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pour le meilleur.. et pour le pire

@Esteban J. Quesada  
18.11.2022  
boston, chez les parents d’esteban  


Stressée, la veille, j’ai très mal dormi. Ce n’est pas la première fois que je vois les parents d’Esteban, jamais en repas officiel où ils pourront me poser un milliard de question, me juger pour savoir si je suis bien pour leur fils ou leur petite fille. Un peu plus tôt, je me suis préparée chez toi après mes cours, prenant mes affaires. Douchée, m’en allant pour l’habiller, il me manquait juste une paire de collant que j’ai laissé chez toi, sûrement dans l’un des tiroirs. En cherchant, je tombe sur un tiroir qui n’est pas la mien, tête en l’air comme je suis. Mais il cache quelque chose que j’aurai préféré ne pas voir. Un écrin, une bague à l’intérieur. Mon cœur s’arrête. Ça fait deux mois qu’on est ensemble, je refuse de croire que tu aimerais franchir une étape de plus. Cela n’empêche qu’elle est magnifique. Je ne suis plus juste stressée, mais paniquée à l’idée que tu puisses faire une demande aussi tôt dans notre relation. Je prend déjà beaucoup sur moi, je suis une petite amie, je tente d’être une présence féminine pour Tillie. Je ne suis clairement pas prête à cela.
C’est dans un silence qui ne me correspond pas qu’on fini par se diriger chez tes parents, Tillie à l'arrière de la voiture qui s'occupe de mettre l'ambiance. J’essaye de faire bonne figure durant une bonne partie du repas, essayant de sourire pour dissimuler que ça ne va pas. J’ai la bougeotte sur ma chaise, n’arrivant pas à maintenir plus de quelques secondes ton regard. Je n’arrive pas à me sortir de la tête cette image de cet écrin. « Vous pouvez me dire où se trouve vos toilettes, s'il vous plait ?» demandant directement à tes parents. Une excuse parmi tant d’autres, mais j’ai ce besoin de m’éclipser un moment. Je n’ai pas encore eu un seul instant pour réfléchir à ça, savoir ce que je suis sensée en penser. Je n’ai pas envoyé de message à Nicolas non plus, je ne sais pas comment il pourrait réagir. Je passe une porte, pensant arrivée dans les toilettes, mais c’est dans une chambre que j’attéri. Voulant faire demi-tour, je remarque assez vite des photos où ton visage ressort, une chambre de garçon. Ta chambre. Posée dans l’encadrement de la porte, j’oublie les minutes qui passent, perdue dans mes pensées.  
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Deux mois que tu étais avec cette jeune femme, forcément, tes parents commençaient à vouloir la rencontrer. Ils avaient pu la croiser rapidement, quand tu étais en Egypte. Ils avaient déjà apprécié le fait qu’elle s’occupait à merveille de la petite princesse de la famille. Maxyne avait accepté, légèrement stressé, ce que tu pouvais comprendre car ça serait le cas aussi pour toi, une fois, face à son père. Elle avait pris le temps de se préparer dans ton appartement, enfilant également un polo, un pantalon, un minimum présentable, une veste. Bref, assez simple, mais quand même assez propre sinon, tu savais d’avance que ton père te ferait une remarque. Ta mère se contenterait de lever les yeux au ciel, comme elle savait si bien faire, quand elle n’était pas d’accord avec toi. Le temps passa rapidement, le trajet était silencieux, ne cherchant pas à savoir plus, tu mettais ça sur le stress. Tillie, par contre, était ravie de voir Maxyne se rendre chez son papy et sa mamie. Le repas se passait tranquillement, même si tu ne reconnaissais pas cette demoiselle, avec qui tu vivais la plupart du temps. Très effacée, et elle s’éclipsa un instant pour aller au toilette. Les minutes passaient et elle ne revenait pas. « Elle a du se tromper, je vais voir. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, tes parents s’occupant de Tillie. Tu marchais dans la maison, elle était grande et pour une première fois, ce n’était pas simple de s’y retrouver. Tu la retrouvais dans ton ancienne chambre, là, ou Tillie dormait quand elle venait ici. Léger sourire sur tes lèvre, tu te glissais derrière elle, la prenant par la taille. « Tu t’es perdu ? » soufflais-tu doucement. Ton regard se promenant sur les différentes photos. « Qu’est-ce qu’il y a? Je te trouve bien distante? » tu mettais les deux pieds dans le plat.
@Maxyne C. Lurton
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Je ne sais pas combien de minutes ce sont écoulés depuis que j’ai quitté la table en bas. Cela doit paraître déplacer de ma part alors que depuis que je suis enfant on m’inculque les bonnes manières, les bonnes façon de me tenir à table et avec les gens. Je suis loin, très loin, au point que je sursaute quand je sens tes mains qui se glissent autour de ma taille. J’aime être callée contre toi, ta douceur à mon égard. Instinctivement mes mains se posent sur les tiennes sur mon ventre. « C’est ta chambre ?» Une question en guise de réponse. Mes yeux se baladent dans la pièce, prêtant enfin attention à ce qui m’entoure. Elle doit être remplie de souvenirs, et de choses que je ne sais pas encore à propos de toi. Si je n’étais pas aussi obnubilée par ma découverte avant de partir, je t’aurai sûrement posé un milliard de question à propos de cette pièce et de tout ce qu’elle contient. Je quitte l’encadrement pour rentrer dans cette chambre. Avec toi à mes côtés, c’est comme si j’avais ton accord. Prévisible, tu finis par me demander ce qu’il se passe, que tu me trouves distante. Mes doigts passent le long des meubles, étudiant les photos, sans connaître qui que ce soit dessus à part toi. Silencieuse, j’arrive jusqu’à la fenêtre regardant le jardin avant de me poser dos à celle-ci pour te regarder. Est-ce que je dois en parler ? On est sensé tout ce dire normalement, mais c’est compliqué d’aborder le sujet. « Je... j’ai trouvé une bague.. chez toi.» que je bafouille. « Je me suis trompée de tiroir et je suis tombée dessus.» reprenant après avoir souffler un bon coup. Tout s’enchaîne dans ma tête, le besoin de te le dire, et en même temps la peur de mal dire, que tu te méprennes sur mes envies d’avenir avec toi. C’est plus simple pour moi que te dire ce que j’ai sur le coeur, en regardant dehors. Fuyant ton regard. Encore. « Ne va pas imaginer que je ne m’imagine pas faire ma vie avec toi, au contraire, t’es le seul avec qui je m’imagine en belle robe blanche avec nos familles et amis. Je ne sais pas quand tu as prévu de t’en servir mais ...» mais ne le fait pas par pitié. C’est ce que mon regard voudrait te dire s’il pouvait parler. Mon regard se pose partout, totalement perdu avant de revenir vers toi. «... mais je ne suis pas prête. On est jeune, on a nos études, des voyages à réaliser.. Je ne suis pas prête.» J’espère que tu comprendras, que tu ne m’en voudras pas de te dire ça. Continue de m'aimer malgré ce que je viens de te dire. D’accord à Halloween je t’ai dit que j’y pensais, mais pas maintenant. Je m’en veux tellement de te dire ça alors qu’on est chez tes parents, que c’est la première fois qu’ils m’invitent chez eux pour manger.
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Tu savais que ta mère allait être contente de l’avoir rencontré, depuis le temps qu’elle te le demandait et pourtant ça ne faisait que deux mois. Mais Tillie, ne faisait que de parler de sa nouvelle amie, donc, logique que la grand-mère voulait la rencontrer. Elle était différente, elle n’était pas comme d’habitude et ce, depuis que tu avais pris la route jusqu’ici. Tu n’avais pas trop creusé, ne voulant pas la mettre davantage en stress, respectant ce moment, pas forcément très simple. Le repas se passait bien, quelques questions et finalement le sujet avait changé, ne tournant pas qu’autour de la demoiselle. Elle s’éclipsa le temps d’aller au toilette et finalement, le temps passait et elle ne revenait pas. Les gens avaient tendant à se perdre, tu partais à sa recherche. Ainsi, tu allais pouvoir profiter un peu d’elle, rien que les deux et elle se trouvait dans ta chambre. Des souvenirs plein la chambre, des photos un peu partout. Tu appréciais toujours autant venir dans cet endroit, ton regard se promenait un peu partout, tu ne pouvais pas passer à côté de cette question. Tu voulais savoir ce qu’il se passait, tu voulais savoir ce que tu n’avais pas fait où au contraire, ce que tu avais mal fait. Tu hochais la tête à sa question « En effet, c’est là, où j’ai grandi. » petit sourire sur tes lèvres, toujours dans la délicatesse. Tu pris place sur le canapé, ce lit était confortable, c’était bien pour ça que tu faisais des sacrées nuits. Finalement, elle déposa son regard sur toi, tu passais ta main dans tes cheveux, elle n’était pas tombé sur la bonne chose. « Maxyne, te prends pas la tête. C’était la bague de mon ex. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Même si ce jour viendra, si la relation continuait ainsi, mais pas pour maintenant. Tu te levais pour lui faire face et venir près d’elle « Je ne le prends pas mal, car je ne comptais pas te le demander. » tu rigolais un peu, espérant pouvoir détendre l’atmosphère. « On a le temps, mais autant profiter, ça sera pour plus tard. » tu étais sincère, déposant un baiser sur le front.
@Maxyne C. Lurton
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J’essaye d’imaginer le genre d’adolescent que tu étais, le genre de soirées que tu as pu faire dans cette chambre. Les femmes qui y sont passées aussi, ce qui me fait grimacer. La jalousie n’est jamais très loin. J’ai hâte de te poser toutes les questions sur les souvenirs qui trônent encore fièrement sur les murs alors que tu ne vis plus là. J’imagine que Tillie a déjà dû avoir des histoires, du moins celle qu’elle peut entendre, sur les frasques de ce père, avec bien sûr, l’interdiction de les reproduires. « C’est super que tes parents ont gardé ta chambre comme elle était.» Le jour où je t’emmènerai avec moi à Bordeaux, tu verras que ma chambre est bien plus basique que la tienne. En même temps, j’ai toujours été une jeune femme bien dans les normes, pas de crises d’adolescences, pas de grosses bêtises. Une jeune fille sage. Bien moins chargés en souvenir que la tienne, plus... froide. Je me détache le temps de te dire tout ce que j’ai sur le cœur, alors que t’assoies sur le lit alors que je suis dans un monologue sans fin t’expliquant comme je ne suis pas prête à m’engager. J’ai peur quand je m’exprime, peur de te perdre, de dire n’importe quoi alors que tu franchis le pas de m’emmener chez tes parents. Tu prends enfin la parole, essayant d’être rassurant. C’est tout l’effet contraire. La bague de ton ex. Pourquoi tu as la bague de ton ex caché au fond d’un tiroir ? Ce n’est pas le genre de chose que l’on garde, encore moins quand on a un passé avec cette personne et qu’elle nous a fait mal. Du moins, ce n’est pas la conception que j’ai de la chose. Le regard vide, je n’arrive même pas à entendre la suite de ce que tu me dis, je n’entends pas ton rire. Mon esprit essaye de trouver une explication qui ne va pas me donner envie m’effondrer dans les secondes qui suivent. Tu laisses un baiser sur mon front, je te laisse faire, sans réagir. « Pourquoi tu gardes la bague de ton ex ? » Est-ce que tu avais prévu avec elle de te marier ? Trop d’interrogation, encore plus qu’au moment où je pensais qu’elle était pour moi. Je ne sais pas ce que j’aurai préféré, qu’elle soit pour moi, ou n’être jamais tombée dessus, et ignorer que tu possédais cet objet chez toi. C’est moi qui finir par m’asseoir sur le lit, la tête me tourne à trop réfléchir.
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Tu as grandi dans cette maison, et dans cette en Espagne. Pour rien au monde, tu voudrais entendre dire que cette maison serait à la vente. Ils ne le feront pas, ils voulaient rester près de leur fils et leur petite fille. Si un jour, tu venais à partir, peut-être qu’ils feraient de même, retourner en Espagne. D’un côté, tu pouvais les comprendre, tout le reste de la famille était en bas, c’est pour ça que tu avais décidé d’y aller plus souvent. Tes cousines te manquaient comme tes oncles et tantes. C’était une grande famille, très soudée, il ne fallait pas s’en prendre à un, car sinon la personne aurait tout le reste sur le dos. Ton regard se promenait sur cette chambre, que tu connaissais tellement, il s’en était passé des choses ici. « Oui c’est vrai, Tillie, elle dort ici, quand elle vient. » soufflais-tu, avec un léger sourire sur tes lèvres. « Elle veut être dans le même lit que son père, malgré le fait, qu’elle a une chambre. » tu rigolais, haussant les épaules. Tu comprenais maintenant, pourquoi, elle était ainsi. Aussi froide, aussi distante, et au lieu de bien te défendre, tu t’enfonçais. Tu le voyais bien à son regard et son visage, que cette réponse ne lui suffisait pas, loin de là. Tu venais vers elle, déposant tes lèvres contre son front. Laissant un léger soupire échapper de ta bouche, c’était ni le lieu, ni le moment pour ce genre de question. Elle s’installa à son tour, sur le canapé, toi, tu restais contre la fenêtre, regardant dehors. « J’ai fini de vider des cartons, avant-hier et j’ai retrouvé ça. Je comptais la balancer, mais je voulais pas que Tillie tombe dessus. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ton regard qui se posait de nouveau sur la jeune femme. « J’e m’en fou d’elle, c’est fini. » tu n’avais pas envie de repenser à tout ça.
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Je souris tendrement, cela ne m’étonnes pas de Tillie, de vouloir marcher dans les mêmes pas que toi. « Elle t’admire tellement.» Ce n’est pas la première fois que je te le dis, et je le pense sincèrement. « J’espère qu’elle ne fera pas les mêmes bêtises que toi dans cette chambre.» Oubliant un instant pourquoi je me suis isolée dans cette pièce, en rigolant doucement, sans savoir non plus ce qui a pu se passer dans cette chambre. Mes démons reviennent vites, les doutes, le manque de confiance. Sauf qu’au lieu de douter de toi, je doute de moi, et de nous. Ce n’est pas comme si la mère de Tillie et toi vous vous étiez quitter récemment. Non, ça fait plusieurs années. Je t’écoute me donner les raisons de pourquoi tu as cette bague cachée au fond d’un tiroir. Tu essayes d’être rassurant, et pourtant je sens mes entrailles se serrer. Je m’en fou d’elle, c’est fini. Pas si fini que ça s’il restait encore des affaires à elle. « Pourquoi tu ne l’as pas jeté de suite ? Tillie ne serait pas tomber dessus dans tous les cas.» Cette sensation que ça ne tient pas la route comme explications. J’hésite un instant avant de te poser cette question qui me trotte dans la tête, je sais que ça me bouffer l’esprit que de ne pas te le demander. « Elle représentait quoi cette bague ?» Avais-tu eu l’envie de te marier avec elle ? Etais-tu fiancé ? Ou est-ce que c’était un simple cadeau ? Dans tous les cas, j’estime qu’on n’offre pas une bague comme ça. C’est un symbole. Me levant, je passe le bout des doigts sur certaines photos, certaines où tu n’es pas seul, au contraire. « Est-ce qu’elle est sur des photos ?» Je ne l’ai jamais vu, je ne sais pas à quoi elle ressemble. Est-elle physiquement comme moi ou totalement mon opposé ? Je sais qu’elle a compté, qu’elle t’a fait le plus beau des cadeaux avec Tillie. J’aime pas être comme une inquisitrice, à te questionner comme cela. J’étais à mille lieux de ça quand j’ai trouvé cet écrin de velours dans ton tiroir, je n’ai pas su me préparer et prendre sur moi pour éviter de faire ressortir mes pires défauts.
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Cette petite princesse commence à prendre bien des chemins, qui ressemblent de plus en plus aux tiens. Ça te ferait plaisir qu’elle décide de faire le même travail que le tien, ou bien un beau métier, où elle pourra s’épanouir. En attendant, elle avait encore des années devant elle, et des nombreuses bêtises. Si elle prenait réellement ton caractère, tu savais d’avance, que tu allais t’arracher les cheveux. Tu n’avais pas été le plus simple et gentil des enfants, mais tes parents t’aimaient tout de même. « Je l’admire aussi, elle est extraordinaire pour son jeune âge. » elle te faisait découvrir des nouvelles choses, chaque jour. Pipelette dans l’âme, tu savais toujours tout ce qu’il se passait dans sa vie et tu espérais qu’avec le temps, ça continuerait. Tu n’avais qu’une peur, qu’elle se referme sur elle, lors de son adolescence, avec l’absence de sa mère. Tu chassais rapidement ces pensées, pour reporter ton attention sur la jeune femme, tu rigolais légèrement à sa phrase. « Si tu savais ! Je n’ai pas fait grand chose ici, sinon mon père m’aurait tué ! » rien qu’en repensant au fait que tu partais par la fenêtre, en accrochant une couette, histoire de faire du rappel sur la façade de la maison. Mais le sujet n’était pas là, le problème n’était pas du tout celui-là, tu aurais dû jeter cette bague, tu ne l’avais pas fait car pour toi, ça ne représentait rien. Tu avais encore pas mal de cartons à vider et tu avais pas mal de chose à jeter. « Car j’ai pas envie d’aller plusieurs fois à la déchetterie, alors que je sais que je vais retrouver encore plein de choses à balancer. » tu haussais les épaules, essayant tant bien que mal de lui faire comprendre la réalité. C’était de l’histoire ancienne, tu t’en fichais de tout ça. « Elle voulait qu’on se marie, et j’ai acheté cette bague et finalement j’ai hésité et j’ai bien fait d’hésiter. » elle n’avait jamais été porté. Ton regard se porta sur les nombreuses photos, il y en avait qu’une seule où elle était dessus. Tu montrais celle-ci du doigt, croisant les bras sur ta poitrine, tu ne savais plus quoi dire, pour arranger tout ça.
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Discutant de cette chambre, j’imagine l’adolescence que tu as pu vivre ici, les bons souvenirs qui se cachent comme sûrement aussi des moins bons. J’aurai aimé déjà te connaître à cette période, la jeune fille studieuse aurait très certainement été encore plus intimidé que quand je t’ai rencontré cet été. Elle n’aurait cessé de rougir en te regardant, à te sourire. Si elle t’avait rencontrée avant tous les hommes qui lui ont fait perdre confiance, elle t’aurait immédiatement aimer, sans aucun doute. Non pas que je ne t’aime pas, au contraire, et c’est ce qui fait que cette nouvelle est encore plus dur à accepter. Seulement, je n’aurai pas peur de te le dire aujourd’hui, pas peur de m’engager, même rapidement. Je ris doucement en imaginant l’adolescent rebelle qui se tenait à carreau une fois entre les murs de cette maison. Tillie possède déjà son petit caractère, elle est fort probable qu’elle agisse de la même façon. Mais la discussion n’est pas là, elle tourne autour de cette bague, une fois de plus, je ne suis pas convaincue par tes excuses. Mes épaules se haussent. « Tu aurais pu la jeter dans une poubelle, pas dans un tiroir. C’est une bague Esteban... Une bague. On ne parle pas juste d’une petite écharpe, une paire de chaussure oublié ou je ne sais quoi. Mais d’une bague.» Une histoire passée, mais lourde de conséquences. De longues années que vous avez passés à deux, ton premier vrai amour, celui qu’on oublie pas. Puis Tillie qui résulte de tous ses sentiments. Et je comprend que ce petit objet qui me tourmente à encore plus de signification que je ne pouvais le penser. « Tu voulais te marier avec elle...» Je parle tout bas, me le murmurant à moi-seule. Tu me dis avoir hésiter, tu as quand même acheter ce symbole en prévision que tu lui fasses ta demande. Ça ne devrait pas m’atteindre, et pourtant, je suis touchée tout de même. Pointant du doigt une femme sur une photo, mon regard se fixe sur elle. « Elle est jolie.» Pas d’agressivité sans ma voix, pas de reproche, juste une constatation. En la voyant, je remarque comme Tillie te ressemble, et en même temps, elle a des airs de sa mère également. « Je pense que j’aurai aimé être la première avec qui tu penses faire tout ça. » Toi comme moi, on a eu une vie avant d’être ensemble. Tu as connu la vraie vit de couple, moi non. Forcément qu’il y a des projets que tu as eu avec d’autres avant moi. C’est juste encore un peu compliqué à l’accepter. « T’as encore beaucoup d’affaires à elle chez toi ? » Je n’ai pas forcément fait attention, bien que j’ai déjà passé beaucoup de nuit chez toi. Tu as évoqué le faire de retrouver encore plein de choses. Pourtant, ça fait déjà quelques années qu’elle est partie.
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Et toi qui pensait qu’elle n’était pas à l’aise, simplement à cause de ce repas avec ta famille. Tu ne sais pas comment tu seras face à sa famille, mais tu seras certainement comme elle. Mais finalement, en creusant un peu plus, tu comprenais que le problème ne venait pas du stress. Cette bague qu’elle avait retrouvé dans tes affaires, tu aurais dû la jeter depuis bien longtemps, mais non. Tu l’avais posé là, et depuis, tu l’avais oublié, et c’était bien derrière toi. Mais pour ta petite tête blonde, ce n’était pas la même chose. Tu pouvais la comprendre, tu tentais de te mettre à sa place, même si ce n’était pas simple. Pour toi, c’était du passé et tu t’en foutais, mais ce n’était pas ainsi qu’elle le prenait. A vrai dire, tu ne savais plus quoi dire. Le silence s’installait entre elle et toi, ne cherchant même pas à rétorquer, le malaise prenait sa place. Ce n’était pas vraiment le moment pour ça, tu n’avais pas envie que tes parents soient spectateurs de tout ça. Ton regard se posa sur la jeune femme, croisant tes bras contre ton torse. « Je ne sais pas quoi te dire, à part que je m’en fou de cette bague, comme je m’en fou de mon ex. C’est du passé. » finissais-tu par lâcher, légèrement agacé par cette situation. Alors oui, il y avait eu beaucoup de choses avec cette femme, en même temps, tu avais partagé ta vie durant plusieurs années. Dire que tu ne l’avais pas aimé, serait mentir, d’envisager ta vie avec elle, également. Mais finalement, ça ne s’était pas fait, tu n’avais jamais été fiancé, ni même marié. « Comme toi, si on vient à rester en couple plus de six ans, tu voudras peut-être envisage qu’on se marie, qu’on fonde une famille non ? » tu arquas ton sourcil, essayant de lui faire comprendre que c’était normal. Son attention changea pour se positionner sur cette photo, la seule où elle était encore dessus. Certainement parce que la photo était magnifique, tu ne pouvais pas dire le contraire. « Mais toi, tu es jolie aussi. » soufflais-tu doucement. Tu souris délicatement, car même si la situation était délicate, c’était mignon ce qu’elle te disait. « Tu sais il y a des choses que je regrette pas, comme Tillie. Mais beaucoup de choses que j’aurai préféré faire avec toi, plutôt qu’elle. » c’était sincère, tu disais vraiment ce que tu avais sur le coeur. Tu te rapprochais d’elle, pour la prendre dans tes bras « J’ai encore pas mal de cartons, et je pense qu’il y a pas mal de chose à elle, j’ai fais mes cartons tellement rapidement que je n’ai pas trié. » tu haussais les épaules.
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