(rebechan) punta cana

Pour être honnête le Spring Break est fait pour les groupes d'amis, les amoureux. En solo on ressent la solitude, je n'ai jamais réussi à me faire des amis à cause de cette personnalité et se caractère. Ainsi ses passions sur l'informatique la voiture. Il faut avouer que c'est de ma faute je vois les gens comme le mal et me dis qu'ils ne voudront de moi, parce que j'ai un choc post trauma.

Parcourant le programme de l'hôtel, je me suis arrêter sur un parc aquatique, un sourire vient de naître sur mes lèvres. Cet endroit est le paradis, honnêtement l'eau est mon élément, bien que j'ai choisi une autre voie d'étude. Je viens prendre mon maillot de bain, faire mon sac et direction au parc.
Sur place on fait ce qu'il se doit, on se change et une douche. De loin je vois un toboggan, je viens à sourire et choisi sans me demander de m'y rendre. Je glisse et arrive, je remonte tranquillement et remets mes cheveux en arrière. Mais je sens un coup dans le dos. Je commence à me retourner quand cette dernière hurle.
Pas le temps de dire quoique ce soit qu'elle m'embarque sur le coter. J'arque un sourcil à sa question qui a le don de me froisser.

Un sourire naquit de nouveau sur mes lèvres remarquant l'avocate en charge du dossier entre moi et mes parents adoptif depuis peu. Ce qui me fait rire en y repensant sous le coup. Mais je m'arrête de rire rapidement, afin d'être sérieux.

Bonjour Maître Walsh-D'Arcy ont dirait que l'on s'amuse bien!

Une question sur un ton un peu froid, car il faut dire que si je me retrouve dans ce milieu c'est en partie sa faute. Ses conseils envers mes parents voilà où sa mène. Je viens glisser une main dans mes cheveux pour les plaquer de nouveau et lui dit.

Et si j'aurais choisi de mourir, je ne l'aurais pas fait ici.

Pour je ne sais quelle raison, je me retrouvais dans un parc aquatique. J’avais clairement passé l’âge pour ces activités. J’y étais allée quand mes enfants étaient plus jeunes. Mais maintenant ma fille était plus âgée, mais elle semblait toujours appréciée cet endroit. Seulement, elle n’avait plus besoin de sa mère pour y aller. Et pourtant, elle m’avait tout de même demandé de l’accompagner. Pour ensuite me lâcher, à peine arrivée. Ah cette fille … J’allais repartir, quand je me dis qu’un petit tour en toboggan ne me ferait pas de mal. Retrouver un peu ma jeunesse, le temps d’un ou deux tours. Non, je ne comptais pas m’éterniser ici. Mais alors que je faisais le premier toboggan, je me retrouvais à foncer dans quelqu’un. Ces jeunes… ils ne font donc jamais attention. Je n’étais peut-être pas sa mère, et il avait dépassé l’âge de se faire engueuler, mais cela n’allait pas m’arrêter. Alors je me mis à gueuler, avant de reconnaitre le jeune homme. Soupirant, je tournais les yeux. « Et sinon, quand est ce que vous arrêterez de dire des conneries ? » Et de vous comporter comme un adulte, mais je m’abstins. Je n’étais pas là en tant qu’avocate. J’avais décidé d’aider ses parents, car ils m’avaient semblé si désespérés et perdus face à leur fils. « Je ne pensais pas vous voir ici. » Ni même tout simplement à Punta Cana. Je ne l’avais jamais croisé autre part que durant les rendez vous avec ses parents. Je ne le connaissais que très peu. Les seules choses que je savais étaient ce que ses parents avaient pu me dire à son sujet. « On sort ? Je vous offre quelque chose à boire ? » C’était peut-être le moment pour en apprendre plus. Si la vie m’avait mis sur son chemin aujourd’hui, ce n’était pas pour rien.

Mes yeux de jeune homme aventureux d'amour et autre, ne peuvent se déposer sur le corps de l'avocate, mais rapidement ils viennent remonter pour rencontrer ses yeux, des yeux mystérieux pour Han Sol. Qui ne peut remarquer que dans l'eau les cheveux de l'avocate soit foncés.
Un sourire nouveau vient se faire sur son visage et intérieurement il vient à rire quand elle le gronde comme si elle était sa mère. S'il n'aurait pas reçu une éducation digne de ce nom, il l'aurait prit par la taille et l'aurait regarder avec intensité dans ses yeux qui le perturbe.
Il vient tout de même à répondre.

Pardon, mais cela n'est que la réponse à votre question. Et je compte vivre ma vie avec intensité! Cela serait stupide de perdre sa vie ici!
Et ne parler pas de ça, nous sommes dans un magnifique endroit.

Lors de sa nouvelle remarque, je me retiens de rire. "Me voir ici" encore une fois, c'est un accord dans le contrat avec mes parents. Pour éviter toutes bagarres possible. Mais ils n'ont pas compris que ce n'est pas ma faute. C'est un choc post trauma. Et ils ont fait passé cela comme si j'étais violent. Enfin seulement violent quand des brives du passé reviennes.

Oui madame, encore un ordre du contrat que vous avez proposer!

Je viens à soupirer, absorbant l'envie d'exploser à travers le sport. Puis elle vient me proposer un verre, sortir de cet endroit. Je passe une nouvelle fois une main dans mes cheveux. Puis tends ma main vers.

Allons y, sortons de cet endroit. Allons boire un verre. Souhaitez-vous à l'extérieur du centre nautique? Ou bien sur la terrasse non loin?

Ma réaction est dû au fait que je m’inquiétais réellement pour lui. Lui ou un autre. C’était dangereux de rester en bas du toboggan. Je le regardais, et ne savais pas trop comment me comporter avec lui. Je savais que je n’étais pas là en tant qu’avocate, mais je ne pouvais totalement occulter cette part en moi. Ainsi que ce qui nous reliait tous les deux. « Ça serait bête de mourir à cause d’un choc en bas d’un toboggan. » Voulant profiter de mes vacances, je décidais de mettre de côté la Rebecca avocate et tenter d’en apprendre davantage sur le jeune homme. J’en avais besoin. « Allons sur la terrasse, pour ne pas que ma fille pense que je suis partie sans elle. » Même si je ne savais pas si je devais l’attendre ou non. A tous les coups elle allait être raccompagnée par ses amis. C’est elle qui allait me lâcher. Arrivés sur la terrasse, on s’assit à une table. Je regardais le jeune homme, tentant de le cerner, mais c’était compliqué. Je ne savais jamais comment prendre ses paroles, son regard et sourire. « Qu’est ce que vous souhaitez prendre ? » Demandais-je, prête à aller nous chercher de quoi nous rafraichir.

L'écouter me faisait rire et sourire à la fois. Mais elle n'avait pas tord sur ce point. Je viens lui sourire pour la rassurer que je ne voulais pas mourir maintenant. Et mes études n'allait certainement pas aider à lui donner confiance. Il est toujours difficile d'expliquer le pourquoi du comment le choix de ses études, mais après les long et larges explications. Je ramène bon nombre de personnes auprès de moi.
Je lui répond d'une voix calme et reposante.

J'avoue que cela serait stupide, mais je ne compte pas être mort aussi banalement. Et je serais mort autrement et plus tard.

Je souris et viens la suivre, elle n'avait jamais parler de sa famille ainsi. C'est d'ailleurs avec étonnement que j'apprends qu'elle a une fille, qui d'ailleurs et étudiante à Harvard, j'ai peut-être dû la croiser un bon nombre de fois, s'en savoir qu'elle est sa fille. En même temps, je demande jamais le nom de famille. Et tout le monde n'est pas obligé d'être de la même famille bien qu'il est le même nom.
Je viens tout de même essayer de la repérer curieux de savoir si elle lui ressemble.

Vous m'avez cacher pour votre fille! En même temps, le privé reste privé et le professionnel professionnel. Je peux le comprendre. Mais c'est bien une sortie mère-fille, c'est toujours une bonne ambiance et vous pouvez vous souvenir des bon moments agréables.

En la suivant, tu viens alors à t'asseoir sur une chaise et regardé la carte des boissons, tenté par un cocktail typique d'ici alcooliser. Tu viens regarder les non alcoolisé au cas où il faudrait être un capitaine.
Tu viens à sourire de nouveau et annoncer!

Je vais prendre un Coco Loco et vous?

Le voir ici, je ne savais pas si c’était une bonne chose ou non. Je ne savais même pas si je devais continuer à parler avec lui. J’avais toujours réussi à garder une relation professionnelle avec ses parents, et lui. Chose à laquelle je compte énormément. Mais cela fait un bon moment que je ne travaille pas. Qui plus est, je suis en vacances. Alors à quoi bon rester sur mes gardes ? « On meurt tous un jour, en effet, oui. » La preuve avec mon mari, mon fils. Mon bébé. Peu importe l’âge. Le moment. La mort peut nous toucher à n’importe quel moment. Malheureusement, elle ne semble pas vouloir de moi. Quelle déception. « Des moments agréables ? » Je regardais autour de nous. « Tu la vois quelque part toi ? » Je ris. Non, aujourd’hui n’allait pas être un de ces moments, mais je comprenais ce qu’il voulait dire. Après tout, on aura bien des journées rien que toutes les deux : mère/fille, comme il a pu le mentionner. « Je vais prendre un simple virgin mojito. » Puis je le laissais assis, pour aller chercher nos boissons. Mais au moment de commander, j’omis de mentionner le « virgin » de mon alcool. Omission involontaire, mais qui voulait en dire beaucoup. J’allais casser tous ces jours d’abstinence. J’allais boire de nouveau, mais ce n’était qu’une fois. Cela ne pouvait pas me faire de mal. Il ne s’agissait que d’un simple mojito. Les boissons dans les mains, je revins vers le jeune homme. « Monsieur est servi. » Puis je m’assis à ses côtés, et alors que je bus une gorgée, je me sentais renaitre. Ce que ça faisait du bien.

Une bourde j'ai fais, j'ai fais une bourde et je m'en veux. Je peux lire dans ses yeux la douleur. Je viens doucement lui prendre ses mains, peut-être que cela est bizarre comme scène de loin des yeux des autres. Il faut également avouer que je suis direct dans les gestes.
Mes doigts viennent caresser le dos de sa main, mes yeux rencontrant les siens. J'ai envie d'amener ses mains à mes lèvres ou de l'embrasser le front, comme je fais avec mes amies, mais je ne suis pas assez proche pour cela. Je viens lui répondre simplement.

Non, je vous interdis de dire cela. Pardon d'avoir parler de cela. Ne parlons plus de ça. Vivons l'instant présent,comme dise les jeunes d'aujourd'hui one life

Pour moi le one life avec elle, se serait quitter cet endroit et lui montrer les secrets cacher de se monde. Ce qu'elle ne connaît pas. Comment on peu s'amuser comme un mec comme moi, qui n'a peu d'amis. Qui se reconstruit tranquillement. Qui n'avoue pas d'avoir peur du regard des gens à l'idée qu'ils puissent savoir ce qu'il était dans le passé.
Tu l'écoutes et tu ne peux que te lever pour venir la prendre dans tes bras. Ta main caresse ses cheveux et tu sors.

Tout ira bien, laissez-vous du temps. Il faut toujours du temps pour se reconstruire.

Seul les personnes qui on vécu des choses dur, peuvent comprendre.Je m’assois puis la regarde et la laisse partir chercher les boissons. J'attends en regardant les jeunes jouer. Je sais que je suis également jeune. Mais je me sens pas à l'aise de jouer comme eux. Je l'entends puis la regarde et viens posé mes yeux sur son verre.
Ma main se glisse autour de son verre pour le saisir et je prend une gorger. Mon regard en sa direction en dit un regard de colère. J'échange nos verre et garde le sien.

S'il vous plaît, je ne veux pas être responsable de quoique ce soit et l'alcool n'est pas la meilleure solution. Il existe autre chose de meilleur et naturel.
Si vous voulez je vous montrerai, votre fille, peut même venir. Mais si vous voulez que nous deux pas de problème.

Je ne prenais pas mal ce qu’il avait dit. La mort fait partie de la vie. C’est comme ça. Je l’ai juste pas mal rencontré ces dernières années. Et cela il ne le savait pas, car oui, je restais professionnelle avant tout. J’ai tout de même prévu ses parents que je serais moins présente ces dernières semaines. Mais j’essaie tout de même d’être présente dans mes affaires encore en cours. Je le regardais me prendre les mains, et bien que je trouvais cela étrange et surement inappropriée, je n’en disais rien. Le laissant faire. Retirer mes mains ou lui dire que ce n’était pas approprié rendrait la situation davantage étrange. « Ah, parce que tu n’es pas jeune toi ? » Je ne saurais pas dire son âge exact mais il avait facilement dans la vingtaine. Et pourtant, il parlait comme s’il avait mon âge. Comme s’il en avait vécu des choses. Etait-ce le cas ? « Je me reconstruis, sinon je ne serais pas là. » Et j’en profitais pour retirer mes mains. Je ne voulais pas parler plus, ou plus me confier. Cela allait devenir bien trop dure. D’ailleurs j’en profitais pour aller nous chercher nos boissons. Un peu de répit. J’aurais pu en profiter pour le laisser là, seul. Mais je revenais tout de même le voir. Avec nos boissons respectives. Ou du moins c’est ce que je pensais, car il gouta à la mienne afin de les échanger. Surprise, je le regardais avec des billes à la place des yeux. « Non mais je rêve ! Rends-moi ma boisson ! » Du ton le plus autoritaire que j’avais. Mon regard dans le sien, je ne comptais pas lâcher l’affaire, tant que je n’aurais pas mon Mojito dans les mains.

Sa réponse me fit rire, un rire qui venait du coeur, dévoilant la vraie nature que je cachais souvent. Cet homme que je suis quand je suis heureux, un visage rayonnant, des dents parfaitement aligner et blanche, mon visage qui devient illuminer quand mes lèvres s'étire pour laisser place à un sourire ou au rire.
Mes mains toujours dans les siennes qui viennent doucement s’emmêler à ses doigts, mon regard la dévorant. Je viens au bout d'un moment lui lâcher les mains et lâcher le regard pour répondre, après avoir laisser mes yeux traîner vaguement sur le monde qui chahute dans l'eau.

Si je le suis, mais à ma façon. Enfin d'une partie j'ai mes propres passions. Mes activités loin de ses jeunes qui chahute dans l'eau. De celui qui boira le plus de bouteille d'alcool ou qui prendra le plus de shoot. Je trouve cela pathétique de faire cela pour finir les pieds en avant ou les organes dans un piteux état plus tard.

Je viens à me mordiller ma lèvre en pensant à toutes les fêtes que j'ai été interdit parce que soit disant j'étais violent au quotidien. Mais le fait de travailler avec des personnes plus âgés que moi, m'ont fait découvrir les joies du monde adulte bien plus vite. C'est d'ailleurs la raison de mes réactions, mes paroles, mon ressentis. Je viens à l'écouter et souris de nouveau.

Alors nous sommes deux à se reconstruire. Mais j'aurais aimé rester sur Boston qu'être ici. Honnêtement je ne me sens pas à ma place. Mais au moins je vous ai rencontré, c'est quand même une bonne chose. On peut dire que nous sommes deux intrus parmi les jeunes. Comme l'intrus parmi la liste de mot.

Oui c'est souvent ce que je ressens, quand je suis entourer de jeune. Je suis l'intrus bien que je n'ai que 24 ans. Mais ma mentalité en dit plus.
Je viens à sursauté d'un coup quand j'entends son ton autoritaire. Puis le barman nous regarder. Je ne sais pas comment agir.
J'entends le barman dire une phrase qui me fais replonger en arrière.
Mes poings se serre et rapidement je choisi de me lever pour éviter son regard, ne me sentant pas bien et ne voulant pas faire de problème.