After class, i need to talk to you about your... marks (Konna)

❝After class, I need to talk to you, about your marks❞
feat Nina & Konrad ✖ En tant que professeur assez jeune, je pouvais en effet dire que j'étais probablement un peu, trop peut-être, coquine. Mais j'aimais ça. Je n'étais pas une accro au sexe non plus, mais je ne me privais pas des joies de la vie et du corps que nous avions la possibilité d'avoir et de ressentir dès que nous le voulions, de toutes les façons possibles. Avec cet élève, un Mather, il savait toujours me donner ce plaisir que j'atteignais rarement aussi intensément. Alors, pourquoi devrais-je m'interdire de l'attirer entre mes jambes? Impossible pour moi. Après tout, nous nous étions connus bien avant que nous soyons dans cette relation de professeur à étudiant. J'étais réellement concentrée sur mon envie d'avoir Konrad entre mes cuisses, là, tout de suite, et ça pouvait être dangereux si je ne me contrôlais pas. Un élève de la classe pourrait se retourner, ou le directeur de l'Université pourrait se retrouver à passer par là et à nous surprendre dans une position délicate. Mais je m'en foutais ,à vrai dire. Mon cerveau s'en foutais, et mon corps également. Je lui tournais maintenant fréquemment autour, alors qu'il ne restait plus qu'une trentaine de minutes au cours. Enfin, c'était bientôt terminé! Plus qu'une demi-heure. Il fallait que je trouve une excuse pour le garder dans la classe sans attirer les soupçons de ses camarades, non plus. Ayant à présent passé dans son dos, mes mains dans son pantalon, caressant son entrejambe à la recherche de son outil de plaisir, il ne se fit pas attendre pour lever les yeux vers moi et m'embrasser à pleine bouche. Qu'est-ce que ça me manquait, cette bouche! Je souris contre ses lèvres sans me dégager, faisant danser ma langue contre la sienne pendant un bon moment encore. En même temps, j'attrapais un peu plus fermement son membre au travers le tissus de son calecon que je caressais plutôt rapidement, de façon gourmande. Je murmurai à son oreille, tout près : « T'as pas d'autres cours après, j'espère? » Je passai également ma langue de manière gourmande sur mes lèvres en prenant un air totalement innocent, tout en retirant ma main de son pantalon et me relevant, me rajustant quelque peu, restant à côté de lui afin d'observer son dessin. « Très joli, vous savez, Monsieur Sheffield! »

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† Konna †

After class, i need to talk to you about your... marks

Nina, elle était juste une excellente professeur, sur ce point là peu de gens avait un avis négatif, elle était professionnelle, elle savait parler avec les autres, toutes les qualités pour être prof quoi, elle en avait d'autres et personnellement c'est celles là que je kiffais. J'étais son petit favoris, son chouchou comme elle aimait si bien me le rappeler, disons qu'entre elle et moi ça allait bien plus loin qu'une simple relation prof/étudiant, je la connais très bien, elle m'a sorti de la galère quand je suis arriver ici, elle m'a hébergée et mon appart, c'est grâce à elle que je l'ai, enfin bref, je lui en dois une et je le lui rend bien, j'ai une place VIP entre ses cuisses, je sais lui faire plaisir comme aucun autre mec, on couchent ensemble ouais, je fais des jaloux je sais. On venaient d'entrer dans un petit jeu, des petites allusions que seuls nous pouvions comprendre à travers des phrases banales aux yeux des autres présents dans la classe, elle reste discrète mais ne se gêne pas pour me provoquer, me chauffer, elle sait ce que j'aime et ce que j'aime pas, elle en profite. Je levais les yeux vers la pendule, plus que 30 minutes, je souriais continuant mon dessin, elle me tournait autour puis venait se rapprocher de moi, jusqu'à venir attraper ce qu'elle appelle sa drogue, me montrer que je lui fais envie plus qu'autre chose, ça me fait sourire et je viens l'embrasser près avoir jeter un coup d’œil dans la classe histoire de pas se faire griller, on jouaient de nos langues quelques instants, elle serrait encore plus ce qu'elle désirait tant et venait me murmurer quelques mots à l'oreille J'ai une heure de libre.. venais-je à mon tour lui dire à voix basse tout proche de son oreille. Elle enlevant sa main de mon jean, se redressait mais restait toujours à côté de moi, commenter mon œuvre On appelle ça du talent Mlle. Corrales je lâchais un petit rire fier, oui je prenais la grosse tête mais je le fais toujours, même en plein cours Ça vaut au moins un petit 19 venais-je ajouter après quelques coups de crayons de plus sur le dessin.

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❝After class, I need to talk to you, about your marks❞
feat Nina & Konrad ✖ Je me souviens qu’il y a de cela 5 ans déjà, j’avais découvert ce jeune homme de dix-huit ans, juste devant la porte de mon appartement. À ce moment-là, il avait eu l’air complètement perdu. Ce n’avait même pas été difficile à remarquer : il était bourré, et même peut-être drogué, à la vue de ses yeux rouges et légèrement gonflés. Sans me demander les conséquences qu’il pourrait y avoir, je l’avais hébergé chez moi pendant quelques temps et l’avait aidé à se dénicher un appartement, puisqu’il était pour ainsi dire à la rue, et c’est là que notre complicité avait commencé. Autant sexuelle qu’amicale. Lorsque nous avions découvert que lui était étudiant à la même université où j’enseignais depuis peu, il avait été bien difficile pour nous de mettre un terme à notre relation plus que plaisante et agréable. Eh oui, les parties de jambes en l’air avec lui étaient toujours un véritable pied, et je ne pouvais me passer de lui à ce niveau. Nous avons réussi à nous «cacher» et à faire de cela notre petit secret. Parce que…j’adore quand il se retrouve entre mes jambes, dans mon lit, dans ma classe ou dans mon bureau. Et maintenant, c’était excitant parce que nous ne pouvions non plus nous empêcher de nous lancer des répliques subtiles à connotation sexuelle que nous seuls comprenions. Et heureusement! Konrad me dit qu’il avait une heure de libre par la suite à m’accorder. Et je savais très bien, autant que lui, à quoi nous allions accorder cette heure. Je souris toujours en me prenant entre les rangées de la classe afin de voir l’évolution du travail de mes élèves. Pourtant, chaque fois que je repassais près de Konrad, mon bas-ventre se réchauffait dangereusement vite, et j’étais incapable d’attendre plus longtemps que le cours se termine. Je dis d’une voix forte aux étudiants : « Allez, je suis gentille. Le cours est terminé, vous pouvez partir! Vous avez bien travaillé, c’est bien mérité! » Je me retournai vers Konrad et cachant un sourire en coin je dis sur le même ton : « Par contre, Monsieur Sheffield, j’ai quelques mots à vous dire. Principalement à propos de ce…petit somme de tout à l’heure! » J’attendais maintenant impatiemment que les étudiants filent et referment la porte de la grande classe. Je ne quittais plus Konrad du regard. Je m’approchai de lui en jetant un coup d’œil vers la porte afin de faire sûr qu’il ne restait plus personne, puis étant rassurée, je le fis se lever de sa chaise afin de le plaquer férocement contre le mur. Je lui murmurai d’une voix chaude : « Ça vaut même un 20, si tu me fais prendre mon pied! » Je ne doutais pas qu’il allait réussir, excitée comme j’étais.

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† Konna †

After class, i need to talk to you about your... marks

Sans elle je ne serais rien, c'est aussi simple que ça, je lui dois beaucoup, vraiment beaucoup, j'ai tellement galéré quand je suis arrivé ici il y a 5 ans, tombé sur elle c'était juste un miracle à l'époque. Notre relation s'est très vite établi, entre cul et amitié on savaient parfaitement gérés, du moins en secret, sur le campus c'était interdit ce genre de relation prof/étudiant, mais on géraient, on baisaient comme on pouvaient parler, elle me comprend, je la comprend, on es là l'un pour l'autre même si la différence d'âge est là, je m'en fiche elle reste ma Nina. Elle passe de nouveau dans les rangées, vérifier si le boulot se fait correctement, je souris à chaque fois qu'elle repasse près de moi, non sérieux je sais que je lui fais de l'effet, qu'elle bouillie à l'intérieur puis elle craque, elle dit à tout le monde de sortir, sauf à moi bien sur, obligé Aucun problème Mlle. Corrales lui répondais-je sur un ton assez arrogant, sur de moi et provocateur, histoire que les autres ni voit que du feu, puis je savais qu'elle aimait ce genre de choses chez moi. Tout le monde sortait, la porte se refermait, elle me levait de ma chaise et me collait contre le mur venant me murmurer des choses à l'oreille La porte verrouillé, c'est mieux tu crois pas ? je lui souriais déposant mes lèvre sur les siennes, je la quittais pour aller verrouillé la porte puis une fois fait je me tournais vers elle Je dois faire quoi pour avoir un 20 alors ? je m'approchais d'elle, je la plaquais à mon tour contre le mur, je venais passer ma main sur l'une de ses jambes et la faire remonter avant de lui rouler une pelle comme elle les kiffe avec moi.

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feat Nina & Konrad ✖ J'aimais être prof, certes. Je donnais toujours mon 100% à mon boulot et avec mes élèves. Mais là, ils devenaient de trop. Vraiment de trop. Un peu plus et j'aurais carrément sauté sur mon chouchou en lui déchirant ses vêtements, oubliant complètement les étudiants autour de nous. Je savais pourtant me retenir : ça n'aurait pas être très... bien vu. Depuis le moment où j'avais mis ma main dans son pantalon au travers de sa braguette en plein cours, il y a de cela à peine quelques minutes, c'est là que j'ai réellement commencé à être excitée à fond. J'en pouvais simplement plus. Sa voix arrogante me firent sourire en coin, retenant pourtant un rire. Dans ces moments-là, j'avais comme l'impression de ne plus me reconnaître du tout. D'être quelqu'un d'autre qui n'attendait qu'à recevoir un mec, et principalement Konrad, entre les jambes. Heureusement, mes élèves ne tardèrent pas avant de partir, probablement trop heureux de pouvoir s'enfuir du cours plus tôt. À l'université, les travaux nous tombaient dessus directement comme ça, sortant de nulle part, alors probablement qu'ils iraient profiter de ce temps pour s'avancer et étudier pour la fin de l'année. Je ne m'en préoccupai pas plus longtemps. Pourtant, avant que Konrad me laisse s'occuper de lui, il alla vérouiller la porte de la classe afin d'empêcher des visites pas souhaitées et souhaitables. Il revint vers moi et j'hochai la tête en signe d'approbation. Je lu souris en coin, malicieusement, coquinement, lui montrant que je ne l'attendais plus que lui, à présent. J'aimais sentir nos deux corps en contact, prendre du plaisir de lui, ou lui en donner. J'étais impatiente de rechercher ce plaisir intense comme à chaque fois. Je plongeai mon regard dans le sien puis profitai de ce baiser fougueux qu'il me partageait. Nos langues s'entremêlaient follement, comme deux vraies bêtes, deux affamés. Puis, en repoussant un peu son visage je murmurai près de son oreille : « Mon chou, fais-moi tout ce que tu veux. Je suis à toi. Entièrement. Tout ce que tu veux...! T'auras peut-être même plus que 20... » Je luis fis un clin d'oeil qui voulait en dire long. Pourtant, je ne lui laissai ni m'embrasser de nouveau, ni me laisser faire faire ce qu'il voulait de moi, parce que je me lassai glisser contre le mur, tombant à genoux au sol. J'entrepris de déboutonner son jean et de le lui retirer d'un coup. Je voyais son excitation au travers de son boxer. « Mmh... » Ni une ni deux, je posai ma main sur son membre, recouvert par le tissus et n'attendit pas plus longtemps pour le masser fermement, délicieusement. Je vins même par moments poser ma bouche à certains endroits pour amplifier la caresse qui le ferait languir d'une certaine façon.

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