the joy of meeting. — orphéa

La neige avait accompagné ton inspiration hier au soir alors que tu composais quelques morceaux. Des esquisses de compositions qu'il te faudrait sans aucun doute retravailler mais c'est une étape dans la création qui t'intéressait toujours autant. Tu n'avais donc pas beaucoup dormi la veille mais tu en avais profité pour faire un peu la grasse matinée. Partager un petit déjeuner avec Hera et vous en aviez profiter pour échanger un peu ensemble. La journée a défiler plus vite que de coutume, il faut dire qu'entre le ménage, quelques devoirs et courses de dernière minute à faire on ne voit pas le temps de la même manière. Tu avais emprunté la voiture de ton patron au bar qui préférait te voir dans sa voiture plutôt que sur ton deux roues. Tu aurais pu le contredire car tu adorais ta moto mais il avait raison surtout avec les températures annoncées d'une part mais également le fait que tu étais en route pour aller chercher Orphéa. La jeune Wertheimer rentrait de la capitale française où elle avait passé ses vacances de noël et tu lui avais promis que tu serais là pour l'accueillir, venir la chercher. Tu avais garé le véhicule dans le parking sous-terrain et tu attendais patiemment dans la hall des arrivées de l'aéroport. Les mains dans les poches de ton blouson, tu jettes une œillade en direction des arrivées imminentes. Et la voix sonore des annonces ne tarde guère à confirmé l'arrivée de l'avion en provenance de Paris. Un bon quart d'heure plus tard, tu aperçois la silhouette de la jolie blondinette qui te reconnais rapidement. Tu la gratifies d'un petit clin d'oeil complice, heureux de la retrouver après plusieurs semaines. Tu aperçois alors également son camarade, celui qui l'avait accompagné durant son voyage.

with @Kobe Rockefeller De longues heures d'avion qu'elle a utilisée, pour récupérer le manque de sommeil accumulé pendant son voyage. Séjour à Paris beaucoup plus éprouvant que ressourçant, c'est sûrement à Boston qu'elle allait pouvoir calmer ses pensées, se retrouver et oublier cette ombre lugubre dans laquelle elle avait vécue pendant ces plusieurs semaines. Elle allait certainement faire plusieurs allers-retours cette année, mais une fois rentrée, elle voulait simplement retrouver ses proches et prendre du temps pour elle. Un réveil qui se fait dans les turbulences de l'avion, tempête qui accable Boston, avec chance, son avion a réussi à atterrir. Revenue de Paris aux côtés de ses frères et de Théodore, son ami, venu l'a rejoindre pour lui faire une surprise. Elle quittait l'avion à leurs côtés, attendant plusieurs minutes avant de pouvoir récupérer sa valise et retrouver le terminal des arrivés. L'excitation qui monte au ventre, si elle commençait à sourire comme une idiote, c'est parce qu'elle savait que Kobe n'était pas loin et qu'il était venue jusque l'aéroport pour venir l'a chercher. Plusieurs semaines qu'ils ne s'étaient pas croisés et ces quelques semaines lui ont prouvés à quel point il lui avait manqué. Lorsqu'elle l'aperçoit au loin, sourire qui s'amplifie jusqu'à qu'elle s'approche pour directement le prendre dans ses bras. Comme ces retrouvailles attendus trop longtemps. Je suis tellement contente de te voir. Dit-elle alors qu'elle serrait l'étreinte qui s'entretenait entre eux. J'vais dire au revoir à tout le monde et j'suis à toi. Dit-elle alors qu'elle se reculait, laissant sa valise aux côtés de Kobe pour finalement s'approcher de ses frères et Théodore, dernières étreintes avant que tout le monde parte de son côté. Corps de poupée qui se retrouve à nouveau vers le Rockfeller, sourire sincère qu'elle retrouve, sourire qui n'avait pas traversée ses lippes depuis sûrement trop longtemps. T'as pas eu trop de mal à venir avec la tempête, j'espère ? Dit-elle, une mèche qu'elle décale derrière son oreille, toujours inquiète du sort des autres, elle pouvait pas s'en empêcher. Qu'est qu'on fait ? On va chez moi ? Chez toi ? Dit-elle prête à aller n'importe où, sa seule envie étant de se poser à ses côtés, accompagnée d'une boisson chaude, les pensées rivés vers lui, éloignée des pensées ravagés.

Cette première période de vacances a défilé rapidement, sans doute parce que tu avais beaucoup à faire quand bien même tu as revu tes heures de travail à la baisse. Depuis ta crise cardiaque tu te dois d'être plus vigilant mais surtout de respecter une hygiène de vie que tu connais de plusieurs années. Cependant, ces dernières semaines t'ont aussi dépeint l'absence de la jeune blonde et combien tu avais songé à elle, combien elle t'avait manqué aussi. Vos regards qui se croisent, l'éveil à la lumière d'une connexion qui se ravive de nouveau alors qu'elle se dirige vers toi, te prenant dans ses bras. Une étreinte sincère et silencieusement expressive entre vous. Tu lui caresses doucement le dos alors qu'elle te confie la jovialité de te revoir. « Je suis heureux de te revoir aussi. ». Lui dis-tu en caressant à joue avant sans te départir de son sourire alors qu'elle s 'éloigne pour dire au revoir à sa famille et son camarade. Tu peux apercevoir l’œillade protectrice de ses deux frères, geste que tu ne comprends que trop bien pour l'avoir vécu plus jeune avec tes deux aînés. Orphéa revient vers toi tout sourire, un étirement véridique qu'elle semble de nouveau appréhender comme si cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas sourit. Cela te fait plaisir de la voir sourire de manière naturelle mais aussi instinctive. « Non aucun ne t'en fais pas pour cela je suis toujours prudent sur la route que ça soit en moto ou en voiture. ». Lui dis-tu tout en la considérant d'un petit clin d'oeil avant de prendre sa valise d'une main et de lui tendre ton autre main pour qu'elle la saisisse si elle le désire. Après tout, plusieurs semaines ce sont écoulées depuis que vous vous êtes vu et respectueux comme tu l'es, tu ne veux aucunement la forcée à rien. «Mh … on peut aller chez moi si tu veux ? Mes colocataires ne sont pas encore tous rentrés et on sera au calme mais on peut le faire aussi chez toi, dis moi ce que tu préfères ? ». Tu engages alors marche en direction du parking où tu as laissé la voiture.
@Orphéa Wertheimer

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with @Kobe Rockefeller

Elle a pas réellement eu le temps de faire le point sur ses sentiments, son seul focus étant le bien-être et la guérison de sa mère. Malgré tout, elle sait qu'elle a beaucoup pensée à Kobe lorsqu'elle est partie. Se demandant sans cesse si il allait bien et si il était en bonne santé. Depuis sa crise cardiaque, elle ne pouvait s'empêcher de s'inquiéter pour lui, effrayée de le perdre du jour au lendemain. Elle avait la mauvaise habitude de toujours vouloir être prêt des autres, s'en occuper et s'assurer que tout aille bien, avec Kobe, c'était décuplé. Sourire radieux ancré contre les lèvres lorsqu'elle le retrouve, profitant de cette étreinte lorsque leurs corps se rapprochent. Le retrouver était une sensation qui lui réchauffait le coeur. J'ai l'impression d'être partie pendant des années. dit-elle de son air amusée, alors qu'elle se reculait un instant pour faire ses au revoir à ses proches. Prête à quitter l'aéroport et retrouver l'air américain, elle retrouvait la silhouette masculine. T'es pas venue en moto j'espère ? Cela serait certainement la pire des idées au vu de la température et des intempéries. Mais elle savait qu'il était bien plus prévenant que ça. On peut aller chez toi, c'est parfait ! On pourra commander des pizzas pour faire simple ? Elle savait à quel point il était un bon cuisiner, mais passer des heures dans la cuisine n'était pas le but de ces retrouvailles. Sa main qu'elle récupère, ses doigts qu'elle glisse dans les siens pour finalement retrouver l'extérieur à ses côtés, vague de froid qui l'accable et corps qui frissonne face au vent.

Certains auraient sans doute dit que votre relation était un stand by, d'autres qu'ils suffiraient juste d'occulter sans prendre la peine d'aller plus loin. Personnellement tu étais au delà de tout cela. Votre lien était doté d'une certaine particularité sur laquelle tu ne saurais émettre de mot précis. Vous étiez loin, Orphéa avec les soucis de santé de sa mère et de ton coté tu essayais de faire de ton mieux pour la soutenir tout en lui remontant le moral. Tu es bien placé pour savoir que la santé est un aléa de l'existence que l'on peut nier, il finit toujours pas vous rattraper. De plus, tu voulais que la jolie blonde reste concentré sur ce qui lui semblait important et tu la soutiendrais quoi qu'il arrive. Une étreinte même brève ravive la complicité solaire qui vous lie tandis que le myocarde bat d'un feu nouveau. Elle te confie que cela semble une éternité depuis son départ et tu lui souris en coin tout en secouant la tête alors qu'elle s’éloigne pour saluer ses proches. La parisienne revient vers toi, ses propos t'arrachant un énième sourire mystérieux au coin des lèvres ce qui te donne un air d'ange rigolard malgré toi. « J'aurai pu, ça aurait été sympa qu'on fasse un tour en moto mais j'ai opté pour la sécurité surtout au vue du temps et des bagages. Alors que vous arrivez sur le parking, vos doigts s’entrelacent tout naturellement et tu exerces une légère pression douce. « ça me va, tant qu'on passe un peu de temps ensemble je suis partant. ». Tu la considères d'un petit clin d'œil avant de récupérer sa valise pour la mettre dans le coffre de la voiture que tu avais ouvert à distance. Tu fermes le coffre, saisis ton téléphone tout en ouvrant la porte coté passager à Orphéa, car oui la galanterie se perd de nos jours. Tu montes à ton tour dans la voiture, puis tu tends ton portable à la jeune femme. « Choisi ce qui te fait envie, je suis pas complique. ». Et oui autant commandé maintenant comme ça vous aurez les pizzas tout juste rentré pour manger. La Wertheimer devait avoir une faim de loup après ce voyage. Tu attaches ta ceinture de sécurité et vérifie d'une œillade rapide que celle de ta passagère l'est également. « Tu as pu te reposer un peu au moins pendant ces quelques heures de vol ? ». Lui demandes-tu tout en roulant et sortant du parking pour t'insérer sur le rythme de la route peu fréquenté ce soir.
@Orphéa Wertheimer

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with @Kobe Rockefeller

Elle avait beaucoup pensée à Kobe pendant son départ et comme elle l'imaginait, elle était heureuse de le retrouver. Ils avaient encore pas mal de temps à rattraper, espérant que cette soirée puisse déjà les combler. Elle aimait la relation actuelle qu'ils vivaient, une relation sur le présent sans vraiment d'idées face à l'avenir. Mais ça lui faisait du bien, vivre les choses simplement sans réellement se poser de questions. Un sourire qui reste ancré contre ses lèvres lorsqu'ils retrouvaient la sortie main dans la main. J'oublie pas la proposition du tour en moto. Dit-elle de son air amusée, elle avait passée son permis à sa majorité, mais ne conduisait pas pour autant, alors c'était toujours un plaisir de monter sur un bolide au dos d'un joli garçon. L'intérieur de la voiture qu'elle retrouve, sourire qui reste ancré lorsqu'il acceptait sa proposition de repas tout en lui tendant son téléphone. Hm.. Une quatre fromages ? Une reine ? Dit-elle tout en ajoutant les articles à la commande. Oui j'ai dormis quelques heures, mais je t'avoue que j'ai hâte de retrouver un bon lit. Dit-elle alors qu'elle installait sa ceinture de sécurité avant qu'il prenne la route. Le coin de sa lèvre qu'elle mord, le regard qui se tourne vers le brun. D'ailleurs.. Je dors avec toi ce soir ? Parce qu'elle voulait passer la soirée ainsi que la nuit à ses côtés et qu'une fois chez lui, elle aura certainement pas la force de rentrer chez elle.

Le concret du moment c'est sans doute ce qui dépeint le mieux la relation que tu entretiens avec la jeune blonde. Une entente qui prend vie dans le moment présent sans pour autant pour autant se porter vers l'avenir. Le temps pour le prenait et pour l'heure vous tentez surtout de le rattraper. Tu la considères d'un petit clin d’œil lors qu'elle te dit qu'elle n'occulte pas le petit tour à moto. Toi non plus, tu le réserves autre moment car les occasions ne manqueront pas tu n'en doutes pas. Une fois sur la route, tu lui proposes de lancer la commande de pizza histoire que vous puissiez vous restaurer une fois arrivé chez toi. « Je serais toi, je prendrais les deux. ». Ouais tu avais faim toi aussi et puis au moins vous auriez le choix. Tu récupères le téléphone que tu ranges dans la poche de ton manteau. « J'imagine, mais t'avoir dans mes bras ça sera encore mieux. ». Lui dis-tu tout  naturellement tout en la considérant d'un petit clin d’œil puis tu tout démarres la voiture qui s'infiltre dans le trafic fort agréable à cette heure. Tu allumes un peu le chauffage, une main toujours sur le volant, les yeux posé sur l'horizon de la route quand bien même tu sens le regard de Orphéa sur toi. À l'entente de son interrogation, l'esquisse d'un rictus taquin étire le coin de tes lippes alors que tu la regardes et tu lui dis. « Parce que tu penses que je t'aurai laissé rentré ce soir chez toi ? ». Tu secoues lentement la tête de droite à gauche, le regard se posant à nouveau sur la route. « Bien sur que tu dors avec moi, tu m'as énormément manqué pour être honnête. ». Tu glisses ton autre main libre dans cette de la jolie blonde et entrecroise vos doigts.
@Orphéa Wertheimer

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Elle adorait Paris, mais lorsqu'elle retrouvait le sol américain, elle en était toujours heureuse. Faut croire qu'après plusieurs années à Boston, elle avait réussi à trouver son chez elle. Lumière retrouvée depuis qu'elle était aux côtés de Kobe, il était tout ce dont elle avait besoin ce soir. Une présence réconfortante qui lui avait bien trop manqué pendant ces quelques semaines. Sourire qui s'élargit lorsqu'il lui indiquait de prendre les deux pizzas, elle n'hésitait pas à appuyer sur le bouton commander. Tu sais comment parler à une femme toi. Dit-elle d'un léger rire, elle était gourmande, alors plus de nourriture, ça lui allait complètement. Nouveau sourire qui s'affiche lorsqu'il parlait de ses bras, rien que par ces mots il semblait plus entreprenant et ça lui plaisait. Elle aimait que les choses aillent en douceur, mais elle n'était pas non plus cette petite biche dans le besoin d'être cajolée, bien au contraire. J'ai encore jamais tentée un sommeil dans tes bras, ça doit être le meilleur. Dit-elle de son air amusée, le brun était tellement apaisant, qu'elle ne doutait aucunement de ses mots. Les lumières de la ville de Boston qu'elle observe à travers la fenêtre, des petits coups d'oeil qu'elle lui jette lorsqu'il se concentrait sur la route. On a jamais vraiment dormis l'un avec l'autre, alors je me demandais.. Et je suis ravie de ta réponse. Les doigts qui s'entremêlent, l'envie d'arriver à destination qui ne cesse d'augmenter. Faut croire qu'elle allait bien passer la soirée parfaite qu'elle attendait. Toi aussi, tu sais. Mais on a maintenant toute une nuit pour se rattraper ! Dit-elle sans pouvoir s'empêcher de lui lancer un clin d'oeil qui voulait sûrement en dire beaucoup.

Le rictus discret de l'ange rigolard est accroché à tes lippes lors de la toute première réplique de la blondinette. Savoir parler à une femme ? Il faut dire que tu le fais toujours avec sincérité mais surtout énormément de respect. Tel est le résultat de l'éducation que t'ont donné tes deux aînés. Le passif t'a appris de nombreuses choses et même si les souvenirs sont pour toi silencieux, il n'en demeure pas moins que tu t'en es toujours éloigné.  Tu es donc naturel avec elle, lui avouant que l'avoir dans tes bras cette nuit n'en serait que meilleure et tes mots semblent la ravir à la vue de son sourire et de la teneur de son affirmation. Bien que tes iris soit focaliser sur la route, cela ne t'empêche nullement d'être pleinement à l'écoute des propos de Orphéa. C'est vrai, votre relation évolue en une douceur qui vous convenez tous les deux et qui rythmait avec vos emplois du temps respectifs. Vous aviez tissés ensemble une complicité qui ne demandait qu'à être approfondit ou dessiné davantage – si on peut le dire de cette façon? Une main sur le volant, ton autre main vient instinctivement chercher celle de la jeune Wertheimer y tu entrelaces vos doigts tandis que tu prends la prochaine sortie pour rejoindre le centre-ville. « On a manqué de temps ces dernières semaines mais on va faire en sorte de rattraper tout ça. ». La voir sourire à nouveau, la fait davantage rayonner et tu es content de la voir ainsi. Tu as une petite idée de ce qu'elle peut traverser car tu es toi-même malade et tu sais ce que peuvent endurer Ryogan et Nicola. Tu tournes vers la gauche où tu rejoins la ruelle principale de ton immeuble. Tu te gares juste devant tout en repérant le deux roues du livreur de pizza qui s'engage dans la rue à son tour. Le moteur de la voiture coupé, toujours vos mains liés, tu lèvres ces dernières ensemble pour venir lui caresser la joue avant de répondre. « Je vais récupérer les pizza je reviens. ». Tu la considères d'un petit clin d'oeil, descend de voiture et va pour payer la commande que tu récupères puis tu reviens vers la voiture. Orphéa t'a rejoint près du coffre, tu lui donnes les pizza et ouvre le coffre pour en récupérer les bagages. « Toujours aussi faim ? ». Lui demandes-tu tout en avançant dans le hall de l'immeuble.
@Orphéa Wertheimer

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with @Kobe Rockefeller

Peut-être que cette nuit est capable de lui apporter plusieurs réponses à ses questions. Elle s'est souvent demandée si Kobe voyait leur relation comme de l'amitié ou quelque chose de plus important. Elle se rappelait leur baiser, le seul point de repère qu'elle avait pour connaître son ressentiment. De son côté, il lui plaisait, c'était une évidence. Mais peut-être qu'elle était effrayée que les choses n'allaient pas forcement dans le rythme qu'elle désirait. L'idée qu'ils dorment ensemble ce soir était peut-être le début de quelque chose, ou bien d'un retour en arrière, elle en savait rien. Trop fatiguée pour penser plus longtemps, elle profitait simplement de sa présence et de cette soirée. J'espère bien. Dit-elle d'un clin d'oeil qu'elle laissait échapper. La voiture finalement garée, elle hochait la tête lorsqu'il lui disait qu'il allait récupérer les pizzas. Son sac qu'elle attrape jusqu'à retrouver le coffre. Encore plus maintenant qu'elles sont là. Dit-elle amusée en récupérant les cartons, le remerciant d'un sourire lorsqu'il s'occupait de ses bagages. Au moins, elle ne doutait pas sur le fait qu'il était un vrai gentleman. Son appartement qu'ils retrouvent, les pizzas qu'elle pose sur la table. Tes coloc sont pas là ? On est seuls ce soir ? C'était un peu comme leur première soirée à deux, au fond d'elle, elle espérait que ça soit le cas. Son manteau et son sac qu'elle dépose sur le côté, sourire qui reste ancré sur les lèvres face à cette soirée.