sortir de sa zone de confort (zaynïs)

D'aussi loin que je me souvienne, j'avais jamais volé, jusqu'à aujourd'hui. C'était mal, en plus j'étais bien placée pour le savoir puisque j'étais dans ma sixième année de droit.. mais j'sais pas, ce ras le bol de tout en ce moment ça m'ouvrait à d'autres perspectives.. brave perspectives hein! Ton rire était contagieux et tu m'suivais toi aussi dans ce cinéma. C'était le genre de cinéma d'auteur, avec que 3 ou 4 salles et le calme absolu. Pas bondé par des gosses ou jeunes racailles. J'regardais un peu partout et j'rentrais dans les toilettes femme avec toi, et dans celui là où on change les bébés. La femme de ménage devait venir de passer, ça sentait fort la javel. J'fermais à clefs et je m'adossais à la porte, passant une main sur mon visage en riant, comprenant que là j'avais dépassé mes limites. tu l'sais que t'es pas bon pour moi Parker.. ton corps s'approchant du mien, je t'attirais contre moi, comme si plus tu me collais, plus je respirais. .. mais j'ai gagné un ensemble hyper sexy.. pour ne pas dire voler. j'fais que des trucs que j'ai jamais fais d'ma vie avec toi. pure vérité, et j'reprenais mon sérieux en scrutant ton visage. c'est bon je t'ai surpris?

j'ai rien de mieux à faire apparemment tu m'avais proposé de sécher mes cours, et ta présence ça m'allait bien. Fini de jouer, j'avais envie d'sentir ton regard sur moi, ce regard d'homme qui désire une femme. Ok tu devais l'avoir avec des tas d'autres meufs, mais cette idée était vite chassé de mon esprit quand tes lèvres parsemait mon cou de baiser. Un sourire étirant mes lèvres à tes mots, j'te poussais doucement, retirant mon écharpe et ma veste pour les poser avec mon sac à main, sur le truc à langer des bébés. Habilement je laissais mon corps se dévoiler en retirant mon pull, le posant lui aussi sur mon t'as d'autres affaire. On était un peu à l'étroit dans ces toilettes mais je t'attirais à nouveau contre moi, plongeant mon regard dans le tien en attrapant tes lèvres dans un baiser que j'te volais sans aucune gêne. Il me restait encore mon jean et mes bottes, mais tu pouvais bien voir que j'te mentais pas. Cette fois ci Zayn, gâches pas tout, me fais pas regretter de t'embrasser et parles pas de Scott, de personne.