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La Doyenne
35 participants
Haiwee Wind River

Âge : 25
Lieu de naissance : Wind River, réserve amérindienne dans le Wyoming.
Quartier d'habitation / Colocation : la Adams House la semaine, avec Dan et les souvenirs de Dutch le weekend.
Situation sentimentale : prise, amoureuse sur un nuage, craignant malgré tout l'orage. (en couple avec Sheng depuis le 23/06/23)
Études / Métier : étudiante en journalisme (6ème année à la rentrée) et pigiste pour le Boston Globe.
Date d'inscription : 15/11/2020
Pseudo & Pronom(s) IRL : Leeloo. (elle)
Icon : happiness therapy
Faceclaim : Adria Arjona
Crédits : March Hare ♥
Multicomptes : Wendy, Ellie, Junior, Miya, Taylor & Enola
Description (1) :
→ il y a une prairie dans mon monde parfait ←
→ il y a une prairie dans mon monde parfait ← 
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née dans la réserve amérindienne de wind river • sauvage • sensible • insaisissable • ingénue • novice • farouche • fière • sensorielle • caractérielle • croit aux esprits anciens • préfère la médecine douce à la science • connaît la médecine amérindienne • a une fâcheuse tendance à parler en amérindien lorsqu'elle perd le contrôle • elle connaît d'ailleurs plusieurs anciens dialectes différents • bavarde • honnête, ne sait pas mentir • elle s'est fait tatouer une rune signifiant "Libre" sur les côtes lors de son premier SC en 21 • durant une période elle a eu du mal à dormir (blessée par balle en nov. 21) • a perdu sa virginité avec sheng en janvier 22 • étudiante en journalisme • en couple avec sheng officiellement depuis mai 23 (mais amoureuse de lui depuis mai 21) • à 4 mois de grossesse elle fait une fausse couche tardive le 14 janv. 23 •

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Description (2) :
LE DERNIER CTRL + V - Page 97 Thunderbird
→ BUCKET LIST ←
→ BUCKET LIST ← 

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vivre.
être libre.
être aimée.

Description (3) :
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→ RELATIONSHIPS ←
→ RELATIONSHIPS ← 

Dutch pnj // Grand frère de coeur sur lequel elle pensait pouvoir toujours compter. Il quitte Boston en Août 22, lui laissant argent et maison en cadeau.
Sheng // il a bousculé toutes les barrières. Chamboulé ses idéaux en une soirée. Dangereux, mais elle ne peut stopper ce jeu. Amoureuse de lui malgré les directives de ses aïeux.
Piotr pnj // étudiant complexe. Elle l'aime comme elle le déteste.
Anders // ancien parrain de fraternité avec lequel elle a développé une vraie amitié.
Dan // colocataire, au départ pas très proches, il a été présent durant l'un des moments les plus difficiles de sa vie. Elle voit en lui un ami depuis.
Horace // rencontré au Sidh, elle a vu en lui une lumière, homme si particulièrement solaire.
Lilia // sa meilleure amie, sa confidente, son épaule, elles partagent la même chambre à la Adams house.
William // agent du FBI venu l'interroger, elle a vu en lui plus qu'un simple uniforme, un calme salvateur, un être partageant ses valeurs.
Oliver //

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XIVER

Warnings : Vie en communauté - Virginité - Sexe - Natifs américains - Blessure par balle - Grossesse - Fausse couche tardive
RPS : 830
Messages : 5711
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Haiwee Wind River
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✨ membre du mois | STUDENT › proud member of harvard university
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t124809-haiwee-wind-river-adria-arjona#4789340Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155282-haiwee-wendy-manny-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155418-haiwee-wendy-manny-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t126258-meetsachussets-windriverComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t143458-colors-of-the-wind-haiwee
« Les rousses, c'est mon affaire, »
(Haiwee Wind River)





FAITHFULLY

“ Someday, this beach might wash away... the oceans may dry, the sun could dim, but on that day I'll still be loving you. Always and forever. I promise you. ”
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Kōh Larsson

Âge : 25
Lieu de naissance : Séoul, Corée du Sud
Quartier d'habitation / Colocation : Boston
Situation sentimentale : Célibataire, il n'est pas entrer dans le monde de la personne
Études / Métier : 7ème année de Médecine (a redoublé sa 4ème année)
Date d'inscription : 29/12/2021
Pseudo & Pronom(s) IRL : N/A
Icon : LE DERNIER CTRL + V - Page 97 7f2c4b821c99b2e2cddbb2e5491527f9fb12cf9c
Faceclaim : Choi San
Crédits : WN(avatar)
Multicomptes : SooBin(Adams) | Nolan(Kirk) | Pirun(Kirk)
Description (1) : A grandi a NY, Manhattan dans le quartier le plus huppé Upper East Side, dont-il connait de nombreuses adresses ! | Hétérosexuel et Hétéroromantique, il n'a pas encore trouvé sa perle pour lui montrer qu'il peut être une montagne et romantique | Passionné de danse, passant du hip-hop,krump,moderne,classique,
breakdance,lyrique,contemporain
| A choisi Médecine pour que les personnes puissent partager encore des moments en familles | Fan de la glace dont le parfum menthe et menthe chocolat

Warnings : Abandon/Adoption/Promesse rompue/Violence Sex/Echec scolaire/Traumatisme/Drogue/Alcool/Sex+18/Violence Familiale envers Kōh/Hospitalisation
RPS : 56
Messages : 1137
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Kōh Larsson
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t169413-koh-larsson-choi-san#8120395Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t167956-repertoire-rpskohsoobinnolan#8394768Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t172964-meetsachussets-koh#8540845
orthopédie
(Kōh Larsson)




Ne rêve pas ta vie, vis tes rêves!
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L'histoireT'encombre pas la tête, y'a pas la place !
Un bruit de papier qui s'étale sur le sol n'atteint même pas mon audition pourtant excellente. Un dossier nickel et carré comme je les aime sera bon pour un nouveau traitement... tandis que mon portable énonce des mots que je ne comprends qu'à moitié. « Décès. » « Voiture en feu. » Sont les seuls que je capte sans réellement y croire. Par la force des choses, mes doigts resserrent le téléphone malgré moi, si fort que j'en finis par blanchir mes phalanges. Là, tout de suite, on se croirait dans un mauvais film dramatique... le tableau est tout de même osé : un avocat surdoué et jeune par rapport à la clique de vieux croûtons qu'il côtoie au quotidien... beau gosse au corps d'éphèbe sculpté par le surf et le golf... vient de perdre ses géniteurs dans un tragique accident de voiture. Osé ? Sous cet angle, pas le moins du monde... mais attendez la suite : des traces de c4 planqués sous la carrosserie, un trajet en décapotable prévu à l'avance... le scénario façon gangster m'arrache un rire narquois. « Vous êtes toujours là, Monsieur Chatelain ? » sonne la voix dans le combiné, que je tiens toujours avec la force qui me caractérise. Mes cordes vocales s'en retrouvent figées, muettes. Bien sûr que je suis toujours là... mille idées se bousculent dans mon esprit pourtant brillant, mais chacune d'entre elles m'approchent d'une nausée irrépressible. « O... oui ». Voilà que je bafouille pour la toute première fois de mon existence toute entière. Le flot de paroles que poursuit mon interlocuteur achève de m'assommer tandis qu'un seul nom explose dans mon esprit : Mia. Ma petite sœur. Mon ange aux ailes brisées. Sa dernière cure vient juste d'être un fiasco et moi, pour l'aider, je vais devoir lui annoncer que désormais, nous sommes définitivement seuls au monde. A cette pensée immonde, je pousse un cri de rage qui fait bondir mon appelant. « Poursuivez ». Il s'agit là plutôt d'un ordre que d'une invitation. Mon palpitant s'emballe, et ses embardées poursuivent ce mal-être physique qui commençait déjà à s'installer, tant et si bien que mon séant retrouve bientôt le monceau de paperasse étalé à même la moquette. Alors que je passe une main sur mon front afin de me redonner un brin de contenance, je plaque l'arrière de ma tête contre le mur avant de lâcher, d'une voix tranchante : « je m'occupe de prévenir ma sœur. Si vous l'appelez, je vous colle un procès au cul que je gagnerai haut la main... je me fais bien comprendre ? » La langue de Molière me revient naturellement, lorsque je m'adresse à ce pauvre type qui n'a rien demandé à personne. Mais là, tout de suite, il est mon seul interlocuteur. Ma façon de lui balancer cette directive aura très certainement pour effet de le pousser à passer le message. Tant pis s'il me prend pour le dernier des enfoirés à m'exprimer de cette façon en jour de deuil. Étrange... ce mot ne provoque strictement rien chez moi. Ni pleur, ni tristesse, ni rage... rien. Je viens de perdre mes parents et je reste semblable à un rocher incapable d'éprouver la moindre émotion...

✩✩✩

« Putain de bordel de merde Mia !! T'avais promis ! » Les noms d'oiseau fusent, et ma colère prend une dimension que je peine de plus en plus à refréner. « Mais c'est pas à moi ! C'est à une pote ! » Excuses, toujours. Ma petite sœur que j'aime au-delà de l'entendement m'assomme d'arguments en montant dans les tours d'une voix suraiguë, ajoutant de la rage à ce qui me semble en être déjà. « Ah ouais sans rire ?! Et c'est qui cette meuf ?! Ondine de Pokémon ?! » Ma jolie frangine m'épuise. Je sors de deux nuits blanches d'à filée à bosser sur une plaidoirie et à m'occuper des papiers pour les funérailles de nos parents et lorsque je pense effleurer cinq minutes de paix du bout des doigts, je retrouve ma sœur défoncée avec un sachet de coke de la taille de l'Iowa. Ses arguments finissent d'ailleurs dans les méandres soniques de la pièce, tant ma capacité d'écoute s'amoindrit au fil des minutes. Je ne retiens que deux choses : mon poing, le mur d'en face, et la rencontre fortuite que je viens de leur offrir sur un plateau d'argent. Le bruit qui résulte de mon accès de violence calme aussitôt Mia, pétrifiée de me voir adopter un tel comportement. Jamais ô grand jamais n'ai-je été violent en sa présence. Je peux être acerbe, moqueur, impossible, impatient et tout ce que la sainte vie a pu me donner comme caractère de merde, je me suis toujours juré de ne jamais montrer la moindre faiblesse en sa présence. Je suis l'aîné. Je suis l'épaule sur laquelle elle se repose. Je dois être fort pour elle... du moins le croyais-je. Son pauvre corps frêle et amaigri se trouve bientôt secoué de nouveaux sanglots, et pourtant le mien ne bouge pas d'un millimètre. Rancune...ce foutu sentiment de merde submerge tous les pores de mon être, me faisant bondir des années en arrière, alors que j'annonce à mon cher père mes souhaits de devenir avocat. 'Un sot métier qui ne trouvera jamais sa place dans cette famille' disait-il. Sa menace de me couper les vivres, je m'en étais foutu comme de ma dernière cuite ce jour-là. Auparavant, jamais n'avais-je ne serait-ce que pensé à m'opposer à mon géniteur. Lui, le juge incorruptible, possédant le taux de condamnation le plus haut de la France entière, décoré par le Président de la République, ami de tous les plus hauts fonctionnaires de l’État... Alexandre Chatelain, marié à la plus belle femme du monde, j'ai nommé ma mère, Sasha. Si cette dernière me défendait bec et ongle depuis ma plus tendre enfance, que ce soit à cause du vol d'une voiture un soir de cuite, d'une simple nuit au poste parce que j'ai foutu un coup de boule à un flic dont la trogne ne me revenait pas... ou encore pour m'être introduit illégalement dans la piscine du meilleur ami de mon père, parce que quand même, un jacuzzi en mode bain de minuit c'est la classe à Palavas... oui, mon adolescence chaotique d'enfant de bourge m'avait toujours conduit à provoquer mon vieux, de toutes les manières les plus improbables, selon mon inspiration du moment. Je voulais qu'il rage, qu'il hurle, qui balance tous ses dossiers façon I believe I can fly mode frisbee histoire de me montrer qu'il n'était pas juste un robot que je surnommais Condamnator. Un surnom qui le faisait rager, bien évidemment... mais ma mère, elle, argumentait toujours en ma faveur. Jamais la moindre réflexion, jamais le plus petit jugement, comme si son fils unique et préféré ne pouvait pas être pollué par l'esprit de Satan. Hélas... ce jour-là venait de faire exception. Face à ma décision de devenir avocat – le meilleur de ma branche, évidemment – ma mère demeura muette, ses bras croisés contre ce tailleur Chanel sur mesure lui donnant un air à la fois sévère et classe. Pas un son ne dépassa la barrière de ses lèvres durant tout le laïus de mon père tant détesté. Pire, son regard bleu eau-de-mer, rivé sur cette moquette hors de prix où j'ai tant rêvé de mettre le feu, fut la touche finale au désaveu de la grande Sasha Chatelain. De toute évidence, avocat, un sous métier parmi les sous métiers, ne saurait être acceptable chez une procureure. A ce moment précis, la raison du mariage de mes parents vint m'exploser à la trombine telle une bombe chargée en c4 : la position. Le pouvoir, pur et implacable, avoir un nom qui inspire autant la confiance que la peur... voilà ce qui les reliait de façon si forte. Ni ma sœur ni moi n'avions jamais vraiment remis en cause leur autorité... il fallait que je sois le premier. La déception la plus totale, la plus extraordinaire. « On n'est pas un Chatelain si on lèche pas le cul des grands de ce monde, pas vrai Père ? » Sans transition aucune, sans que je ne puisse même l'anticiper, un bruit sourd retentit en même temps que la gigantesque baffe que je venais de me prendre. « Y'a que la vérité qui fâche... » murmurais-je plus pour moi-même que pour l'assemblée atterrée devant moi. « Tu me fais honte » furent les mots qui me brisèrent en mille morceaux, plaçant un point final à cette mascarade. A ceci près qu'ils ne venaient pas d’être prononcés par une voix masculine et virile, non... ce son cristallin et si agréable qui me rassurait autrefois n'eut pour résultat que de me glacer le sang cette fois-là. Ma mère. Mon pilier en temps de tempête venait de briser toute l'arrogance coulant dans mes veines telle de la lave en fusion. J'en restais d'ailleurs muet plusieurs secondes, à la regarder de mes yeux profondément sombres. « Je me demandais quand tu rentrerais soigneusement dans le rang de ton petit mari... il faut croire que c'est aujourd'hui » rétorquais-je d'un ton empli de haine. La haine de celui que l'on a trahi, traîné dans la boue, que l'on abandonne. « Accroche-toi bien à ton tailleur hors de prix Maman parce que c'est bien le dernier qui te fera grimper aux rideaux ! » En un geste, je parvins à éviter une seconde gifle de la part de mon géniteur. « On me surprend une fois mais pas deux... » Mes mots étaient presque dégueulés tant je haïssais tout ce qui m'entourait alors : la situation, la réaction de ma mère, tout... sourcils froncés, poing serré contre le poignet du patriarche Chatelain, un léger sourire narquois acheva cette vaste fumisterie. « Vous inquiétez pas, j'ai pas besoin de votre fric ou de votre nom de merde... je m'en ferai un tout seul. Et ce jour-là, vous serez désolés » sonnais-je telle une promesse gravée dans la pierre. Je n'avais plus adressé un mot à mes deux parents depuis ce jour. J'avais quatorze ans...

« Frérot... »
La toute petite voix de Mia me ramena sur terre avec la violence d'un crash de 747. Comment avais-je pu me souvenir de tout ça en l'espace de quelques minutes ? Il faut croire que je devais être sacrément secoué. « Tu fais chier... » Dans un geste vif et assuré, j'attrape le sac de poudre blanche et, contre les supplications de ma camée de sœurette, j'envoie au diable le contenu entier du sachet. S'arrêter là n'aurait rimé à rien. C'est la raison pour laquelle je me saisis du poignet maigre de la demoiselle sur laquelle je veille telle une sentinelle afin qu'elle me regarde dans les yeux, les miens lançant des éclairs. « Tu vas te doucher, maquiller tes putains de cernes que je peux plus voir en peinture et t'habiller. Tu veux crever ? Parfait ! Je vais t'en donner l'envie ! » Sans autre forme de procès, je la flanque sous la douche toute habillée. J'ai besoin qu'elle réagisse, qu'elle arrête cette saloperie qui la détruit et la conduit chaque jour un peu plus là où nous allons voir nos parents désormais : le boulevard des allongés. Un cimetière. Des pierres froides et silencieuses telle la faucheuse les ayant créées. J'adore Mia. Elle est probablement la meilleure partie de mon être... mais la voir se foutre en l'air me rends haineux. Plus encore que le fait même de savoir que nos parents ont été assassinés. Après tout, je n'ai pas obtenu mon bac avec mention très bien à quatorze ans à peine pour me dire que mon côté surdoué n'aura pas suffit à sauver ma sœur. Non. Si je suis parvenu à rentrer à Harvard haut la main, moi le petit français renié par sa propre famille, je sais que ma sœur possède en elle la capacité de vaincre. De tourner le dos à ses démons. De choisir la lumière plutôt que l'ombre...

✩✩✩

« Dossier classé ! » Je siffle joyeusement dans mon bureau ultra design décoré par mes soins, et me dandine tel un danseur pro au milieu d'un océan de papier. Plaidoirie de folie, procès remporté haut la main, encore un chapitre pénaliste comme je les aime. Ma double spécialisation a du bon : je prends les affaires qui me plaisent, me motivent, éveillent en moi ce mojo de folie qui me fait exceller. Ma réputation commence à se faire d'elle-même et ça aussi, ça me plaît... après tout, Maître Chatelain ça en jette non ? Aucune nana ne le murmurerait à mon oreille sans une solide raison... alors on se console comme on peut ! Au fil des minutes, je savoure ma victoire en solo, accompagné par mon énième tasse de café. Ce n'est que lorsque mon cellulaire s'affole que je redescends d'un cran. « Allo oui, Maître Chatelain à votre service, de quel situation impossible peut-il vous sortir ? » D'ordinaire, mon arrogance ne me pousse pas à ce genre de phrase débile... mais mon humeur joviale fait oublier toutes les conventions à mon cervelet. Une fois n'est pas coutume... « Monsieur Chatelain excusez-moi de vous déranger à cette heure, mais votre sœur vient d'être admise aux urgences... » A deux doigts de lâcher le téléphone, je n'entends qu'à moitié la fin de la phrase : overdose. Mon pire cauchemar se joue là, sous mes yeux sombres ébahis, et toute la joie que je ressentais à peine quelques secondes plus tôt retombe tel un soufflet mal préparé. A mon corps défendant, je ne parviens pas à baragouiner la moindre réponse, et ce malgré les demandes répétées de l'interne au bout du fil. Je ne suis qu'un point d'exclamation sans réaction, planté comme un piquet au milieu de ma cascade de documents qui, pourtant, avaient provoqué une béatitude sans pareille un moment avant. « J... j'arrive » parvins-je enfin à articuler, les doigts tremblants. Si je perds Mia aussi, je n'ai plus qu'à me tirer une balle. Non sans certitude que la mort de nos parents soit la cause de sa quasi centième rechute, je me maudis intérieurement : et si j'avais moins bossé, et si je l'avais davantage appelée, et si je l'avais surveillée... et si et si et si. Avec des si, on mettrait Paris en bouteille... la culpabilité me crispant le ventre et chaque muscle de mon anatomie avantageuse, je récupère mon sac à bandoulière de toujours – compagnon de longues soirées studieuses comme de fêtes, véritable porte-bonheur ambulant que je ne jetterai jamais – ainsi que mes clés de bécane et je file direction les urgences, où m'attends ma petite sœur dans un état critique. Je slalome entre les véhicules grâce à ma puissante moto – dernière folie personnelle – et arrive à la vitesse de la lumière dans ce grand hall blanc qui me file aussitôt la nausée. Infirmières, aides-soignants et autres médecins se bousculent tous afin de sauver des vies tandis que moi, je suis incapable de bouger. Faire ce petit pas qui me permettrait de connaître le véritable état de ma petite sœur... pour la toute première fois de ma vie, j'ai peur. Je suis même pétrifié à l'idée que l'on me dise que j'ai perdu le seul être au monde que je m'étais promis de protéger de cette vie de merde. Cette chienne de vie... en d'autres circonstances, sûrement aurais-je capté sur le champ le clin d’œil d'une infirmière, manifestement tout sauf insensible à mon charme. En vérité, je ne suis en état de capter quoi que ce soit. Les doigts crispés sur la lanière de mon porte-bonheur, usé par les années et ma vie de patachon de première, je pâlis à vue. Mon esprit comme ma vue se brouillent, et le brouhaha ambiant devient autant de choses que je ne suis plus en mesure d'analyser. En l'espace d'une respiration, mon corps m'abandonne et me laisse à terre, sans crier gare. Paupières mi-closes, je vois comme danser des ombres sans comprendre quel jeu se joue autour de moi. Les secondes s'égrènent alors que l'on me soulève, sans que je n'oppose la moindre résistance. Mon être finit par se laisser happer par le noir le plus total. L'inconscience me retient une bonne heure, avant que je ne m'éveille mu d'un mal au crâne à hurler. Paupières lourdes et douloureuses, mes muscles semblent peser une tonne lorsqu'une petite voix fluette me ramène aussitôt sur terre. « Frérot... » Un seul être sur cette planète parvient à provoquer les pires colères comme le plus franc des sourires juste avec ce mot : Mia. « Petit cul ? » que je lance dans un râle d'ours mal léché. « Tu m'as foutu la trouille... » Cette vérité sonne telle une baffe. Que s'est-il passé ? Ah oui, ça me revient. Comme à l'âge de quinze ans, je me suis écroulé tel un tas de bouse en plein hall des urgences. A croire que je vais finir par en faire une habitude... hélas, à mon grand dam, ma petite sœur vient de découvrir mon secret à cause de cet état de fait. « Le doc dit que t'avais pas pris de l'insuline ou ch'ai pas quoi... » poursuit-elle sans faire de pause. Mon ange est pâle, amaigri, des cernes presque noires sous les yeux et relié à tout un tas de fils. Overdose... ce mot me revient en tête et me pousse à me redresser trop brusquement, provoquant un nouveau vertige. « Bordel, te paye jamais de cuite de la mort... la vodka c'est dangereux ! » Mais mon humour ne prends pas une seconde. Une œillade dans l'océan de ses yeux bleus me le fait bien comprendre... je soupire, sans force, et m'apprête à répliquer lorsqu'une blouse blanche qui a connu des jours meilleurs entre dans la chambre où nous sommes tous les deux allongés et branchés. « C'est la première fois de ma carrière que je dois traiter un frère et une sœur pour deux pathologies aussi opposées ! On peut dire que vous avez eu de la chance, jeune homme... vingt minutes plus tard, c'était le coma diabétique ! » Irais-je en prison à vie si je lui fais bouffer son stéthoscope ? Probablement. Surtout si je ne tombe pas sur un avocat aussi bon et mordu que moi. Pour toute première réponse, je grogne. La blouse continue de déblatérer sans s'arrêter, face à une Mia bouche et yeux écarquillés. « Fais gaffe petit cul, tu vas avaler une mouche ! » Si elle me foudroie du regard, je sais qu'au fond, elle aime mon humour pourri. « Quoi ?! Il est vieux et croulant ! » Cette fois, c'est la blouse qui me foudroie... à ceci prêt que je n'en n'ai rien à foutre. Il peut bien jouer de la piquouse tant qu'il veut, pour moi c'est un charlatan comme les autres. Incapable d'aider ma sœur pour éviter qu'elle ne fasse une overdose. « T'es vraiment toubib ou tu kiffes juste jouer à Docteur Maboul ? Non parce qu'on sait jamais... » J'achève le doc d'une remarque bien acerbe dont j'ai seul le secret. En un dixième de seconde, il débarrasse le plancher, me laissant à la merci des questions de Mia. Je connais toutes ses réactions... je sais ce qu'elle pense sans même qu'elle ne me le dise à voix haute. Et là, tout de suite, comprendre est ce qu'elle attend. Peu décidé de prime abord, je tente un soupir de fatigue. « Tu ne vas pas t'en sortir avec un pauvre jeu de mots, Bo'. Tu t'es écroulé aux urgences ! » qu'elle me lance d'une voix presque accusatrice. La donne me surprends un instant avant que je ne me reprenne. « Dis celle qui vient de faire une overdose ! » C'est méchant. Gratuit. Mais je veux qu'elle sente à quel point je me suis inquiété. A quel point j'ai eu peur de la perdre... encore une fois. Désormais, Mia est mon unique famille. Mon abri en pleine tempête. Mon phare dans l'obscurité... mes mots, si acerbes soient-ils, n'ont pour but que de la faire réagir. Qu'elle comprenne enfin que je suis de son côté et que jamais, contrairement à nos chers parents, je ne l'abandonnerai à son sort. Sans doute ne peut-elle pas compter sur grand-chose dans ce monde de brute... mais mon soutien, lui, sera à jamais indéfectible. « Okay... » Nouveau soupir, puis je me lance. Inarrêtable. Clair, concis, sûr de moi. Et pourtant... je préférerais m'opposer au pire requin que la Justice ait porté en son sein plutôt que d'avouer ce que je m'apprête à avouer. « Je suis diabétique. Type trois. Le plus insidieux, qu'ils disent ces charlatans de merde... insidieux ce n'est peut-être pas le mot en fait. Destructeur serait plus juste. Tu vois Mia, peut-être qu'un jour je souffrirai de démence à cause de ça. Ce type de saloperie attaque les cellules de mon cerveau... tu savais qu'il y avait de nombreux capteurs et récepteurs d'insuline dans le cerveau ? Bah moi non plus, avant. Si je me suis écroulé, c'est parce que je ne me suis pas shooté... enfin je n'ai pas pris mon insuline, quoi. Parfois j'oublie, puis je rattrape ensuite... j'étais sur un gros dossier alors le chapitre diabète m'est passé bien au-dessus comme il faut. J'y aurais sûrement pensé ce soir, après un bon verre d'un excellent pinard... mais on m'a appelé. Pour toi. Alors là encore, le chapitre diabète j'en ai rien eu à foutre. J'avais même pas mes seringues sur moi de toute façon... » Dans le genre, ça me pendait au nez et point barre. Mais je ne me planque pas derrière des excuses fumeuses : j'ai oublié ce que je n'aurais pas dû zapper et voilà le résultat. Les yeux embués de larmes de ma sœur m'arrachent littéralement le cœur... tant et si bien que je me redresse, plus doucement cette fois, et tends suffisamment la main pour serrer la sienne, maigrichonne et glacée. Ma chaleur rééquilibre le tout tandis que j'ose un sourire, franc et sincère. Comme toujours face à mon ange... « J'ai la trouille, Mia. Tu sais que j'en ai rien à foutre que les parents m'aient déshérité avant de changer d'avis. Que je me moque éperdument de tout. De tout ce qu'on dit sur moi, de tout ce que je peux avoir vécu comme merdes... du moment que toi, tu vas bien. Le reste peut bien finir en cataclysme, j'en aurais rien à secouer tant que toi, oui toi, tu remontes la pente et tu t'accroches. Ce que je vais dire, je le nierai jusqu'à la fin de mes jours si tu me fais du chantage avec... » Toute l'attention de ma petite sœur est rivé sur moi. Mes yeux profonds et sévères. Mon âme blessée et fière. « Si tu te fous en l'air... tu me fous en l'air. » Je ne suis pas certain de l'aider en disant ça, mais la vérité est souvent cruelle et sans pitié. Il faut que Mia sente à quel point elle compte pour moi. A quel point je serais capable de me foutre en l'air et de ne pas me rater si jamais elle ose disparaître de cette putain de planète avant moi. Si je peux affronter tous les ouragans, je ne peux le faire que si elle m'en donne la force. Un sourire de sa part et je me sens pousser des ailes... je lâche d'ailleurs un petit rire à cette idée. « Pourquoi tu ris ? » lance-t-elle, incrédule face à ma réaction totalement à côté de la plaque. « Je pensais à la pub RedBull... » Son rire emplit tout mon être d'une chaleur si agréable que je continue à la charrier comme ça plusieurs heures. Mia ne s'endort que dans mes bras, affalée sur un lit de fortune aussi confortable qu'un tas de caillasses tranchantes. Mais je m'en moque... et lui laisse le plus de place possible en caressant sa longue chevelure trempée de sueur. « Je t'aime sœurette... tu pourras toujours compter sur moi... quoiqu'il arrive. Toujours. »
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Twiggy Jenson

Âge : 24
Lieu de naissance : américaine, originaire d'une ville perdue de pennsylvanie
Quartier d'habitation / Colocation : avec sam, neo & laia dans l'centre de boston, chat kira la mascotte de la coloc
Situation sentimentale : en couple avec basile depuis l'bal, le coeur entre ses mains
Études / Métier : 5 ème année (senior)en comptabilité et management /comptable à mi temps dans une boite pour de l’expérience qui n’est pas rattachée à son nom de famille.
Date d'inscription : 16/03/2023
Pseudo & Pronom(s) IRL : (hoodwink) (she)
Icon : LE DERNIER CTRL + V - Page 97 Tumblr_pmyxw1MwUA1tkbgvmo7_250
Faceclaim : meghan roche
Crédits : avatar (hoodwink) icon (hoodwink) gifs (hoodwink), crackships (rainbowstars, hoodwink)
Multicomptes : baer sadler (kit price)
Description (1) :
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BLOW YOUR MIND

gamine quelque peu taciturne, une expression bougonne sur le visage. à ronchonner pour tout, pour rien. juste parce qu'elle le peut. juste parce qu'elle en a envie. aimant particulièrement faire chier le monde qui l'entoure. c'est sa marque d'affection. twiggy a la flegme de ceux qui s’en foutent, ce regard suffisant plein d’insolence.
vingt deux ans - moyenne- pfo- senior comptabilité & management -

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Warnings : anorexie mentale - vulgarité - pensées sombres

RPS : 187
Messages : 17905
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Twiggy Jenson
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STUDENT › proud member of harvard university
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t158392-twiggy-jenson-meghan-roche#7144848Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t158419-twiggy-jenson-repertoire-rps#7147029Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t158437-twiggy-jenson-fiche-de-liens#7149140Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t158420-meetsachussets-twiggyjenson#7147037
(Twiggy Jenson)




tout se termine ( t o u j o u r s ) en tragédie. pas de fin, que des gens tristes parce que c'est ça l'putain d'amour. c'est trop s'aimer au point de s'perdre. c'est pleurer au point s'retrouver.  pas de ils vécurent heureux

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Cleo Salazar

Âge : 26
Lieu de naissance : la Nouvelle-Orléans.
Quartier d'habitation / Colocation : la Dudley, dans une petite chambre cosy.
Situation sentimentale : Le cœur meurtris alors que les sentiments persistent
Études / Métier : PhD en sciences environnementales et ingénieurie et cuisinière au Sun Rock
Date d'inscription : 10/01/2020
Pseudo & Pronom(s) IRL : BlueAngel/Eline (she/her)
Icon : LE DERNIER CTRL + V - Page 97 13a96337c7d488055d26d66535ef4c5a7bf74a01
Faceclaim : Tati Gabrielle Hobson.
Crédits : salvia (avatar), salvia (profil) the100icons + ico-ns (icons profil)
Multicomptes : Erza Bennett
Description (1) :
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c l e o - s a l a z a r
◜ Stars, hides your fires, let not light see me black and deep desires◞

p e r s o n a l i t y / utopia
Jeune femme responsable, Cleo a toujours pris très à cœur ses engagements, luttant sans relâche pour les causes qu’elle soutient. Enfant brillante, toujours soutenue par ses parents, quoi qu’elle fasse, quoi qu’il lui arrive, presque enfant parfaite pour ces parents qui se sont sacrifiés pour leurs deux filles. Et Cleo leur a toujours rendu, en se montrant travailleuse et courageuse. Toujours un brin curieuse, quand il s’agit de nouvelles rencontres, ou de nouveaux intérêts, elle déborde de passion. Mais ces derniers mois lui ont appris à s’adoucir , tout en gardant sa franchise habituelle, plus sensible, plus à l’écoute aussi peut-être. Maintenant plus utopiste, se laissant aller à la rêverie, elle ne compte plus se laisser abattre et veut continuer à aller de l’avant.

a n e c d o t e s / enthusiast
✰ anecdote une Cleo a grandi à la Nouvelle-Orléans avec un père américain et une mère coréenne. ✰ anecdote deux Elle a une petite soeur qui lui a lancé le défi de devenir cheerleader. Depuis, elle a toujours fait partie d’une équipe. ✰ anecdote trois Elle parle plusieurs langues : l’anglais et le coréen mais aussi le français et le chinois qu’elle a appris à l’école. ✰ anecdote quatre Elle a le permis mais ne conduit jamais car elle se considère comme un vrai danger public. Alors elle préfère se déplacer à vélo. ✰ anecdote cinq Elle a été accusée d’un meurtre en septembre 2020 juste avant que le logement qu’elle occupait soit incendié. Elle se remet tout juste de cette période difficile et préfère rester évasive à ce sujet. ✰ anecdote six Elle a quitté Boston en mai 2021, juste après les résultats des examens pour rejoindre ses parents à la Nouvelle-Orléans. ✰ anecdote sept Cleo a finalement atterri à Séoul en Corée du Sud pour le mariage d’un de ses cousins avant d’y décrocher un stage dans une entreprise, qui s’est achevé début novembre 2021 et qui a signé son retour à Boston.


Description (2) :
friendship never end - Maeghan ((childhood friend in NOLA)) Joyce ((friend)) Grace ((friend and cheerleader)) Lukas ((friend with same interests))
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love is the quality - Kahena ((ex girlfriend)) Alistair (PNJ) ((ex boyfriend)) Misa (PNJ) ((ex girlfriend))


ennemies -
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RPS en cours : Millie - TG Pfo - Stevie - Bal
Warnings : Incendie, harcèlement, meurtre

RPS : 74
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Cleo Salazar
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STUDENT › proud member of harvard university
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t140913-cleo-salazar-tati-gabrielle-hobsonRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t170531-cleo-salazar-repertoire-rps#8252168Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155486-cleo-salazar-fiche-de-liens#6936040Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155476-meetsachussets-eko_cleo#6935499
Saint-Symphorien-sur-Couze
(Cleo Salazar)



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brésiliennes, portugaises, japonaises et indigènes
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Baer Sadler

Âge : 22
Lieu de naissance : leeds, angleterre
Quartier d'habitation / Colocation : colocation, dans le centre de boston
Situation sentimentale : célibataire, l'coeur fébrile pour l'ensemble des regards qu'il croise
Études / Métier : quatrième année d'étude de développement et psychologie de l’humain, fait aussi le ménage dans les entreprises tard la nuit tôt le matin pour arrondir les fins de mois.
Date d'inscription : 31/03/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : HOODWINK/ victoire
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Faceclaim : kit price
Crédits : avatar (deahtless saints. ) , gifs (hoodwink), icons (hoodiwnk), crackship (hoodwink)
Multicomptes : twiggy jenson (meghan roche)
Description (1) :
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F U C K O F F

i'm a creep, i'm a weirdo . ; meme, meme and MEME -- . ; blank . ; troublemaker . ; oups i did it again like i'm bruce lee . ; can i touch it ? . ; dreamcatcher ;; dreambreaker . ; can i eat it ? . ; ugly face . ; can i trust you ? NOPE.; sailor disaster . ; i don't give a fuck . ; video games . ; 4AM . ; salt on ice cream . ; shameless . ; smells like paint . ; h u r r i c a n e . ; wild imagination . ; clock strikes . note to self : let shit go

LE DERNIER CTRL + V - Page 97 K6oAroAh_o LE DERNIER CTRL + V - Page 97 MhGQzpRW_o
BANG BANG


baer. paradoxe incertain. ne se contente pas d’une vérité, ne se suffit pas de mensonges . ombrageux, ,furibond lui qui a le don de se nourrir de chimères, de ces espoirs qu'il créé. sourire félin. à se contenter de baisers volés dans l'obscurité. parce qu'aucune de ses relations mérites d'être nommées. lui qui veut vivre et tout essayer. peur d'avoir des regrets. il a décidé d'être un esprit libre. baroudeur des étoiles, baroudeur des nuages. des quantités de mauvaises idées ça il en a plein dans la tête et jamais aucun plan pour les réaliser. accroc aux regards, toxicomane des autres; le corps qui appelle, demande, désire. sans cesse. étouffée trop longtemps, la nature avide se retourne contre lui, lui joue des tours, détruit tout autour pour ne laisser place qu'aux vices d'un homme envahi. cigarettes, alcool, du café, trop de café. est ce qu'on pourrait mettre tout ça sur le dos de la jeunesse?

Description (2) : LE DERNIER CTRL + V - Page 97 I7qP354s_o
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Warnings : tw: vulgarité bjr
RPS : 21
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Baer Sadler
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(Baer Sadler)




éternel recommencement. jour sans fin. à voir les minutes défiler on se demande à quoi ça sert de vivre si notre temps est compter. à ce moment là , autant attendre non?  attrendre quoi j'sais pas ( exactement ). que quelque chose se passe. n'importe quoi.

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