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Ton rire, ce rire. Il me tend chaque instant un peu plus. L’impression que tu te moques de moi, que t’en joue. Que tu t’en moque de... tout ça ? de nous ? Je craque littéralement, au point que je suis incapable de répondre quand tu me parles de Rosalia. En même temps, ça me semble assez évident. J’aurai été curieuse de voir ta réaction si j’avais pris une photo avec Maxime en étant à moitié à poil et lui torse nu. Tu m’aurais viré à l’instant même de ta vie. La rage qui monte, l’envie de déballer tout ce que j’ai sur le cœur. Parfois avec certains gestes qui m’arrachent des grimaces de douleurs avec mon épaule. Je le vois que ça ne te plait pas. Tu bouillonnes, sûrement autant que moi. J’ai la nausée, la tête qui tourne. Trop de paroles, mélangés aux médicaments sans avoir pris soin de manger. Mes mains tremblent. Je ne sais pas si j’ai tout dit ou même si ça m’a fait du bien. Mais je suis d’accord avec toi, ça mène où tout ça ? J’essuie rapidement d’un revers de main, la larme que je laisse paraître. Parce que je sais au fond de moi la réponse. Tu la connais aussi. « Nulle part. » Et putain que ça fait mal de le dire. Je n’ai jamais laissé entre qui que ce soit dans ma vie, voulant me concentrer uniquement sur les études. Sans avoir de distraction qui me sorte de ce chemin. Et tu es arrivé. Tu as changé ça. Pour mieux m’atteindre de l’intérieur. Pour m’entendre dire que je t’appartiens corps et âme alors que ce n’est pas réciproque. Qu’on se détruit. Je perds possession de mon corps petit à petit. Je te plante là, le temps de courir vers la pièce la plus proche. J’ai envie de vomir, me rendant malade de cette conversation. J’ai à peine le temps de voir mon teint blafard devant un miroir que ma tête se penche dans la cuvette. L’envie de disparaître là maintenant. Si je n’avais pas mon frère, je prendrais le premier vol pour rentrer en France, t’oubliant en étant loin. Je ne contiens plus rien, assise contre le mur à côté du toilette après avoir tiré la chasse, je retiens plus aucune larme, la main contre mon épaule. Je n’avais pas idée qu’aimer pouvait autant faire souffrir.

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Une discussion qui n’allait nulle part, juste à blesser l’un et l’autre. Etait-ce vraiment le but de ce rendez-vous, chez elle ? Après son accident, après que tu aies tenu certain propos. Le sujet n’avançait pas, c’était toujours autant négatif, et tu commençais à sentir la colère monter en toi. Tu tentais tant bien que mal de rester toi-même, de garder le self contrôle, ça ne servait certainement à rien d’hurler. Mais, peut-être que le meilleur choix était de repousser cette entrevue, laisser le temps faire les choses correctement ? A vrai dire, tu n’en savais que trop rien, mais on t’avait toujours dit que le temps faisait les choses. Tu tentais de respirer calmement, faire ce qu’ont t’avait toujours dit de faire, quand tu sentais que tout explosait en toi. « C’est bien ce que je me disais. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, rapidement. Ton regard se posa tout de même sur la jeune femme, restant au milieu de ce salon, que tu connaissais parfaitement. Jusqu’à ce que la jeune femme parte si rapidement dans la direction des toilettes, tu la suivais, attrapant rapidement ses cheveux, pour les tenir et poser une main dans son dos. Malgré la colère qui était en toi, tu restais tout de même un humain et surtout quand tu aimais la personne. Tu restais à ses côtés, attendant que ça aille mieux, tu finissais par lui dire « Il faut que tu manges, sinon les médicaments vont te rendre encore plus malade. » soufflais-tu doucement.

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Nulle part. Et tu es d’accord avec moi. Tout cela ne rime à rien, et pourtant on s’efforce à tenter de se raccrocher à ce qu’on peut. Parce que l’amour est là. Mais je n’arrive pas à savoir si cela est suffisant ou non. J’aimerai, de toute mes forces. Mais pour l’instant, ces forces me quittent et me rendent malade. La tête dans le toilette, c’est ta main que je sens dans mes cheveux, me les tenant. Depuis la veille au soir, les médicaments me rendent malade. Et rien n’est fait pour que ça aille mieux. Ton contact sur moi, arrive à calmer mes hauts de cœur quelques instants plus tard. Me posant à côté, de peur que ça revienne, et sans avoir la force de bouger. Juste la force de pleurer. J’ai besoin de tout évacuer, je n’arrive plus à intérioriser notre relation. « Tu penses vraiment que c’est mangé dont j’ai envie là ? » Parce que là pour l’instant, j’ai surtout envie que tout s’arrête, que cette douleur cesse. Celle de mon cœur, et celle de mon épaule qui me lance. On vient de se disputer une énième fois, encore. Le papier toilette faisant guise de mouchoir à essuyer mes larmes. Me calmant doucement. Un long silence. L’envie de faire la paix. « Tu penses qu’on s’est tout dit ? » Ma tête appuyée contre le mur en ta direction. Te regardant en cherchant la clémence. « Reste avec moi.. Jusqu’à ce que tu retournes en cours. » Parce qu’il faudra bien un moment où tu vas devoir y aller. Je me relève, n’ayant pas envie de rester ici dans la salle de bain, les nausées sont parties. Alors je me décide à retourner dans le salon, espérant que tu voudras te poser avec moi dans le canapé, en me prenant dans tes bras et ne pas vouloir me lâcher.

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Des hauts et des bas, mais bien plus de bas que de haut en ce moment. Tu ne la comprends plus, elle ne te comprend pas, c’est devenu très compliqué de composer avec tout ça. Tu n’acceptais pas sa relation avec son meilleur ami, elle n’acceptait pas ta meilleure amie. Finalement, tu lui reprochais les mêmes choses, qu’elle te reprochait. Un léger soupire s’échappait de ta bouche, ton regard qui se posait sur la jeune femme, la discussion est houleuse et elle ne sert finalement à rien ? Juste souffrir, et retarder le moment propice pour tout arrêter ? Tu n’en savais rien, tu n’arrivais pas à savoir ce qu’il fallait faire pour que tout aille mieux. Mais, elle coupa ce questionnement que tu avais dans ta tête, elle courrait au toilette, se laissant glisser sur la cuvette des toilettes, elle rendait le peu qu’elle avait mangé, mais tu savais parfaitement que ce n’était pas ça, mais bien les médicaments et certainement le stress de ces derniers jours. Tu n’étais pas médecin, tu ne savais pas ce qu’il fallait faire, mais tu attrapais rapidement ses cheveux pour éviter de devoir les laver dans peu de temps. Ton autre main glissait le long de son dos, faisant des simples cercles, histoire de la soulager, de lui faire penser à autre chose. « Mais tu n’as pas le choix, pour que tes médicaments ne te donnent plus cet envie de vomir. » tu avais l’impression de parler à une enfant. Elle essuyait ses larmes qui coulaient le long de ses joues avec le papier toilette, à vrai dire, tu n’avais rien d’autre pour l’aider. Tu ne savais tout simplement pas comment gérer la situation, que faire pour l’aider. « Je ne sais pas. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ton regard toujours fixé sur elle. « Je reste. » tu la suivais, prenant place sur le canapé, la prenant près de toi.

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