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mardi vingt deux novembre Depuis mon retour cet été, je ne me sentais plus assez bien ici. Sur Boston. Ca avait commencé par ma présence dans cet appartemment rempli de souvenirs. J'avais tenté d'aller vivre chez ma soeur, le temps d'aller mieux. Mais cela n'avait rien changé. Je me sentais toujours aussi perdue, pas à ma place. L'impression d'être invisible aux yeux de tous. De n'être importante aux yeux de personnes ici. Excepté Benjamin. Pourtant, j'avais réellement envie d'aller bien, pour lui. Pour moi. J'avais stoppé d'aller à l'université, n'aimant définitivement pas le cursus que j'avais choisi. Mais aussi parce que c'était trop dur de voir Ezekiel. Après notre dernière discussion. J'avais pris mes distances, et pourtant, je pensais toujours autant à lui. Je n'arrivais pas à me le sortir de mes pensées. Sans savoir si c'était pour les bonnes raisons. Je savais pourtant ce que je voulais faire : partir d'ici. Reprendre une vie loin de tout, d'ici. Et peut-être que je reviendrais un jour. Quand j'irais mieux. Je ne voulais pourtant pas partir telle une voleuse. J'avais besoin de lui dire au revoir. J'en avais besoin. Qu'il sache que je partais pour moi, et non à cause de lui ou d'un autre.
J'avais choisi un restaurant un peu au pif. Je lui avais envoyé l'adresset et l'heure. Vêtue d'une longue robe blanche et d'une veste en cuir, je l'attendais une fois sur place. Etant tout de même un peu stressée par ces au revoirs. Alors que je le vis entrer, je ne pu m'empêcher de sourire. Il y avait décidemment un truc que j'aimais chez lui : et pas seulement physiquement. Quelque chose dans son regard. Quelque chose qui me faisait sentir bien. Je vins le prendre dans mes bras, avant de lui déposer un léger baiser sur sa joue. Merci d'être venu Ezekiel. Je m'assis, sans quitter son regard. Je ne savais pas comment j'allais lui annoncer la nouvelle, ni même comment il allait la prendre. Comment tu vas ? Maintenant que je ne me sentais plus étudiante, j'arrivais plus facilement à le tutoyer.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski  (ezou&lilly) hard choice. 1f494

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Rien ne va. Ezekiel le sait, le sent, depuis quelques jours déjà, voir semaines. Entre Lilly-Ann et lui, quelque chose a évolué et depuis sa déclaration via meetssenger, l’étudiante a commencé à arrêter de se rendre aux cours qu’il donne à Harvard. Est-ce un hasard ? Le bellâtre ne le pense. D’ailleurs, la nuit passée, il n’a pu fermer l’œil. Drizzle et Nana sont restées à ses côtés, blotties contre lui, quand il a terminé par s’assoupir durant une petite demi-heure. Alors, tandis qu’il la rejoint pour déjeuner, son teint est pâle et il arbore ses lunettes de vue Prada, qu’il met généralement lorsqu’il se trouve épuiser ou lorsqu’une migraine l’a submergé. Ce n’est encore le cas, seulement, son cœur sait qu’il va se trouver davantage brisé après ces "retrouvailles". Peinant à avaler sa salive, il pousse la porte du lieu et prend une grande inspiration avant d’expirer. Apercevant Ann, il la rejoint et le temps semble ralentir, pour ne pas dire s’arrêter. *Que le couperet tombe. Ainsi, je souffrirais, mais l’agonie s’arrêtera !* Il songe quant à sa hauteur, elle lui offre une étreinte qu’il lui rend. Fermant les yeux en humant son parfum, il répond à sa bise en déposant ses lèvres charnues contre sa joue, pour lui offrir un sourire qui est davantage semblable à une grimace lorsqu’elle prononce ses premiers mots.
- « Je t’en prie. C’est tout à fait normal. » Il parvient à déglutir tandis qu’un nœud est présent dans sa gorge. Lui faisant signe de s’asseoir, il en fait de même après avoir ôté son manteau et à sa question, ses sourcils se froncent tandis qu’il entremêle ses doigts au-dessus de la table. « Anxieux. Et toi, comment vas-tu ? » Il l’interroge, sondant son regard ainsi que l’expression de son visage pour savoir de quoi leur discussion va retourner.


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mardi vingt deux novembre Rien n'a jamais été simple pour moi, dans ma vie. Je pensais réellement que ça allait changer lorsque j'ai rencontré Gresham, que j'allais être enfin tranquille pour un petit moment. Mais il semblerait que ce soit trop demandé : un peu de calme, une vie tranquille, paisible. Et si je n'avais pas eu Benjamin, je ne sais pas où j'en serais à l'heure actuelle. Il est ma force. Et c'est clairement pour lui que je veux m'en sortir. Je n'avais pas encore parlé à ma soeur, mais la voyant plus souvent que Ezekiel, je savais que j'aurais plus de temps pour lui annoncer mon départ. Anxieux ? Lui demandais-je, un peu étonnée de sa réponse. Etait-ce à cause de moi ? De ce déjeuner ? Alors qu'on s'assit, je posais un coude sur la table, posait ma tête dans ma main et le regardais. Sans savoir quoi dire, ni par où commencer. Je vais ... Bien ? Je suppose. Maintenant que je savais plus ou moins ce que je voulais faire. C'était un choix dure, mais c'était pour aller bien, à la fin. Benjamin fête ses un an demain. Et ce fut un vrai sourire qui s'afficha sur mon visage. Déjà un an. Que le temps était passé vite.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski  (ezou&lilly) hard choice. 1f494

TW : détresse - cœur brisé
Doigts entrelacés, Ezekiel la jauge toujours, sans pouvoir percer son âme, pour une fois. Car si de coutume, il y parvient, avec son esprit embrumé aujourd’hui, cela lui est tout bonnement impossible.
- « Oui, anxieux. » Il répond, use à nouveau de ce terme prononcé sans cesser de la regarder, comme il craint ne plus pouvoir admirer ses traits durant un certain laps de temps, puisque après tout, depuis qu’elle a quitté l’université, combien de temps s’est écoulé avant ce déjeuner ? Beaucoup trop, à son humble avis. « En es-tu certaine ? » Il reprend, pince ses lèvres pour pencher légèrement son visage de côté quand il saisit qu’elle a pris une décision qu’elle va tenir, pour elle ainsi que pour son fils. « C’est fantastique. Un an, déjà. » Il s’essaye de sourire, d’être heureux pour elle, pour eux et il l’est véritablement, seulement cela lui fait se remémorer l’instant où il a appris qu’il allait devenir père ou plutôt que Beth était enceinte lorsqu’elle est décédée, ce qui a évidemment tué leur progéniture. « Vas-tu le fêter ? Puis-je lui offrir un présent ? » Il aimerait être là pour lui, dans les conditions qu’elle exigera, mais une fois encore, il ne le voit pas. Ezekiel a cette désagréable sensation qu’il ne les accompagnera dans rien et cela affecte son cœur déjà endolori. « Que désires-tu boire ? » Il reprend, l’interroge, bien qu’il ne sache lui-même ce qu’il souhaite avaler, car deux choix s’offre à lui en fonction de ce qu’elle compte lui annoncer. Le fait est qu’il se doute que ce sera l’alcool qui l’emportera, afin de faire taire sa souffrance qui ne fait que de se répandre en lui, tel un incendie dévastateur.


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mardi vingt deux novembre J'étais stressée, par l'annonce que j'allais lui faire. Peur de sa réaction. Peur de changer d'avis face à sa réaction. Pourtant je sais que c'est la meilleure des choses à faire. M'en aller, me retrouver avec mon fils, tenter d'aller mieux, par moi-même. Sans distraction. Juste penser à moi : être égoïste un peu. Ca allait être difficile, mais il le fallait. Je n'y arriverais pas en restant ici. Et ça me faisait mal au coeur, de devoir quitter Ezekiel, avant même de voir s'il pouvait y avoir quelque chose entre nous. Disons que je vais mieux que d'habitude ? Cela fait des années que je ne vais pas parfaitement bien. C'est juste un mieux. Je ne pense pas faire quelque chose non. J'étais un peu triste en disant cela. Non pas que je ne le veux pas, mais j'ai pas énormément de gens à inviter quoi. Mais bien sur, si tu veux lui offrir quelque chose, c'est avec plaisir. Je ne veux juste pas qu'il se sente forcé ou obligé. Un chocolat chaud viennois ? Pour le petit plaisir de la chantilly en supplément. Mon regard vers mon ancien professeur, je sentais qu'il n'allait vraiment pas bien. Ce qui me fit lui dire directement ce que je voulais lui annoncer : pour abréger son anxiété. Je vais partir Ezekiel. Direct, mais il n'y a pas vraiment d'autres façons de le dire.

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski  (ezou&lilly) hard choice. 1f494

TW : détresse - cœur brisé
L’ancien professeur Oxfordien savait qu’aujourd’hui, plus rien ne tournerait rond dans son existence. Ce qu’Ann allait lui annoncer serait à l’image d’une blessure infliger à un animal déjà à terre, mais elle se devait d’être honnête et lui, de faire face à cette situation. Alors, anxieux, assis face à cette jeune beauté dont il étudie les traits, afin de ne jamais pouvoir les occulter, il patiente pour répondre qu’il est angoissé. Car c’est bel et bien le cas. Le couperet va tomber, son palpitant va en prendre un nouveau coup, mais ainsi est faite la vie. Pessimiste, il l’est de manière générale pour ne jamais tomber de haut, puisque cela lui est bien trop souvent arrivé en Angleterre. De plus, à leurs messages échangés, il a bien compris que leur relation serait définitivement évincée, mise de côté, pour son bien à elle, ce qui lui permet, il pense, de mieux affronter ce qu’elle va lui dire.
- « Je suis content pour toi. » Il s’essaye à un sourire qui s’efface si promptement qu’on aurait pu croire à un mirage alors qu’il serre ses doigts les uns contre les autres, ces derniers étant entremêlés. « Benjamin est jeune, il aura des fêtes plus tard. » S’essayer à lui faire voir les choses de manière plus positives, Ezekiel le fera toujours, puisqu’Ann est la lumière, son étoile, dans l’obscurité. « Très bien. J’irai lui acheter quelque chose demain, à la première heure. » Sa voix se trouve noué, son regard comme voilé, car la tension ne fait que monter crescendo. « Excellent choix. Quant à moi, je vais prendre une eau citronnée. » Puisqu’il craint de ne pas pouvoir avaler quoi que ce soit d’autre. Levant la main afin qu’un serveur les rejoigne, la vérité s’impose à lui ou plutôt, son choix à elle qui est de partir, de quitter Boston. Immédiatement, son bras s’abaisse et ses iris emplis de tristesse pénètrent les siennes. « Quand ? » Est le seul mot qu’il parvienne à prononcer, bien qu’il désire lui demander de rester pour lui, mais ce serait égoïste. L’homme aux origines italiennes préfère souffrir et la savoir heureuse, ailleurs, avec un autre, plutôt que malheureuse, ici, à ses côtés.


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mardi vingt deux novembre Mon ancien professeur était face à moi, et maintenant que nous nous retrouvions ici, j'avais presque envie de changer d'avis. De rester ici, pour tenter quelque chose avec lui. Maintenant qu'il n'était plus mon professeur, il n'y avait plus cette barrière. Et je ne faisais que penser à notre rencontre, notre première nuit ensembles et ce qui s'en est suivi. Tellement triste que tellement de facteurs se mettent entre nous : cette barrière prof/élève, le fait qu'il soit le parfait sosie de mon ex. C'est peu, et tellement en même temps. Des facteurs que je ne peux occulter de mon esprit. L'envie de me reconstruire seule, sans hommes à mes côtés. Excepté Benjamin. Peut-être que je reviendrais un jour. Même si je n'ai pas envie qu'il m'attende ou quoique ce soit. Ce serait trop égoïste de ma part. Je veux qu'il continue sa vie et qu'il trouve une femme qui le rende heureux, qui le fasse sourire. Parce que je le vois qu'il y a une faille en lui. Comme mon Gresham. Et je n'ai pas la force pour ça. Je ne sais pas, peut-être après les fêtes ? Mon regard dans le sien, je voyais bien que la nouvelle ne lui faisait pas plaisir. Je pris sa main, en guise de pardon. Je m'excusais de m'en aller, comme ça. L'impression de fuir. Mais au fond, c'était surement le cas. On pourra s'envoyer des lettres. Un peu à l'ancienne, mais l'idée me plaisait et je savais que ça pourrait plaire à Ezekiel aussi. Je ne sais pas pourquoi. Juste une impression. Je ne disparais pas totalement. Juste je m'éclipse. A ce moment-là, le serveur revint avec nos boissons, et je le regardais. M'attendant à ce qu'il demande autre chose. Je ne le connaissais pas tant que ça et pourtant...

@M. Ezekiel Emerson
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@Lilly-Ann Borowski  (ezou&lilly) hard choice. 1f494

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Son annonce, Ezekiel la redoutait. Il faut dire qu’Ann l'a fui ses derniers temps, alors que tout annonçait une belle relation lors de leur rencontre. L’italien était immédiatement tombé sous son charme, seulement, il ne connaissait pas son passé, ses maux, comme elle n’avait aucune idée de l’ampleur des siens. Sauf qu’à cette date, elle a fait son choix et c’est celui de quitter Boston pour se reconstruire, loin de lui. *Si je venais…* Il commence à songer, seulement, comment pourrait-elle parvenir à son souhait si cher s’il était avec elle, à ses côtés ? D’autant qu’il est le parfait sosie de son fiancé disparu, ce qui le met en échec, sans possibilité d’un avenir entre eux.
- « Après les fêtes. » Il reprend dans un murmure, tandis que ses iris saphir sont embrumés de larmes. La laissant se saisir de sa main, il regarde ailleurs durant un instant afin d’essuyer une larme, à l’aide de sa main libre et de manière prompte, du moins, il l’espère, puisqu'ainsi, il y aurait une chance qu’elle ne se soit aperçu de rien. « Des lettres. » Il reprend, fronce des sourcils pour esquisser un semblant de sourire. « Pourquoi pas. » Il prendrait avec joie son stylo plume MontBlanc afin de lui rédiger une missive dans le but de savoir comment ils vont, Benjamin et elle. « Il te faut mon adresse, puisque tu ne connais pas encore la tienne. » Immédiatement, il se saisit de son téléphone et c’est avec regret qu’il délaisse sa main afin de la lui envoyer sur meetsenger. « Ainsi, tu as mon adresse postale. » Il conclut, quant à ses mots, il retient un sanglot. Lilly-Ann lui semblait être la femme idéale pour guérir de Beth, mais surtout celle qui lui permettrait de connaître à nouveau le bonheur, ainsi que l’amour et la joie. Mais son souhait prend fin, brutalement, même s’il se doutait que quelque chose se tramait. « Mais tu t’en vas, Ann. » Il lui souffle, son regard perçant présent dans le sien lorsqu’on leur apporte leurs boissons. Ne prononçant pas le moindre mot à l’égard du serveur, l’adonis au cœur brisé se saisit de son verre sans pour autant en avaler la moindre gorgée, puisqu’il en est incapable, sa gorge se trouvant nouer. « Je ne peux que te souhaiter de retrouver le bonheur, mais aussi de te reconstruire. » Il ajoute avec une profonde tristesse, parce qu'ils ne se verront plus. « Peut-être pourrais-je venir vous voir, de temps à autre. » Il s’agit ici de son seul espoir, celui auquel il se raccroche comme un naufragé à une bouée de sauvetage. Seulement, il se doute, au plus profond de lui, que cette bouée finira par se dégonfler et qu’il se noiera.


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mardi vingt deux novembre Sa réaction me faisait clairement de la peine. L'impression d'être proche de lui, tout en ne l'étant pas du tout en même temps. L'impression de l'avoir connu dans une autre vie, mais que ce n'était tout simplement plus pareil entre nous dans cette vie. L'impression de le perdre avant même d'avoir pu l'avoir. Et cette sensation me perturbait, tout comme elle devait le perturber aussi. Il était difficile de mettre un mot sur notre relation. Oui, pour terminer l'année ici... et débuter 2023 autre part. Tout recommencer en début d'année. Se fixer de nouveaux objectifs, de nouvelles résolutions. Je lui souris lorsqu'il m'annonça que j'avais maintenant son adresse postale. Et bien que cela devait me réjouir, j'eus l'impression que ça n'allait pas durer. Peut-être allions nous envoyer 3 lettres avant de s'oublier totalement. Et cela me peinait. De le perdre de cette façon, mais c'est moi qui décidais de partir. Je ne pouvais que m'en vouloir à moi-même. Pourquoi pas ... mais pas tout de suite. Sinon à quoi cela me servirait-elle de partir et de tout quitter afin de me reconstruire seule ? Je pris une gorgée de ma boisson, avant de continuer à le regarder. Je ne veux pas que tu sois mal. A cause de moi. Et je me mis à rougir, ne sachant pas vraiment pourquoi je lui disais cela. Pourquoi serait-il mal par ma faute ? Est-ce légitime de ma part de lui dire cela.

@M. Ezekiel Emerson
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@Diana Miller

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Son regard est embrumé de larmes. Jamais, ô grand jamais, il n’aurait pensé que cela arriverait et pourtant, c’est bel et bien le cas. Son départ annoncé l’afflige. Il ressent à présent une tristesse sans pareil et ne cherche cependant à en connaître la raison. À quoi bon ? Elle va partir, partira et il ne la reverra plus. Tout est terminé entre eux avant même d’avoir débuté et c’est sans nul doute ce qui est le plus malheureux. Puisqu’il leur imaginait un avenir, on ne peut plus beau, où il l’aurait protégé ainsi "qu’aimer", mais Ann mérite bien mieux qu’un homme tel que lui qui pensait se voir renaître à ses côtés. Oh, ça, oui ! Il aurait changé pour elle. Il se serait amélioré. À l’image d’un breuvage qui change de saveurs avec les années, mais tout ceci n’arrivera pas et c’est uniquement sa déchéance qu’il s’imagine à présent.
- « Tout recommencer ailleurs, en 2023. » Il reprend, marmonne, avant de laisser s’échapper un soupir de désespoir. Va-t-il parvenir à se remettre de son absence perpétuelle ? Parviendra-t-il à être heureux sans elle ? Il n’y croit pas. Lui faisant parvenir son adresse postale, il termine d’ajouter, à l’image d’une promesse : « Je répondrais à la moindre de tes lettres. » Puisqu’il est hors de question qu’il garde ses missives sans lui écrire en retour, car cela signifierait la perdre définitivement. Et c’est dans un élan d’espoir qu’il l’interroge sur le fait de pouvoir lui rendre visite, bien qu’il se doute que ce n’est ce dont elle a besoin. Pas encore. Pas dans l’immédiat. Ce qui signifie qu’il devra vivre sans voir son parfait minois. Survivre sans pouvoir inhaler sa délicieuse odeur ou encore, sans pouvoir profiter de sa chaleur. « C’est trop tard, Ann. » Il achève, répond dans un murmure pour porter son verre à ses lèvres et les y tremper puisqu’il ne parvient à avaler quoi que ce soit. « Il vaudrait mieux qu’on se quitte. Tout de suite. » Cela sera sans doute moins douloureux, bien que retirer un pansement en l’arrachant soit des plus intolérable et insupportable.


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