(Bianca) - Starless night.

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TW : alcool - lieu de tentation de luxure - déprime

Cela faisait un moment qu’il n’y avait pas mis les pieds. Pourtant, ce soir, ayant la vague à l’âme, il s’est décidé à rejoindre ce lieu interdit. Vêtu d’un costume à la griffe italienne, ainsi que sa paire de souliers, Ezekiel ne sait encore s’il va se contenter d’apprécier le lieu en ingurgitant de nombreux verres de Laphroaig quarante ans d’âge, ou encore s’il va se laisser tenter par l’étage dans lequel il pourra répondre de l’un de ses vices : la luxure. Des femmes au prix de quelques billets dont il aime se débarrasser, à défaut d’être aimé. Dans un soupir douloureux, il quitte son immense penthouse afin de rejoindre le taxi qui l’attend au bas de l’immeuble dans lequel il réside. Tout n’est que luxe dans son existence cependant, comme le dit l’adage : l’argent ne fait pas le bonheur. Car, à quoi bon éveiller les sentiments d’un homme si c’est pour l’éconduire ? On ne peut évidemment être aimé de tous, mais d’elle, il s’en est amouraché le professeur de politique et économie internationale. Seulement, cela lui semble interdit, d’être épanoui ainsi qu’heureux, alors à quoi bon continuer à faire bonne figure, ou encore à devenir une meilleure version de soi-même ? Son jeton des alcooliques anonymes, il compte bien s’en débarrasser, puisqu’il n’en aura d’autres et ainsi n’en fera jamais collection.
Passant les portes de The Sidh, l’homme aux origines italiennes rappelle aux réceptionnistes son prénom ainsi que son nom. Ce faisant vérifier, il patiente lorsqu’on lui donne accès à ce lieu où la lumière se fait tamiser et où tout ce qui se trouve n’est qu’opulence et goût. Va-t-il céder à la tentation ? Pour le moment, il ne sait que choisir, que faire, alors, comme de coutume, il prend place devant le bar, afin de commander sa boisson :
- "Bonsoir. Un Laphroaig quarante ans d’âge, minimum. Accompagné d’un petit verre d’eau, je vous prie." Aucune cravate puisque vêtu d’un costume trois pièces, il défait le premier bouton de sa chemise et annonce qu’il sera dans le coin des Chesterfield en velours vert, afin qu’on lui amène son poison préféré. "Tenez. Une avance." Il indique à l’homme présent devant lui, tandis qu’il lui offre un pourboire assez vertigineux. Bon nombre de personnes adoreraient se trouver à la place de ce barman qui l’enfonce dans la poche de sa veste pour assurer à monsieur Emerson qu’il lui apportera sa boisson.

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Ce soir j'étais seule, bon j'étais souvent seule quand je sortais ces dernier temps à part si le peu d'amis que j'avais garder près de moi m'accompagnait mais ce soir j'étais venue solo et je me rendais compte que il y avait pas foule, concernant les gens que je fréquentais, j'étais assise au bar depuis une trentaine de minutes à siroter un verre, à parler avec deux trois personnes mais au bout de deux phrases ces derniers me proposait leur faveurs sexuels et si encore on ce connaissait je n'aurais pas dit non mais là ce n'était pas le cas et il m'avait fait fuir. Je me redressais en payant mon verre pour fuir au dernier lourd qui me proposait de finir la soirée avec lui, je repris mon sac, puis ma veste et je contournais mon tabouret mais je remarquais Ezekiel que je connaissais certes très peu mais un minimum puisqu'on avait parler lui et moi de ses problèmes de santé, j'étais interne à la clinique donc n en avait eu l'occasion mais là j'avais besoin de son aide pour me débarrasser de ce mec qui me collait. "Il y a mon petit ami qui vient d'arriver tu devrais partir parce qu'il est très jaloux." Je rejoignais le jeune homme et une fois près de lui je lui dis tout bas. "Rentre dans mon jeu je t'en supplie." Que je dis tout bas avant de reprendre plus fort cette fois. "Salut mon amour." Puis je me penchais vers lui pour lui déposer un smack, quelque chose d'innocent juste assez pour faire fuir le mec à qui je disais au revoir de la main. Je reposais mon regard sur Ezekiel en me mordant la lèvre. "Désolé de t'avoir sauter dessus comme ça mais il ne voulait pas me lâcher."

@M. Ezekiel Emerson

(Invité)

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@Bianca M. Almeida

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Ce genre de soirée qui se termine en nuit blanche, il ne les apprécie plus comme autrefois. C’est d’ailleurs un goût d’amertume qu’il ressent en ravalant sa salive tandis qu’il patiente afin que l’on lui apporte son verre. Ne cessant de penser à elle, au fait que ce soit impossible entre eux, le brun ténébreux se laisse divaguer dans les abysses de son âme, sans même se rendre compte qu’il est à présent sur la table présente face à lui, son dit Laphroaig de quarante ans d’âge, accompagné de son petit verre d’eau plate. Le notant à présent, le professeur cherche du regard celui qui lui a apporté et lève son verre en signe de remerciement pour en avaler une première gorgée. Son goût est semblable à un feu de camp qui se répand dans les moindres recoins de sa bouche, ainsi que sa gorge et sa trachée, mais il l’apprécie.
- « La tourbe. » Il prononce dans un murmure pour lui-même lorsqu’une femme s’approche de lui, à grandes enjambées, mais il rechigne à relever la tête. À quoi bon ? Monsieur Emerson n’est pas d’humeur et elle va promptement en faire les frais. Seulement, lorsque son regard se pose sur celle qui arrive à sa hauteur, il fronce des sourcils, car il la reconnait. « Par… » Mais il n’achève son mot, à cause de sa supplique qu’elle prononce tout bas, en s’étant rapprochée tant de lui qu’il peut sentir la fragrance dont elle use. « Bien. » Il se contente de répondre, quant à ses mots, il reste coi, durant quelques secondes. « Bonsoir, chérie. » Le bellâtre termine de prononcer pour être surpris par le chaste baiser qu’elle lui offre et auquel il répond. « Viens donc auprès de moi. » Il prononce à son intention, tapotant l’assise sur laquelle lui-même se trouve lorsqu’il croise le regard d’un homme. Lui offrant son regard des plus glacials, l’air de lui faire comprendre qu’il n’a qu’à se retirer s’il ne souhaite pas avoir d'ennuis, l’italien d’origine continue de le toiser jusqu’à ce qu’il ait disparu de son champ de vision. « Ce n’est rien. » Ezekiel se contente de répondre, sans même poser son regard sur son minois. « C’était une situation qui l’exigeait à l’évidence. » Il ajoute, pour déposer ses prunelles saphirs sur Bianca, qui le tutoie. « Étant donné que tu m’as embrassé, je ne vois aucun inconvénient au tutoiement. » Un sourire s’épanouit sur son visage. « Tant que nous y sommes, désires-tu boire quelque chose ? » Il l’interroge, se tournant de biais afin de lui faire face tandis qu’il ravale quelques gorgées de son whisky single malt.

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Ce soir j'avais longuement hésité à vrai dire à sortir parce que même si sortir seule ne me dérangeait pas j'étais devenue plus raisonnable sur mes sorties et mes fréquentations, je préférais les soirées à la maison devant un petit film, habiller d'une nuisette et un plaid sur mes jambes accompagné par un gros bol de chips mais bon fallait bien s'amuser parfois, boire un verre, danser et cela faisait longtemps que je n'avais pas danser et pour une fan de danse c'était bizarre. je ne pensais pas rencontrer une connaissance ici mais c'était après m'être fait embêter par un homme assez lourd, j'avais oublier comme une femme seule pouvait vite être embêter, par le passé j'étais celle qui aurait été vers un homme seul parce que j'étais séductrice mais ce soir j'en avais pas envie et j'avais envie d'être tranquil mais ce n'était pas le cas et par chance je croisais le chemin de Ezekiel vers qui je me dirigeais, le pauvre était en train de boire un verre quand je me jetais littéralement sur lui, enfin presque j'avais quand même eu le temps de lui demander de rentrer dans mon jeu pour reprendre de manière plus explicite mon petit cinéma et ce n'était pas déplaisant au final. "J'arrive tout de suite mon coeur." Après un rapide baiser je regardais vers ce fameux mec qui fini par partir, enfin je fini alors par reprendre mes distances avec le jeune homme que je venais de coller en ayant poser ma main sur sa cuisse mais maintenant que j'étais débarrasser de ce type je lui laissais son espace en m'excusant tout de même parce qu'il aurait très bien pu ne pas aimer que je l'utilise ainsi. "Ouais mais tu aurais pu ne pas apprécier être embarquer là dedans." Je lui souriais et sa remarque me fit secouer la tête, c'est vrai que je venais de le tutoyer sans qu'il m'en donne la permission. "Ce baiser n'était pas désagréable au moins j'espère??" Histoire de me rassurer sur ma façon de séduire un homme. "Ouais pourquoi pas, ce que tu bois à l'air pas si mal que ça, je prendrais comme toi." Je fis appel au barman pour avoir la même boisson que le jeune homme.

@M. Ezekiel Emerson

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@Bianca M. Almeida

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Le professeur en politique et économie internationale souffre plus que de raison. Il ne l’admettra pas à n’importe qui et c’est pour cette raison qu’il a préféré la solitude à une soirée entre amis, à qui il aurait tout confié ; avec lesquels il se serait confessé. Ses démons, ses addictions ainsi que ses vices lui semblent plus soutenables que la douleur qu’il ressent à la poitrine. C’est pour cette raison qu’un verre de Laphroaig quarante ans d’âge, est présent dans l’une de ses mains au Sidh. Lieu de débauche, de luxure, mais aussi de goût, puisqu’il n’y a meilleur endroit pour se satisfaire d’une telle décoration dont tous les objets sont de valeurs. Une première gorgée est avalée tandis qu’il use de supplique dans son esprit afin de ne pas songer à elle, ni à ce qui pourrait arriver, lorsque miss Almeida le surprend et lui demande de jouer le jeu. Ce faisant, il toise l’homme qu’il ne connaît point pour faire croire qu’ils forment un couple, quand ce dernier se retire et les laisse ainsi, seuls, sur le canapé Chesterfield.
- « Ne t’en fais pas. J’ai bien compris que c’était important, lorsque j’ai croisé le regard de cet… » Ses dents se mettent à grincer. « … Homme. » Il termine, car colérique de nature. Il faut dire que l’adonis d’origine italienne est sanguin et quand il s’aperçoit qu’un lourdaud ennuie une femme, il ne peut s’empêcher d’intervenir et parfois même, il en vient aux mains. « De plus, ce n’est pas la première fois que je fais fuir ce genre… D’individu. » Il use de sa main libre pour indiquer le chemin que ledit inconnu a pris, avant de laisser s’échapper un soupir d’entre ses lèvres. « Désagréable ? » Il la fixe et plisse des yeux en scrutant son visage. « Je ne sais pas. » Il commence pour y réfléchir plus longuement. « Je dirai qu’il a été court. Trop court, pour que je te dise si je l’ai réellement apprécié. » La main tenant son verre forme des cercles avec lenteur, afin d’en mélanger le contenu. « Cependant, tes lèvres m’ont paru bien douces. » Il s’arrête là pour avaler une nouvelle gorgée de son poison fétiche et lui demander ce qu’elle souhaite boire, après l’avoir posé - cette fois-ci - sur la table basse présente face à eux. « La même chose que moi ? » Un rire passe la barrière de ses lèvres pleines. « Je pense que tu devrais goûter, avant d’un commander un. » Il la prévient alors qu’elle a déjà demandé à un serveur de les rejoindre. « Tiens. » Il lui tend son propre verre et la prévient : « C’est excessivement fort. Je ne suis certain que tu es habituée à ce type d’alcool. Il faut former son palais afin d’en apprécier les saveurs. » Son regard transperce le sien tandis qu’il lui souffle ses mots et il termine, tout bas : « Es-tu certaine de vouloir y goûter ? » Elle pourrait choisir un cocktail à la place ou encore, refusé de faire ce premier test dans son verre à lui.

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(Invité)

Je ne pensais pas croisé une connaissance ici et encore moins Ezekiel, j'avais été embêter par un jeune homme qui semblait insistant et en le croisant je n'avais pas hésiter à me servir de lui, ce n'était pas malsain mais pour le coup il me sauverait ma soirée parce que j'étais sûre qu'il n'aurait pas lâcher l'affaire de si tôt alors une fois près du jeune homme je la jouais intime avec lui, comme ci j'étais face à mon homme et cela semblait marcher alors j'avais plutôt bien fait. "Je pense qu'il aurait pas lâcher l'affaire sinon." Je n'étais même pas étonnée de savoir que ce n'était pas la première fois qu'il aidait une femme dans cette situation surtout de nos jours. "Oh tiens comme ce n'est pas étonnant." Je souriais de manière amusé même si en réfléchissant bien rien n'était marrant dans le fait de ce sentir agresser, je préférais laisser ça derrière nous en le questionnant sur ce baiser furtif et une de ses réponses me fit froncer un sourcil de manière joueuse. "C'est une invitation à recommencer??" Bon je dois avouer que c'était moi qui cherchait un prétexte pour recommencer mais je n'en fis rien avant de secouer la tête de haut en bas. "Et bien merci pour le compliment." Je passais commande et il fini par ce moquer de moi, je secouais les épaules. "Ben quoi c'est si mauvais que ça??" C'st vrai que je ne connaissais pas et que je ne buvais que de rare fois. "Oui si tu veut." Je pris son verre et je bus une gorgée, enfin je pensais pouvoir y boire une gorgée, je fini par sentir l'alcool me brûler le gosier et je fini par mettre ma main vu que je recrachais tout, alors là c'était pas glamour du tout, j'attrapais une serviette pas loin pour essuyer mes lèvres. "Effectivement ç'est mal passer." Je rectifiais ma commande pour le coup et je prenais un truc beaucoup plus soft.

@M. Ezekiel Emerson

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@Bianca M. Almeida

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Ezekiel en avait assez de penser et de tourner en rond, tel un lion en cage. C’est pour cela qu’il était venu au Sidh, bien qu’il songeait également à autre chose en y venant. Se soulager d’un poids bien lourd l’aiderait sans doute à tout occulter durant cet instant de plaisir, mais il savait que tout reviendrait à lui, à l’image d’un boomerang. Alors, il a préféré commander un verre et s’installer sur l’un des canapés Chesterfiled, choisissant celui en velours vert, où personne ne semblait être installé. Son Laphroaig quarante ans d’âge en main, il soupire, en avale une gorgée, lorsque miss Almeida fait une apparition des plus étonnantes pour finalement entrer dans son jeu. C’est sans nul doute ce qui est le plus stupéfiant dans l’histoire, bien que connaissant sa faiblesse physique actuelle, il aurait risqué de se faire extrêmement mal en mettant son poing dans le visage de cet homme bien trop lourd envers mademoiselle Almeida.
- « Je n’en doute pas. » Il murmure pour toute réponse, son regard toujours posté sur la porte par laquelle ledit connard est passé. « Quoi donc ? Que je défende les demoiselles ou plutôt, femmes en détresse ? » Il en esquisse un bref sourire pour avaler une nouvelle gorgée de son whisky single malt. « Je préfère ne pas répondre à cette question. Cela me reviendrait à m’apporter des problèmes. » Il répond avec une certaine gêne à Bianca, avant de reprendre et de conclure par un : « Je t’en prie. »
Discutant de boissons, du verre qu’il désire lui offrir, le professeur en politique la prévient, intervient, tandis qu’elle demande la même chose que lui. Car ce n’est pas offert à tous d’en déchiffrer le goût, la saveur, puisque comme dit, il faut apprendre à former son palais pour l'apprécier, son fameux whisky.
- « Je n’ai jamais, ô grand jamais affirmé que c’est mauvais. Seulement, il faut être habitué à en boire pour aimer en recommander. » Lui tendant son verre, il patiente, la jauge et se met à rire à sa réaction. « Je t’avais prévenu ! » Il conclut en continuant de rire, légèrement, pour lui offrir une autre serviette tandis qu’elle revoit sa commande et qu’il ajoute, à l’égard du serveur : « Un deuxième, je vous prie. » Car il ne compte s’arrêter à un seul verre, ce soir.

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Je n'étais pas sûre de trouver compagnie ici en venant mais je ne pensais pas non plus tomber sur Ezekiel, je le connaissais que très peu mais assez pour venir à lui et le considérer comme mon sauveur, bon d'accord que l'embrasser c'était peut être un peu trop en sachant qu'on était encore que des connaissances qui avait discuté quelques fois ensemble mais assez intimement pour savoir qu'il était malade. Ce soir je n'étais pas ici pour parler de chose triste et à en voir sa tête il en avait pas envie ni besoin du coup je préférais m'en tenir à discuter avec lui une fois mon jeu d'actrice terminé, toute façon le mec était parti donc plus besoin de jouer. "Oui, tu as le profil parfait du sauveur des demoiselles en détresse." Je lui souriais mais quand il évitait ma question il titillait ma curiosité. "Comment ça t'apporter des problèmes?? Pourquoi??" Pour le coup je ne comprenais vraiment pas, j'espérais qu'il me donne des explications et je ne lâcherais pas l'affaire avant de comprendre ce qu'il voulait dire par là. Par la suite je commandais le même truc que lui sans savoir le goût que cela pouvait avoir, je buvais de l'alcool en soirée, souvent, alors je me disais que cela ne devait pas être mauvais mais quand il me donnait son verre pour goûter ma réaction ne ce fit pas attendre et je recrachais le tout dans une serviette. "Pour le coup je trouve ça très mauvais." Je grimaçais et j'attendais à présent ma commande que je venais de modifier et très rapidement elle arrivait et je bus un verre de mon cocktail. "Voilà ça c'est meilleur."

@M. Ezekiel Emerson

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@Bianca M. Almeida

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Les insomnies ainsi que la douleur planant « au-dessus » de son palpitant l’empêchaient non seulement de parvenir à ne plus réfléchir, mais aussi à dormir et c’est pour cette raison que le professeur arpente souvent les rues, le soir, afin de trouver un endroit où crécher. Un comme ce dernier puisqu’il peut décemment succomber à l’un de ces vices : l’alcool. Car il apaise sans mal ses maux et il n’a besoin que de cela, l’adonis aux origines italiennes. Seulement, il pensait se retrouver seul durant un certain laps de temps, et non rejoint par une étudiante qu’il a croisé à quelques reprises. Néanmoins, souffrant à cause de sa pathologie, il lui en a fait part lors de l'une de leurs conversations et depuis, elle est l’une des seules à détenir son secret entre "ses mains". Car elle pourrait le faire savoir à tous, en parlant de çà et là, dans des endroits publics où de nombreuses personnes pourraient l’entendre. Seulement, assez étrangement, il se dit pouvoir lui faire confiance.
- « J’ose espérer que ce n’est pas ironique de ta part. » Ezekiel répond, le regard rieur, bien qu’il trouve cela navrant d’agir ainsi. A-t-il trop bon cœur ? L’homme est las de ses nombreuses faiblesses et il préférait être dur, sans ressentir le moindre sentiment, ni ressentiment, le fait est qu’il en est tout bonnement incapable. Avalant une gorgée de son whisky single malt avec amertume en y songeant, il fixe miss Almeida quand elle l’interroge au sujet de ses propos. « Il me semble que je suis relativement clair. » Il en fronce ses sourcils et la considère durant quelques secondes. « Si j’aime t’embrasser et que l’on recommence, je suis dans le pétrin, étant donné que tu es étudiante à l’université où j’enseigne. Il y a des règles, un règlement et il est très mal vu qu’un enseignant profite de sa supériorité hiérarchique afin de séduire une étudiante. Qu’elle soit dans son cours ou non. » Il y réfléchit et poursuit : « Il me semble. » Portant une énième fois son verre à ses lèvres et proposant à la belle brune de lui offrir un, le double diplômé d’Oxford lui propose de goûter à son Laphroaig quarante ans d’âge avant d’en commander un, puisqu’elle risque d’être surprise par sa saveur et il est bien placé pour le savoir.
- « Bianca, je t’avais prévenu. » Il laisse un rire s’extirper d’entre ses lèvres charnues. « Il faut apprendre à former son palais pour en apprécier la tourbe. » Penchant légèrement sa tête de côté, il la détaille puis en commande un second tandis qu’elle opte pour un cocktail. « Qu’est-ce donc ? » Il l’interroge, son nouveau verre présent sur la table base et auquel il ne porte pour le moment le moindre intérêt. « Qu’aimes-tu boire, Bianca ? » Ses iris saphir pénètrent les siennes et il patiente, attend une réponse de sa part.

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Je n'étais pas du genre à parler d'autres personnes sans leur présence, je n'aimais pas parler sur els absents mais autant dire que parler en règle générale j'avais du mal, j'étais très sociable mais seulement avec les gens que je connaissais et parler de la vie privée des autres n'étaient pas mon truc alors son secret était bien garder avec moi même s'il ne m'avait pas signifier que je devais garder ça pour moi. Le secret médical c'était presque pareil et là c'était son soucis de santé en aucun cas je viendrais à en parler à une autre personne et même ce soir j'évitais le sujet, après tout je ne pense pas qu'il était là pour ça. "Non pas du tout pourquoi ça le serait." Par la suite je le questionnais et forcément le fait qu'il soit professeur et moi élève posait toujours problème je trouvais cela pourtant idiot comme principe, pourquoi deux personnes qui ce plaisent doivent ce retenir par rapport à leur statut mais bon je n'étais pas là pour le pousser à faire des choses qu'il ne voulait pas mais je pouvais toujours donner mon avis. "Je trouve ça idiot de s'empêcher de faire des choses agréable tout ça parce qu'on a pas le même statut et pourquoi ce serait le professeur qui abuserait de son statut d'ailleurs.." Je ne pouvais rien faire pour changer les choses mais je donnais mon avis et clairement je n'avais pas le même que lui là dessus mais je ne voulais as m'étendre sur le sujet, je venais à prendre sa boisson pour y goûter et j'étais surprise, j'en recrachais même avant de grimacer. "Je resterais au plus soft en fait." Je préférais partir sur beaucoup plus soft cette fois ci sans aucune goûte d'alcool alors oui j'étais surement hors sujet mais sa boisson m'avait refroidi et je préférais laisser couler un goût de fruit le long de ma trachée. "Jus de fruit, le basique en effet, je dois dire que je ne suis pas alcool, j'en bois à l'occasion de temps en temps, en soirée ou quand je suis en bonne compagnie mais c'est pas ce que j'aime le plus."

@M. Ezekiel Emerson

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