Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityALEKSGIA ♕ So that's it, you go, you leave me.
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


ALEKSGIA ♕ So that's it, you go, you leave me.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

J'y pensais encore, quel connerie, pourquoi je suis sortis avec, pourquoi j'ai couché avec, pourquoi elle est tomber enceinte, Natalya, cette meuf à su me prendre de court, elle a bien réussit son coup, je ne m'attendais pas à 18 piges à être père. Je lui ai dis ma façon de penser, ça fait quoi un ou deux mois que je lui ai dis les quatre vérités, je m'en rappelle encore, juste devant le lycée, elle vient m'annoncer qu'elle est enceinte alors que ça fait deux semaines qu'on est plus ensemble, je ne voulais plus entendre parler d'elle, elle pouvait faire une croix sur moi, définitive mais je lui demandais une chose, une seule chose, qu'elle ferme sa gueule que cela reste entre elle et moi mais non il a fallut qu'elle ouvre sa gueule à ses parents, les filles, elles savent pas la fermer. Je remercie mes parents, ils ont achetés leurs silences, à ses parents, à elle, j'ai eu peur, vraiment, c'est l'image de ma famille, ma dignité, ma fierté, l'honneur et tout ce qui va avec, j'ai eu un bon sermon de mon père, de ma mère, je l'ai surement mérité, même ma meilleure amie m'a fait la morale, je n'échappe à rien. Je lui ai aussi dis pour Natalya, il y a une ou deux semaines de ça, elle l'a mal prit même si elle me la pas montrer, ça l'a fait chier mais je reste son meilleur ami, elle est là pour moi, elle prend mon parti, je l'aime. Ce soir elle vient à la maison, maison ? Palace ou manoir ou ce que vous voulez mais c'est bien plus grand qu'une maison, ma famille, sang royale, enfin il y a très longtemps de cela, plutôt de sang ducal disons, je ne suis que Baron de Russie, c'est déjà bien assez. On sonne enfin à la porte, je me précipite avant que la gouvernante aille ouvrir, c'est Georgia, c'est moi qui doit lui ouvrir, et elle est là, si belle, comme toujours, je souris Toujours aussi belle... кролик (lapine) oh oui elle l'était toujours, c'était Georgia voyons.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
Je redoutais ce moment depuis quelques temps déjà. J'allais avoir dix-huit ans dans un moins d'un mois maintenant et j'avais reçu ma lettre d'admission à Harvard dans la journée. J'avais eu un peu de mal à y croire au début mais pourtant tout était bien réel : je ferais ma rentrée de septembre à l'université d'Harvard. J'étais heureuse. Ma famille était fière de moi, mon père, surtout. Il avait toujours souhaité les meilleures institutions pour moi et Harvard était l'une des meilleures voir la meilleure au monde. Mais cette nouvelle vie qui s'annonçait avait des inconvénients. J'allais partir de Moscou, j'allais devoir quitter ma famille, mes amis. Et j'allais devoir quitter Alekseï, mon meilleur ami. Tout de suite, c'était moins drôle. Alekseï, c'était une grande partie de ma vie. Et l'idée de partir loin de lui et sans lui m'effrayait beaucoup. Il n'était pas encore au courant de mon admission à Harvard puisque j'avais reçu la lettre aujourd'hui. Il allait être le premier de mes amis au courant. Et le connaissant, je redoutais sa réaction. Ce soir, je me rendais chez lui, un peu comme à mon habitude. Il était un peu tard mais qu'importe, il était habitué à ce que je me pointe à n'importe quelle heure. Mon père avait décidé de m'emmener - je passais le permis dans quelques semaines - et dans la voiture, il était de bonne humeur. Il était content pour moi, ça se voyait rien qu'à son sourire. Une quinzaine de minutes après être partis, nous arrivions devant le château-palais-grande baraque de la famille Ivanovitch. Alekseï n'était pas le baron de Russie pour rien hein. Je m'avançais vers l'entrée, le coeur battant, mes cheveux légèrement en bataille à cause du vent. Et merde. J'appuyais sur la sonnette et déglutis. Quelques secondes aprés, la poignée s'abaissa et le visage d'Alekseï me fit sourire. Et tout de suite, il me complimenta. Je m'avançais, toute contente, et lui sautais dans les bras. T'est trop mignon, lui dis-je en lui collant un bisou sur la joue, j'arrive un peu tard, désolée ... Ca va toi ? J'enlevais ma veste et l'accrochais au porte-manteau et posais mon sac à main à l'entrée. Je faisais comme chez moi ici, c'était un peu ma deuxième maison.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

J'ignorais que dans les heures qui allaient suivre, ma vie allait changée, pour tout dire je n'aurais pas penser qu'une telle chose arrive, je pensais égoïstement sur ce coup, comme je l'ai toujours fais mais j'avais besoin d'elle. Voir ma vie sans elle c'était juste impossible, elle était ma meilleure amie, la fille que j'aimais le plus, ma russe, ma beauté fatale, ma Georgia et je ne m'attendais pas du tout à la voir quitter la Russie pour un autre pays. Je sais que Geogria va venir ce soir, c'est venu comme une habitude, ici c'est sa deuxième demeure, et dès que j'entends sonner à la porte, je vais ouvrir, excité de la voir. Elle se tient devant moi, je souris, je la complimente, elle me saute dans les bras Comme toujours je ris légèrement la laissant entrer et savourant ce baiser sur la joue qu'elle m'offre, une fois qu'elle à poser sa veste et son sac à main je viens lui tendre mon bras, c'est une habitude aussi chez nous, toujours dans les bras l'un de l'autre T'en fais pas. Ouais ouais ça va, j'essaye juste de ne pas penser que j'ai un gosse m'enfin... et toi alors ? je dépose mes lèvres sur sa joue, marchant à côté d'elle dans le grand salon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
A chaque fois que je voyais Alekseï, j'étais contente. Il avait ce don de me faire sourire et de me mettre de bonne humeur. C'était mon meilleur ami, mon petit chat, mon petit soleil dans l'obscurité. On formait la paire. C'était la seule personne qui me connaissait vraiment, qui me comprenait mieux que tout les autres. Et c'est pour ça qu'à chaque fois que j'étais avec lui, je me sentais bien. Comme toujours, comme toujours, ... j'suis pas sûre moi, dis-je en le taquinant alors que je passais le pas de la porte, non j'déconne mon chat. Je lui collais un bisou sur la joue et retirais ma veste. Il faisait carrément plus chaud chez lui que dehors. Lorsqu'il me tendit son bras, je le choppais immédiatement, me collant tout contre lui. Je ne faisais même plus attention à la luxure de la demeure des Ivanovitch. J'y venais tellement souvent que ça me paraissait banal maintenant. Ses autres amis resteraient bouche bée, je suis sûre. Ah ouai, je l'avais oublié celui-là. Natalya et le bébé qu'elle portait m'étaient complètement sortis de l'esprit. Je me tordais les lèvres. Il avait été con sur ce coup-là. Et puis la paternité c'était vraiment pas son truc. Je te comprends ... Mais fais-moi plaisir, essaie de zapper un peu ça ce soir ... Je souris encore un peu plus lorsqu'il m'embrassa la joue aussi. Bon sang, et dire que dans quelques semaines il ne pourra plus m'embrasser comme ça. Lorsqu'il me demanda si ça allait, je plissais les yeux. Et merde ... Hum, commençais-je en cachant un peu ma voix, ça va oui ... Bon, allez, il fallait que je lui dise. Plus tôt c'était fait, mieux c'est. Je l'entraînais jusqu'à son immense salon. On peut s'asseoir deux minutes ? J'ai un truc à t'annoncer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

C'était toujours la même chose, dès qu'on se voyaient, sourire automatique sur les lèvres, elle me rend tellement heureux, je sais que c'est réciproque, c'est juste ma meilleure amie, la seule qui me connait vraiment par cœur, elle sait ce que j'aime, ce que je déteste, elle connait mes habitudes, je suis un livre ouvert pour elle, encore une fois la chose est réciproque pour elle. On va demander aux pétasses qui scouates les chiottes du lycée et on va voir ce qu'elles vont dire oui en gros j'avais baisé chacune de ces pétasses, Georgia le savait, tout le monde le savait et là, je la taquinais comme elle venait de le faire avec moi. Ses lèvres sur ma joue, je ne pouvais que sourire, elle se dévêtit de sa veste et posait son sac sur le meuble juste à côté de la porte d'entrée, je lui tendis mon bras, elle passait le siens dans le mien et nous voilà partit vers le salon. Ouais.. l'histoire avec Natalya datait mais pas celle du bébé, je l'avais mise enceinte, Georgia était au courant et elle aussi m'avait clairement dit que j'avais fais le con Oui t'en fais pas, j'ten parle pas de toute la soirée Gia.. je portais mes lèvres sur sa joue à mon tour puis c'était à mon tour de lui demander si tout allait bien, vu son regard, quelque chose n'allait pas, ou la tracassait, je le savais sans même rien dire Oulà... bizarrement j'le sens pas.. on passaient les portes de ce grand salon puis on venaient à s'asseoir sur le canapé Va y crache le morceau.. 'étais sérieux, je ne la quittais pas des yeux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
Demander à toutes ces filles qui ont le feu au cul et avec qui il couchait sans s'en cacher ? Pourquoi pas. J'en profiterais pour leur faire comprendre qu'il était à moi, comme ça. Elles allaient pas être déçues. Quand tu veux. De toute façon, tout le lycée savait que la fille qui essayait de me prendre Alekseï, je lui faisais la misère. Y'en avait certaines qui avaient du mal à comprendre ça, qui essayaient de se rapprocher de lui en espérant prendre ma place. Elles étaient pitoyables. Mais qu'importe. Nous en venions à parler du bosse qui étaient censé naître dans quelques mois et dont le père était mon meilleur ami ici présent. Bon sang ... J'imaginais même pas Alekseï père. C'était pas son truc, je le connaissais. Mais ça le tourmentait énormément, ça se voyait et ça surtout, ça se ressentait. T'es le meilleur ... Il me fit un bisou à son tour et je lui souris, contente. Il me demanda si ça allait ce soir, et tout de suite, je me sentis obligée de parler de mon admission à Harvard. D'un seul coup, mon sourire se fit moins grand, plus en coin. Si, si, affirmais-je en lui souriant à nouveau un peu mieux, ça va. Sans vraiment attendre plus longtemps, je l'embarquais avec moi jusqu'au canapé du salon. Il fallait que je lui dise. Il devint tout à coup sérieux. Je déglutis. J'ignorais comment m'y prendre. Au fond de moi, je savais qu'il n'allait pas être entièrement ravi pour moi. Hum ... Je me redressais un peu afin de fouiller dans une de mes poches arrières de mon jean afin de prendre la lettre. Je déglutis à nouveau en baissant les yeux dessus. Je les relevais presque immédiatement et lui tendit la lettre pliée plusieurs fois. J'ai reçu ça toute à l'heure. Je fixais Alekseï des yeux alors qu'il commençait à lire la lettre. Je triturais mes doigts, un peu stressée. Je pars dans environ un mois ... une fois que j'aurais le permis. J'attendais sa réaction. Mais son expression ne présageait rien de bon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

[color=#3685c9]Je sais que t'es prête à toute pour me garder, c'est trop mignon./color] je rigolais légèrement, j'aimais bien la taquiner avec ça, je savais que c'était vrai, qu'elle ferait tout pour me garder, j'étais à elle comme elle à moi, point barre. Elle l'avait montrée je ne sais combien de fois au lycée, il ne fallait pas me toucher ou la tempête russe se déchaine, c'est aussi le cas pour moi, le premier qui lui fais les beaux yeux, se retrouve la tête encastrée dans le mur, pas touche à ma Georgia, moi aussi je lui es montré je ne sais combien de fois qu'elle était à moi. Je venais à parler du gosse, mais je vis bien qu'elle ne voulait pas en parler alors j'allais sauter le sujet pour ce soir, je voyais bien qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas Et toi la meilleure lui répondis-je après avoir déposer mes lèvres sur sa joue, je savais bien que quelque chose clochait mais elle affirmait que non, pourtant je la connaissais ma russe, il y avait quelque chose, elle avait peur, c'est tout. On passaient les portes du salon puis nos culs venaient se poser sur le canapé et là elle me crachait ce qu'elle avait eu peur de me dire, je lisais la lettre qu'elle m'avait tendue il y a quelques secondes, putain je le croyais pas, elle était admise à Harvard, à l'autre bout du globe, pire elle me disait qu'elle partait dans environ un mois Non... je lâchais la lettre par terre, je hochais la tête de gauche à droite, je ne la regardais plus Je veux pas. T'as pas le droit d'me faire ça. je me levais, je la regardais T'as penser à moi ? la question qui tue.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
Je déglutis. Evidemment que j'étais prête à tout. [i]Prête à tout, sauf à renoncer au brillant avenir qui s'offrait à moi. Réaction certainement logique ou égoïste, j'en savais rien. Je lui souris, un peu déboussolée. Du moment que tu le sais, c'est le principal. Et dans notre lycée, il n'y avait pas que lui qui le savait. Tout le monde était au courant que nous étions inséparables, qu'il était à moi. Bien que quelques inconscientes ont tenté de me l'arracher. Depuis que je suis venue les voir, elles avaient plutôt bien compris leur leçon. Nous en venions à parler d'une fille en particulier et de la situation dans laquelle elle avait mis Alekseï. Il s'était mis dans une merde monumentale en couchant avec cette Natalya et en la mettant enceinte. Cette histoire le tourmentait, même si il n'osait pas le montrer. Je le connaissais assez bien pour l'avoir deviné. Lorsqu'il me dit que j'étais la meilleure, il colla ses lèvres sur ma joue ce qui m'arracha un nouveau sourire. Je n'osais plut trop parler. Je commençais à flipper. Je devais tout lui annoncer, maintenant. Déglutissant plusieurs fois de suite, je l'invitais à s'asseoir sur le canapé de son salon. Et une fois que nous étions au calme, face à face, je lui tendais la fameuse lettre qui allait sûrement choquer Alekseï. Alors qu'il la lisait, ligne par ligne, je lui indiquait que je partais dans un mois environ. Je n'avais pas encore fixé de date. Et ce que je redoutais arriva. Il laissa tomber la lettre qui atterrit sur le sol, son visage complètement froid. Il ne me regardait même pas. Et merde. Je baissais les yeux sur mes doigts. Si j'avais le choix, tout serait différent ... Mais là j'ai pas le choix Aleks ... Il se leva d'un seul coup. Il était énervé, je crois. Ou dégouté, j'en sais rien, j'avais pas la tête à analyser son visage. Moi, je restais assise, en levant les yeux vers les siens. J'ai pensé à toi toute la journée Aleks, j'ai essayé de trouver une solution pour que l'on reste tous les deux, j'ai essayé ... Mais je suis obligée de partir. Je ne peux pas laisser passer une opportunité pareille. J'ai travaillé dur pour être admise là-bas. Je me levais à mon tour et lui prit la main, doucement. J'avais peur qu'il m'envoie bouler. Le seul moyen pour que l'on soit ensemble ... c'est que tu partes avec moi ...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aleksgia

So that's it, you go, you leave me..

J'étais vraiment content qu'elle soit ici, bon ok on se voyaient tous les jours au lycée, toutes les heures même mais je sais pas, je pouvais pas me passer d'elle, c'était ma meilleure amie, cette autre partie de moi. Je peux pas dire mieux là. je lui souris, c'est vrai qu'elle était prête à toi pour moi, et ça me touchait vraiment qu'elle me le dise, même me le montre, en privé comme en public, je ne sais plus combien de filles ou même de mecs elle a envoyée chier, c'est que quand quelque chose est à elle, c'est à elle, je suis à elle, pas touche ou je mords, elle hésite pas à montrer ses crocs. Je crois que là, elle a vraiment envie de montrer les crocs à Natalya, cette ex que j'ai mise enceinte, ouais Georgia m'a fait une belle morale, j'ai fais le con c'est sur mais je ne peux pas garder ça pour moi, je suis obligé d'en parler avec elle, on se dit tout putain, elle me connait plus que je ne me connais et l'inverse pour elle, on se connait mieux l'un vis-à-vis de l'autre que nous-même, ça n'a surement pas de sens mais c'est réel, elle était vraiment la meilleure quoi, me passer d'elle jamais. Mais je crois que j'allais bien vite me séparer d'elle, son sourire disparut, elle baissait la tête alors qu'on s'étaient assis dans le canapé, elle me tend cette lettre, je la lis, je déglutis, je n'y crois pas. Elle est admise à Harvard, c'est ce qu'elle à toujours voulu, je le sais et je devrais la serrer dans mes bras, la féliciter mais non, ce n'est pas ce qui se passe, je lâche la lettre, je n'ose plus la regarder, elle vient de me foutre la plus grosse claque que j'ai jamais eu juste en m'informant de ceci. On a toujours le choix... toujours. elle n'a pas le droit de m'abandonner, non je veux pas, c'est pas possible, tellement de temps passés ensemble, c'est comme si tout venait à s'écrouler juste en lisant ces quelques lignes et pire lorsqu'elle m'annonce d'une petite et faible voix qu'elle part dans un mois ou un peu plus. Je me lève, elle a vraiment penser à moi ? Elle me dit que oui, qu'elle n'a pas arrêter, je la crois mais je ne veux pas Entre des études et ton meilleur ami.. tu choisis les études. elle se levait, elle prenait ma main, je levais les yeux vers elle, plongeant mon regard dans le sien et ce qu'elle me disait me choquait, vraiment . Je veux pas partir. J'ai tout ici. je ne voulais pas partir, elle n'avait qu'a rester mais son choix était déjà fait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
with Alekseï ✈ so that's it, you go, you leave me
Je sais ! J'éclatais de rire. Au moins, il savait que j'étais prête à tout pour lui. Tant que cette notion sera encrée dans sa tête, je vivrais sereinement. Il ne douterait pas de son importance à mes yeux. Et d'ailleurs, ça pouvait même m'aider à lui annoncer mon départ. Je n'avais pas été en difficulté devant quelqu'un depuis longtemps. Je l'étais même avant de lui demander si nous pouvions nous asseoir dans le canapé de son immense salon. J'avais peur mais j'essayais de ne rien montrer. Cacher ce que je ressentais était l'une des choses que je réussissais le mieux. Mais je n'allais pas rester comme ça cent sept ans. Le moment allait arriver où Alekseï va deviner facilement qu'il y a quelque chose qui cloche. Et c'est ça que j'appréhendais. D'ailleurs, lorsque nos fesses se posèrent sur le canapé, il se rendait compte que quelque chose n'allait pas. Je priais pour qu'il ne s'énerve pas. Stressée, anxieuse, je lui tendis la lettre d'une main presque tremblotante. Histoire qu'il se rende compte de la situation, je lui annonçais que je m'en allais dans environ un mois. Pour un an, au minimum. Et sûrement plus. Le visage d'Alekseï ne mit pas de temps à se décomposer alors qu'il lisait le texte ligne par ligne. Merde. J'inspirais profondément alors qu'il laissa la lettre s'écraser sur le sol luisant de son salon. Maintenant que je suis admise là-bas, non, je n'ai plus le choix. Comme si j'allais renoncer à la meilleure université du monde alors que j'y suis admise d'entrée. Je déglutis. Alekseï se leva d'un seul coup en me demandant si j'avais pensé à lui. Quelle question. Il m'énervait. Il devrait être un minimum content pour moi au lieu d'être égoïste, à ne penser qu'à sa belle gueule. Moi aussi, j'aurais aimé le choisir. J'aurais tellement aimé. Parce que ça ne te parait pas logique ? Mon avenir n'est pas important à tes yeux, c'est ça ? Tu préférerais que je gâche toutes ces années où j'ai bossé comme une dingue en refusant mon admission ? J'voudrais bien savoir ce que tu ferais à ma place. Je me levais et lui pris directement la main. Je ne voulais même plus la lâcher. Le seul moyen pour que nous restions tous les deux, c'était qu'il vienne avec moi. Il n'y avait pas d'autre solution. Mais il n'hésita même pas avant de refuser. Moi aussi, j'ai tout. Je t'ai toi Alekseï. Ca me fait un mal de chien de m'imaginer partir. T'es tout pour moi ... t'es tout. J'sais pas si tu t'en rends compte. J'me vois pas sans toi et ça m'tue putain. Mais j'peux pas louper une occasion pareille ... Je le regardais droit dans les yeux. Ca m'faisait mal au coeur de l'entendre dire des choses pareilles. Vraiment.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)