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What the Fuck, where is my cat. Haytam

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    What the fuck, where is my cat?
    Haytam & Alicia

    Journée détente aujourd'hui, c'est dimanche et rien de prévus à l'horizon, un petit tour dans le parc et voilà histoire de se pauser tranquillement et de se ressourcer. C'est donc la musique dans les oreilles que je quitte mon petit Meeko qui aurai bien eu envie de partir avec moi, vus comment il me regardait avec sa petite tête toute choupinette avant mon départ, "Mais t'inquiète pas mon cœur, maman elle reviens tout à l'heure." Il faisait super beau aujourd'hui et ça me donnait le moral, en quelque pas j'étais arrivé au parc je m'installe donc dans l'herbe et sors un bouquin de mon sac. C'est des auteurs français Giaccometti et Ravenne, j'aime leur romans, je les suis depuis le début c'est d'ailleurs Julien qui m'a fait découvrir, tout est basé sur un commissaire franc-maçon qui part à la recherche des secrets perdu, ce tome la c'est sur le trésors des templiers. Ce que j'aime la dedans c'est les différents points de vus, on passe du présent avec le héro, on passe du temps avec les méchants, mais aussi avec les investigateurs du mythe et ça c'est vraiment génial. Je passe donc deux heures allongés dans l'herbe à lire et à me détendre, sauf qu'au bout de deux heures j'avais fini mon bouquin, je remballe donc mes affaire et retourne à la résidence, un fois de retour je pénètre dans le dortoir et là tout était vide plus de chat, je claque la porte et fait le tour de la chambre pour voir si je ne le voyais pas et là je m’aperçoit que la fenêtre est resté ouverte, je m'assoie alors sur le lit et me prend la tête " C'est pas possible ça elle aurai pus fermer la fenêtre quand même" Je pensais à ma coloc à se moment là mais si ça se trouve c'est même pas elle. Je retourne dans le hall des Quincy et demande s'il n'avait pas vus mon chat, tout le monde le connais ici donc c'était pas la peine de montrer la photo, le soucis c'est que personne ne l'avais vus. Je prend alors la direction du grand hall là où toute les maisons se croisent avant de sortir et demande à qui veux le savoir où se trouve mon chaton d'amour et montre un photo.
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Les dimanches… Qu’est-ce que cela pouvait être ennuyant. J’avais l’habitude de bosser toute la semaine, jusqu’à tard le samedi soir m’avancer encore en cours et surtout devancer les autres élèves qui était déjà bien derrières loin. Cependant le dimanche… toutes les salles étaient fermées, impossible de travailler mis à part dans sa petite chambre d’étudiant. Depuis plus d’une heure je soufflais, tournant en rond. Je n’avais rien à faire sur mon pc, je connaissais mes bouquins par cœur, alors quoi d’autre ? Je décidais alors de sortir faire un tour, histoire de, tout de même, profiter du beau temps. Attrapant ma veste qui était sur le bureau bien rangé, je fis tomber une pile de livres dont l’un s’entrechoqua dans ma tasse de café qui venait alors se propager sur ma chemise. Raillant, je jetais ma veste sur mon lit, allant chercher de quoi nettoyer mon bureau. Malheureusement je n’avais plus rien à me mettre sous la main pour éponger les dégâts, d’un pas rapide je sortais donc de ma chambre pour me diriger vers celle de Torrey qui n’était pas loin, lui réclamant avec un minimum de politesse. Avant de sortir de ma chambre, j’avais ouvert la fenêtre pour faire disparaitre l’odeur du café qui embaumait désormais la pièce, et à ma grande surprise en revenant dans celle-ci, je tombais nez à nez avec un chat, qui était allongé sur mon lit, en boule, comme si de rien n’était. Trop pressé par le café qui était en train de couler sur mon bureau, je me précipitais vers celui-ci pour l’éponger, et une fois la tâche terminée, j’enfilais un autre tee-shirt. Je restais ensuite une longue minute à observer ce chat, me demandant bien comment il avait pu arrêter là. « Euh… le chat… il faut partir maintenant, ce n’est pas ton lit ! » J’ai toujours préféré la compagnie des morts ou des animaux plutôt que celles de vivants, mais j’ignorais d’où débarquait ce chat. Me rapprochant du lit, celui-ci venait alors à ma rencontre, se frottant contre moi, ronronnant. Je sortais alors rapidement de ma chambre pour crier dans le couloir. « Euh… y’a un chat là, mais euh… il est à qui ? »

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    What the fuck, where is my cat?
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    J'étais en train de m’exciter tout de seule sur la disparition, je le laisse souvent sortir ça y a pas de problème mais là je l'avais laissé dans la chambre pour pas qu'il sorte et que je puisse fermer la fenêtre pour la nuit. Je tourne et vire dans les dortoirs mais rien personne pour me dire s'il avait vus quoi que ce soit, je sors donc en ronchonnant fumer une cigarette pour me détendre un peu, sauf que je tire tellement vite dessus, qu'elle se consume en deux deux. Je reprend un peu mes esprit et enfin un peu plus calme je prend la décision de faire le tour des dortoir de toute les maisons, Cabot, Eliot, Loweell, Mather, Winthrop, pour finir par les Dunster et c'est là que je vois un type en train de dire qu'il avait un chat dans sa chambre, je prend donc la direction et me présente à lui. "Salut t'as trouvé un chat, le mien s'est barré, c'est certainement le mien, désolé pour le dérangement en tout cas." Une peu confuse je n'ose même pas entrer ou regarder dans la chambre pour vérifier que c'est bien mon minou qui est là, mais je l'espérai vraiment ça fait déjà trente minutes que je suis à sa recherche et sa me gonfle un peu trop à mon gout
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Je restais dubitatif, scrutant le chat d’un œil, demandant aux gens qui passaient devant ma porte à qui pouvait bien être cet animal. J’ignorais qu’on avait le droit à un animal dans les chambres étudiantes, cela me donna des idées… très vite coupées. Moi avec un animal ? Certes j’aurais pu l’aimer, et j’avais un certain don avec eux, mais je n’aurais en rien le don de m’en occuper. Je soupirais alors que personne ne s’arrêtait devant moi pour reprendre cette maudite bestiole qui semblait apprécier mon dessus-de-lit. Alors que j’allais refermer la porte, une fille brune m’alerta, me disant que c’était probablement le sien. Soulagé, je me décalais de la porte pour la laisser entrer et je me dirigeais en sa compagnie vers mon lit. « Je l’ai trouvé là, en train de pioncer, il a l’air d’apprécier l’endroit … » Ce qui était étrange, oui je n’avais pas terminé ma phrase. Ma chambre était très peu décorée, aucune photo personnelle, il n’y avait pas de posters partout, il y avait juste des tas de livres entassés à divers endroits, des instruments me servant en cours. Je posais alors mes yeux sur le chat un instant avant de reposer mon regarder sur la brune qui semblait heureuse de l’avoir retrouvé.

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    Je souffla un coup quand le jeune homme me dis qu'il avait un chat dans sa chambre alors qu'il n'avait rien vraisemblablement pas de chat à la base. Avant même d'entrer et à la suite de sa réponse je ne pus m'empêcher de sortir un: "Le dessus de lit il adore ça j'espère que t'es pas allergique." Le tutoiement est sortie tout de suite en même temps entre étudiant je me vois mal le vouvoyer mais bon si ça le dérange on en reviendra au vous tout de suite. J'entre donc dans la chambre, une chambre sobre même trop sobre, il n'y avait rien mis à part des bouquin un lit, un bureau et une table accompagné de la chaise qui va avec. Et là je vois mon Meeko qui flemmarde sur le lit de l'étudiant. Je m'approche donc de lui doucement et lui sort: "Ah bah t'es là toi, depuis quand tu va chez les gens comme ça toi?" Oui je parle à mon chat, il me répond presque tout le temps et on se fait des discutions, le mec va certainement penser que je suis complètement barré mais non je suis comme ça j'aime communiquer. Au bout de quelque second mon gros (mon chat bien sur) décide enfin de bouger, enfin bouger il se met sur ses quatre pattes s’étend en allongeant bien les pattes en avant et baille un bon coup en laissant sortir un petit son et le tout en me regardant puis s’assoie sur ses petites fesses. Je le prend donc dans mes bras tout heureux qu'il est il se met à ronronner à tout va demandant caresse et bisous. "J'espère qu'il ne t'as pas dérangé au moins."
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J’observais le chat en silence. J’avais beau me questionner sur les humains, me demandait pourquoi ils avaient un certain genre de réaction à une certaine période ou acte de leur vie, je ne m’étais jamais demandé quoi que ce soit au sujet des animaux. Alors que plus jeune, on m’appelait ou plutôt me surnommait avec des pseudos noms tels tueur de chats, ou assassin d’animaux, noms très peu poussés j’avoue, mais ils venaient de l’imagination de gosses à faible quotient intellectuel, ce n’était pas, ainsi dire, de leur faute. Bref le problème n’était pas là. Alors que tout me désignait si éloigné des animaux, ceux-ci avaient l’air de bien m’aimer. Il arrivait au chat de mes voisins de venir me demander des caresses alors que j’attendais que le temps passe, assis dans un coin de mon jardin. J’avais toujours eu une profonde considération pour les animaux, malheureusement mes parents n’étaient pas du même avis que moi, ils préféraient m’inventer de fausses allergies plutôt que de m’acheter ne serait-ce qu’un poisson rouge. Et après on s’étonne que je ne sois pas franchement sociable… « Je vois ça… » répondais-je à propos du dessus-de-lit, me calant contre ma porte, croisant les bras, observant la scène où le chat était roi. « Oh eh bien je dirais que non. Je l’ai juste vu… étalé là, rien de plus. Comment il s’appelle ? » Le chat se mettait alors à ronronner, un bruit sourd que j’aimais particulièrement, je trouvais que ce son était… rassurant.

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    Je laisse mon Meeko s'étirer à sa guise, puis il s'assoie il avait, semble t'il, décrété que le lit de l'étudiant était son lit pour le moment, c'est pourquoi je ne le prend pas immédiatement dans mes bras, a mon avis non allons discuter un petit moment et le monstre va retourner au près de Morphée ce qui ne m'étonnerai pas le moins du monde. En tout cas j'espère que je ne dérange pas le garçon à tout de même l'air d'être un sacré travailleur, puisqu'il n'y avait que des livres dans cette chambre, il voudrait peu être retourner travailler. Cependant il me demande le nom de bête qui avait pris possession des lieux. "Meeko, je suis un grande fan de Pocahontas, et j'adore ce nom pour les animaux. Même si dans le dessein animé c'est un raton laveur." J'hausse les épaules qui signifié que je me fichais pas mal de ce qu'il pouvait bien penser du nom de mon chat. J'aime se nom, j'aime regarder des Walt Disney même à 22 ans je suis restée encore enfant par certain moment et cela ne me dérangeait pas le moins du monde. "On va pas te déranger plus longtemps que ça je suppose que tu va retourner travailler?" J'étais tout de même prête à reprendre le fugueur avec moi si le jeune homme ne désirait pas ma présence.
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Je restais les yeux fixés sur la bête, cela était peut-être vexant pour la maitresse de celle-ci, mais au fond j’étais un peu fasciné par ce chat. Il ne me connaissait pas le moins du monde, et le voilà qu’il s’étirait sur mon lit comme s’il lui avait toujours appartenu. Croisant les bras, me collant contre ma porte, j’interrogeais alors la jeune femme dont j’ignorais encore le nom, à propos de celui de la bête, pas vraiment gentleman, mais sur le coup je n’y avais pas pensé. Meeko… Un sourire se dessinait alors sur mes lèvres. « C’est très joli, original, j’aime bien ! » Quelque chose que j’aimais, quel effort ! Avec un sourire en plus ? Décidément ce chat me détraquait, mais qu’importe, je n’avais pas envie de me prendre la tête aujourd’hui. La demoiselle s’interrogea sur le fait de partir, de ne pas me déranger plus, je faisais alors une moue, me creusant la tête pour savoir si j’avais une réelle chose à faire, je veux dire, en plus de travailler d’arrache-pied comme je pouvais le faire quotidiennement. « Il faudrait déjà que tu arrives à enlever ces griffes de mon lit, mais rassure-toi, je n’ai rien de prévu ! » lui lançais-je en reportant mon regard sur elle. Je préférais rester debout, pour le moment. J’avais été assis toute la journée et mes jambes étaient engourdies, sensation que je détestais par-dessus tout.

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    Je souris quand il me dit apprécier le nom de mon chat, je me fiche bien de se qu'il pense surtout si ça lui plaît pas mais comme ça lui plaît ça me va. Je regarde mon petit monstre faire sa vie sur le lit. Eh hop que je m'étire, eh hop que je m'allonge, eh hop je me roule dans tout les sens, eh hop que je me chope la queue pour la laver, et va s’y que je me lave les pattes, à croire qu'il était mieux installer ici que dans ma chambre avec tout ce qu'il lui faut pour vivre. Je le caresse un coup sur la tête te remet toute mon attention sur notre hôte. Je ne le dérangeais pas donc, c'est plutôt une bonne chose alors, je continuerai bien à discuter avec lui alors. « Si je t'offre un truc à boire tu accepterai ? Café, chocolat, thé, une bière peu être ? » J'avais tout ce qu'il me faut dans la chambre, tout était en poudre à mettre avec de l'eau et comme j'avais une bouilloire, le problème de la chaleur ne se pausait pas. Et pour la bière avec Olympe on s'était cotisait pour acheter un mini frigo histoire de mettre deux trois victuailles dedans, j’attends donc qu'il me réponde pour faire quoi que ce soit. J'espère qu'il accepterai comme ça je pourrai ramener le nouveau maître des lieux dans sa semeur initiale.
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Je me grattais l’arrière de la tête en posant mes yeux sur la jeune femme qui observait son chat. Un sourire s’était aussitôt dessiné sur son visage, à vrai dire j’étais plutôt heureux qu’il se pose ainsi sur mon lit, qu’il prenne ses aises. Les chats étaient réputés pour chercher le confort maximum, se poser là où ça leur plaisait, uniquement. C’est donc que ma chambre avait bonne réputation, à défaut de l’être auprès des humains, elle l’était auprès des chats, c’était déjà un bon début. La jeune femme me proposa alors d’aller boire un verre. Je passais alors à nouveau la main dans mes cheveux, les ébouriffants cette fois-ci. Les relations, ce n’était pas mon truc. Il faut croire qu’elle n’avait jamais entendu du ‘Haytam le boucher’ ou un des autres surnoms débiles qu’on a pu me donner au cours de mes années à Harvard. « Hum d’accord, j’accepte, je te suis. » Disais-je alors qu’elle se levait, prenant son chat dans les bras. Elle sortait alors de sa chambre et je vérifiais dans un dernier coup d’œil que tout était à sa place, moi et mon esprit manique assez spécial. J’avalais alors difficilement ma salive lorsque je fermais ma chambre. Les regards se tournaient alors sur moi, pour changer, ainsi que sur la brune qui m’accompagnait, oui c’était une scène rare après tout, moi en compagnie d’une femme, mieux, moi en compagnie d’une personne…

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