Invité
est en ligne
Invité
tw: vulgarité, sexe, violence.
la tête dans les nuages
à la recherche d'une vie cachée - @Andréa Davenport
Il n'était pas si tard, mais il s'trouve que j'avais pas traîné ce soir. Poussé par le besoin de me changer les idées, de ne pas réfléchir, juste de me vider la tête dans les bras d'une parfaite inconnue. Depuis l'agression de Jordan je déraillais complet, ne cessant de revoir dans ma tête les images de son viol. Le visage de ce connard que j'avais massacré, défiguré, inondant sa sale gueule de son sang. Je n'expliquais pas ce déchainement de violence que j'avais eu, et tout ça tournait et retournait dans ma tête comme une litanie, sans que je ne parvienne à sortir la tête de l'eau. Alors je faisais ce que jsavais faire de mieux: faire l'autruche, me noyer dans mes vices les plus réconfortant, le sexe en premier. Et putain, j'savais pas si j'étais bon ou si la fille avait juste l'habitude d'être bruyante, mais le bordel qu'elle faisait ! Je prenais mon pied, encouragé par ses gémissements quand d'un coup, des coups familiers frappés contre le mur vinrent interrompre la représentation de la cantatrice. Oups, ce sont tes colocs ? qu'elle demanda, mi-gênée mi-amusée. Ouais, on s'en fout dis-je en lui donnant un nouveau coup de rein, la faisant repartir de plus belle. [...]
Je refermais la porte d'entrée derrière la nana, froissant déjà dans ma main le bout de papier sur lequel elle avait noté son numéro. Je me dirigeais nonchalamment vers la chambre d'Andréa, et entrais sans frapper. T'as que ça à faire toi à cette heure-ci ? que je lui lançai en lui balançant la boulette de papier sur la tronche.
à la recherche d'une vie cachée - @Andréa Davenport
Il n'était pas si tard, mais il s'trouve que j'avais pas traîné ce soir. Poussé par le besoin de me changer les idées, de ne pas réfléchir, juste de me vider la tête dans les bras d'une parfaite inconnue. Depuis l'agression de Jordan je déraillais complet, ne cessant de revoir dans ma tête les images de son viol. Le visage de ce connard que j'avais massacré, défiguré, inondant sa sale gueule de son sang. Je n'expliquais pas ce déchainement de violence que j'avais eu, et tout ça tournait et retournait dans ma tête comme une litanie, sans que je ne parvienne à sortir la tête de l'eau. Alors je faisais ce que jsavais faire de mieux: faire l'autruche, me noyer dans mes vices les plus réconfortant, le sexe en premier. Et putain, j'savais pas si j'étais bon ou si la fille avait juste l'habitude d'être bruyante, mais le bordel qu'elle faisait ! Je prenais mon pied, encouragé par ses gémissements quand d'un coup, des coups familiers frappés contre le mur vinrent interrompre la représentation de la cantatrice. Oups, ce sont tes colocs ? qu'elle demanda, mi-gênée mi-amusée. Ouais, on s'en fout dis-je en lui donnant un nouveau coup de rein, la faisant repartir de plus belle. [...]
Je refermais la porte d'entrée derrière la nana, froissant déjà dans ma main le bout de papier sur lequel elle avait noté son numéro. Je me dirigeais nonchalamment vers la chambre d'Andréa, et entrais sans frapper. T'as que ça à faire toi à cette heure-ci ? que je lui lançai en lui balançant la boulette de papier sur la tronche.
(Invité)