(Becca&Josh) living la vida loca

Le jeune homme me faisait sentir comme je ne m'étais pas sentit depuis bien longtemps. J'avais eu des hommes depuis le décès de mon mari, pas énormément, mais j'en avais eu. Mais à aucun moment, je n'avais vécu autant de choses en une soirée. Et encore moins cette douceur qu'il pouvait m'apporter. J'étais à la hauteur de mon partenaire. Je le regardais et souris. Il fallait dire la vérité : il semblerait que nous soyons un bon match au lit tous les deux. Apparemment c'est plutôt toi qui a eu l'idée. Je me mis a rire, car oui, ça m'avait peut être aussi effleuré l'esprit. Bien que je ne savais pas comment je serais au réveil demain matin. Avec tout cet effort fait. Ma main toujours sur son torse, à le caresser, je lui demandais. Tu veux un massage ? Puis d'un coup, je me relevais, pour me mettre a califourchon sur lui. Sinon moi j'en veux bien hein ! Ca pourrait m'éviter des courbatures le lendemain matin.

Joshua pouffa à la remarque de sa partenaire. Elle aimait être enjôleuse, dragueuse et prendre un ascendant dans la séduction. Ce qui n'était pas pour déplaire au militaire. Il aimait paradoxalement ce rôle de jeune homme convoité comme cela. Tous ses sens étaient comblés. Il était à la fois entièrement alerte et détendu. Chaque caresse sur son torse calmait son rythme cardiaque et provoquait un frisson enivrant dans son échine. Sa moue se faisait plaisantine. « À la hauteur de ton partenaire, comme tu y vas avec les mots ! Tu veux encore coucher avec moi toi. » Le militaire fut surpris de voir celle qui partageait sa nuit lui monter dessus à califourchon et proposer un massage. Il n'aurait pas été contre en recevoir un, mais la maline proposa très vite qu'on lui en fasse un plutôt. Le militaire éclata de rire et redressa son buste, les mains sur le fessier de Rebecca, pour l'embrasser tendrement sur la joue et les lèvres. « Ah oui c'était le plan depuis le début... Tu es pas du tout la reine des arnaqueuses toi. Le militaire infligea une douce claque sur le postérieur de l'avocate et la bascula sur le côté. Il sortit de son lit pour chercher une lotion à l'odeur agréable, destinée aux sportifs. Le soldat déambula dans la pièce dans son plus simple appareil puis revint à genoux sur le matelas avec son flacon en main. « Sur le ventre. » dit-il autoritaire.