you make my dopamine levels go all silly. — (( xavi ))

you make my dopamine levels go all silly
with @Xavi Wolford
warning : ràs
the 05.01.2023 city center, boston

soirée à deux,
les yeux dans les yeux,
vous sentir heureux.

différent. différent des autres, de ceux que t’as l’habitude de côtoyer. plus doux, plus fort, ce je-ne-sais-quoi qui lui offre un charme bien singulier. des mois, des années à vivre à ses côtés, à apprendre à le connaître par cœur malgré tes absences répétées pour te perdre dans les méandres de la ville, de ta vie. et t’es capable de dire que c’est quelqu’un de foncièrement bien, xavi. t’aurais du mal à accepter qu’une femme de plus puisse mal le toucher, le blesser, le détruire comme ton aînée a pu le faire. parce qu’il mérite pas ça, le blond. il mérite tout, le paradis surtout.

et si t’aimes côme du plus profond de ton cœur pour tout ce qu’il représente à tes yeux, pour tous les moments passés à le voir grandir, à le voir s’émerveiller face à la vie, tu te sens chanceuse ce soir de pouvoir passer la soirée juste avec xavi. t’as pas trop prévu ton coup, si ce n’est ce restaurant italien qui te fait de l’œil depuis quelques semaines. ouvert trois mois plus tôt, il semble faire un tabac. tu t’es dit qu’il devait avoir de quoi. alors c’est avec lui que t’as voulu venir, que t’as attendu tout ce temps pour le découvrir.

« je me laisse conduire ce soir. » que tu lances en enfilant tes bottes dans l’entrée de votre appartement, sans prendre la peine de t’asseoir, en te tenant juste d’une main contre le mur pendant que l’autre s’attèle à remonter la tirette. il fait toujours trop froid à ton goût, mais jamais suffisamment pour oublier de t’enfiler une robe. noire cette fois, comme tes cuissardes, le tout recouvert d’une longue veste. « on y va ? je vais mourir de faim ! » jamais dans l’exagération, évidemment.

le 05 janvier with @Vega Pedraza — A peine rentré de on voyage à Londres que tu reprends le travail. Des dossiers à gérer avec chacun un degré d'importance différents mais que tu prends d'étudier dans les moindres détails. Certains de tes employés sont en congé dont ta fidèle comparse, Peyton qui va prochainement accueillir son second enfant. Cette pensée te ramène à quelques années en arrière, année charnière où tout à basculé. Ce soir, le besoin de se retrouver entre adultes a été prononcé par ta colocataire mais surtout l'une de tes amies les plus proches. Ces derniers temps vous ne faites que vous croiser avec la jeune brunette comme si la proximité entre vous n'avez pas été assez éveillé – alors qu'elle le sera toujours même de loin. Côme passait la nuit chez ton meilleur ami et tu sais qu'il aurait de quoi te raconter tout un tas de choses le lendemain matin. Tu souris avec une certaine malice à la commissure des lippes alors qu'elle te confie se laisser conduire. Ainsi était la deuxième fille Perdraza, libre avec ce grain de confiance inné en toi et ce depuis un tas d'années. « Mh, tu n'es pas craintive à l'idée de me laisser les rênes pour te guider ? ». Une interrogation que tu poses sur une tonalité à la fois ironique et rusée, le tout étant destiné à la taquiner un peu. Tu attrapes ton manteau  que tu enfiles tout en ouvrant la porte du logement que vous partagez et attrape ton écharpe au passage. « J'avais complètement oublié le fait que ma petite demoiselle était une ogresse ... ». Dis-tu tout en ricanant discrètement avant de poursuivre. « Allez on est parti ! ». Lui dis-tu tout en lui présentant son bras pour qu'elle puisse s'y accrocher – si elle le souhaite. C'était courant entre vous.

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étrange est la vie,
encore plus quand il te sourit.

il y a longtemps que les questions ont pointé le bout de leur nez au fond de toi. mais tu les remballes à chaque fois, les ravales à t’en étouffer. préférant les ignorer plutôt que de te retrouver dans une valse endiablée. quoique, si le diable est en lui déguisé, tu pourrais bien foncer. sur un coup de tête. un coup de cœur peut-être. t’en sais rien. et, au fond, t’as pas envie de savoir.

la silhouette s’approche de ta carcasse que tu redresses dans le couloir de l’appartement une fois prête, un sourire sur les lippes, les étoiles dans les yeux, la faim au ventre. « tu sais bien que je te fais confiance les yeux fermés. » que tu réponds sincèrement. parce qu’il est l’un des rares à avoir cette chance, ta confiance. ils se comptent sur les doigts d’une main, tout au plus, ceux qui peuvent bien y avoir droit ; et encore, t’es pas certaine que ça excède l’index en débutant par le pouce.

« une ogresse, à peine ? ça va, t’es sympa ! » le rire caresse la gorge puis traverse les pulpeuses pour s’abattre à ses oreilles. ogresse. ça a l’air de plutôt bien te résumer, à vrai dire. pas loin de fiona, un peu moins grâcieuse peut-être ; un bon mélange des deux héros verts. par habitude, ta main vient se glisser autour de son avant-bras pour s’y agripper avec délicatesse. parce que t’es douce, dans le fond, vega. et il le sait. il te connaît, xavi. mieux que les autres. « t’as entendu parler du nouveau resto italien en ville ? j’en ai entendu que du bien, je voulais le tester avec toi. » t’oses espérer qu’il y ait pas encore mis les pieds, quand bien même tu lui en avais pas parlé avant ça.

le 05 janvier with @Vega Pedraza — Entre vous la confiance est une monnaie courante, encore plus depuis la naissance de Côme. C'est pourquoi sa réponse à ton interrogation ne t'étonne pas le moins du monde. Tu t'attendais à ce genre de réponse parce que tu aurais parlé de la même manière. Tu la considères d'un clin d’œil complice non sans la taquiner un peu à propos de son appétit. Bien évidemment, tu emploies le surnom avec lequel tu la surnommes depuis que vous vous connaissez soit « ma petite demoiselle ». A l'époque cela t'embêter déjà et tu n'as jamais su pourquoi d'ailleurs. « Comme tu le sais, je préfères les filles avec de l'appétit. ». Une véracité que tu ne cesses de répéter depuis des années. Les filles qui prônent un idéal de minceur trop peu pour toi.  Vous quittez le logement que vous partagez ensemble, tu lui proposes ton bras alors qu'elle vient y glisser le tien. Une fois dehors, tu prends la réalité de la température en plein visage et tu te dis que ton écharpe n'était pas du luxe. Vega si tu as entendu parler du nouveau restaurant italien qui venait d'ouvrir récemment. Manger italien n'a rien de nouveau pour toi mais ces dernières semaines, les restaurants ne faisaient pas réellement partie de ton quotidien dans le sens où tu ne quittais pas le bureau entre midi et deux et ce même pour manger. Tu avais élu domicile là bas pour déjeuner en somme. « Alors on va voir ensemble ce que cela donne parce que j'en ai entendu parler mais pas plus que ça. ». lui dis-tu en rigolant tout en déposant ta main sur la sienne, des gestes naturels, singuliers mais surtout très naturels entre vous.

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pas de ces filles superficielles,
plutôt persuadée d’être belle au naturel.

t’en fais pas des tonnes. t’en as jamais fait des tonnes. d’aussi loin que tu t’en souviennes, t’as jamais trop fait attention à ta silhouette ; un peu, évidemment, comme la majorité des humains. mais rien d’excessif. certainement trop peu même, capable d’engouffrer une quantité astronomique de nourriture ; et, avec toi, plus c’est gras, mieux c’est. adepte de la junk food, déraisonnable jusqu’au bout. ça aussi, il le sait, xavi. parce qu’il te connaît presque mieux que personne pour te côtoyer au quotidien sous le même toit.

alors, forcément, quand il te dit qu’il préfère les filles avec de l’appétit, toi, ça te fait plaisir, ça te fait même sourire. ce même sourire que tu pourrais pas cacher même si tu le voulais ; alors tu te contentes de le laisser s’exprimer à sa guise, là, largement sur tes lippes. pas un mot de plus pourtant, pas franchement enjouée à l’idée de potentiellement gâcher le moment.

les silhouettes s’avancent dans le bâtiment et, dès l’instant où vos pieds foulent le sol extérieur, tu te rends compte de la froideur. pas frileuse pour autant mais tes jambes en partie dénudées de rappellent combien la température peut être basse. tu viens resserrer ta longue veste autour de toi pour te protéger du vent alors que le wolford t’avoue ne pas y avoir mis les pieds pour l’instant. « il paraît que leurs lasagnes sont à tomber ! » et tu t’enjoues déjà. parce que t’es comme ça, un rapport exceptionnel à la nourriture, prête à vendre ton âme au diable pour quelques bouchées de ton mets préféré. sa main se pose sur la tienne et t’apprécies ce contact que tu sais pourtant de courte durée pour être bientôt arrivés à la hauteur de sa voiture. « j’aimerais bien sortir après le resto… ça te dirait ? ou tu préfères rentrer ? » tâter le terrain pour savoir où aller en amont déjà.

le 05 janvier with @Vega Pedraza — Se lier à quelqu'un est une mesure que tu prends toujours avec beaucoup de recul, de raisonnement aussi. L'existence ne t'a pas donné que d'autres choix que de réagir ainsi. La mère de ton fils a été la première a qi tu as fait pleinement confiance en matière de cœur et la trahison a été encore plus amère. Passe encore pour ton cas, mais celui de votre gamin ? Tu ne passeras sans doute jamais quand bien même tu apprends à ton petite bonhomme autre chose que la rancœur et la colère. Vega est toute un opposé auquel tu te fis les yeux fermés depuis des années et plus encore depuis la naissance de Côme. Vous êtes proches et la complicité s'expriment de près comme de loin. Tu es franc avec elle, elle l'est avec toi et rien entre vous ne semble calculer. Une fois dehors, la morsure de la saison hivernale vient se manifester sur vos visages puis le reste du corps. Tu vois la brunette resserrer son manteau autour d'elle, alors tu passes tout naturellement une main dans son dos pour la rapprocher de toi. Ton rictus est taquin mais véridique lorsque tu entends la Perdraza te dire combien selon les rumeurs gastronomiques, les lasagnes de ce restaurant son délicieuses. Une fois devant la voiture, tu lui ouvres la portière coté passager. Oui tu es galant ce n'est pas nouveau. « Alors j'ai bien hâte de goûter ça. ». Lui dis-tu tout en faisant le tour monter derrière le volant, attacher ta ceinture et allumer le moteur. Les dernières paroles de Vega d'abord hésitante comme si elle tentait de savoir si cela était possible ? Tu esquisses un sourire taquin avant de pencher vers elle pour attraper sa ceinture de sécurité et l'attaché. « Tu oublies que tu parles à quelqu'un qui mixe  et qui organise des soirées ... ». Lui murmures-tu avant de la considérer d'un petit clin d’œil et de te remettre correctement sur ton siège et commencer à rouler. « Je suis pas contre, tu as une idée d'où tu voudrais aller ? ».

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dans l’incompréhension la plus totale,
son cœur brisé par ton aînée,
les miettes ramassées non sans difficulté.

des années que tu te poses les mêmes questions sans jamais réussir à y répondre ; des années que tu te demandes ce qui est passé par le crâne de mencia. détestable sœur, incapable de l’apprécier ne serait-ce même qu’un tantinet, tu t’es toujours laissée guider par ta haine envers elle. et plus le temps est passé, plus la vie t’a montré la réalité de son âme, plus tu t’es confortée dans l’idée qu’elle est abominable et sans valeur. t’es pourtant pas des plus gentilles, vega ; mais elle, tu l’as jamais supportée. encore moins depuis le coup qu’elle a fait à xavi et côme en les lâchant pour disparaître dans la nature. quelle garce.

la froideur de l’hiver te happe dès l’instant où tes pieds foulent le sol extérieur de l’immeuble, resserrant ton manteau autour de toi pour tenter de t’apporter un peu de chaleur, profitant de la main de xavi dans la tienne pour une durée trop courte à ton goût. cette même main qui, s’extirpant de la tienne, vient pourtant se glisser dans ton dos. et t’apprécies d’un sourire timide. t’apprécies son geste, de ces attentions dont les autres ne sont pas capables. il y a ça, chez le wolford ; ce petit truc en plus, ce je-ne-sais-quoi qui te fait vibrer, qui te rassure, qui prouve qu’il n’a pas peur de se montrer à tes côtés et de te guider. et ça, tu le laisses faire volontiers : te guider. de ces rares hommes à qui tu fais pleinement confiance et à qui tu laisses le pouvoir.

installée au côté passager de sa voiture, tu tâtes le terrain quant à la suite de votre soirée ; parce qu’en l’absence de côme, t’aimerais profiter du temps qui vous est dédié. mais tu sais pas s’il voudra, tu sais pas s’il préfère rentrer. « je sais bi… » tu sais bien. pourtant coupée par son geste et cette proximité, sa main qui vient tirer la ceinture pour toi, son visage à quelques centimètres du tien tout juste. tu le fixes, un peu paumée à cet instant, les billes qui détaillent son visage, le palpitant qui s’emballe, les joues rosies. il prend la route et tu te fais violence pour poser les yeux ailleurs que sur lui, ailleurs que sur ses traits que t’admires certainement avec un peu trop d’insistance. « je… je sais pas trop. on pourrait aller se faire un billard puis boire un verre ? » ou deux, ou trois, ou quatre. pourvu que tu puisses passer du temps en sa compagnie.

le 05 janvier with @Vega Pedraza — Tu as toujours pris soin de ceux qui te sont chers, que cela soit de près ou de loin. Certaines personnes n'aiment pas que l'on soit derrière eux sans arrêt et tu le comprends – et c'est pourquoi les trois quart du temps tu agis dans l'ombre pour veilleur sur ces personnes. Le nombre est mince, certes mais cela n'empêche aucunement l'inquiétude et l'anxiété au quotidien. Tes gestes envers Vega sont bienveillants surtout par ce froid qui mord la peau sans remord. Une fois installés tous les deux à l'intérieur du véhicule, tu boucles ta ceinture tout en étant attentif à la question que te pose la jeune Pedraza. Tu lui rappelles alors que tu organises des soirées et que tu mixes en qualité de DJ quand bien même cela se fait moins ces derniers mois. Avant la naissance de ton fils, tu profitais des fêtes organisés par les étudiants ect mais toujours avec beaucoup de responsabilités. Cela ravive des souvenirs lorsque tu y penses et tu secoues la tête pour balayer tout cela, un rictus peint sur les lippes. Voyant que sa ceinture de sécurité n'est toujours pas mise, tu te tends pour l'attrapé afin d'attacher Vega. Vos pupilles se croisent et tu la considères d'un petit clin d’œil avant de te reprendre ta place et de démarrer la voiture en direction du restaurant italien. « C'est un programme intéressant, surtout lorsque l'on sait que tu es joueuse ... ». commences-tu tout la couvant d'une expression mystérieuse que tu portes malgré toi depuis toujours. « On peut se faire les deux, je connais un bar pas loin mais je suis partant. ». Cela te ferait du bien de décompresser, de lever un peu le pied du quotidien et si en plus tu peux le faire en compagnie de Vega, c'est encore mieux. « Et sinon, toi ça va, tu sembles un peu ailleurs ? ». Du moins, c'est ce que tu comprends mais tu peux être dans l’erreur aussi.

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habituellement indépendante,
de certains agréablement dépendante.

et t’apprécies. t’apprécies ces gestes, cette proximité, ces initiatives qu’il prend sans hésiter. d’autres ne le font pas – si ce n’est même aucun. certainement car d’apparence forte et indépendante, ils craignent que tu n’aimes pas te laisser guider, te laisser aller à ce qu’ils pourraient prévoir pour vous, te faire dompter. pourtant, qu’importe l’image que tu peux renvoyer, c’est ce que tu recherches, dans le fond ; sans en oublier ta nature, tu ressens le besoin d’avoir quelqu’un pour te dompter.

déstabilisée par les gestes dont il fait preuve jusqu’à ce que le moteur démarre, tu te fais violence pour abandonner l’admiration de ses traits. et t’en viens une énième fois à te demander ce qui se passe, là, au fin fond de ton cœur, au creux de ton ventre, au centre de ton crâne. parce que ça fait des semaines que les questions tournent en boucle, que les doutes se soulèvent, que tu ne sais plus quoi penser.

xavi soulève le fait que tu sois joueuse et ça semble te remettre soudainement les pieds sur terre. en effet, tu l’es. excellente joueuse mais définitivement mauvaise perdante. « tu me connais bien. » que tu rétorques en souriant quelque peu, tes billes se rabattant sur lui. « je te suivrais n’importe où, tu le sais bien. » n’importe où. réellement. sans une once d’hésitation, sans même avoir la voix qui tremble. mais, lorsqu’il te fait remarquer que tu sembles ailleurs, toi, ça te coupe un instant la respiration. qu’est-ce que tu peux bien répondre à ça ? l’improvisation te semble être la seule issue. pour autant, t’as pas envie de lui mentir à lui. et c’est l’un des seuls, encore une fois. « je suis un peu perdue mais ça va passer, t’en fais pas. » peut-être que ça ne passera pas. mais ça, seul le temps le dira.

le 05 janvier with @Vega Pedraza — Tes gestes à l'égard de la jeune femme ont toujours été naturels, pour ne pas dire presque instinctifs. Elle a été présente au moment du départ de sa sœur, la mère de ton fils et vous avez toujours vécus ensemble depuis. Pour autant, tu n'as jamais songé que l’ambiguïté puisse être de mise mais au vue des mots qu'elle prononce tu t'interroges. Tu bifurques au carrefour suivant alors que le restaurant est en vision à quelques pas de là. Tu y trouves sans mal une place, ce qui est fortement rare dans les arrondissements de la ville. Tu sens son regard sur toi lorsqu'elle te dit qu'elle te suivrai n'importe où tant que c'est en ta compagnie. Tu esquisses un rire charmeur – sans réellement  t'en rendre compte – puis effectue une manipulation rapide pour te garer. Tu éteins le moteur et détache ta ceinture. « La réciproque de tes mots trouve une vérité dans les miens Vega, l'oublie pas. ». Tu la considères d'un clin d’œil sérieux  puis lui demande si tout va bien de son coté car elle semble voguer vers une contrée que tu ne peux suivre ou cerner totalement. « Mais encore, mh ? ». Ton timbre de voix est d'une infinie douceur teinté d'une pointe d'ironie mais pas destiné à te moquer de la jeune Pedraza. Tu descends du véhicule puis en fait le tour pour ouvrir la portière coté passager et tu tends la main à Vega pour l'aider à descendre. « Mademoiselle est arrivée à bon port, la soirée peut débuter si elle le souhaite. ».