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Le début d'un long problème + Estyne

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Plus le temps passe et plus tu la trouves différente, bien différente de celle que tu étais tombé amoureux. Chose que tu ne lui avais jamais réellement dit, pour toi, prononcer ces mots étaient plus compliqué que tu ne l’aurais imaginé. Bref, tu mettais tout ça sur le stress pour son stage et la pression de ses études. Tu n’étais pas mieux à une époque, tu contrôlais mal le stress, mais surtout par rapport à ta fille. Un stress important concernant le bien-être de ta fille, savoir si tu faisais bien les choses, elle devait venir ce soir, pour passer la soirée avec toi. Tillie était là, tes parents n’étaient pas présent ce soir, tu ne pouvais donc pas la faire garder. Dans tous les cas, elle appréciait Maxyne, ce n’était pas gênant. Tu avais fait le ménage, quelques courses, et tu avais commencé à faire à manger pour l’accueillir dans les meilleures situations. Le temps passait rapidement, la jeune femme toqua à la porte, elle était comme chez elle, ici. Tu la laissais faire sa vie, prenant place sur le canapé, jusqu’à ce que son sac tomba au sol. Tu allais pour ramasser ce qui était tomber, voyant ce flacon devant toi. Ton regard se posa dessus, l’attrapant rapidement, le faisant glisser entre tes doigts. La colère qui montait en toi, Tillie te regardait, ne comprenant pas ce qu’il se passait, reportant son attention sur son disney à la télévision. Tu reportais ton attention à ton tour sur la jeune femme pour lui lâcher froidement « Qu’est-ce que c’est que ça ? » même si finalement, tu connaissais déjà la réponse. Mais tu voulais surtout savoir, pourquoi, elle avait ça sur elle, dans son sac.

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le début d'un long problème
La fatigue prend le dessus. Beaucoup trop de temps dans les livres, à la clinique, notre relation. Mais ce soir, je n’avais pas le choix que d’aller chez toi. Ce n’est déjà pas la bonne ambiance entre nous, loin de filer le parfait amour. Ce flacon entre les mains, des pilules que d’autres internes en médecine prennent pour se redonner un coup de fouet, j’en avale deux avant de mettre le flacon dans mon sac. Les vitamines n’agissent plus depuis un moment. Et j’ai trop de choses à gérer, je me perds. Je refuse juste de l’admettre. Je me dois d’être la meilleure si je veux maintenir mon choix de spécialité pour l’année prochaine, être une interne officielle en gynécologie-obstétrique.
Je suis dans le canapé avec Tillie, regardant des dessins animés, des Disney ensemble. L’impression de perdre mon temps m’agace un peu. Sauf que, si je n’étais pas là, j’aurais le droit à une énième crise. La petite bouille blonde veut que je sois avec elle dans le canapé, et c’est un bruit sourd qui se fait entendre derrière nous. Le temps que je tourne la tête pour voir ce qu’il se passe, je te vois mon sac à la main, et surtout ce petit flacon orange dans l’autre. Je me lève, laissant Tillie dans le canapé, d’un pas décidé. «  Depuis quand tu fouilles dans mes affaires ? » répondant aussi froidement que toi. Alors que je me rapproche de toi pour reprendre le flacon de tes mains, ainsi que mon sac. J’en oublie presque la présence de la petite non loin de nous. «  Rends moi ça. » Une exigence, bien plus qu’une demande. J’ai exactement les mêmes paroles qu’une droguée. Ce n’est pas le cas, j’arrête quand je veux. J’en ai juste besoin pour tenir en ce moment, améliorer mes performances.



@Esteban J. Quesada
penthouse d'Esteban, 18 février 2023
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Tu le vois bien, elle n’est plus la même depuis quelques semaines. Elle est sous l’eau, la tête dans le guidon et elle ne veut pas d’aide. Elle part du principe qu’elle s’en sort très bien, ce qui n’est pas le cas et tu as beau lui en parler, elle te refoule. Les disputes s’enchainent, tu essaies de prendre sur toi, mais c’est compliqué. Tu n’aimes pas voir tes proches dans la détresse, tu n’aimes pas voir ces personnes tomber dans le néant, dans un trou sans fin. Pourtant, elle était là, ce soir dans ton appartement, mais son regard est différent, comme sa façon d’être. Bien moins agréable avec ta fille qu’au début, et ça t’énerve. Tout simplement, parce que Tillie n’avait rien demandé, et tu ne voulais pas qu’elle souffre encore une fois. S’attacher, c’était dans sa nature, comme dans la tienne et elle tenait énormément à Maxyne. Le chat qui courrait, qui traversait l’appartement, son quart d’heure de folie, et finalement il renversa son sac à main. Repartant à toute allure pour se cacher, avant de se faire disputer. Il était malin, dans le fond, il ressemblait un peu à ta fille, ce grain de malice qui l’habitait. Alors que tu ramassais son sac et ses affaires qui avaient glissé, tu tombas nez à nez avec ce flacon. Un flacon que tu connaissais, puisqu’avant d’être père, tu consommais de la drogue, et divers médicaments pour tenir la route et surtout pour te défoncer le crâne. Ta gorge se serre, la colère monte en toi et pourtant, tu continues de ranger ses affaires dans son sac. Et là, la goutte d’eau qui fait déborder le vase, le regard qui se pose sur la jeune femme, à la suite de sa phrase. « Depuis que tu as offert ce chat à ma fille et qu’il renverse sans cesse des affaires. » soufflais-tu froidement, lui lançant à moitié le sac dans les bras. « Je suis ton chien ? » la colère prenait le dessus, Tillie commençait à s’en apercevoir, se morfondant dans le canapé. « Tu fais quoi là ? Désolé, mais je veux pas d'une amie droguée, ma fille n’a pas besoin de ça. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, lui balançant son tube.

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LE DÉBUT D'UN LONG PROBLÈME
Je me lève brusquement quand tu t’adresses à moi, le flacon d’amphétamine à la main. J’ai le cœur qui bat très fort, comme s’il allait sortir de ma poitrine. Mais ce n’est pas de l’amour. Juste les pilules qui me mettent en tachycardie lié à la colère. Cette colère ? Celle d’être prise sur le fait, de devoir me justifier. Une partie de moi sait que tu as raison. L’autre me fait voir rouge directement, pensant à la manigance et la paranoïa. « Bien sûr. » que je répond durement quand tu m’évoques la faute du chat qui a renversé mon sac. C’est possible, mais refusant de l’admettre, oubliant toute notion de réalité. Dos à la petite, je réalise pas un instant la peur qui s’affiche sur son visage, son petit corps qui disparaît dans le fauteuil. On se dispute devant elle, une première. Jusqu’à maintenant, on a toujours fait attention à ça. Et pourtant, les disputes, on les enchaîne. Tu me balances le tube orange sur moi, que je rattrape au vol, non sans émettre quelques jurons au passage. « Tu te calmes, je suis pas une droguée ok ? » N’importe quoi. Une droguée. Comme si tu n’en avais jamais croisé de ta vie. Je lève les yeux au ciel, insolente, jusqu’au plus profond de mon être. «  T’as toujours un truc à me reprocher, c’est incroyable. » alors que je reprend mon sac pour remettre le flacon dedans, machinalement, comme si je rangeais un tube de rouge à lèvres.


@Esteban J. Quesada
PENTHOUSE D'ESTEBAN, 18 FÉVRIER 2023
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Elle n’était plus la même et tu le voyais très bien dans sa manière de te parler. il y en avait eu des disputes, mais pas de cette sorte. Elle n’avait jamais osé te parler sur ce ton et de cette manière. Tu prenais sur toi, même si c’était dur, tu ne voulais pas tout briser, car clairement, elle avait besoin d’aide, même si elle le voyait pas encore. Mais ton côté sanguin, prenait toujours le dessus et parfois, pouvait faire des désastres. Alors tu lui renvoies tout, tu lui balances au visage, son tube, si important. Elle réagit comme une femme en manque, comme une femme qui tombe dans un trou, sans fin. Elle ne te croit pas pour le chat, tu ne préfères même pas relever, prenant sur toi, encore une fois. Tu vois du coin de l’oeil, ta fille qui se tasse dans son coin, qui n’est pas à l’aise avec cette situation et qui préférait se faire toute petite. C’était bien la première fois qu’elle te voyait te disputer avec Maxyne, tu avais toujours fait en sorte que ça n’arrive jamais devant elle. Ton coeur se sert en la voyant, et c’est ce qui te permet certainement de prendre une distance avec Maxyne. Tu lâches un simple soupir à ses paroles, partant attraper ta fille dans tes bras. Elle se cale contre toi, retenant certainement quelques larmes, tu attrapais un de ses jouets pour lui donner. Tu posas ton regard sur Maxyne « Si c’est ce que tu penses. » un ton froid, rien de plus, rien de moins. A quoi bon, ça servait de se battre, inutilement. Tu retournais dans la cuisine, le temps de finir le repas, Tillie près de toi. A vrai dire, tu ne faisais pas qu’à manger, tu allais envoyer un sms aux personnes proches d’elle, qu’ils puissent peut-être l’aider, elle acceptera peut-être plus leur aide, que la tienne.

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LE DÉBUT D'UN LONG PROBLÈME
Un blanc. Un long silence s’installe, ne laissant que l’amertume et des regards froids et distants. Je range le flacon, et les affaires dans mon sac, remettant tout en ordre avant de le reposer. Si c’est ce que tu penses. Comme si c’était nouveau, tu as toujours eu des choses à me reprocher. Je soupire sans même le cacher.  Je te regarde partir avec Tillie dans la cuisine. Trop de cinéma pour si peu de choses. Oui, c’est ce que je pense sur l’instant. Je tourne en rond, alors que tu me laisses seule ici. C’est ridicule. Je me décide à venir te rejoindre pour te donner un coup de main en cuisine. Tillie se crispe autour de toi, comme si je lui faisais peur. Comme si j’étais le grand méchant loup. « Tu veux… » Pas le temps de finir ma phrase que je remarque que ce n’est pas une spatule que tu tiens à la main, mais ton téléphone. «  T’es sérieux là ? » alors que j’aperçois sur l’écran le prénom de mon frère. Je ne cherche même pas à savoir le contenu du message, je me doute que ce n’est pas pour lui demander comment il va. Pas après la scène avant dans le séjour. « Donc c’est quoi maintenant le deal, tu cherches à te liguer avec mon frère pour un simple petit flacon ? » Je ne sais même plus si je dois rire ou si je dois m’énerver. Juste là, j’ai qu’une envie, prendre mes affaires et partir d’ici. «  T’es ridicule. » Les doigts qui se posent sur ma veste, je m’attend d’une seconde à l’autre à avoir un message de Nicolas. Ou qui sait, maintenant qu’ils sont copains, il va peut-être même venir ici.


@Esteban J. Quesada
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C’était un exploit pour toi de ne pas réagir comme d’habitude, de ne pas t’énerver et l’envoyer chier. Pour une fois, tu arrivais à faire la part des choses. Ta fille était là, tu devais faire attention à ce que tu pouvais dire, ne voulant pas lui faire peur, car tu savais très bien qu’elle en parlerait à tes parents. C’était la première chose qu’elle ferait en allant chez eux, tu savais d’avance que ta mère prendrait le téléphone pour connaitre les raisons. Il ne manquait plus que Tillie voit ce flacon, c’était fichu pour Maxyne. La bonne image qu’elle avait auprès de tes parents, changeraient totalement. Alors, tu espérais dans le fond, que ta fille ne dirait pas cette épisode, chose que tu saura d’ici quelques jours. Tu l’avais pris dans tes bras, fuyant en quelques sorte la dispute, ne voulant pas aller à l’affront avec elle. Ça ne servait à rien, elle n’était pas elle-même et ça ne ferait qu’aggraver la situation. Tu avais pris le chemin de la cuisine pour finir le plat que tu avais commencé, avant que ce chat fasse tomber ce sac et que cette scène commença. Alors que tu étais en train d’écrire un sms, elle arriva derrière toi. Bien plus vite que tu ne l’aurais imaginé, ce n’était pas elle qui t’avait fait comprendre qu’elle était là, mais ta fille qui se crispait contre toi, plantant ses doigts dans ta chaire. Ton regard tourna directement avec Maxyne, levant les yeux au ciel. « Tu vois pas que tu lui fais peur Maxyne ? » soufflais-tu froidement, déposant un baiser sur la joue de ta fille. Appuyant sur la touche envoyé, tu déposas ton téléphone sur le plan de travail. « Un simple flacon, si c’était que le premier, tu serais pas comme tu es actuellement. » lâchais-tu froidement. Essayant de sourire à Tillie pour la rassurer, plutôt compliqué, au vu de la situation. « Regarde toi, avant de parler. » parole cinglante, le regard noir. Sur le coup, tu la détestais, elle agissait comme une gamine, ne pensant pas une seule seconde du mal qu’elle pouvait faire à Tillie.

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J'ai lu et relu le message d'Esteban sur mon téléphone. J'en reviens pas de ce que je lis. A quel moment j'ai loupé le fait que ma propre soeur prenait des médicaments ? J'en reviens pas. Et ça me rend dingue. Je me sens terriblement nul aussi. J'ai rien vu et c'est son mec qui m'appelle au secours. Donc j'enfile mes chaussures, une veste et je file du loft pour prendre la direction de l'appartement d'Esteban. J'ai du rechercher son adresse dans mon téléphone mais une fois fait, je monte dans un taxi qui m'y emmène. Evidemment je suis inquiet. Ca ne me plaît pas. Donc quand j'arrive devant l'immeuble, je paie le taxi pour ensuite sonner à la porte. Je ne sais pas si je dois attendre ou entrer directement. Putain. Avec Esteban on ne s'entend pas. Je me sens mal de débarquer comme ça chez lui. Mais pas le choix quand il s'agit de ma soeur. C'est Nicolas ! J'annonce quand même ma venue pour ensuite ouvrir la porte et découvrir Esteban avec sa fille dans les bras, accroché à lui et je vois bien que Maxyne est énervée, alors que ça ne lui ressemble pas du tout. Calme toi Max'... Que je tente de dire calmement. Je ne sais pas quoi dire, quoi faire. Je ne sais pas comment elle va prendre le fait que je débarque chez son mec.

@Maxyne C. Lurton @Esteban J. Quesada

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LE DÉBUT D'UN LONG PROBLÈME
Je m’énerve facilement, ce qui ne me ressemble pas. Je suis à cran, et cette conversation ne m’aide pas à me canaliser. Loin de là. Et j’aurai pu tenter de reprendre le contrôle de mes nerfs, en restant seule dans le séjour. A la place de cela, je te rejoins dans la cuisine, non pas pour te prendre la tête, mais pour te proposer mon aide. Seulement, la petite qui s’agrippe à toi comme si elle voyait le pire cauchemar sorti de ses nuits, le prénom de mon frère sur ton téléphone. Je me doute qu’après la scène d’avant avec le tube d’amphet’ ce n’est pas pour lui demander comment il va. « ça va je ne suis pas un monstre. » Je lève les mains, c’est des conneries tout ça, et ça m’énerve d’avantage. Puis viennent les accusations, telles une droguée qu’on vient de prendre la main dans le sac. «  Ce petit flacon m’aide sûrement bien plus que toi en tout cas. » Sur l’instant même où je prononce ces mots, je les regrette. Je n’aurai pas dû dire ça, je le sais. « Je vais m’en aller, ça vaut mieux. » Froide, insensible. Des mots que je pourrais regretter davantage. Mon exact opposé. Les doigts qui étaient sur ma veste, j’allais la mettre quand une autre personne passe le pas de la porte. Un son que je connais par cœur. Toi mon frère. « C’est une blague ? » Un rire jaune s’échappe de ma bouche. Donc on en est là, prise au piège comme une petite souris ? Me tournant vers toi, Esteban avant de continuer. «  T’as alerté d’autres personnes ? Tu veux peut-être le numéro de mon père, de ma sœur, Maxime ? Je peux te filer aussi du centre de désintox du coin. » Je déteste ce qu’il se passe, faisant totalement abstraction du monde qui m’entoure. Je te vois, mon frère, au milieu de la pièce ne sachant quoi faire, ou quoi dire. « C’est bien au moins tu t’intéresses un peu à moi. » C’est horrible ce que je te dis. Il faut dire qu’on n’a passé que très peu de temps ensemble ses derniers temps. Entre mon stage à la clinique, mes révisions, m’occuper du loft, tes histoires avec Jordan, et tenter de garder un semblant de vie social et amoureuse. Ça laisse peu de temps à nous.


@Esteban J. Quesada & @Nicolas Lurton
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Elle ne se remet pas en question, une seule seconde. Et malgré le fait qu’elle fait peur à ta princesse, à la prunelle des yeux. Elle arrive encore à tourner la chose autrement. Un léger soupire sort de ta bouche, finalement, tu ne désires qu’une seule chose, au moment présent : qu’elle se barre et qu’elle retourne chez elle. Ta fille n’avait pas besoin de ça en ce moment, toi non plus par la même occasion. Pourtant, tu ne pouvais pas vraiment lui dire, il fallait attendre que son frère arrive pour la gérer. Il saurait certainement mieux faire que toi, car tu n’arrivais plus à garder ton sang froid, à prendre sur toi, c’était trop. « Pourtant si, tu l’es. Tu n’es plus la personne dont je suis tombé amoureux. » les paroles sont dures, sont certainement blessantes. Mais, tu penses à ta fille avant tout, elle passerait avant ton couple et surtout avant cette crise. Elle dit comme quoi ces pilules l’aidaient beaucoup mieux que toi, ça te fait rire, un rire jaune. Si elle pensait ça, qu’elle continue ainsi, tu ne pouvais plus l’aider… « Si tu le dit. » soufflais-tu. Blessé par ses paroles, mais tu ne voulais pas lui montrer, de toute façon, ça ne servait à rien. Puis, Nicolas était là, il entrait chez toi, ton regard se posa sur lui, puis sur la jeune femme. « Non, seulement la personne qui pourra le plus t’aider, actuellement. » tu restais calme, essayant de calmer ta fille par la même occasion. Maintenant, elle s’en prenait à son frère, tout le monde en prenait à son grade, sauf elle. A croire qu’elle était parfaite, alors que c’était bien tout le contraire, en ce moment même.

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