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we're gonna dance on gasoline (charles&gigi)

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Je sais que j’ai poussé trop loin, trop longtemps. Les évènements s’enchaînent et je ne suis plus. Ce n'est pas la vie que je souhaite vivre mais ces derniers temps ont tout simplement été plus difficiles que ce que je pensais. Je pensais m’en sortir comme une cheffe mais tout ce qui se passe me montre que ce n’est pas le cas. Je souris et ça me tire dans le visage. Je sais que ça va être mon nouveau quotidien, celui que je vais devoir endurer pendant quelque temps. Je vais tout faire pour que cette semaine de repos forcé me permette de repartir sur le bon pied. J’ai trop à perdre et ne souhaite pas me retrouver dans cette situation une seconde fois. Se faire admettre à l’hôpital a toujours été l’une de mes plus grosses peurs. Entre le coût des soins et le fait que je serai définitivement dans le système… Je ne pense pas à cela parce que ma situation a changé mais il y a quelques années, ça aurait été le début de ma fin. Blottie contre toi, le palpitant qui se déchaîne, j’essaye de m’ancrer dans cette réalité qui est mienne. Et quand on est dehors, l’hôpital dans le dos, je souffle par le nez, oubliant tous les mauvais moments passés par ici ces derniers mois. Non non, ça va. C’est pas moi qui suis sans veste. Que je te lance, un léger sourire sur le visage. Je pourrais te rendre ta veste si un frisson venait parcourir ton échine mais je n’en ai pas envie pour le moment. Ça a ton odeur et le sentiment de sécurité qui va avec, je dois l’admettre. Je sais qu’avec toi, je ne serai jamais seule et toujours protégé. C’est peut-être pour cela que je déteste autant de savoir que tu fricottes avec Esmée, que t’ais d’autres filles aux bouts des doigts. C’est pas de la jalousie mais de l’égoïsme parce que je sais que le jour où l’une d’entre elles s'immiscera dans ton cœur, je n’y aurai plus ma place. Je ne pense pas, je ne lui ai pas dis. Parce que ça ne me semblait pas important. Je n’ai jamais eu besoin de lui quand il était mon contact en cas d’urgence, il ne se pose probablement même pas la question. Il n’a plus vraiment la place de la personne la plus importante et qui aurait mes envies à coeur. Je ne vais pas te mentir, je sais que s’il venait à m’arriver quelque chose de plus grave, tu ferais tout pour que ça corresponde à ce que je souhaite, même si ça irait contre ce que tu voudrais parce que tu me connais. Avec Raphaël, il y a un peu de distance que je ne sais expliquer mais c’est comme ça. Et quand tu me dis que tu trouveras une excuse pour le boulot et que ça ne sert à rien d’essayer de te faire changer d’avis, je souffle fortement Non mais Charles, tu peux pas décider de ne pas travailler parce que je me suis fais mal. C’est impensable, surtout en ce moment. C’est mort. Surtout quand tu vas passer manager. La dragonne va voir que ton boulot n’est pas ta priorité et elle va te me faire payer. Je rajoute cela rapidement, tournant le visage pour que tu vois bien que je ne rigole pas. Esta morto. Que je lance en portugais, ne quittant pas ton regard pour que tu comprennes bien que je ne te laisse pas le choix. Je sais que c’est toi qui vas t’imposer mais je n’ai pas envie de t’être préjudiciable. Et quand j’essaye de te faire peur en fronçant les sourcils, je grimace rapidement parce que ça me fait mal. Mon regard suit le tien et quand je vois la voiture, j’acquiesce. Tes lèvres sur ma tempe, je souffle T’as de la chance que c’est pas celle où j’ai mal. Un coup de coude dans tes côtes, je monte rapidement dans la voiture et nous sommes tout aussi rapidement au Shake Shack où la conversation va bon train. Le gobelet de boisson en main, direction la pharmacie puis la maison. Je vais aller dormir, je suis fatiguée. Je laisse mes chaussures traîner dans l’entrée, mon sac sur le canapé et file avec ta veste jusque dans ma chambre. Posée sur le lit, je tends le bras pour sortir mon pyjama de sous mon oreiller et me change rapidement, la porte ouverte. Je tire les draps et m’installe confortablement. T’es où ? Tu me surveilles toujours ou pas ?
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we're gonna dance on gasoline
20 février 2023 w/ @Gigi Desrosiers
tw : accident du travail, malaise, drogue.
On prend le temps de suivre tes envies avant de rentrer, mais pourtant j'ai l'impression qu'on agit avec rapidité. Oui, j'ai envie que tu sois rapidement dans ton lit pour commencer cette semaine où tu vas devoir te reposer, mais aussi dans un lieu où tu te sentiras mieux, en sécurité. Tu as continué, à me dire que je n'avais pas interêt à poser des congés surtout avec la promotion à la clé, mais je suis borné. Hors de question d'aller au boulot alors que tu as besoin de moi, tu as besoin d'être surveillé. Même si tu te déteste ça, reconnais que tu as besoin de moi pour assurer que tu ne fais pas n'importe quoi. Et comment tu vas occuper tes journées si je ne suis pas là? Me torturer n'est-elle pas ton activité préférée? Va au lit oui. Je passe derrière toi pour bien replacer tes chaussures, mettre ton sac dans l'endroit le plus approprié et alors que je cherche ma veste du regard, je m'aperçois qu'elle n'a pas été balancée au hasard sur le premier mobilier à portée. J'en souris d'étonnement en allant vers ma tanière mais ta question me fait changer de direction J'suis là. Je pousse ta porte lentement pour y passer ma tête et sortir la première excuse bidon J'viens seulement voir si ma veste n'est pas en boule quelque part. Et mon regard va dans tous les sens pour mimer la fausse inspection. Tu pourrais en faire ce que tu veux que je ne dirais rien. C'est terrible que tu aies tout les droits sur moi et ma vie comme ça. Tu as besoin de quelque chose? Habituellement, j'écoute tes besoins et j'y répond sans te donner les miens. Mais cette soirée étrange va continuer sur cette lancée quand ma bouche ne retient pas les prochains mots, donnant l'air d'un monologue ou d'un dialogue de moi et moi J'crois que j'ai besoin de te prendre dans mes bras... J'ai eu peur les premières secondes de cet appel, pensant que le pire venait d'arriver. J'ai cru te perdre alors j'ai la nécessité de t'avoir encore contre moi pour certifier à mon palpitant que tout va bien. Mais ce n'est pas de la peur, pas exactement de la peur… c'est un peu différent… la peur ça vient du dehors, je le sais, tu es là et la peur vient sur toi, il y a toi et moi… voilà… il y a toi  et puis il y a moi, mais ce qui m'arrive, c'est que tout à coup, moi, je n'y suis plus, et il n'y a plus qu'elle… pourtant ce n'est pas de la peur… je ne sais pas ce que c'est, vous le savez, vous ?
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Je n’arrive pas à croire que ça m’est arrivé, que j’ai fini par faire un malaise à force de pousser sur mes ressources. Il serait temps que je fasse attention à tout cela. Raphaël devrait être mon exemple, il devrait être celui qui me fait comprendre qu’il ne faut pas jouer avec ses conneries mais j’avais l’impression de gérer. C’est pas ce que j’ai dis au décès de ma mère ? Laissez moi tranquille, je gère ? Il faut croire que ce n’est pas totalement le cas. Je souffle doucement quand on arrive à la maison et la vue de l’appartement me fatigue. Je ne devrais pas être là maintenant. Je devrais être en train de travailler et même si je suis éclatée de fatigue, je sais que tu ne me lâcheras pas. Je sais que malgré tout ce que je dis et souhaite - que tu ne prennes pas congé - tu ne l’écouteras pas. Je pourrais m’énerver après toi et te foutre à la porte pour te forcer à bosser mais même ça, j’en ai pas le courage. Je sais que ça vient d’une bonne intention mais j’ai pas l’habitude alors il va falloir que je m’y habitue, tout simplement. Elle est sur la chaise là-bas. Que je souffle en tendant le bras hors de la couette pour pointer la montagne de linge propre qui attend sur ma chaise pour être rangée. Au-dessus, ta veste trône fièrement, ce qui m’arrache un sourire. Oui. Que je souffle quand tu me demandes si j’ai besoin de quelque chose. Le regard incapable de se détacher de toi, je t’écoute et un léger rictus se dessine sur mes lèvres. Et moi j’ai besoin que tu me fasses un câlin. Je me tourne un peu dans le lit et tire sur le drap pour te laisser entrer. Cependant, avant que tu te glisses sous les draps, je dis Pas avec tes habits sales de dehors, j’ai changé les draps hier. Que je rajoute, gloussant en te regardant, l’espièglerie dans les yeux, la candeur et insouciance que je m’interdis de ressentir entre nous deux. Je sais que t’es normalement plus rapide que ça pour te déshabiller. Dépêche toi, j’ai froid. Que je finis par dire, une moue sur le visage alors qu’un frisson parcourt mon échine. Et quand t’es avec moi, à côté de moi, je me blottis contre toi. Merci Charles. D’être là, de me prendre dans tes bras, d’accepter de gérer mes folies - mais surtout - mes conneries. Je sais pas trop ce que je ferais sans toi. Probablement pas grand chose. Un baiser sur ta mâchoire et je me replace tout contre toi, fermant les yeux pour taper ma meilleure sieste parce que Dieu que j’en ai besoin après toutes ces péripéties…
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20 février 2023 w/ @Gigi Desrosiers
tw : accident du travail, malaise, drogue.
Tu marches toujours dans mes taquineries et qu'est ce que j'aime ça. Tu pointes sérieusement ma veste pour me rassurer dans ma fausse inquiétude pour cette dernière. Tu peux en faire ce que tu en veux Gigi, brûles la, j'arriverai à te le pardonner. Je ferai beaucoup pour toi et c'est la raison qui me rend d'un coup plus sérieux quand tu dis avoir un désir, même si j'annonce le mien avant d'entendre le tien. Bizarrement, ils se rejoignent, ça chauffe dans ma poitrine de satisfaction face à cette cohésion, cette alchimie que je n'ai qu'avec toi. Tu as besoin de moi, j'ai besoin de toi. Cette phrase contient un flou artistique des plus grossiers. Parce qu’à vrai dire, on a pas besoin, on choisit de se donner une valeur qui dépasse celle qu'on donne aux autres. J'arrive! Aussitôt annoncé, je marche vers le lit que tu ouvres gentiment prêt à me jeter dedans mais tu viens rapidement me stopper. Sérieusement? Le sourire aux lèvres, conscient que oué, tu ne plaisantes pas. Je commence alors par le haut et quand tu tentes de me rendre plus hâtif je te fixe un instant dans le silence avant de plaisanter Toi il faut que t'arrêtes de m'espionner pour me mater. Et je termine cette phrase en boxer, maintenant installé à tes cotés. En face à face, je te prend dans mes bras avec amour, bien qu'il soit caché. Tu me remercies et je te répond d'un baiser sur ton front. Cependant, je dois reprendre la parole quand tu continues de prononcer des mots qui me touchent l'âme T'as pas besoin de te poser la question, ça n'arrivera pas. Oué on me dit que je devrais m'éloigner pour me préserver mais j'en suis incapable. Je vais devoir apprendre à composer avec ça. Ta bouche sur ma mâchoire, c'est un combat de ne pas t'embrasser, de ne pas te dire ces choses que je dois contenir en moi. Mais pas ce soir, pas là. Tu as besoin de te reposer, pas d'affronter mes démons. Bonne nuit, sois sereine je ne bouge pas. Même si mes yeux s'ouvrent avant les tiens, je serai statue pour que tu ailles au bout de ton sommeil. Allons rêver.

FIN DU RP
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