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ALEKSGIA ♕ So that's it, you go, you leave me.

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Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

C'est vrai qu'elle est prête à éclater la face d'une meuf en plein public et lui faire comprendre qu'elle arrête de jouer les allumeuses car elle ne m'aura pas car je suis à elle. Georgia est prête à tout pour moi, je le sais parfaitement, je suis moi-même prêt à tout pour elle. Elle comptait tellement pour moi, vivre sans elle c'est juste impossible, c'est la fille que j'aime le plus dans ma vie jusqu'à maintenant, elle a toujours été là pour moi, elle a toujours prit ma défense ou au contraire m'a remit les idées claires en poussant une bonne et forte gueulante pour que je réalise que j'ai fais une connerie. Elle savait tellement y faire avec moi, elle me connaissait plus que je ne me connaissais moi-même, je peux juste pas m'imaginer une seule seconde loin d'elle. Bizarrement je sens comme un un mauvais pressentiment, elle tira à moitié la gueule lorsqu'on venaient s'asseoir dans le canapé de ce grand salon, elle me tend cette lettre, je la lis, je lis chaque ligne, j'observe chaque mot, je ne veux pas y croire, elle part. Je ne voulais pas que ça arrive, comment j'allais faire sans elle bordel, je lâchais la lettre, je n'osais plus la regarder, sur le coup c’est comme si j'avais reçu un coup de poignard en plein cœur. Putain. je devrais être content pour elle, je devrais la serrer dans mes bras, l'envahir de câlins et de baisers, la féliciter, l'applaudir pourquoi pas mais non, rien de tout ça, je me contentais de me lever et de toujours déglutir face à ce que je viens de lire et pire face à ce que je viens d'entendre. Je.. mélange pas tout. sa main prenait la mienne, ses doigts s'entrelaçaient aux miens, elle ne voulait pas me quitter, elle s'était levée elle aussi, elle voulait qu je quitte la Russie avec elle, que je la suive mais c'était impossible, tout me retenait ici La loupe pas alors. Va y pars. je séparais mes doigts des siens, je m'écartais d'elle, j'avais trop mal là, je venais me poster devant cette grande cheminé juste en face, je posais une de mes mains sur le mur en brique et je plongeais mon regard dans ce feu qui braisait comme pas possible J'aurais refuser, juste pour toi si ça avait été le cas pour moi. j'avais beaucoup trop mal.
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with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
J'étais vraiment mal. J'avais peur surtout. Et lorsque je lui avais tendu la lettre, je tremblais légèrement. Je voyais ses yeux parcourir le papier ligne par ligne, son visage effaré. Je triturais mes doigts, ne sachant pas vraiment quoi faire. Tu parles d'une annonce toi. Alekseï laissa tomber le papier par terre et je baissais les yeux sur mes genoux. Ca allait commencer. Soit il allait me féliciter, soit il allait s'énerver et ne pas admettre que je partes. Et vu l'expression de son visage, j'optais largement pour le deuxième choix. Lorsqu'il prononça une vulgarité, je ne répondis pas. Je ne me sentais pas obligée de me justifier. Pour moi, c'était normal de vouloir se créer un bon avenir dans le domaine que l'on souhaitait. Lorsqu'il se leva, je me levais à son tour, déterminée à lui faire comprendre que j'étais obligée de partir. Si. Tu mélanges beaucoup de choses. Je choppais sa main dés que j'en eu l'occasion. Merde quoi. Prise d'un élan de sincérité, je lui fis part de tout ce que je pensais. Et au final, je lui proposais de partir avec moi ce qu'il refusa catégoriquement. Et faire changer Alekseï d'avis n'était pas facile, même pour moi. Ses mots me frustraient réellement. J'en revenais pas. Il jouait les gros égoïstes là. Je plissais les yeux, énervée à mon tour. Enervée de sa réaction. Et lorsqu'il lâcha ma main et qu'il s'écartais, je me sentie obligée de riposter. Bordel Alekseï, c'est aussi difficile pour toi que pour moi ! Je ne pensais aucun des mots que je venais de prononcer. Mais il l'avait cherché. C'était juste histoire de lui faire comprendre que son attitude ne m'aidait en rien. Je le regardais s'appuyer contre le mur, à coté de la cheminée allumée et je secouais la tête. Je repris un peu mon calme. J'en suis pas aussi sûre moi ... S'il te plait Alekseï, réagis pas comme ça ... j'pensais que ... que t'allais être fier de moi. Que t'allais me serrer dans tes bras. Mais au final, j'me suis trompée. Je déglutis, déçue et plutôt triste. Ca m'faisait mal au coeur. De me disputer avec et de m'imaginer sans lui à partir de la rentrée.
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Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

Je n'aurais jamais penser que ce moment arriverait un jour, sérieusement, pour moi c'était invraisemblable que Georgia et moi nous nous séparions, nous n'étions pas ensemble mais juste que je pouvais pas me voir sans elle et je savais que c'était réciproque pour elle. Elle me tend cette lettre, je la lis et je découvre son admission pour la plus grande et prestigieuse université du monde, Harvard, c'est clair, c'est une grosse claque dans la gueule là. J'aurais pu réagir bien autrement, j'aurais pu sourire, fondre mon regard dans le sien, la féliciter, la serrer dans mes bras, la combler de bisous et de câlins, j'aurais pu agir de la sorte mais ma trop grosse part d'égoïsme prenait vite le dessus et c'était une toute autre réaction que je prenais. je n'y arrivais pas à y croire, j'étais tellement stupéfait par cette annonce, que je me levais essayant de rester calme et de relativiser mais je n'y arrivais pas, juste cette idée de la voir à l'autre bout du monde, ça me tuais, sur le coup je savais plus quoi penser de tout ça et elle en venait elle aussi à se lever, prendre une de mes mains dans la sienne, elle voulait au moins que je lui dise que c'était ce qu'il fallait pour elle, c'est vrai et je ne dirais jamais le contraire, elle a travailler dur pour un tel résultat et cette lettre, ça en est le prix mais je ne veux pas passer au-dessus de cette fierté, surtout de cet égoïsme alors que je sais pertinemment que c'est ce qu'il lui faut. Arrête Georgia.. elle me disait tout ce qui lui passait par la tête, elle voulait vraiment me faire entendre raison mas j'étais du genre plus que têtu et même elle, n'arriverait pas à me faire changer d'avis, je veux dire par là, je reste en Russie, je ne viens pas avec elle, j'ai tout ici, elle ne doit pas comprendre mon choix vu la façon dont son regard fixe le mien. J'avais céder au calme sur le coup, penser à tout ça, ça m'avait mis sur les nerfs, je lâchais sa main, je me décalais, lui disant qu'elle pouvait partir, dit sur un ton arrogant et je-m’en-foutisme, je ne voulais pas qu'elle parte putain. Pardon ? Je m'étais appuyer contre le mur de la cheminée, je ne savais vraiment plus ou mettre la moindre pensée, je lui disais quand même, j'aurais refuser pour rester prêt d'elle si cette lettre m'aurait été destiné, elle ne le croyait pas, elle avait raison, c'était une pensée égoïste.Je l'entendais parler, je fermais les yeux, elle avait raison, je ne devais pas réagir comme ça, je me retournais Je suis fier de toi. je ne la regardais pas dans les yeux mais je n'en restais pas moins le plus sincère du monde, malgré cette douleur qui me ronge de l'intérieur.
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with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
Il ne comprenait rien du tout. Il ne pensait qu'à sa petite personne, encore une fois. Il me décevait pour le coup. Son bonheur passait avant le mien, et ça avait toujours été ainsi. Par contre, lui, c'était son propre bonheur avant tout. Et ça me dégoûtait. Il ne pouvait pas être content pour moi dans un premier temps, me serrer dans ses bras ? Apparemment non. Il voyait tout de suite les inconvénients. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il pensait qu'il était le seul à qui mon départ allait faire du mal. Il se trompait sur toute la ligne. Non j'arrêterais pas. Il pouvait toujours rêver. Qu'il me vire de chez lui s'il n'était pas content. J'étais obstinée à ce qu'il pige que je n'avais plus le choix. Si je voulais avoir un bon avenir, je devais partir, c'était comme ça. Mais je le connaissais, mieux que personne, et ça allait être difficile de lui faire enlever ses idées de la tête. Je commençais sérieusement à m'énerver. J'haussais le ton de ma voix, sur les nerfs. Il s'éloignais de moi et s'en allais vers la cheminée. Il m'exaspérait. T'as très bien compris Aleks ! T'es là, à penser qu'il n'y a que toi qui va souffrir de tout ça ! Tu crois vraiment que je vais partir avec le sourire aux lèvres ? Tu crois que je serais heureuse une seule seconde ? Cette situation me touche autant que toi, peut-être même plus bordel ! Ne me sors pas que tu serais resté à ma place parce que personne ne saura jamais ce que tu aurais vraiment fait ! Je sentais mes yeux s'humidifier, les émotions étaient bien trop fortes. T'es la personne que j'aime le plus sur cette foutue planète ! Alors ne penses pas que je pars et que je m'en fiche de toi ! Si je pouvais rester, je le ferais et tu le sais ! Je repris ma respiration avant de me laisser tomber sur le sofa. Ca, c'était dit. Je relevais simplement les yeux lorsqu'il me dit qu'il était fier de moi. J'étais terriblement vexée par son attitude. Si tu l'étais vraiment, ça aurait du être la première phrase que t'aurais dû me dire. Je déglutis en reprenant mon calme. Tu parles d'une soirée toi. Super. J'aurais tellement aimé que tout ça se passe autrement. Tellement.
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