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Vianney Keep It Simple

Selon Hannah Arendt , « tous les hommes naissent libres et égaux en droits » et que « le principe de souveraineté réside dans la nation », « aucun homme ne serait libre, car la souveraineté, idéal de la domination et d’intransigeante autonomie, contredit la condition même de pluralité. Aucun homme ne peut être souverain, car la Terre n’est pas habitée par un homme mais par les hommes, » Elle pose ainsi les valeurs relatives à la souveraineté.
Cette notion nous vient du champ politique, juridique et militaire, et se définit, littéralement, comme le fait et le droit d’exercer une autorité absolue sur un territoire donné. Elle s’applique tout particulièrement dans le domaine des relations politiques internationales, en désignant le fait qu’un État ne soit « obligé ou déterminé que par sa propre volonté » . La souveraineté d’un pays est alors très proche de la notion d’indépendance : un pays souverain est un pays qui n’est pas dépendant des autres et fait ses choix librement, sans aucune contrainte extérieure.

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Alcool et modération.

feat @Ange K. Murray

Lundi 3 Avril
Après-midi

L'interpellation d'Ange ne l'enchante pas. Il me le rend bien. Il est dans la séduction et ainsi dans l'outrage même s'il n'y a pas que son côté dragueur qui entre en jeu. Cette façon d'être provocateur... Oui, il aime ça, de jouer avec le feu. Je ne dois pas entrer dans ce  cercle vicieux qu'est l'incitation. Faire des avances, pour lui, c'est sa méthode pour courir à l'outrage. Outrage que j'attend afin de pouvoir lui passer les bracelets, attachés là, à ma ceinture. Mais Ange serait capable d'apprécier même si se faire embarquer le ferai bien chier. Je l'ai bien compris. Il cherche à me déstabiliser, il souhaite que j'abandonne. Mais je suis patient. Lui non. Je jubile intérieurement. Il n'est pas loin de la faute. Je l'attends. Je force d'une certaine manière. Je le questionne. Je l'assomme de questions. Va-t-il craquer et me répondre sérieusement ?

Je l'écoute attentive. Il a besoin de provoquer. Il veut que je lâche l'affaire. Mais je ne le ferai pas. Idéal masculin de tous ? Je souris inlassablement. Pour qui il se prend ? Certes, ce genre de personnage, a titre personnel, ne me laisse pas indifférent, Mais là n'est pas le sujet. Je suis en uniforme. Je ne suis pas ce gars, habillé en civil qui pourrait se laisser tenter par cette gueule d'Ange.  

- Fais gaffe à ton langage Ange. Tu files mal.

Comme d'habitude. Je lui refais le sermon sur les addictions. C'est un gâchis de tomber dedans. Je sais de quoi je parle. J'ai cotoyé bien trop souvent ces médocs magiques, ces gélules, ces seringues et j'en passe... Je n'ai jamais réussi à comprendre ceux qui consomme cette merde qui te pourris l'intérieur, autant dans le crâne que dans le corps. Comment peut-on en vouloir et se détruire ainsi ?
Il lève les yeux au ciel quand je lui parle de tout cela. Puis il dépose sa main sur moi. Joueur. Ce n'est pas le moment. Je suis en service. Mon collègue est là. En pleine rue qui plus est. Non, ce n'est pas le moment. Mais il soutient mon regard. Je ne veux pas baisser les yeux. Je lui soutiens également avant de reprendre mes interrogations. Va-t-il craquer ? Non. Il se calme d'ailleurs. Soûler de ce moment mais il est calme. Plus de provocation ? J'en suis presque déçu pour dire vrai. Pour insister sur le fait qu'il ne dérangeait personne, il tourne sur lui-même. Cela me fait sourire. Parce que c'est ainsi qu'il dérange ? Aucunement ! A la rigueur on pourrait le regarde d'un oeil amusé en tant que passant mais cela s'arrêtera là. Je me demande s'il n'est pas déjà perché par sa merde....

Un éclair me vient. S'il rentre chez lui, c'est qu'il est aller pécho déjà. Il doit donc en avoir sur lui. Je cherche la merde ou pas ? Après tout, c'est mon travail.

- Tu t'es ravitaillé donc ? Tu en a donc sur toi n'est-ce pas ?

Il n'avait pas tord. Il n'emmerdera personne en étant chez lui. Mais les drogues sont tout de même illicites. Que fais-je...

- Aller, on le contrôle !

Mon collègue me fait sursauter. J'avais oublier sa présence derrière moi. Je me décale retirant la main de l'interpellé de mon bras et regarde mon collègue.

- Du calme Dan. On sait très bien qu'on trouvera des surprises dans ses poches.

Je sens que ça va dégénéré. Je prends les devants.

- Je te laisse le choix. Soit on te ramène, soit on t'embarque.

Je m'approche de lui en me penchant à son oreille. Dan à envie de t'embarquer donc choisi bien

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panic!attack