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tw; drogue, alcool
when the sun goes down - @Loïs Hellington
Ce soir je ne bossais pas, alors comme souvent lorsque c'était le cas, je sortais avec mes potes, direction le Royale pour une bonne partie de la nuit. Une soirée de plus, un soir de plus où je m'évadais, dans mon élément, déconnecté de toute réalité. Bercé par les basses de la boite de nuit qui remuaient mes entrailles, par les shot de tequila qui glissaient entre mes lippes. Par les joint qu'on s'était fumé avant de venir et cette douce sensation de plénitude qu'ils me procuraient. Par la musique qui faisait bouger mon corps et onduler celui de celle qui, collé au mien, semblait tout mettre en œuvre pour me charmer. J'étais pris dans cette fièvre de la nuit, les néons frappant nos visages en rythme, transportés dans un univers parallèle. Ivre de cette sensation de liberté. A deux doigts de céder à la tentation à chaque seconde qui passait. On va prendre l'air ? qu'elle demanda contre mon oreille, sourire charmeur sur les lèvres. Je la suivais, faisant un signe à mes potes pour leur indiquer où j'allais alors qu'ils me sifflaient l'air railleurs. On se retrouvait sur la terrasse pleine à craquer, entourés des fumeurs. Je lui proposais une clope, en calait une entre mes lèvres alors qu'elle se collait toujours à moi en battant des cils, riant à chacun de mes mots. Ne remarquant pas tout de suite Loïs, qui se trouvait à peine à quelques mètres de moi.
Ce soir je ne bossais pas, alors comme souvent lorsque c'était le cas, je sortais avec mes potes, direction le Royale pour une bonne partie de la nuit. Une soirée de plus, un soir de plus où je m'évadais, dans mon élément, déconnecté de toute réalité. Bercé par les basses de la boite de nuit qui remuaient mes entrailles, par les shot de tequila qui glissaient entre mes lippes. Par les joint qu'on s'était fumé avant de venir et cette douce sensation de plénitude qu'ils me procuraient. Par la musique qui faisait bouger mon corps et onduler celui de celle qui, collé au mien, semblait tout mettre en œuvre pour me charmer. J'étais pris dans cette fièvre de la nuit, les néons frappant nos visages en rythme, transportés dans un univers parallèle. Ivre de cette sensation de liberté. A deux doigts de céder à la tentation à chaque seconde qui passait. On va prendre l'air ? qu'elle demanda contre mon oreille, sourire charmeur sur les lèvres. Je la suivais, faisant un signe à mes potes pour leur indiquer où j'allais alors qu'ils me sifflaient l'air railleurs. On se retrouvait sur la terrasse pleine à craquer, entourés des fumeurs. Je lui proposais une clope, en calait une entre mes lèvres alors qu'elle se collait toujours à moi en battant des cils, riant à chacun de mes mots. Ne remarquant pas tout de suite Loïs, qui se trouvait à peine à quelques mètres de moi.
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