ne comprenais pas comment tu aurais pu deviner seul qu’elle parlait de ce Mario-là. Tu ne comprenais toujours pas le lien avec toi d’ailleurs. « Mais je ne comprends toujours pas le lien avec moi. » Et ça te fatiguait. Toi qui étais censé bosser à cet instant. Tu te retrouvais à parler Super Mario. Mais pourquoi ?