You know...i'm an angel! (Dixie & Jude)

J'étais en train de penser que Brooke, ma copine de beuverie, aurait dû me présenter Jude bien avant. Outre le fait qu'il soit craquant, sexy, mignon et canon, il était également marrant, gentil et pas coincé. Ce que je veux dire par là, c'est qu'on voyait bien déjà que je serais capable de le voir après. Normalement, les mecs avec qui je couchais, c'était simplement un One night, sans plus, et après je ne leur parlais plus. Je n'étais pas non plus une fille qui couchait avec tout le monde, non, mais j'aimais bien passer du temps avec un mec entre les jambes, pour de bons moments, parfois. J'étais une Mather, et lui un Dunster. Mais il était un ancien mather, président en plus, alors on pouvait très bien se comprendre sur plusieurs points déjà. « Non, je ne suis pas sage. Je suis même un très, très vilain garçon… » Sa remarque me fit une nouvelle fois sourire. Je retins un petit rire cependant. Alors comme ça, il était vilain garçon? J'aimerais bien voir ça, oui! « T'es le démon et moi l'ange, autrement dit? Ça s'accorde bien, tous les deux, ne trouves-tu pas? » Je souris. Son nez frôlait maintenant le mien. Je respirais encore contre ses lèvres, la bouche entrouverte. J'allais craquer bientôt, j'en étais sûre. Être sage n'était pas dans mes cordes. En avoir l'air, ce l'était. Mais l'être, pas du tout. Et heureusement que je n'étais pas un ange, sinon je ne goutterais pas à tous ces plaisirs de la vie auxquels je goûtais constamment. Sa main descendait sur mes fesses, l'autre se posant sur le côté de mon corps. Ce n'était pas une caresse, mais c'était déjà agréable. Je souris en coin. C'est là que j'allais craquer, j'en étais certaine, maintenant, alors qu'il répondait à ma question : « Tu crois que je serais dans des toilettes avec toi si j’te trouvai pas carrément canon ? » Je ne mis pas longtemps avant de réagir. Ma main qui se trouvait sur sa nuque aggripa ses cheveux délicatement, collant ses lèvres au miennes. C'était un baiser fougueux. Ma langue cherchait la sienne pour débuter une danse plutôt agréable, alors que mes lèvres se collaient délicieusement aux siennes. Je collai son corps contre le mien presque d'un coup. Entre deux baisers, je murmurai toujours contre ses lèvres que j'adorais embrasser, là : « En effet. Tu as raison. Et putain que tu m'fais chier à être aussi sexy. T'vas voir comment j'suis une petite démone, aussi! »

Let's be angels together

Comment pouvait-elle me faire croire qu’elle était sage ? Elle était très loin de l’être et la première preuve qui me venait en tête, c’était le fait qu’elle était celle qui m’avait recontacté pour qu’on en soit là où nous en étions aujourd’hui, dans des toilettes pour femmes d’un cinéma où nous n’allions même pas aller voir un film. Ma remarque comme quoi j’étais un très vilain garçon la fit rire, ce qui me fit sourire à mon tour. Le pire, c’était que c’était vrai. J’avais beau être président des Dunster, je crois que je resterai toujours Mather au fond, et c’était pour ça que j’hésitais à y retourner à la rentrée universitaire en septembre. Ironiquement, c’était quand j’avais été dans la maison la plus studieuse d’Harvard que j’avais loupé mon année alors que même en étant Mather, j’avais réussi à aller jusqu’à ma quatrième année de médecine sans aucun redoublement. « T'es le démon et moi l'ange, autrement dit? Ça s'accorde bien, tous les deux, ne trouves-tu pas? » J’haussais les épaules, ayant toujours ce petit sourire sur les lèvres alors que je caressais son nez avec le mien en la regardant dans les yeux. J’avais un peu du mal à croire qu’elle doutait de son pouvoir de séduction quand elle me demanda si je la trouvais sexy et je répondais sans hésiter qu’elle était même canon. Je sentais ses doigts s’engouffrer dans mes cheveux et elle plaqua immédiatement ses lèvres contre les miennes, me faisant sourire car j’avais gagné : elle avait craqué la première. Mais maintenant le truc, ça n’était pas de savoir qui avait gagné ou perdu. C’était de continuer sur notre lancée. Je prolongeais son baiser avec aucun de fougue alors que je descendais ma deuxième main avec l’autre, sur ses fesses alors qu’elle murmurait contre mes lèvres dans un souffle, « En effet. Tu as raison. Et putain que tu m'fais chier à être aussi sexy. T'vas voir comment j'suis une petite démone, aussi! » Je souris, victorieux et je l’embrassais une nouvelle fois, encore plus fougueusement en nous faisant pivoter pour qu’elle se retrouve dos contre la porte. J’attrapais le bout de son pull ample pour lui retirer, le laissant tomber à terre en capturant ses lèvres une nouvelle fois alors que mes mains glissaient de ses hanches au bas de son dos pour coller un peu plus son corps au mien et contre la porte. Elle était à ma merci, et qu’est-ce que j’aimais ça.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

Une chose qui me faisait rire intérieurement était d'imaginer la tête des gens s'ils réussissaient à déverrouiller la porte des toilettes pour femmes. Ils découvriraient bien entendu deux jeunes gens qui profiteraient aisément des lieux. Eh oui, c'est ce que nous faisions : nous profitions des toilettes, alors qu'il n'y avait personne, pour s'amuser. Finalement, l'idée de l'inviter au cinéma n'était pas si mal, puisque cela avait débouché sur une bien meilleure idée. J'avais couché avec Jude une fois, il n'y a pas si longtemps de cela, mais c'était un threesome, donc forcément avec une autre personne. Maintenant, je ne l'avais que pour moi, et j'en étais bien satisfaite. Le jeu de séduction continuait. Qui craquerait en premier? Lui ou moi? Son nez chatouillait le mien, ce qui m'arrachait un sourire bien visible. Ma main entourait sa nuque tandis que l'une de mes jambes escaladait l'une des siennes sensuellement, alors que lui s'attardait près de mes fesses. J'en pouvais plus : je craquais déjà depuis le début. Je l'avouais, être incapable de lui résister alors qu'il faisait mine d'être sage lui aussi. Et puis au diable d'avoir perdu, je ne voulais pas laisser passer ce moment. Mes lèvres se plaquèrent immédiatement contre les siennes, alors que j'essayais par n'importe quel moyen de sentir son corps bien plus pressé contre le mien. Nos langues commencèrent une danse endiablée, alors que les mains du sexy dunster venaient à parcourir de façon plus prononcées mes fesses recouvertes par mes jeans. Et là, ça commençait réellement, enfin : il vint me plaquer contre la porte de la salle de toilettes, pour continuer notre baiser plus que fougueux et lascif. Il ne lui prit pas plus de temps pour retirer mon chandail. Je l'aidai en stoppant le baiser un instant, passant mes bras par-dessus ma tête. Moi, une de mes mains vint passer sous son chandail, parcourant son torse du bout des doigts, avant de redescendre dans une caresse douce. Par moments, je venais jusqu'à descendre jusqu'à la limite de son pantalon, là ou la ceinture empêchait d'aller plus bas, et recommençait mon manège. Enfin il m'attirait un peu plus contre lui. Enfin je sentais nos deux corps, qui commençaient à se réchauffer, collés l'un contre l'autre. Je le voyais, son sourire victorieux, mais ce n'était pas ce qui allait me déranger. Je me laissais aller à ses caresses : j'étais complètement à sa merci, oui, mais ce n'était vraiment pas pour me déplaire, oh non. Il était un peu comme moi, en fait : celui qui gagnait ou qui prenait le dessus en premier, prenait le dessus en premier! Logique, non? Ma main droite était toujours aggrippée à ses cheveux, et la gauche, qui parcourait son torse, vient jusqu'à descendre tout près de son entrejambe, sans pour autant le toucher. Je souris en coin contre ses lèvres, attendant de voir la suite de ce qu'il me réservait...

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Bien sûr, que j’avais ce petit sourire victorieux sur les lèvres, parce que je n’avais pas craqué le premier. Bon…okay, j’avais fait tout ce que je pouvais pour qu’elle craque la première mais j’avais réussi, alors oui, j’avais gagné. Mais honnêtement, si elle n’avait pas fini par craquer, j’aurais craqué moi aussi. Avoir mon visage près du sien, son corps collé au mien… rien que son regard dans le mien m’excitait. Mes mains sur son corps si bien fait… dans un lieu public en plus… parce que oui, le fait que nous soyons dans un lieu public était aussi déjà très excitant. Je lui retirais son pull et j’admirais ce beau corps quelques secondes en me mordant la lèvre, frissonnant en sentant ses doigts glisser sous mon t-shirt, parcourant mon torse et mon ventre du bout des ongles. J’attrapais ses lèvres une nouvelle fois en collant un peu plus mon corps du sien pendant que mes mains parcouraient ses flancs, directement sur sa peau. Un frisson me parcourut encore plus quand je sentais ses mains descendre un peu plus bas et je me décollais d’elle pour retirer mon t-shirt et le balancer à terre avec son pull. Je pris alors sa main et je me reculais, la tirant avec moi jusqu’au lavabo le plus proche. J’enroulais mes bras autour de sa taille et je l’embrassais encore, la portant pour l’asseoir sur le bord du lavabo : ça sera plus simple comme ça. Je glissais mes mains le long de ses jambes en les remontant à ses cuisses et ses hanches, l’embrassant avec de plus en plus d’ardeur.

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C'était bien. C'était même très bien. Ça ne faisait que commencer, et je devais avoir que j'adorais ces moments passés avec lui comme ça. Enfin, nous nous étions vus deux fois, y comprit aujourd'hui, et nous avions ou allions couché ensemble deux fois. Je ne le prenais pas du tout comme un objet sexuel, je n'étaispas ce genre de fille à penser comme ça. Seulement, nous y prenions un énorme plaisir tous les deux, alors pourquoi faudrait-il laisser passer cette opportunité tous les deux? Je ne voyais pas! Il était grave sexy, en plus. En fait, Jude ne faisait rien d'autre que de laisser poser ses mains sur mon corps, autour de mes hanches ou de mes fesses, et de m'embrasser, et je frissonnais à chaque nouveau mouvement, chaque nouveau baiser. C'en devenait incompréhensible, mais tellement excitant et délicieux. Nos corps collés l'un contre l'autre, tout me rendait folle. Et dire qu'un moment à l'autre, un employé du cinéma ou une cliente - puisque c'était les toilettes réservées aux femmes - pouvait entrer et nous surprendre en pleine partie de jambes en l'air. Tant pis! Ils n'auraient qu'à tourner les yeux, moi je pouvais pas résister, et Jude l'avait compris quand j'avais craqué en premier. Il ne lui prit pas plus longtemps pour me changer de lieu et de position : le comptoir du lavabo. Il m'y fit prendre place, lui entre mes jambes, m'embrassant chaudement, fougueusement, mais à la fois délicatement. Je devais dire que ses caresses sur tout le long de mes jambes et de mes hanches étaient toutes aussi enflammées que quand il m'embrassait. Mais putain, pouvait-il me rendre plus dingue et folle en ce moment-même? Je repassai mes mains sur son torse, sous son chandail, avant de retirer celui-ci complètement. Moi aussi, je n'étais qu'en soutien-gorge. Alors pourquoi ne pourrait-il pas être torse nu? Bon dieu qu'il était bien fait, en plus! Sans plus attendre, j'approchai mon visage du sien, puis dirigeai mes lèvres vers son cou, où je déposai de brefs petits baisers qui se voulaient prononcés et sensuels. Je les fis descendre vers son épaule, puis je fis frôler en même temps discrètement ma main contre son entrejambe, faisant semblant de ne pas avoir fait exprès. Entre deux baisers revenus sur son cou je murmurai tout simplement très près de son oreille, d'une voix féminine presque rauque d'excitation: « Jude... »

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Je crois que ce que j’aimais chez dixie, c’était le fait qu’elle n’avait pas froid aux yeux. Et pour cause, nous étions dans les toilettes d’un cinéma, et nous nous apprêtions à baiser là, même si on pouvait nous surprendre. Bon, à cette heure-ci, tous les films étaient en train de se jouer et comme nous étions dans les toilettes de l’entrée, il y avait peu de chance que des gens passent par ici, il y avait quand même une chance que ça arrive et c’était particulièrement excitant. Je passais mes mains le long de ses jambes de chaque côté de mes hanches et je dois bien avouer que ça me rendait totalement fou, c’est dingue à quel point elle avait les jambes longues ! Je frissonnais en sentant ses baisers dans mon cou et je fermais les yeux, sentant mon cœur commencer à battre de plus en plus fort sous l’envie. Et ce qui me rendait encore plus fou, c’était sa main qui passait de temps en temps plus bas, et elle devait bien sentir que j’avais de plus en plus envie d’elle. Il faisait une chaleur d’enfer, c’était dingue. Je remontais quant à moi mes mains dans son dos quand elle venait murmurer à mon oreille, « Jude... » Je souris et je me mordais la lèvre, glissant mes doigts à son soutien-gorge pour lui dégrafer rapidement et d’un geste habile. Je laissais tomber le soutien-gorge à côté et je commençais à embrasser son cou, descendant mes baisers jusqu’à arriver à sa poitrine que je titillais doucement du bout des lèvres pendant que je cherchais le bouton de son jean pour le défaire et défaire son jean que je fis glisser le long de ses jambes alors que je m’occupais toujours de sa poitrine avec mes lèvres. Bordel, elle était vraiment bien foutu, et j’avais vraiment très, très envie d’elle.

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Bizarrement, une des choses que j’aimais dans le sexe, c’était lorsque le mec avec qui je le faisais était doux, sans être effrayé, et entreprenant. Il me semblait évident que Jude était comme ça. Un gars qui aurait été moins sûr de lui n’aurait pas pris la peine de m’attirer dans les toilettes pour coucher avec moi. Il m’aurait simplement amené avec lui pour aller dans la traditionnelle chambre à coucher. Mais là, c’était toute autre chose et je ne pouvais qu’aimer ça. Mes jambes étaient écartées, entourant presque le Dunster qui se trouvait entre celles-ci. Il me les caressait doucement. En réalité, je n’étais pas difficile sous les caresses. Peu importe où on me caressait, j’aimais ça. Les yeux fermés, appréciant ses faits et gestes, je venais embrasser son cou, lui dévoilant mon envie, tout en venant frôler son entrejambe du bout des doigts. Ma respiration s’accéléra un peu plus quand il vint passer ses mains dans mon dos : je savais déjà ce qu’il allait faire, bien sûr. Lorsqu’il détacha mon soutien-gorge le jeta au sol rapidement, je ne pus m’empêcher de venir poser ma tête sur son épaule, mon souffle chaud caressant le creux de son cou. Je me relevai cependant la tête après quelques secondes, et c’est là qu’il me prodigua les caresses les meilleures, les plus douces et les plus sensuelles sur mes seins. Qu’est-ce que c’était bon! Qu’est-ce que j’avais envie de lui, et qu’est-ce qu’il me rendait folle! Merde! Moi, pendant ce temps, je venais de nouveau frôler ma main contre son entrejambe, mais me fit un peu plus entreprenante, prononçant un peu plus la caresse subtile. Je vins déboutonner son pantalon sans plus attendre, comme il me l’avait enlevé, lui arrachant quasiment d’un coup sec sa ceinture et la faisant rejoindre les autres vêtements, mais n’eut pas le loisir de lui retirer son pantalon à moitié descendu, que je poussai une légère plainte de plaisir en sentant ses lèvres sur la pointe de mes seins. Mes jambes entourèrent par réflexe ses fesses et l’attirèrent un peu plus entre mes cuisses. J’avais le souffle coupé seulement qu’il s’occupe de ma poitrine nue. « Qu’est-ce que c’est bon…Tu sais y faire, avec ta bouche, ein!»

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