Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitypour le meilleur.. et pour le pire ❥ estyne - Page 2
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pour le meilleur.. et pour le pire ❥ estyne

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T’as les bras croisés, tu es fermé alors que quelques minutes avant, c’était ces mêmes bras qui enroulaient ma taille dans l’encadrement de la porte. J’entends tout ce que tu peux me dire, et à quel point tu tentes de me rassurer. N’importe quel femmes auraient sûrement laissés tomber, acceptant. J’ai juste ce petit démon sur mon épaule qui me murmurent à l’oreille les problèmes de confiance que j’ai envers les hommes. D’autant plus quand j’ai appris récemment que j’avais couché avec deux hommes engagés cet été sans en être au courant. Naïve que je suis. Alors oui, cette bague me rappelle juste que la mère de Tillie est présente. Cet épée de Damoclès au dessus de la tête qu’un jour elle revienne pour reprendre la vie qu’elle avait avant avec vous deux. Est-ce que c’est ça aimer quelqu’un ? Avoir cette peur au ventre de la perdre et de la voir sortir de sa vie ? Cette vie là appartient au passé pour toi, tu me le dis, me l’assure, même si ton ton de voix montre que la discussion ne te plait pas. Elle ne me plait pas non plus. Je tente juste de comprendre, ne voulant pas m’énerver. Puis il y a cette question, celle qui ramène à une réalité que je ne suis pas encore prête à accepter, celle de l’engagement. Un moment de silence pour réfléchir, même si ça me saute aux yeux en réfléchissant. « Bien sûr que c’est ce que je voudrais.» Et au vue de comment je le veux au plus profond de mon être malgré ma réticence, j’imagine à quel point elle a pû le vouloir avec toi aussi. On s’arrête un instant sur la photo accrochée sur le mur, et aussi incroyable que tu as ce don sur moi, c’est que je souris timidement quand tu me dis que je suis jolie aussi. « Juste jolie ?» Je fini par t’avouer à demi-mot que j’aurai aimé être la seule avec qui tu penses à tout cela, s’engager, la famille etcétéra. Même si c’est compliqué dans mon esprit de penser à tout cela, que ça me fait une peur profonde, je comprend avec cette discussion que c’est juste parce que tu es le premier avec qui je pense à tout cela, même s’il est trop tôt pour nous. Et ce sourire timide ne s’efface pas avec ta réponse. Une petite danseuse fait ses plus belles pirouettes en t’entendant. Me laissant aller à tes bras, la tête contre ton torse, je peux entendre les battements de ton cœur. Cela aurait pu m’apaiser, si tu ne me rappelais pas qu’il y avait encore des affaires à elle chez toi. « D’accord.» ne sachant sur l’instant pas quoi répondre à cela. J’ai déjà eu cette bague sous le nez, je ne veux pas voir les cartons qui vont avec. Je sais que ma curiosité risque de le regretter. Déjà qu’au fond de moi, cette histoire avec ce bijou n’est pas accepté, pas avec quelques mots aussi rassurant soit-il, alors je préfère ne rien savoir d’elle. « Jusque maintenant, je n’avais rien vu de sa présence chez toi, comme si elle n’avait jamais vraiment existé. » Et c’est vrai. Pas de photo apparente chez toi, pas de vêtements ou pas d’objets lui ayant appartenu. Juste moi et une jalousie mal placé que je n’admettrai pas à voix haute à la vue de l’anneau.

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La patience commence à quitter petit à petit ton corps, tu essaies de la garder, mais c’est bien difficile. Toute personne aurait accepté tes explications et aurait arrêté de te prendre la tête avec ça. Pourtant, tu le vois très bien, dans ses yeux, tu voyais encore ses doutes, qui sont encore bien présents. Un léger soupire s’échappait de ta bouche, tu ne sais plus ce que tu dois réellement dire. Ton regard se posa un instant sur ta montre, regardant les secondes passer les unes après les autres. Tu lui répètes encore une fois, que tu t’en foutais de cette femme, elle avait disparue de ta vie et c’était certainement, la meilleure chose. Même si un jour, elle reviendrait comme de par magie, tu ne serais pas là pour l’accueillir, bien au contraire. Tu savais d’avance que tu te battrais pour la garde de ta fille et ça ne sera pas bien difficile. Pour faire simple, tu ne voulais plus aucun lien avec cette femme, et le fait de perdre du temps actuellement, t’exaspérais. Tu lui posais cette question, qui te semblait si banale pour toi, il est vrai qu’après plusieurs années, la logique des choses, voudrait que tu fondes une famille avec cette femme, un mariage également. Tu hochais doucement la tête, écoutant ses propos pour finir par lâcher « Et bien voilà. » haussant les épaules. Ton regard se promenait un peu partout, pour finalement se reposer sur la jeune femme. Dans peu de temps, tu savais que ta petite viendrait te chercher et surtout chercher sa nouvelle meilleure amie. Elle avait ce don de te rendre dingue, c’était toujours comme ça, juste quelques paroles qui arrivaient à te faire perdre patience. « C’est jamais suffisant. » lâchais-tu avec une mine boudeuse. « Tu es magnifique, ça te va comme ça ? » tu avais déjà dis plus d’une fois, les compliments, n’étaient pas rare venant de toi. Tu décidas de bouger de ton emplacement pour la reprendre dans tes bras, ne lui laissant pas réellement le choix. Cette fois-ci, elle s’y glissa comme à son habitude, posant sa tête contre ton torse. Tu préférais ça, même si dans le fond, tu savais que cette histoire était bien loin de se terminer. « Normal, c’est pas mon but d’avoir des choses la concernant. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ce moment paisible et calme fut très court, puisqu’une autre petite blonde arrivait en courant dans la chambre pour s’enrouler autour de nos jambes pour un câlin collectif.
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Tu t’impatientes, je le vois très bien entre tes coups d’oeil sur ta montre, ta posture qui se ferme à chaque seconde qui passe, soufflant quand je te fais comprendre pourquoi je vis mal cette révélation sur cette bague. Si tu savais comme ça peut me bouffer de l’intérieur d’être en doute constant, d’avoir une peur d’être trompée, abandonnée. Pourtant tu m’as prouvé à plus d’une reprise que je n’avais pas à ressentir tout ça. Mais c’est là, au fond de moi. Et bien voilà. Une réaction banale, comme si ça justifier la présence du bijou au fond de ce tiroir. Je ne veux pas répliquer à tes mots, me faisant ressentir comme la dernière des idiotes. Et alors que je tente un petit sourire, une petite phrase que quelqu’un d’extérieur à nous pourrait qualifier de mignon, non, à la place, j’ai l’impression de t’emmerder avec mes questions. Non ça ne me va pas comme ça. Mes yeux roulent vers le ciel. Pour ce soir, c’est une impasse qui nous attend, et je ressens le besoin de plus en plus d’être seule, de réfléchir dans mon coin. Ou au contraire, mettre une musique douce, et ne plus penser à rien. « Désolée d’avoir besoin d’être rassurée, là maintenant.» Mais tu le savais dès le départ, ce soir où je t’ai retrouvé chez toi alors que tu revenais d’Espagne, ce soir où on était pas encore ensemble, où l’on était ensemble dans le canapé. Tu savais que j’avais des failles qui allait devoir demander du temps à combler. Je suis comme ça, à prendre ou à laisser. « On tourne en rond.» que je lâche telle un murmure alors que je me pose dans tes bras, un noeud à la gorge qui se forme. Je sais que tu n’es pas le dernier pour me rassurer au contraire, et pourtant, j’ai toujours ce besoin que tu le fasses. Si tu pouvais lire dans ma tête, tu comprendrais comme je m’en veux te faire subir tout ça, que tu serais sûrement mieux avec une fille qui a moins de problème émotionnelle. Posée l’un contre l’autre, j’en ai besoin depuis qu’on a commencé cette discussion dans ta chambre d’enfant. Et en parlant d’enfant.. c’est une petite bouille qui vient pour se greffer à nous. Mon visage se tourne vers elle, mettant fins à notre discussion d’adulte. Tous les trois dans les bras les uns des autres, me laisse pensive. Et si finalement, c’était ça que je veux, une famille, cette famille. Que c’est pour ça que j’étais autant piquée par ce que voulait dire cette bague. « Mamie va faire le dessert.» Un sourire se dessine sur mon visage devant cette âme d’enfant qui ne devine pas ce qui se passe. « On va se régaler.» Même si elle fait son poids, je soulève Tillie pour la prendre dans mes bras et lui faire un bisou. Qui aurait cru que j’apprécierai autant la présence d’une enfant. Son enfant.


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