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La dernière fois que tu avais vraiment passé du temps avec Margault, remontait à cette soirée où tu étais totalement bourré et que tu avais fini par dormir dans sa chambre. Tu n’avais pas partagé son lit, tu avais dormi dans le lit de sa colocataire, et la discussion avait été compliqué. Tu aurais limite préféré oublier cette conversation et jouer la carte, du trou de mémoire, mais ce n’était pas possible. Tu te souvenais absolument de tout, et depuis, tu ne l’avais pas revu. Certainement car tu avais besoin de faire du point dans ta vie, et que tu préférais la laisser revenir vers toi. Chose qu’elle n’avait pas fait et que tu lui avais renvoyé un message pour savoir si elle participait au SB. Après tout, avec son enfant, ce n’était pas gagné, même si elle avait retrouvé le père. Tu devais la revoir aujourd’hui pour une activité un peu atypique, une sortie en buggy avec la possibilité de se baigner par la suite, ou même une promenade à cheval. Tu l’attendais en bas de l’hôtel, un petit sac à dos avec maillot de bain, bouteille d’eau, crème et serviette de plage. Tu avais simplement un short et un t-shirt, basket et lunette de soleil. Les cheveux un peu en vrac, une barbe de quelques jours, les mains dans les poches, assis sur les marches. Tu avais déjà commencé à faire la fête, encore un peu de mal à te remettre de la veille, mais ça allait le faire, pas le choix.
@Margault Archambault
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Tu y es. Tu as pris l’avion, quittant ton fils dans les bras de ton père. Tu lui as promis de revenir et que ce n’était que des vacances pour maman. T’espères qu’il le comprendra et qu’il ne prendra pas ça pour un abandon. Avec tout ce que tu lis dans tes manuels, t’as tendance à paniquer pour tout et pour rien. Mais Arlo et Antoine te l’ont dit, il est important que tu prennes du temps pour toi, ça te permettra d’être encore plus à l’écoute pour ton bonhomme. Alors ici, on débranche tout. On se déconnecte de la vie étudiante et on s’éclate. La veille, tu es allée prendre un verre au bar de l’hôtel et puis tu es partie te coucher pour minuit. T’as roupillé toute la nuit, comme si tu pouvais enfin fermer tes yeux et dormir profondément, ce que tu t’empêchais inconsciemment de faire sur Cambridge. Ignorant la grande discussion qui avait eu lieu avec Declan, tu lui proposas de passer du temps ensemble et pour vos retrouvailles, ça aller se passer en buggy. Short moulant et débardeur kaki, tu portais sur ton dos un sac contenant le strict minimum pour survivre à une journée. Tu redoutais l’instant où vous allez vous retrouver, mais en même temps, t’avais tellement envie que son regard se repose sur toi. « Hey vieux ! » que tu lui lanças en l’apercevant en bas de l’hôtel. La timidité revient soudainement. Tu te sens pas super à l’aise. Il y a un truc qui coince. C’est depuis cette soirée à la Adams. La conversation avait été si houleuse. « Comment ça va ? En forme ? Je dis ça parce que je tiens à ma vie tu vois, je voudrais pas finir dans un ravin » Alors vous allez faire ça ? Faire semblant qu’il ne s’est rien passé ? @Declan Wright
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Cette relation était bien différente des autres que tu avais pu avoir, c’était pas la même chose, pas les même attentes. Tu appréciais cette demoiselle, tu aimais échanger avec elle, à vdi dire tu n’étais pas le même à ses côtés. Plutôt rare venant de toi, tu avais eu un petit coup de coeur pour elle. Mais, finalement, tout était compliqué, sa situation, sa peur de s’engager, alors que toi, tu es prêt à tenter. Tu avais déjà souffert dans le passé, tu avais déjà été trompé, tu en avais vu des vertes et des pas mures, mais il fallait avancer dans la vie. Ta mère t’avait appelle pendant un long moment avant de partir à Punta Cana, histoire de prendre de tes nouvelles et surtout pour savoir où tu en étais dans ta vie. Toujours là pour te donner son avis et te donner des petits conseils, tu l’aimais tellement ta mère, heureusement que tu l’avais toujours près de toi, malgré la distance. Tu comptais mettre en exécution ce qu’elle t’avait dit, tu n’avais plus grand chose à perdre, juste patienter. C’était la demande de la demoiselle, attendre, passer du temps ensemble, apprendre à se connaitre davantage. Tu ne pouvais pas refuser ça, tu allais faire en sorte de lui faire plaisir et de répondre à ses attentes. Du coup, une sortie était prévue, histoire de se retrouver, de passer du temps en tête à tête. Une sacrée activité, conduire un buggy, tu adorais ça et tu comptais bien faire crier la demoiselle. Tu l’attendais sur les marches de l’hôtel, tu étais légèrement en avance, ton regard se promenant sur les personnes qui passaient devant toi. Puis, finalement tu entendais sa voix, un léger sourire s’afficha sur tes lèvres, te levant des marches pour la regarder venir à toi. Toujours aussi magnifique et elle savait quoi porter pour mettre en avant son corps. « Vieux ? » une moue boudeuse, croisant les bras sur ton torse. « Je suis toujours en forme, tu vas voir, je vais te faire hurler. » soufflais-tu en rigolant, déposer un baiser sur sa joue, en guide de bonjour. Tu essayais de briser cette barrière, qu’elle avait tendance à mettre. Tu marchais à ses côtés, jusqu’à la navette qui allait vous conduire à l’activité. « Je sais pas si je vais vouloir rentrer à Boston. » laissais-tu glisser entre tes lèvres.
@Margault Archambault
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Il faut le prendre cool. Ne pas réfléchir, mais simplement agir. Pourtant, le coeur bat plus fort à chaque pas supplémentaire. Il y a de l’appréhension. La crainte qu’un froid ne persiste depuis cette soirée mouvementée à la Adams. Peut-être qu’un truc s’est brisé depuis. Peut-être que vous ne serez plus les mêmes depuis que le ton était montré entre vous. Ou alors, tu t’en fais simplement un peu trop pour rien. Respire et tiens toi droite. Tout va bien se passer. Il est revenu vers toi, c’est que c’est bon signe. S’il était dégoûté de Margault Archambault, il n’aurait pas pris de tes nouvelles. Il ne doit pas voir à quel point tu es tourmentée. Il faut que t’agisses normalement. Tu approches de lui. Tu distingues son dos et sa musculature qui te fait tant craquer. Tu l’interpelles avec maladresse et il se lève pour se retourner et te faire face. Sa beauté est à couper le souffle. Il n’a pas besoin de s’apprêter pour te plaire, même en étant naturel, il a un pouvoir démentiel sur toi. Le plus génial, c’est qu’il n’y a pas que l’apparence physique qui fonctionne, il a aussi un esprit qui t’envoûte. C’est un tout, un truc inexplicable. Une alchimie que tu vénérerais presque. « Hurler ? Mon Dieu, je croyais qu’on allait juste faire du buggy » Ses lèvres se déposent sur ta joue. C’est rassurant, rien ne semble cassé. Tout reprend comme vous l’aviez laissé après la sortie au parc d’attraction. Ce rapprochement te détend. Ton expression se décrispe. « C’est clair que c’est pas facile de quitter le paradis, mais Harvard n’est pas non plus l’Enfer, on a une chance monstre d’étudier là-bas » Côte à côte, vous marchez sans vous frôler, mais l’envie y est. T’aimerais lui attraper la main, signaler aux autres qu’il est un peu à toi, mais t’as pas voulu de tout ça alors qu’il te le proposait. Tu peux t’en vouloir, c’est entièrement de ta faute. « Ça va mieux au fait ? La dernière fois, t’étais pas dans une forme olympique … » Oh non, t’as osé replonger vers cette soirée atroce. « Je veux dire, tu te mets toujours dans un sale état ou tu as pu prendre du recul ? »  @Declan Wright
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Une période délicate, le décès de ce proche t’avait totalement déboussolé, mais surtout perdu. Il était ton oncle, mais c’était comme un deuxième père pour toi. Tu avais grandi en sa compagnie, tu passais tes vacances chez lui, et là, de le savoir dans le ciel, certainement à hurler par rapport à ton comportement, te brisait. C’était bien trop compliqué pour toi, tu avais toujours réussi à mettre tes émotions de côté et d’avancer dans ta vie, mais là, c’était tellement différent. On ne parlait pas d’une défaite dans un match de foot, ni même la séparation ou de la tromperie, c’était bien plus fort que tout ça réunit. Peut-être que personne ne pourrait te comprendre, mais tu n’avais pas le choix que d’avancer, et Margault t’avait vu au plus bas, elle avait pu voir que ta carapace s’était brisée. Cet homme que tu tentais en vint de montrer, fort, sans émotion, était bien loin en ce moment. Tu avais un peu levé le pied avec l’alcool, te mettant un peu moins dans un état second, mais tu n’étais pas pour autant à ta plus grande forme, mais tu tentais de le cacher. Tu étais venu ici pour te libérer, pour profiter… La preuve avec cette sortie, tu rigolais à ses paroles « Disons qu’il y a plusieurs possibilités de faire crier une femme, mais là, ça sera plus de la peur que du plaisir. » tu haussais les épaules, avec un léger sourire moqueur sur tes lèvres. Si elle croyait que cette balade allait être calme et paisible, elle se mettait le doigt dans l’oeil. « Oui c’est sur, il y a bien pire comme endroit, mais il fait beaucoup trop froid en ce moment ! » tu préférais le soleil et la chaleur, tu quitterais certainement cette ville à la fin de tes études ! Puis viens cette question, celle que tu aurais préféré ne pas entendre, tu la laissais monter en première dans la navette et s’installer sur l’un des sièges et toi à ses côtés. « Je fais aller. » simplement, tu ne voulais pas épiloguer là-dessus, tu ne te sentais pas vraiment prêt pour en parler comme si c’était du passé, c’était encore bien trop récent. «Je fais attention. » tu faisais des progrès, tu ne te mettais pas autant minable, mais tu continuais tout de même un peu. La navette roula assez rapidement, les paysages qui défilaient « Tu n’as pas du mal à laisser ton fils ? » après tout, pourquoi la discussion dérivait sur toi ? Elle devait avoir plein de choses à te dire de plus intéressant. Finalement une bonne quinzaine de minutes plus tard, la navette s’arrêta. Tu descendais, en compagnie de la demoiselle, très vite dispatcher, certains partaient à cheval, d’autres pour la tyrolienne et certains comme elle et toi pour le buggy. « Prête ? » un petit sourire malicieux sur tes lèvres, tu écoutais le moniteur qui donnait les instructions. 
@Margault Archambault
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Tu peux pas t’imaginer ce qu’il doit traverser. Le deuil, c’est propre à chacun. Certains pleureront toutes les larmes de leur corps, d’autres iront se bagarrer dans une soirée, tellement en colère contre la vie. Pour Declan, il semblerait que ce soit l’autodestruction qui soit à l’oeuvre. Le pire, c’est que tu es impuissante. Tu ne pourras rien faire pour lui, excepté être présente si jamais l’envie lui prend de se confier. Mais se sent-il en confiance pour ce faire ? Lui as-tu montré qu’il pouvait se laisser aller et se livrer ? Pour le moment, tu n’as que battu en retraite. Tu lui as fermé une porte, lui laissant tout de même l’accès à une fenêtre. « Le soleil va revenir avec le printemps, soyons patient » Certes, il n’y aura pas le même climat, mais avec le réchauffement climatique, tout est possible. Une chaleur écrasante pourrait très bien s’installer durant l’été. L’été est encore loin, il faut profiter de l’instant présent et ne pas se projeter dans un futur dont tu n’as encore aucune idée. S’installant dans la navette, tu places ton sac à dos sur tes genoux et ton regard oscille entre le paysage époustouflant et les yeux magnifiques du pfo. Declan ne semble pas encore près de la guérison. Il souffre encore de cette disparition subite, mais il est si concis que tu ne peux rebondir sur quoique ce soit. C’est compréhensible, la plaie doit être encore ouverte. C’est trop sensible, le mieux, c’est d’essayer de lui changer les idées. « Si, c’est vraiment horrible de le laisser, j’ai peur qu’il m’en veuille à mon retour, mais j’avais tellement besoin de cette pause » Ton fils est ta raison de vivre, mais jongler entre ton rôle d’étudiante et celui de maman, c’est très coûteux en énergie. Cette pause tombe bien. Le mini-bus continue de rouler et vous dépose près de l’installation desservant plusieurs activités. Vous vous dirigez vers les buggy. « Je te donne ma vie entre tes mains, déconne pas » Un jeune homme explique le fonctionnement des commandes et vous laisse ensuite vous démerder. Tu montes côté passager et attaches ta ceinture avant toute chose. « T’as compris ce qu’il a dit hein ? » C’est qu’avec tout ce malheur qui a touché Declan, t’aurais presque peur qu’il prenne trop de risques et qu’il te mette en danger. C’est fou comment t’as peu confiance en les autres. C’est le destin Margault, s’il doit vous arriver un truc, c’est que c’était prévu. « Bon, c’est parti, protège moi Seigneur, Amen » tu te signes comme une idiote et puis tu attends que le jeune homme démarre pour suivre le parcours. Est-ce que la croix autour de ton cou va te protéger ? Vas-tu vraiment "hurler" ? @Declan Wright
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Alors oui entre cette perte et cette jeune femme qui te faisait tourner la tête, mais qui ne savait pas si elle se sentait prête à aller plus loin avec toi. Pourtant, tu continuais, tu espérais un peu dans le fond qu’elle accepte de s’ouvrir à un avenir. Tu pouvais comprendre qu’elle tait réticente par rapport à son enfant, elle ne s’était pas accordée tout ça depuis longtemps. Est-ce que tu allais te manger un mur ? Te casser les dents contre le sol ? Certainement, mais tu continuais, tu appréciais passer du temps avec elle, parler avec elle. Même si tu ne le montrais pas le bien qu’elle pouvait te prodiguer, elle t’accompagnait dans ton deuil. Juste sa présence, te permettait de te libérer un peu l’esprit, tu ne pensais plus à ton oncle du moment où tu étais avec elle, sauf quand elle décida d’en reparler. Elle avait certainement compris que ce n’était pas un sujet qu’il fallait aborder pour le moment. Tu ne voulais pas penser à tout ça, juste profiter du moment présent et tu savais que tu allais pouvoir t’amuser. Bien évidement, tu comptais la faire un peu crier, mais tu ne prendrais aucun risque, le spring break ne faisait que commencer et tu voulais profiter encore le reste des jours. En plus de ça, tu ne voulais pas être celui qui blesserait la demoiselle, tu t’en voudrais toute ta vie. Tu haussais les épaules « Il n’est pas bête ton petit, il comprendra ! » laissais-tu glisser entre tes lèvres, dans la logique, il sera bien plus content de la retrouver, il n’aura pas le temps de lui faire la gueule. Tu descendais de la navette avec Margault, direction les buggy « Ne t’inquiète pas, je ne suis pas un fou du volant. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu écoutais parfaitement ce que disais la personne, expliquant les endroits potentiellement dangereux, la distance a respecter, les symboles. Tu montais côté conducteur, attrapant un foulard dans ton sac « Oui j’ai tout compris et toi tu as prévu un foulard pour la poussière ? » tu pensais toujours à tout, comme il lui avait déjà dit par message. Tu glissais tes lunettes de soleil sur les yeux, un foulard autour de ton nez et de ta bouche. Tu en donnais un à la jeune femme, envisageant qu’elle n’avait pas prévu ce point là. Tu réglais ton siège ton volant, rigolant en l’entendant « C’est très gentil pour la confiance que tu m’accordes. » soufflais-tu, tu démarrais le moteur et tu commençais à partir tranquillement, pour commencer !
@Margault Archambault
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T’étais loin de t’imaginer que l’amour pourrait frapper à ta porte. Peut-on d’ailleurs parler d’amour en ce qui concerne Declan ? C’est peut-être de l’attachement. Une attraction. Il a su se faire sa place dans tes pensées et depuis que tu l’as rencontré, c’est vrai qu’il tourne en boucle dans ta tête. Tu peux plus ignorer l’évidence. Il te plaît et t’aimerais que ça évolue davantage, sauf que voilà, tu l’as limite repoussé lorsqu’il était complètement saoul. Il doit forcément se rappeler de ta réaction et peut-être qu’il t’en veut. Tu sais pas où tu mets les pieds. Et s’il t’avait classé parmi ses potes ? À un moment donné, il faudra crever l’abcès. Tiens, il te parle de ton fils. Il a conscience que tout tourne autour de ce petit et que s’il venait à prendre plus de place dans ton existence, il devrait s’en accommoder. Tu lui avais bien dit, les hommes fuient lorsqu’ils apprennent que tu es maman. Pourquoi serait-il une exception ? Tu vas continuer d’y croire. Declan est avec toi et pas avec une autre, c’est que ça veut dire quelque chose. Quittant la navette, vous êtes déposés pas loin des buggy et l’angoisse augmente. « Je ne suis encore jamais montée avec toi en voiture, j’ai la boule au ventre » Tu écoutes ensuite le blabla du moniteur et puis c’est le moment de grimper dans le véhicule. Tu barres ta poitrine de la ceinture tandis que Declan sort un foulard du sac. « Pourquoi je prévois rien alors que toi, t’as un cerveau qui calcule tout. T’es humain au moins ? » Tu souris et attrapes le foulard qu’il te tend pour le nouer autour du bas de ton visage. Tu respires sous le tissu alors que le moteur se met à gronder. « Bon, je te laisse gérer, fais pas trop le fou espèce de canaille » La petite voiture avance de quelques mètres. Pour le moment, tout va bien, la vitesse maximale n’est pas atteinte. Vous avancez à travers le parc sur une piste qui n’est pas encore très poussiéreuse. Tes mains qui accrochent le siège, tu admires le paysage et poses finalement tes yeux sur le brun « Hey, je te plais toujours ? » que tu lui demandes en haussant la voix. « Je voudrais savoir sur quel pied danser avec toi »  @Declan Wright
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Heureusement que tu étais un jeune homme qui ne baissait pas si rapidement les bras, toujours à tout donner pour y arriver. Tu savais parfaitement que cette mauvaise passe finirait par passer et que tu reprendrais ta vie normale, reprendre correctement tes études que tu avais mis légèrement de côté. Oui clairement, tu avais levé un peu le pied sur tes études, te laissant un peu partir dans tous les sens. Peut-être qu’une fois le spring break terminé, tu allais pouvoir reprendre le droit chemin, reprendre ta vie en main et partir en stage durant un petit mois. Tu avais hésité avant d’accepter cette proposition d’un cabinet à Boston, tu étais presque tenté de le faire ailleurs, dans un autre pays. Mais finalement, tu n’avais pas eu le temps d’y réfléchir et de contacter des autres personnes. Ça aurait pu te faire du bien de travailler à l’autre bout d’ici, dans un pays latino, tu appréciais tellement la chaleur, l’ambiance et la mentalité de ces personnes, bien différente de Boston. C’était bien connu que les pays chaud étaient bien plus accueillants et chaleureux que les pays froid, du moins c’est ce que tu avais pu remarquer à travers tes expériences. Tu bottais en touche, parlant un peu de son garçon, il devait lui manquer terriblement, tu savais qu’elle ne le laissait jamais bien longtemps. Elle en avait besoin, de s’éloigner un peu et de souffler, ce que tu pouvais comprendre. Elle ne pensait que très peu à elle, et ce n’était pas forcément simple avec un enfant en bas âge. Tu ne savais pas ce qu’elle pensait, si cette envie d’être avec toi s’améliorait où au contraire, elle ne te voyait pas plus qu’un bon pote avec qui passer des bonnes journées. C’était totalement flou et ça, tu ne pouvais pas l’inventer et le deviner, ça devait venir d’elle. « Je ne suis pas non plus cinglé, à mettre ta vie et la mienne en danger. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, prenant place derrière le volant. Tu rigolais à sa réponse, tu t’étais bien douté qu’elle n’y avait pas pensé et pourtant, c’était primordiale. Tu glissais ce foulard sur ton visage « Je suis bien un humain, si ça peut te rassurer. » tu te moquais, mais gentiment, tu démarrais le buggy, prêt pour l’expédition. Tu roulais tranquillement, plus vite que certaine personne que tu avais doublé, moins vite que les autres, mais ce n’était que le début. Le paysage était magnifique, c’était une bonne animation, et finalement elle prononça quelques mots, fronçant les sourcils. Qu’est-ce qui pouvait la faire douter ? Tu n’avais jamais prouvé le contraire « Bien sûr, rien n’a changé de mon côté. » laissais-tu sortir de ta bouche, un peu plus fort pour qu’elle puisse bien l’entendre. « J’aimerai aussi le savoir. » finissais-tu par avouer. C’était pensant de ne pas savoir où aller, et tellement contrariant. « Tu sais ce que je pense, et tu sais que j’attends ta réponse à toi. » ton regard se posant quelques secondes sur elle. Rigolant en la voyant se tenir tant bien que mal sur le siège, tu accéléras d’un coup pour prendre une bosse et faire désoler le buggy.
@Margault Archambault
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Ce Spring Break, c’est le moment pour apprendre à connaître Declan. Tu es loin du raffut de Cambridge, dans un univers propice au rapprochement. Il n’y a pas ton fils qui viendra se mettre au milieu, sauf si ton père t’appelle en urgences. C’est cruel de dire ça, mais ton môme est parfois une barrière à ta vie sentimentale. Ici, tu n’oublies pas que tu es mère, mais tu te sens davantage libre. Il n’y a pas l’heure du bain ou du souper. Tout est annulé. Tu peux prendre soin de toi autant d’heure que tu veux. Mais ce dont tu as le plus envie, c’est de rester non loin du pfo. Tu te sens en sécurité avec lui, pourtant, c’est pas un flic avec un gun attaché à la ceinture. Il représente juste ce que tu cherches chez un homme. La preuve, il a pensé au foulard, ce que t’as totalement oublié. Il est prévoyant Declan. Il est moins tête en l’air que tu es. Et alors que le pot d’échappement crache une fumée grisâtre, le bolide part vers l’avant à la conquête du parc. Ton coeur choisit ce moment pour s’épancher. L’étudiant répond. Il déclare ce que tu espérais et chasse tes doutes. Tout repose sur tes épaules. Tout ce qui suit, ça dépend de toi. Soit tu recules, soit tu te lâches et tu goûtes probablement au bonheur. « Je suis désolée Declan, je suis désolée d’être aussi craintive, j’ai l’impression d’être un animal sauvage, je vais faire des efforts » Ton regard rejoint la piste et là, tout droit, une bosse apparaît. Le pfo accélère et vous vous envolez des secondes dans les airs. Les suspensions amortissent le retour sur la terre ferme. Toi, tu trouves que ton poing à envoyer sur l’étudiant en quête d’adrénaline. « Tu veux que je me pisse dessus » Margault, ta vessie doit encore tenir le coup, t’as pas encore quatre vingt piges. Les fuites urinaires, elles sont encore loin. Cesse donc de faire ta peureuse. La vue se dégage. Après un petit fossé, votre engin débarque sur une plage. Les cris des autres jeunes parviennent à tes oreilles. Tout le monde s’amuse, c’est l’éclate totale. « Va dans l’eau je suis en train de cramer, mais ne noie pas le moteur hein, j’ai zéro tunes pour rembourser un truc pareil » Il le sait que t’es pas une princesse hein ? Tu roules pas sur l’or toi, toute économie est la bienvenue. « T’as pensé à la crème solaire pour mon épiderme fragile ? » @Declan Wright
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