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Pfo House
23 02 2023
23 02 2023
An arrow
to the heart
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Voilà, c’est bon, on y est. Je jette l’éponge. Je rends le rôle. Celui du connard qui torture la gentille fille amoureuse. J’en ai ma claque, et si ça continue, je vais probablement en prendre une nouvelle. Alors autant laisser tomber. Rendre les armes. "C'est ce que j'ai demandé oui." Ouais, ok. Et bien si c’est tout ce qu’elle peut ajouter, inutile de continuer cet aparté. Tu vois, Lex, je ne sais même plus ce que je suis venu chercher. Peut-être juste un peu de toi, en vérité.
Je suis décidé, je me tire d’ici. Je ne reviendrai pas. Ca suffit cette connerie, ça tourne vraiment au ridicule. C’est n’importe quoi. Et surtout, ça ne me ressemble pas. Mais… Mais elle se retourne vers moi, elle me plante ses prunelles bleues gorgées de larmes dans les yeux, et là c’est clair, je peux plus bouger, qu’importe ce que je veux. "Ce fut un plaisir de te connaître Manny." Elle me tend la main. Elle me tend sa main putain de main. Elle va me rendre dingue, bordel. Si je l’attrape ? Evidemment. Cependant je ne me contente pas de la serrer, cette paume, je la garde dans la mienne. Et je m’en sers pour l’attirer, c’est plus fort que moi, je ne peux pas m’en empêcher. « Tu m’emmerdes, tu le sais ? » j’interroge, mais pour autant, je n’ai pas envie de la lâcher. Dans la même fraction de seconde, cette volonté ? Elle devient un besoin, quand mon visage se rapproche du sien, j’embrasse de ses lèvres, le carmin. Elle m’emmerde … En un baiser, elle est capable de me flinguer.
Je suis décidé, je me tire d’ici. Je ne reviendrai pas. Ca suffit cette connerie, ça tourne vraiment au ridicule. C’est n’importe quoi. Et surtout, ça ne me ressemble pas. Mais… Mais elle se retourne vers moi, elle me plante ses prunelles bleues gorgées de larmes dans les yeux, et là c’est clair, je peux plus bouger, qu’importe ce que je veux. "Ce fut un plaisir de te connaître Manny." Elle me tend la main. Elle me tend sa main putain de main. Elle va me rendre dingue, bordel. Si je l’attrape ? Evidemment. Cependant je ne me contente pas de la serrer, cette paume, je la garde dans la mienne. Et je m’en sers pour l’attirer, c’est plus fort que moi, je ne peux pas m’en empêcher. « Tu m’emmerdes, tu le sais ? » j’interroge, mais pour autant, je n’ai pas envie de la lâcher. Dans la même fraction de seconde, cette volonté ? Elle devient un besoin, quand mon visage se rapproche du sien, j’embrasse de ses lèvres, le carmin. Elle m’emmerde … En un baiser, elle est capable de me flinguer.
MADE BY @ICE AND FIRE.
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