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@Esteban J. Quesada
01.12.2022  
along charles river, loft des lurton  


Je suis rentrée hier avec Maxime. J’aurai pu te demander, histoire qu’on se voit un peu plus tôt. Cet accident me fait tellement réfléchir. Et à quelques minutes que tu arrives, je réfléchis encore. Je ne sais pas où on va, mais on y va. A aujourd’hui, je ne suis pas sûr qu’on y aille bien. Pourtant si on me reposait la question quelques jours en arrière, j’aurai pu jurer sur ma vie que j’étais la femme la plus heureuse au monde. Là, je suis amoureuse et blessée. Je sais que c’est compliqué, que j’ai dû mal à avouer me livrer en matière de sentiments, et même si je ne te le dis - ça a failli une fois - je t’aime. Seulement, je ne suis plus convaincue que ça suffise. A la moindre occasion, dès qu’on doit parler, ça tourne à la dispute. On ne sait pas avoir de conversation calme et posée. Alors peut être que Maxime a mal fait en m’offrant ce bracelet dans l’avion, qu’il aurait dû le faire lors de la soirée. Le fait est que ça vienne de lui, peut importe quand il l’aurait fait. Quand je relis nos messages, mon coeur se meurt un peu plus dans la réalité de ce qui est dit : avoir cette impression de marcher sur des oeufs quand je te parle. Sauf que c’est moi, je suis naïve, j’ai dû mal à voir le mal dans certains actes, je suis maladroite, j’ai des problèmes de confiance. Si tu veux qu’on continue ensemble, ça sera à prendre avec tous ses défauts. Puis en matière de confiance, il va y avoir du travail encore. C’est compliqué d’avoir confiance en quelqu’un qui ne sait plus où il en est à la moindre difficulté, alors que je reviens d’un séjour en France où j’ai dit à ma famille, mon père, que j’étais en couple. Le premier homme que je voulais présenter à mes proches.
Une grimace se fend sur mon visage quand je cherche à attraper une épice, tirant un peu sur mon épaule. Au menu de ce midi, un risotto saumon et crème de parmesan. De toute façon, je n’ai que ça à faire. Je me retiens de ne pas faire un ménage de printemps dans tout le loft. Nicolas n’est pas là, cela vaut mieux. Je n’ai pas demandé à Nicolas ce qui s’était passé pendant mon silence, de toute façon, le souci n’est pas vraiment là. Le repas est prêt, laissant au chaud, le couvercle de la sauteuse mis avant d’ouvrir la porte quand ça sonne. Je suis clairement pas à mon avantage : un bras dans l’écharpe pour ne pas forcer, un tee-shirt trop grand pour moi, un leggings. Il me reste quelques égratignures qui s’effacent un peu depuis mon accident au visage, des hématomes sur les jambes, et au bras. Le principal c’est que je sois en vie. « Salut, entre..» alors que je m’écarte pour te laisser rentrer. Mon coeur s’emballe en te voyant, mon amour pour toi qui m’éclate à la tête. Et pourtant je reste statique, sans savoir quoi faire. C’est étrange, je préfère tout de même attendre de savoir comment taoi tu réagis. Je ferme la porte derrière toi. « ça a été les cours ce matin ?» Des banalités. Je suis mal à l’aise, ça se ressent à des kilomètres à la ronde, alors que je me dirige vers la cuisine.

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La situation était plus que délicate, c’était devenu compliqué de gérer tout ça. Tu t’étais promis de ne pas revivre une relation difficile, tu avais déjà donné. Rosalia et Scott n’avaient pas hésité à te le rappeler, ils t’avaient vu dans des états et ils ne voulaient pas te retrouver encore six pieds sous terre. Alors oui, tu n’avais pas réfléchi et tu avais balancé des paroles, peut-être dérangeante par message. Tu ne la comprenais plus et elle non plus, la situation était au point mort. Elle avait coupé son téléphone et finalement, avait eu un accident par la suite. Pas de nouvelle pendant presque vingt-quatre heures, des messages de son frère, d’une amie à elle. Bref, tu en avais eu plein la tête et ce malgré le fait que tu avais fait ton possible pour la retrouver. Elle t’avait simplement envoyé un message pour te prévenir, et son frère était sur le chemin pour la retrouver. Tu n’avais pas chercher plus, ne voulant pas le croiser, ne sachant plus où tu en étais, tu l’avais laissé tranquille. Elle avait certainement besoin de se reposer et reprendre ses esprits, pas le temps pour se prendre la tête. Tu n’avais pas l’envie, ni la force, alors tu avais préféré te réfugier près de tes meilleurs amis, un soir chez l’une et le lendemain avec l’autre. Peut-être que ça ne lui plaisait, peut-être qu’elle pensait que tu t’en foutais d’elle, mais tu avais besoin aussi de prendre de la distance. Ça ne pouvait que t’aider à réfléchir et prendre la bonne décision, pour toi, comme pour elle. Car dans un couple, c’était 50/50, il n’y avait pas que toi et si elle en souffrait, à quoi ça servait de continuer ? Des messages envoyés, mais tu préférais t’expliquer en face à face, plutôt que derrière un écran. Tu devais la rejoindre durant ta pause, entre deux cours et tu avais accepté. Elle t’avait même proposé de te faire à manger, tu avais accepté, alors tu avais pris le chemin de son logement. Tu connaissais parfaitement la route et celle-ci avait été dégagé, peu de monde sur le chemin, seulement une vingtaine de minutes, c’était parfait. Une fois au pied de la porte, elle n’avait pas mis bien longtemps pour t’ouvrir, mais l’ambiance était glaciale. Tu ne savais pas comment t’y prendre, répondant par un simple « Salut. » entrant à l’intérieur de son logement. Tu l’avais prévenu, tu ne voulais pas croiser son frère. Tu restais planté, là, tel un inconnu dans cet endroit, ton regard qui se promenait un peu partout, revenant toujours sur elle, sur son bras en écharpe. Elle s’échappait vers sa cuisine, te posant cette question classique et bateau. « Comme toujours, je vais surement retourner en stage quelques jours, mon patron m’a appelé et il a besoin d’aide. » tu haussais les épaules, si ça pouvait te permettre de décrocher un contrat à la fin de tes études. « Et toi, comment tu vas ? » tu t’inquiétais quand même de son état.
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T’es là, devant moi, tu rentres dans le loft, où je suis seule maîtresse des lieux pour l’instant, Nicolas étant en cours. J’ai rêvé de ce moment en France où j’allais rentrer, te sauter dans les bras, te dire comme tu m’as manqué, et que même si mon père n’est pas emballé par notre relation, je suis prête à tout pour lui prouver qu’il a tord, que c’est toi et personne d’autres. On aurait passer notre soirée ensemble sous tes draps, où ton corps m’aurait montré combien je suis tienne. J’ai passé quasiment une nuit blanche avec Chloé, ma sœur, pour lui parler de toi, avec des cœurs dans les yeux. Je lui parlais de certaines de nos disputes, mais ça me semblait tellement infimes à côtés de nos moments.
Le retour a été une autre réalité. Au final, tu es là, se comportant comme deux étrangers. Pas un baiser, juste un échange de regard, un salut et de la tristesse au plus profond des yeux. Difficile t’entamer la conversation, alors je me tente à une phrase bateau, une simple question. « Oh..» que je répond, surprise que tu repartes déjà aussi vite, même si je sais que ça va forcément arriver. « Et tu partirais où cette fois-ci ?» La première séparation professionnelle, j’ai eu beaucoup de mal à la gérer. Le manque ayant pris le dessus sur moi. Cette nouvelle ne sonne pas comme une bonne nouvelle. A croire qu’on n’est plus à ça prêt. Je fini par penser comme une femme résignée, faut que je me ressaisisse. « A quel niveau ?» Parce que rien ne va en fait. « Je n’ai pas été malade aujourd’hui, mais j’ai encore rien avalé. Et j’ai déjà marre de tourner en rond ici. Mais si je vais le moindre gros effort, j’ai la tête qui tourne.» Depuis hier, je suis vite prise de vertige, comme hier soir en me douchant, si je mange, je suis malade. D’habitude c’est moi le médecin et les autres les patients. Pas le contraire, et c’est dur de rester du côté de cette barrière là. « Je m’occupe, comme là, je viens de passer un moment à faire à manger. Risotto saumon et parmesan ça te va ? » Je ne suis pas mauvaise en cuisine, loin de là, et là, à une seule main, c’est un vrai challenge. De l’autre côté du comptoir, dans le meuble pour prendre les assiettes, je peine à trouver mon équilibre, j’y arrive tout de même. Je ne dois en avoir pour longtemps avec cette écharpe. J’espère. « Je peux te laisser nous servir ? ça va être une catastrophe si je le fais.» Tenir la sauteuse et l’assiette en même, malheureusement, je n’en ai pas les capacités pour le faire. Je te regarde faire, cette question me brûle tellement les lèvres de savoir ce que tu penses, où tu en es. C’est une torture de ne pas savoir.

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Tu as l’impression d’être un étranger à ses côtés, c’est devenu tellement différent. Une froideur impressionnante, tu étais même gêné de te trouver ici. Tu aurais préféré la voir dans des autres conditions, mais tu lui avais dit que tu préférais parler en face à face que derrière un téléphone. Clairement, les sms ça commençait à te saouler, tu ne prenais pas forcément les messages comme elle le désirait et inversement. C’était toujours délicat et ce depuis le début de la relation et même avant. Le centre du problème et ce depuis le début : Maxime et ça ne changera certainement jamais. Tu avais respecté cette relation, tant qu’ils te respectaient, ce qui n’était pas vraiment le cas de ton point de vu. Toi, avec Rosalia tu avais mis tout de même un peu des distances, tu ne dormais pas avec elle, tu ne lui offrais plus les même cadeaux qu’avant. Le must dans l’histoire, tu restais proche d’elle, mais au moins tu n’avais rien à te reprocher et tu n’avais jamais coucher avec elle. Alors oui, elle pouvait te rapprocher ce qu’elle voulait, mais finalement, est-ce qu’elle était blanche comme neige ? Plus tellement, plus le temps passait et plus t’en en apprenais. Tu tentais d’oublier tout ça, le temps d’un instant, déposant ton manteau sur le rebord d’une chaise, ton regard balayant cet endroit. « Jérusalem. » soufflais-tu doucement, répondant rapidement et simplement. « Une personne absente et le chantier prend trop de retard. » tu haussais les épaules. C’était ton futur job et si tu désirais obtenir une place chez lui, autant te mettre en quatre. « En général. » car oui tu t’inquiétais de son état, que ça soit mental comme physique. Tu comprenais, les médicaments n’aidaient pas. « Je me doute, mais il faut que tu prennes ton temps. Ça sert à rien de forcer. » disais-tu calmement, de toute façon ça ne servait à rien d’être froid, d’être brut. « Je me doute, c’est pas simple de rester à la maison. Mais au moins, tu n’es pas seule, c’est ça le principal. » faisant allusion à son frère et certainement les personnes qui venaient la voir. Tu savais très bien qu’elle verrait du monde dont son meilleur ami et sa meilleure amie, ce qui serait logique. Tu hochais la tête, prenant la place dans la cuisine pour servir les assiettes et les déposer sur la table, où elle avait déposé les couverts. Prenant place sur l’une des chaises, face à elle, le silence reprenant sa place.
@Maxyne C. Lurton
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Je n’aime pas la situation, te voir, et ne pas pouvoir te toucher, t’embrasser. Ça me démange mais on doit parler. Quitte à me briser le cœur, je préfère le faire maintenant, plus tôt sera le mieux. Briser le cœur J’ai jamais laissé l’occasion à qui que ce soit de le faire et pourtant, je t’ai laissé entrer dans ma vie, et aujourd’hui tu as ce pouvoir entre les mains. La seule chose dont je me promet en nous voyant comme ça, c’est qu’importe l’issus de ce moment, c’est la dernière fois que je m’inflige à être aussi mal comme ça. C’est insupportable. Cet accident n’est pas ta faute, loin de là, mais je ne me serai peut être pas fait percuter par cette voiture si je n’avais pas été aussi distraite, triste à ce moment là. Et ce début de conversation n’est pas pour apaiser mes peines. Tu t’en vas en stage dans peu de temps. Tu en avais parlé que tu devais partir mais c’était totalement sorti de mon esprit. « Je comprends, tu as raison d’y aller.» Je suis moi-même très professionnelle, prête à tout pour réussir dans mon domaine, alors je peux comprendre que toi aussi, même si ce n’est pas le meilleur moment. Quitte à tuer notre vie privée, autant réussir notre vie professionnelle. Quoi que, avec ces écharpes au bras, même ma vie professionnelle en prend un coup. Espérant que pour début janvier, tout aille mieux, que je ne garde pas de séquelle pour enchaîner mes semaines de stage. En général Je ne saurai même pas par où commencer là. Et je n’ai pas envie de rentrer trop vite dans le vif du sujet, voulant profiter de ta présence. « J’essaye, c’est pas simple.. tu me connais.» Un léger sourire sur le visage à cette expression. Tu me connais. Même si cela fait quelques mois, tu me connais d’une façon que personne d’autre ne peut deviner. « Avec cette écharpe, heureusement. Ça reste encore fort sensible.» ça ne devrait être qu’une question de jour pour une luxation. Je sors mon artillerie de médicaments avant de me poser à table pendant que tu nous sers, incapable de le faire moi-même. « Merci.» alors que tu poses mon assiette devant moi. Dans le silence, je prend mon eau, mes médicaments, et je picore. J’arrive pas à mange, pas tant que je ne t’aurai pas demandé. « Qu’est-ce qu’on fait ?» Toi, moi, nous. On fait quoi là ? Être là, comme deux étrangers, ce n’est pas nous ça. « Tu m’as quand même dit tu n’y arrives plus avec ... nous.» Juste avant l’accident, que mon téléphone ne se coupe. Je repose ma fourchette, l’estomac noué. « Quand j’ai récupéré un téléphone c’est les premières choses que j’ai vu, nos messages, cette notification de cette photo sur meetsa que tu as posté aussi. » Jusque là, je n’en avais pas encore parlé, cela n’empêche que j’ai été blessé. A la moindre dispute, tu veux toujours piquer un peu plus fort, la première fois avec cette photo avec Rosalia, plus qu’ambiguë, cette fois-ci avec la photo de Tillie bébé et de ce qui ressemble le plus à sa mère. Peut-être que nos caractères sont moins compatibles qu’on ne le pense.

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A vrai dire tu n’avais plus beaucoup de temps avant de prendre ta place dans la vie active, tu allais vite être diplômé, il ne te restait que quelques mois avant la fin de ton année. Bientôt tu quitterais ce campus, cet université et tu prendrais la route pour te rendre à ton travail. Avec un peu de chance, ton patron accepterait de t’embaucher, il lui manque de personnel surtout une personne aussi polyvalente que toi. Tu pouvais autant être sur le terrain qu’en analyse au bureau. Ton couple avec ce travail ? A vrai dire, tu ne savais pas comment ça se passerait, est-ce qu’elle accepterait tes déplacements pendant plusieurs mois et ça pendant toute l’année. Tu haussais simplement les épaules en écoutant la jeune femme, la laissant prendre la parole, même si tu lui disais de prendre le temps qu’il lui faudra. Elle devait se reposer, ne pas forcer et tu savais très bien qu’elle ferait le contraire de ce que tu lui avais dit. « Oui je te connais. » laissais-tu glisser entre tes lèvres Ton regard qui se pose de nouveau sur la jeune femme, servant les assiettes comme il le fallait avant de les glisser sur la table qu’elle avait déjà préparé. Tu avais un peu près deux petites heures de repos avant de devoir retourner à l’amphithéâtre. Tu commençais à manger, elle prenait ses nombreux médicaments, en effet, les médecins ne rigolaient pas en lui donnant tout ça. Puis viens enfin la question, le sujet qui expliquait cette distance entre elle et toi. Tu avais envoyé ce message, oui, tu y repensais, mais c’était la colère, même si dans le fond, tu le pensais. Tu posais ta fourchette, ton regard posé sur la jeune femme, prenant une grande inspiration. « Juste, on se comprend plus en ce moment. Tu ne peux pas me dire le contraire ? » les disputes s’enchainaient, pour une bague, pour un bracelet, un cadeau donné loin des regards. « Tu me reproches une bague, dis toi que cette personne n’est plus là depuis 5 ans. Par contre tu acceptes un bracelet de Maxime qui est toujours là et avec qui, tu as eu plus que de l’amitié également. » tu restais sur ta position, qu’elle te comprenne ou non. « Pour toi, c’est peut-être rien ? Pour moi la bague ne signifiait plus rien non plus. Et pourtant pour que tu te sentes mieux, je l’ai balancé directement. Par contre, tu acceptes son bracelet. » tu croisais les bras sur ta poitrine. Tu ne changerais pas d’avis, tu avais eu plusieurs avis et plusieurs personnes pensaient comme toi. Déjà que tu passais pour le canard qui acceptait qu’elle continue de côtoyer son ‘meilleur ami’ avec qui elle avait couché un nombre de fois incalculable. Tu réfléchissais un instant, repensant à cette photo, oui, elle pouvait porter à confusion, peut-être que c’était ton ex, mais non. « C’est ma cousine. » laissais-tu glisser entre tes lèvres.
@Maxyne C. Lurton
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Posée l’un à côté de l’autre, prêt à manger le repas que j’ai mis un peu de temps à cuisiner. J’aime pas l’ambiance qui règne dans cette pièce, c’est à la fois silencieux et pesant. Le silence est d’or, mais pas dans cette situation. Juste le bruit du claquement des fourchettes dans l’assiette, même si je mange autant qu’un moineau. Le stress, l’accident, les médicaments, rien ne fait bon ménage ensemble. Ma gorge est noué, rien ne passe. J’ai besoin de savoir, pour nous. Et ta réponse ne fait pas attendre, reposant le couvert sur une assiette à peine goûter. J’aimerai te dire le contraire, mais c’est une évidence que la communication, c’est pas notre fort dans les sujets sérieux. Je hoche juste la tête positivement. J’ai peur de pleurer si je prononce le moindre mot. Alors je te laisse dire et parler. Je te laisse décider de la suite des événements concernant notre couple. Je t’écoute, et finalement, on est toujours au même point. Aucun de nous n’est près au moindre compromis. Alors on fait quoi ? Cette question tourne en boucle dans ma tête pendant que tu parles. Les bras contre ton torse, totalement fermé. Un long soupir s’échappe, une grande inspiration plus tard. « T’es butté sur Maxime parce que j’ai couché avec.. Mais c’est autant du passé pour moi que c’est du passé pour toi avec ton ex. Alors oui tu ne la vois plus, et que Maxime est toujours présent. Et pourtant si ton ex revient un jour, il faudra bien que je fasse avec parce que si un jour Tillie ressent le besoin de connaître sa mère, elle fera partie de vos vies. Maxime est uniquement mon meilleur ami, c’est tout. » Forçant sur le uniquement C’est ancré dans ma tête qu’un jour elle finira par réapparaître, surtout que vous avez eu Tillie ensemble, que je le veuille ou non. Si tu ne fais pas la différence entre bague et un bracelet, la signification entre les deux, je peux rien n’y faire non plus. Maxime a beaucoup été là pour moi, et j’ai promis que ça ne changerait pas. Il est aussi celui qui m’a poussé à te parler ce mois d’août alors que j’étais en pleine rue, totalement ivre à te dire combien tu me plaisais. Alors Maxime était contre nous, il l’aurait fait savoir il y a longtemps. C’est ma cousine que j’entends d’un côté. D’un autre, à la moindre dispute, tu fais passer des messages via ton profil. Ce n’est pas une première, mais je m’abstiens de te le faire remarquer. Je fini par me lever, je tiens plus en place, et l’odeur de la nourriture me soulève le cœur. Et je préfère marquer une distance entre nous, c’est trop dur à gérer pour moi de t’avoir si proche. « Je sais pas ce que tu veux plus de moi ? Je couperai pas les ponts avec mon entourage.» Mon frère, Maxime.. ils sont tous important à mes yeux... comme toi en fait. « T’as tout de moi, ma tête, mon corps, mon cœur. J’avais peur, je voulais prendre mon temps, mais tu me manques dès que t’es pas là, je m’emballe plus vite que je ne le voudrais.» Nouvelle inspiration, les larmes qui montent. « Alors si t’es pas prêt à accepter tout ce qui fait moi, alors..» La larme qui coulent m’empêchant de prononcer les derniers mots qui voulait dire qu’il vaut mieux qu’on arrête.
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Le repas allait être long au vu de comment ça se passait. La situation était bien trop délicate, et même toi, tu ne savais pas vraiment où tu en étais. Tout était mélangé dans ta tête, et tu ne savais même plus vraiment ce que tu voulais. Tu l’aimais, ça c’était certain, mais tu ne l’avais jamais encore trop dit. Tu ne lui avais jamais avoué, et à vrai dire, l’envie s’était envolé avec tout ce qu’il s’était passé dernièrement. Elle pouvait te rapprocher des choses, mais toi, tu ne devais rien dire. Tu tentais de manger ce qu’elle avait fait, tu savais que c’était un plat qui devait être succulent, mais l’envie n’était pas là, comme si une boule venait de s’incruster dans ta gorge. Pourtant tu te forçais un peu, portant quelques fourchettes à ta bouche, répondant à ses paroles. Ton regard posé sur la jeune femme, voulant rire à ses paroles. « Pourtant, mon ex n’est toujours pas là, et si elle revient, elle n’aura rien. Elle n’est plus considérée comme parent à l’heure actuelle et ça, elle doit bien le savoir. » lâchais-tu froidement. « Mais ne t’inquiète pas, j’ai compris qu’il était uniquement ton meilleur ami. Comme Rosalia, que tu aimes tant. » voix cinglante. Tu joues nerveusement avec ta fourchette, car plus la discussion avance, plus la colère commençait à monter en toi. Tu n’avais pas forcément envie de perdre pied, mais c’était ce qui allait se passer, encore, une fois. « Et bien, on sera deux. Je ne couperais plus aucun pont, avec personne, que ça te plaise ou non. ». Ton regard planté dans le sien, tu laissais tomber la fourchette à côté de ton assiette, reculant avec ta chaise. Tu croisais les bras contre ton torse, te levant, et tu décidas de marcher dans l’appartement, tu le connaissais parfaitement. « Je tiens à toi aussi, mais j’en ai marre de faire des efforts et que ça soit pas le cas ou pour toi. Je ne dois pas être jaloux et accepter ton meilleur ami, ses cadeaux et j’en passe. » soufflais-tu, regardant un peu partout. « Mais par contre, toi, tu as le droit de ne pas accepter ma meilleure amie, même de douter de ma cousine, de penser que mon ex reviendra. », tu rigolais un peu, levant les yeux au ciel.

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Si quelques mois en arrière on me dirait que notre relation allait donner cela, peut-être que je ne me serai jamais jetée à corps perdu dans notre relation. Ces derniers jours, je n’arrive même plus à savoir si c’est mon épaule ou mon couple qui me fait le plus mal. Je t’écoute, je ne tiens plus. J’aimerai juste pouvoir crier, hurler. Pas un seul instant, tu essayes de comprendre quoi que ce soit. «  Hormis ce bracelet qui, d’accord, était une erreur, il ne cherche pas à te provoquer pour autant lui. » Si tu veux vraiment parler de ta meilleure amie, allons y. Parce que Rosalia, entre ses gestes déplacés, et je ne parle même pas de ses tenues quand elle avec toi, elle est largement bien plus dans la provocation que Maxime ne peut l’être à ton égard. Mais bien sûr ça, tu ne le reconnaitras pas. Tu te lèves, faisant les cent pas dans le loft, alors que je te parle, la gorge nouée, l’envie de pleurer. J’ai beau te dire que tu as tout de moi, te faire une déclaration que je n’ai jamais faite dans ma vie, tu ne l’entends pas. Je n’arrive même pas à rouler les yeux vers le ciel quand je t’écoute, je sens juste mon âme me faire de plus en plus mal, surtout ton rire léger que je prends très mal. C’est trop pour moi, je fini par laisser les larmes coulées. « C’est bon, t’as fini ? » Je remercie le ciel que Nicolas ne rentre pas entre deux cours au loft. S’il me voyait comme ça, il retournerait le loft sans la moindre hésitation. Je ne te laisse pas le temps d’en placer une autre phrase. Je ne crie pas, je n’en ai pas la force. Je fini juste par chercher mon téléphone, mettant directement la page sur ton profil meetsa. «  Peut-être parce que tu cherches toujours à me blesser en les utilisant. » Tu fais défiler les photos devant tes yeux remontant au moment où je t’ai dit que tu me plaisais. jJe ne sais même pas comment j’arrives à y voir quelques choses. Je ne prends même plus la peine d’essuyer mes larmes qui coulent sur mon téléphone. «  Tu vois ça, c’est la première photo que tu as mise, notre première dispute, juste après.. tiens encore une où t’es torse nu avec Rosalia.. la soirée après chez tes parents, chez Rosalia, encore .. oh et on arrive à la photo avec ta cousine et Tillie, tu sais celle qui ressemble comme deux gouttes d’eaux à ton ex, et pile poil le soir de mon accident.. » Je tremble en faisant défiler les photos, je ne sais même plus comment je respire, j’ai plus l’impression de suffoquer. Tout ça me donne la nausée, je n’en peux plus. Tu remarques tout ce qui ne va pas dans notre histoire, pas une fois t'as souligné tout ce qui a pu aller. Juste l'impression d'assister à une partie de ping-pong, où l’on va finir tous les deux perdants.

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L’ambiance est tendue, très peu agréable et ça ne te donnait pas envie de manger. Tu reposais la fourchette à côté de ton assiette, si l’envie te reviendrait au cours de la journée, tu prendrais un truc à grignoter au distributeur. Tu avais déjà lâché tellement d’argent dans cet engin, un peu plus, un peu moins, ça ne changerait pas grand chose. Ton regard se posait de temps à autre sur la jeune femme, puis sur l’appartement, difficile de garder le regard rivé sur elle. Enfaite, tu n’y arrivais pas, c’était plus dur que tu ne le pensais. Finalement, qu’avais-tu dans la tête pour lui dire de se voir, entre midi et deux, seulement quelques jours après tout ça. Tu rigoles, mais un rire jaune, violent, froid, ton regard se plongea sur elle « Alors, comme ça, Rosa cherche à te provoquer, elle ? » en attendant, elle, elle n’offrait pas ce genre de cadeau, elle ne le faisait pas dans le dos des autres. Enfin bref, dans tous les cas, tu ne trouverais rien à lui reprocher à elle, mais à lui, si. Ta réponse est froide, loin d’être agréable à entendre. Tu passais une main rapide dans tes cheveux, le mal-être était bien présent, ce n’était pas seulement un apriori, mais bien un fait. Elle te débatte un paquet de chose, tu restes debout dans son appartement, les bras croisés sur ton torse, le regard qui se promenait entre elle et la décoration de cet appartement. Tu tentes de prendre sur toi, mais c’est difficile, ça te bouffe de l’intérieur, ça te démange de lui hurler dessus, de lui dire tout ce que tu as sur le coeur et dans la tête. Lui faire comprendre que tu ressens la même chose qu’avec ton ex, et que tu n’avais pas envie de revivre ce genre de chose. Tu voulais être heureux, tu voulais vivre une vie si différente que ton passé, mais tu en étais incapable, tu allais garder encore tout ça pour toi. « C’est bon ? » soufflais-tu froidement. « Tu as lâché tout ce que tu avais sur le coeur ? ». Cette discussion ne menait pas à grand chose, bien au contraire … Finalement, personne n’arrivait à se faire comprendre, le négatif prenait le dessus, la colère et tout ce qui allait avec. « Ça nous mène à où, tout ça ? » laissais-tu glisser entre tes lèvres.

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