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Lost in our memories - 06.01.23

Anonymous

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Le cœur qui bat un peu trop vite devant cette porte devant laquelle elle s’est si souvent arrêtée. Elle a l’impression de pouvoir encore apercevoir, comme clouée là, l’ombre de leur deux silhouettes en train de s’embrasser en rentrant de soirée, gloussements qu’elles tentaient de camoufler pour ne pas réveiller les parents de Zola avant d’ouvrir le panneau de bois pour se glisser à l’intérieur et rejoindre le lit de l’espagnole – et ses bras, surtout ses bras, elle se rappelle encore la sensation que ça fait de s’y endormir à l’intérieur.
C’est sans doute une erreur d’être là, quelque chose qui, si cela s’échappe des deux principales protagonistes, risque de se retourner contre elle et d’écorcher son couple avec Aisling qui se porte pourtant si bien en ce moment. Sans parler d’Angèle qui ne serait probablement pas ravie non plus d’entendre la nouvelle… Voilà pourquoi elle a préféré ne rien lui dire, même si ça ne ressemble pas à Abril de cacher des choses à sa meilleure amie.

Cherchant sa respiration dans l’espoir de calmer un peu son palpitant, elle finit enfin par appuyer sur le bouton de la sonnette, étonnée que son ex ne l’ait pas entendu arriver de loin vu la force avec laquelle son cœur bat contre sa poitrine.

@Zola Brooks
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Vendredi... Le fameux moment où elle allait arriver, ce moment où je devais contrôler mes sentiments, mon envie de me jeter sur elle, de gouter à ses lèvres si douces, de lier mon corps au sien... Rien qu'en pensant à elle c'était cette fusion qui faisait pulser le sang dans mes veines et pourtant, regardant l'heure, c'est le visage de Brad qui apparait sur mon fond d'écran, cette photo de nous, prise alors qu'on était dans la grande roue, à Londres, cette ville qui était la sienne.. Un sourire sur mes lèvres, je ne pouvais pas nier qu'il faisait battre mon coeur... Autant qu'elle ? Je ne pouvais le dire, pas de la même manière, mais des deux je ne pouvais pas me passer, même si d'Abril, plus rien n'était possible... Plus rien.. Car on était plus à ce niveau là, on avait ... J'avais tout brisé... Et avec Brad on était pas là encore... Je l'espérais mais était-ce juste réalisable? La sonnette qui retentis et un sursaut qui me fait réalisé l'heure, je suis encore en legging de course et en débardeur suite à ma séance de kiné. J'enfile un sweat à capuche.. je ne devais pas nous tenter, je devais respecter les règles... Dieu que j'aimais me flageller, c'était une torture de l'imaginer près de moi sans pouvoir la toucher... Et pourtant, confiante d'arriver à être son amie ... J'allais ouvrir... "Hey salut... Entre." Je la laissais passer avant de refermer la porte derrière nous.

@Abril Ojeda <3
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Un instant elle s'imagine que Zola n'est pas là. Ça serait tellement plus simple, elle pourrait retourner chez elle ou chez Aisling, effacer l'ardoise, tenter d'avancer pour de vrai. Mais elle se sont donné rendez-vous et son ex n'est pas du genre à manquer à ses promesses. Enfin sauf quand ces promesses relève du couple qu'elles formaient par le passé...
La porte se dérobe pour afficher l'espagnole dans un sweat et un legging qui n'échappe pas à Abril. Le pull a beau être grand, elle peut apercevoir la forme du bas de ses fesses quand elle se retourne pour la faire entrer et rien que ça lui fait tourner la tête. L'interdit rend tout plus excitant et la beauté devant elle n'y fait pas exception. Faut se contenir.

Alors la mathématicienne entre à sa suite, sans vraiment savoir comment la saluer. Un câlin lui paraît trop intime, trop risqué, mais elles ne vont pas se serrer la main non plus c'est idiot... Abril se contente donc d'un sourire et d'un "Hey" avant d'ôter son épaisse veste et ses chaussures qu'elle pose dans un coin de l'entrée. Zola n'avait pas menti en tout cas, il y avait des cartons partout.

- Ta mère est là ?
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Lorsque j’ouvre avec un sourire non dissimulé, elle est sublime, magnifique, solaire, et encore les mots sont si faibles pour exprimés ce que je ressens en la voyant là, sur le pas de ma porte… Mais je dois tenir bon, on a dit qu’on était… Amies… Enfin j’en sais rien mais je lui ai promis de ne pas craquer, d’être la personne raisonnable… En serais-je capable? J’en doute, mais je devais essayer, tout faire pour elle. Je la laisse entrer, et nous dirige vers la cuisine. Abril prend ses marque, comme si elle n’avait jamais quitter la maison, retirant ses chaussures et son manteau. Elle est comme chez elle, depuis toujours et pour toujours.
« Non, elle a des trucs à régler au bureau… Elle ne quitte pas le cabinet d’avocat, elle est muté.. Donc ça sera plus simple…. » Une pensée s’égare vers l’homme qui est à la tête de ce bureau, ces bureaux…. Je reviens vite vers mon invitée. « Tu veux boire quelque chose? Manger? J’ai préparer des muffins. » Je l’invite à s’installer dans le canapé du salon. « C’est le bazar… Mais bientôt ça sera vide , je pense que je préfère les cartons… » Le stress me fait parler..? Non juste le bonheur de la revoir. De l’avoir auprès de moi..


@Abril Ojeda <3
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Dans ce décor peinte dans les teintes du départ, elle revoit des souvenirs accrochés au mur. Mémoire de l'endroit, de ce canapé sur lequel elles s'étaient endormies un jour dans les bras l'une de l'autre devant un film avant même d'être ensemble, de la table à manger où Abril avait si souvent pris son petit-déjeuner, de cette porte contre laquelle Zola l'avait un jour plaquée avant de capturer ses lèvres, son corps. Désormais ce sont les cartons qui remportent la partie et il n'y a même plus de porte-manteau auquel accrocher sa veste qu'elle se contente de poser sur ses chaussures avant de se mouvoir en direction du salon.

- Je veux bien un café, mais... Z, je ne ferai pas long.

Elle y croit encore, à la possibilité d'échapper au mensonge à l'encontre d'Aisling alors qu'il est déjà trop tard parce qu'elle n'aurait même pas dû reparler à son ex. Mais ce n'est rien, à peine un petit encart à sa promesse, une griffure, une éraflure que sa copine n'a pas besoin de connaître, qui lui ferait plus de mal qu'autre chose parce que ça ne veut rien dire cet après-midi et cette visite, ce cadeau soigneusement emballé au fond de sa poche. Ca ne veut rien dire même si ça pèse lourd, même si Abril doit violemment contenir l'élan qui lui donne envie d'écraser ses lèvres sur celle de son soleil espagnol. Ca ne veut rien dire, mais à qui ment-elle encore ?
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C’est étrange de savoir que je vais quitter cette maison que j’ai toujours connu. Evidemment je sais mes parents propriétaires de la maison en Espagne aussi et mon père à une villa en Italie aussi. Mais c’est pas comme ici. C’est pas une "maison de famille"… Et savoir qu’on allait devoir tous partir… Mes souvenirs, et moi.. C’est pas si simple. Surtout en la voyant là, elle qui a habité les plus beaux songes, les plus belles histoires de mes années passées…

Elle accepte mon café… Mais ne réponds pas pour les muffins , elle ne veut pas rester trop longtemps.. Je comprends, je ne suis plus là même pour elle. Je n’ai plus cette importance. Avant nous n’aurions jamais compter le temps ensemble, quitte à en oublier le monde entier, nous avions besoin de personne… Car elle était mon monde… Cette idée alors que le liquide amer coule dans la tasse et que je me sers un thé, une assiette de muffins accompagnant le tout, est douloureuse… Je ne dois pas penser à Abril de cette manière sinon j’allais la perdre mais je ne pouvais m’en empêcher… Elle était mon soleil. Mon A…

Je reviens et pose le tout sur la petite table devant elle en lui tendant sa tasse je lui dis avec un sourire, tentant de ne pas fixer ses lèvres, je ne dois pas craquer… « Goutes en au moins un et puis les autres tu pourras les manger en route. » Je bois un peu de thé… « Les chocolats t’ont plu? » Je ne voulais pas trop faire, j’aurais tellement lui offrir plus… Mais c’était une attention, un petit détail qui pouvait lui faire penser que j’étais dans une optique de la revoir, de reprendre… Une nouvelle relation avec elle, peu importe ce que je serais, je voulais ne jamais être trop loin de cette femme…

@Abril Ojeda <3<3<3
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C'est étrange de se dire que cette maison qu'elle connaît si bien appartiendra bientôt à quelqu'un d'autre. Que ce ne sera plus Zola qu'elle pensera apercevoir en ombre découpée de l'autre côté des fenêtres en passant devant, que d'autres évolueront là, des inconnus qui n'auront aucune idée de tout ce qui a bien pu se jouer entre ces murs. De l'amour, tellement d'amour, mais des maux douloureux également auxquels Abril n'a cependant pas envie de penser. Pourquoi rester figée sur un passé douloureux quand elle voyait bien qu'elle ressentait encore de nombreux sentiments à l'égard de son ex. Le problème dans tout ça... le problème c'est qu'elle avait fait une promesse à Aisling et que cette promesse était incompatible avec ce qu'elle ressentait. Alors l'étudiante en mathématiques accepte à demi mot le café offert, mais promet de ne pas s'attarder.

Sans surprise, elle devine que le liquide au fond de la tasse de Zola est du thé... elles se connaissent si bien qu'elle pense même pouvoir deviner le goût de celui-ci et sa place dans l'armoire où la famille Brooks conserve ce genre de choses. Sous l'impulsion de l'espagnole, elle se plie à sa demande et prend un muffin qu'elle goûte du bout des lèvres : elle n'a pas vraiment faim, le ventre noué comme si elle s'apprêtait à faire une déclaration d'amour.

- Ce sont toujours mes préférés alors... oui, merci beaucoup Z.

Ensuite, elle sort délicatement une petite boîte emballée dans du papier de soie. C'est trois fois rien, une bague fantaisie qu'elle a trouvée dans un distributeur qu'on voit dans les supermarchés ; elle est d'ailleurs encore emballée dans sa bulle de plastique. Mais ça devrait lui rappeler des souvenirs, un rituel entre elles avant chaque match de Zola, qui avait commencé une fois qu'elles s'étaient retrouvées dans un grand centre commercial juste avant l'une de ses compétitions. Et depuis ce jour-là jusqu'à leur rupture, Abril n'avait jamais cessé de retrouver ces distributeurs pour continuer la collection... Donc quand elle en a vu un, juste après le Nouvel an en allant faire quelques courses, forcément, elle a craqué... En souvenir du bon vieux temps.
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Je n’étais pas une grande cuisinière, j’avais mes recettes fétiches, et celle des muffins préférés d’Abril était ma préférée… Il faut dire que j’en avais tellement fait.. Avec des tas de goûts, mais ceux là, étaient les numéro un. A… Elle était tellement belle, les souvenirs qu’on avait pu vivre ici, ne s’effacerait pas, ils partiraient avec moi.
En faisant les cartons j’avais retrouvé des photos, des petits cadeaux qu’on avait pu s’offrir, et un carnet de note qui avait voyager entre nous, surtout quand nous étions séparer, nous écrivions dedans et l’autre le lisait quand on se retrouvait… C’était tellement intense. Elle était la seule femme. Oui j’avais eu des tas d’hommes, j’en avais connu, et j’en avais aimé en même temps qu’elle, fréquenté,… Surtout cet ex qui avait tout détruit, mais … Je n’avais ressenti ce besoin d’appartenir qu’à une femme, elle. Je n’avais eu envie que d’une seule femme… Elle.
Alors oui… Elle était unique et cet amour aussi.. Même si des tas d’autres questions venaient se poser depuis l’arrivée de Brad dans ma vie.

La belle sort une boite. Je fronce les sourcils.. Un cadeau? Mais c’était pas un cadeau fait pour avoir un retour… « C’est pour moi? » Je la questionne en tendant la main doucement. Je prends la boite et la déballe. Un petit rire me prend. Elle se souvenait. J’ouvris avec impatience la bague. La passant à mon doigt. « Elle est magnifique.. » Evidemment c’était une petite blague en plastique, mais… C’était la valeur de ce qu’elle signifiait qui était bien plus grande que le reste. « Tu sais que j’ai encore presque tout … Surtout les balles. » Je lance celle la en l’air et la rattrape. « J’adorais quand tu me les donnais après les compétitions… Les filles rigolaient, mais moi.. » Je perds un peu mon sourire.. De peur que ses mots soient déplacés à l’heure actuelle. « Je t’aimais encore plus.. »




@Abril Ojeda <3



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Pour beaucoup, ce n'était presque rien. Une pièce tournée dans un distributeur pour enfants, rien d'important, rien de précieux. Parce que personne ne pouvait comprendre les souvenirs qui y étaient liés, personne ne pouvait saisir le véritable trésor dans ce simple geste, dans cette petite boîte que Zola ouvre avec délicatesse. Personne à part elle, bien sûr. Elle, elle, elle... Elles avaient tellement partagé ensemble, tellement vécu toutes ces années, des choses affreuses, mais d'autres tellement belles et puissantes. Est-ce que quelqu'un la connaîtrait un jour aussi bien que son Soleil ? Aisling, bien sûr, avait une place terriblement importante dans sa vie et son présent, Aisling qu'elle aimait d'un amour véritable et intense. Mais la musicienne ne pourrait jamais comprendre ce qui la liait à son ex, ces souvenirs du lycée, ce lien encore avec ce cousin perdu, sa seule guide possible lorsqu'elle était arrivée à Harvard...

- Je me souviens quand on allait à la piscine ensemble et que je les lançais dans le bassin pour que tu ailles les chercher le plus vite possible, se rappelle-t-elle dans un sourire, pluie multicolore lancée au hasard du chlore et qui avait à peine le temps de s'enfoncer avant que la nageuse hors paire qu'était Zola les attrape pour les ramener sur le bord comme des perles trouvées dans des huitres.

Avec douceur, Abril repose la tasse de café entre ses doigts pour saisir à la place la main de son ancienne amante qu'elle devine perdue dans les souvenirs, ceux qui irradient l'amour et le bonheur, pas ceux, plus sombres, qui avaient mis fin à leur histoire.

- Je sais. Et c'est pour ça que je n'aurais dérobé à notre rituel pour rien au monde.

Elle relâche la main pour remonter le long du bras, puis du cou, jusqu'à parvenir au menton, la joue, les lèvres... Ca s'emballe en Abril, si fort que son coeur menace de se dérober de sa poitrine, arracher sa cage thoracique pour aller mourir, juste là, aux pieds de Zola.

- Quand tu jouais, je n'avais qu'un seul rêve. Te voir sortir du bassin pour pouvoir t'embrasser. Et j'en ai toujours envie...

Jeu dangereux, quand tu nous tiens, Abril grille toutes ses promesses aussi simplement qu'un briquet allume une cigarette.
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J’éclate de rire quand Abril évoque ce souvenir. C’était après les entraînements, je n’avais pas le temps de sortir parfois du bassin qu’A. débarquait en bas des gradins pour jeter ses balles, j’adorais ça, les filles riaient mais moi c’était un symbole d’amour, un lien unique, un truc à nous, comme on en avait des tas et que je n’oublierais jamais. Après ça, les filles partaient rapidement et je pouvais profiter d’Abril dans les vestiaires, on prenait notre temps, je me vois encore la déshabiller avant d’aller sous la douche avec elle… Seules, sans que personne ne nous dérange… Et l’embrasser alors que l’odeur du chlore était encore sur ma peau..

« C’était fun, mais tu les lançais de plus en plus loin… Et j’avais bien envie de te balancer dans l’eau avec parfois, pour venir te sauver. » Abril savait nager, je n’avais pas risque sur sa vie dans l’eau mais c’était amusant de l’imaginer parmi les balles, je n’aurais pas hésité, j’aurais été vers elle directement pour le prendre contre moi, la serrer, l’embrasser… Souvenir qui resterait comme les autres gravés dans ma tête et au fond de ma peau… De mon âme… Ma A. Amore, mon unique…
Et pourtant tout avait été détruit, et j’avais peur de ne la blesser en continuant… On ne devait pas dépasser limites on le savait…

Elle prends ma main et mon corps entier vibre sous cette douce chaleur. Ce frisson doit rester l’unique, pourtant sa main qui remonte. « La compétition c’est fini tu sais… » Je murmure, j’avais autant de mal à dire adieu à ça, qu’à dire adieu à ce lien avec A. C’était tout bonnement impossible, l’un comme l’autre, même si je ne voulais pas me laisser l’opportunité d’espérer, trop peur d’avoir mal…

Je ferme les yeux quand ses doigts se déposent sur mes lèvres… Je sais que je dois la repousser, je sais que c’est pas raisonnable et je lui ai promis de l’être.. Je dois tenir ma promesse.. Ses mots… Je garde mes yeux fermés et soupire doucement. « 
Dios mío... A. esto es una tortura... » (trad : Mon dieu.. A. c’est une torture..)
Je murmure dans cette langue qui nous unie avant de la serrer dans mes bras. Je dois la tenir contre moi, posant ma tête sur son épaule. Mon souffle proche de son oreille. « Je serais la voix de la raison Amore, Serre moi contre toi, respire moi, mais.. On ne peut pas s’embrasser.. » Pas que je ne voulais pas. Dans mes lèvres mon coeur battait, hurlait mon envie de sentir ses lippes se poser sur les miennes, mais je ne pouvais pas j’avais promis…



@Abril Ojeda <3  
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