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Les originesmexicaines, anglaises, irlandaises, galloise
feat. Lindsey Morgan
27 juillet 1988 à Washington
Américaine
Célibataire, hétérosexuelle
diplômée en journalisme de Yale, journaliste et professeur de journalisme à Harvard
moyennement aisée
Le caractère
Intelligente, engagée, indépendante, ambitieuse, généreuse, solaire, charismatique, forte, sensible, humaniste.
L’intellect c’est ce qui rend l’humain indépendant, capable de penser par lui-même. Férue de savoirs, elle dévore livres et documentaires sur les sujets qu’elle affectionne. Valeurs humanistes ancrées à son être depuis toujours, elle tente de les véhiculer au travers de ses écrits. Construction solitaire, elle ne doit sa réussite à personne mais mise sur son indépendance pour se soustraire aux lois arbitraires de la vie, elle ne s’attache que lorsque c’est nécessaire et met parfois de la distance avec autrui ce qui peut la rendre froide de prime abord. Néanmoins, Tessa se prend en main seule et n’a besoin d’une aide externe. L’échelle sociale ne l’a jamais intéressée pour flatter son ego mais plus comme un challenge personnel. Pointilleuse et ambitieuse, elle ne sait rester sur ses acquis et à sans cesse besoin de nouveaux défis d’où son envie d’ascension. Elle sait donner et peut même le faire sans compter, point naïve, elle connaît la hauteur de la confiance et du pardon mais croit aussi aux secondes chances. On la dit charismatique et solaire car elle refuse de se laisser abattre mais peut être n’est ce qu’une façade, tromper ses propres peurs par un sourire pour ne point sombrer. Combattre le négatif par le positif. Elle demeure forte en toute circonstance ce qui la rend parfois insensible aux yeux des autres alors qu’elle est souvent à fleur de peau et touchée par ce qui l’entoure. Paradoxe universel de l’être humain ambivalent.
L’intellect c’est ce qui rend l’humain indépendant, capable de penser par lui-même. Férue de savoirs, elle dévore livres et documentaires sur les sujets qu’elle affectionne. Valeurs humanistes ancrées à son être depuis toujours, elle tente de les véhiculer au travers de ses écrits. Construction solitaire, elle ne doit sa réussite à personne mais mise sur son indépendance pour se soustraire aux lois arbitraires de la vie, elle ne s’attache que lorsque c’est nécessaire et met parfois de la distance avec autrui ce qui peut la rendre froide de prime abord. Néanmoins, Tessa se prend en main seule et n’a besoin d’une aide externe. L’échelle sociale ne l’a jamais intéressée pour flatter son ego mais plus comme un challenge personnel. Pointilleuse et ambitieuse, elle ne sait rester sur ses acquis et à sans cesse besoin de nouveaux défis d’où son envie d’ascension. Elle sait donner et peut même le faire sans compter, point naïve, elle connaît la hauteur de la confiance et du pardon mais croit aussi aux secondes chances. On la dit charismatique et solaire car elle refuse de se laisser abattre mais peut être n’est ce qu’une façade, tromper ses propres peurs par un sourire pour ne point sombrer. Combattre le négatif par le positif. Elle demeure forte en toute circonstance ce qui la rend parfois insensible aux yeux des autres alors qu’elle est souvent à fleur de peau et touchée par ce qui l’entoure. Paradoxe universel de l’être humain ambivalent.
Les anecdotes
- ( 01 )Erreur illusoire au travers de ce jeu de regards échangé. La trop jeune mexicaine, Cendrillon sans la couronne. Elle pensait à un amour vrai alors que l’anglais aux origines également galloises et irlandaises rêvait à d’autres distractions, dans cette banlieue de Washington. L’esquisse d’une relation avortée lorsqu’il reprit l’avion, laissant la mère et son enfant à peine né aux portes des dettes et des journées compliquées.
- ( 02 )C’est elles deux contre le monde, envers et contre tout. Fille unique élevée sans figure paternelle, ses oncles et ses tantes suffirent à l’entourer. La « familia » bel et bien présente. Exilée ici durant l’adolescence de sa mère, pour vivre des jours plus heureux que ce que leur permettait leur Mexique pourtant chéri. Ils ont monté une petite épicerie où se côtoient produits du monde et traiteur, la partie cuisine tenue par la mère de Tessa. Elle n’a jamais eu à souffrir du manque de quoi que ce soit. S’ils ne roulaient sur l’or, ils pouvaient se permettre de vivre décemment.
- ( 03 )Adolescente rebelle, aux multiples dérives quand dans son lycée on l’entraine vers des portes dissimulées. Elle a goûté à beaucoup trop de substances et usé de bien trop de manigances pour en sortir indemne. Pourtant, elle s’est endurcie et a trouvé dans cette incartade des leçons de vie qu’elle ne remettra plus jamais en cause. En conflit avec sa mère, elle a appris l’abnégation et le pardon. Dure dans ses propos, elle a saisi le sens des mots et l’injustice beaucoup trop. Elle a passé son temps le nez plongé dans des magazines et livres pour mieux comprendre les lois de leurs pays. Puis des autres et ces chantiers infinis que sont les guerres jamais terminées. La politique apprise lors de débats télévisés puis vint le goût des écrits qui déjà raturaient ses carnets de ses mots acérés depuis enfant. Elle devint même présidente du club de journalisme de son lycée de quartier, remettant sur pied le journal abandonné.
- ( 04 )Mais les études coûtent chers et s’il fut question de vendre l’épicerie pour obtenir des fonds, elle refusa catégoriquement. Alors, c’est avec des lettres de recommandation et des notes à frôler l’excellence qu’elle parvint à obtenir son entrée à Yale. Emprunt étudiant négocié et petits jobs accumulés pour pouvoir prétendre au prestige qui détermine désormais sa condition, elle veut réussir là où un jour elle a chuté et rendre fier les siens.
- ( 05 )Le Washington Post devient son repère, sanctuaire foulé après en avoir maintes fois rêvé. L’image de la petite nouvelle lui colle à la peau mais elle redouble d’efforts pour y trouver sa place. Ce sont les reportages d'investigation qui deviennent sa spécialité : couvrant les conflits dans les autres pays, les conditions d’accueil sont souvent dures mais elle ne s’en plaint jamais, plus passionnée par l’épopée que par le confort en lui-même. Elle a peut-être raillé gentiment au départ lorsque ses tenues sont revenues souillées par la boue ou son maquillage pour paraître présentable terni mais elle a compris une chose Tessa, ce n’est plus l’habit qui fait la personne dans ces cas-là ce sont les mots, la personne dans toute sa complexité et profondeur. Depuis presque dix ans, elle use de tous les stratagèmes légaux pour récolter des informations et mettre en relief les conditions de vie souvent déplorables des victimes de conflits. Retracer les débats politiques sur des zones houleuses. Défendre ces enfants devenus orphelins. Loin de cette Amérique rêvée.
- ( 06 )Tessa ne vit que pour son métier, il n’y a aucun à côté qu’elle se permet, ayant fait une croix sur enfants, famille et autant de bagages à construire qui l’empêcheraient d’évoluer. Il y a plus grand à faire, plus important à crier au monde que son propre bonheur conjugal. Serait-elle d’ailleurs réellement heureuse dans ce triptyque ? Soufrerait-t-elle de l’absence de grands reportages pour s’occuper de son foyer ? Pensées orgueilleuses et égoïstes tant la peur de l’abandon la guette. Elle ne s’est jamais remise de l’absence de ce père. Jamais assez bien, elle tente d’égaler l’inégalable pour qu’un jour il la reconnaisse, il se dise « elle aurait pu être ma fille » alors qu’elle ne le connaît et qu’il ne la connaît. Complexe d’infériorité tatoué à vif derrière sa façade solaire.
- ( 07 )Joshua, parenthèse entre les mondes, royaume où se perdre lorsque la réalité se fait oppressante. Militaire chargée de la renseigner pour un reportage. Esprit peu aiguisé quant à cette fonction qu’elle décrit et ne valorise point. Ce n’est pas eux le cœur de ses papiers mais la population, visant l’authenticité et non la vitrine américaine des soldats baraqués. Pourtant, il est à l’opposé des stéréotypes qui l’ont marquée. Il s’intéresse à ses propos, ils peuvent discourir durant des heures sans s’abreuver ou s’ennuyer. Et si elle tente de rentrer dans ses bonnes grâces pour obtenir des informations, il lui ouvre les portes de ses contacts et son reportage fait mouche, lui rapportant un prix. L’effervescence peut-être ou ces yeux océans la hantent sans arrêt. S’abandonner à un autre n’a jamais fait partie de ses qualités mais quelque chose l’attire, un magnétisme qu’elle pense révolu lorsqu’ils valsent en un temps mais l’attachement nait bien que leurs travails respectifs priment sur cette parenthèse volée au temps. Ils conjuguent leur idylle dans divers royaumes sans jamais s’attarder mais peut-être lui manque-t-il, parfois un peu lorsqu’elle croise les rivages salés de la mer azurée.
- ( 08 )
Il y environ un an, alors qu’elle se tient aux portes d’une ville qui risque d’entrer en conflit d’ici peu avec le pays voisin et dont le dirigeant fait un discours pour asseoir leur envie de liberté et le fait qu’il faille se battre, les sirènes résonnent et les coups de feu ne s’estompent pas. Des innocents meurent sur place mais les militaires qui l’assistent la font évacuer de la scène. Vision d’horreur encore ancrée dans sa mémoire qui renait chaque nuit alors qu’elle lutte pour s’endormir. Elle apprendra après qu’elle était visée car on ne voulait pas de la presse américaine sur place. La culpabilité la ronge plus que de raison et elle angoisse au simple fait de causer à nouveau la perte d’autres personnes. Son reportage est avorté, elle ne parvient même pas à conclure son article, la peur martelant sans cesse son estomac. Tessa revient à Washington un temps, aidant au commerce familial mais ne s’y épanouit pas, ne reconnaissant plus sa vie d’avant. Elle devient l’ombre d’elle-même et lorsqu’on lui offre la possibilité d’enseigner le journalisme à Harvard, elle se dit que l’opportunité peut l’aider à aller mieux car elle veut avancer, elle n’a pas renoncé, ni déposé les armes. - ( 09 )Les bruits sourds et forts la paralysent depuis. Eclairs, moteurs de voitures aux pots trafiqués, bruit du verre qui se brise…autant de sévices qui lacèrent son esprit et la plongent dans une profonde angoisse. Elle a tenté des thérapies mais a encore du mal à gérer ce stress post-traumatique.
- ( 10 )Pour tromper son ennui et ne pas rester seule, elle s’est inscrite dans plusieurs associations afin de ne pas passer son temps à ressasser. Elle milite pour l’écologie ou encore s’occupe de distribuer des repas dans la ville pour les plus démunis. Tessa envoie régulièrement des colis à l’étranger, ayant gardé des contacts sur place, elle sait que les denrées choisies seront correctement redistribuées.
Terre qu'elle a écumé de ses escarpins souillés, troqués pour une paire de converse plus adéquate. Mirages démontées, vérités mises en lumière, réel intérêt pour ce monde et ses failles mais aussi ses joies. Révolution mainte fois assumée de sa plume acérée. Tessa a officié de nombreuses années, voyageant et héritant de sujets divers et variés pour le Washington Post. Passion plus que dévorante mais déclin depuis quelques temps. Se spécialisant pour les sujets délicats, les politiques douteuses et les guerres sans sens. Un incident lors de son dernier reportage l'a obligée à prendre de la distance quant à son métier rêvé, elle ne parvient plus à s'imaginer aller par-delà le monde car coupable selon elle de l'attentat provoquée, elle n'arrive à se défaire des images d'horreur rencontrées, par sa faute. De plus, ce sentiment incessant provoque chez elle des crises d'angoisse qui ne lui permettent, pour l'instant, de rempiler. Elle a dont accepté un poste à Harvard pour enseigner sa passion, à défaut de la vivre.
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<div class="card-user-bottin-idwbya"><idwbya class="text-s-bebas text-upper">LINDSEY MORGAN</idwbya><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Tessa Barreto"</span></div>
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