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in de semaine annoncée plutôt calme de son côté, l’asiatique avait émis l’hypothèse à son valet de partir à l’étranger, regagner les contrées ensoleillées pour vingt-quatre heures et en profiter pour saluer de vieilles connaissances présentes sur place. Mais pas avant d’avoir la confirmation que cette escapade aux pays du flamenco pourrait nuire à son image et à celle de l’agence qu’il est censé représenter. Alors sans rien dire aux autres il s’est lui-même chargé des modalités pour prendre le dernier vol vendredi au plus tard dans la nuit. Pendant plus de dix heures il a traversé l’Atlantique pour atterrir en début d’après-midi. Séville… Difficile pour l’asiatique de se faire comprendre dans un premier temps, sans personne pour l’aiguiller ni même l’accueillir. C’est par ses propres moyens qu’il a été jusqu’aux studios où les séances sont censées se dérouler, étant presque rejeté par la sécurité avant d’être reconnu par l’un des cadreurs qui passait par chance dans le hall d’entrée. Se portant garant pour le mannequin aux traits bridés, ce dernier l’a gentiment conduit vers le studio où les cours de flamenco vont débuter. « Vraiment ? » Souriant bêtement, il est surpris de la tournure des évènements parce qu’il n’était pas du tout au courant du contenu de cette publicité. La porte s’ouvre sur un plateau qui ressemble trait pour trait à une salle de danse où une vieille professionnelle doit lui apprendre à bouger, la matriarche vêtue d’une robe traditionnelle. Un peu en retrait, c'est toute une équipe qui s’affaire avant de reprendre l’enregistrement, apportant quelques derniers conseils à leur nouvelle protégée. La main s’arrimant fermement à la sangle du sac qui lui cingle l’épaule, il observe la scène se dérouler et ne s’approche qu’une fois Haiwee de nouveau face aux caméras pour aller saluer le producteur. Les deux se connaissent depuis longtemps alors sa mésaventure du rez-de-chaussée du premier fait rire aux éclats le second forcément. « Tu me l’aurais dit que tu passais… » Sauf que l’Adams est connu pour son imprévisibilité. « Elle se débrouille comment ? » Naturellement, l’amérindienne devient leur centre d’intérêt, les deux hommes l’observant sans la quitter des yeux une seule seconde.« Ce soir elle danse dehors avec les figurants, alors… » L’américain la scrute et détaille chacun de ses faits et gestes avant d’hocher de la tête par la positive, une moue plutôt satisfaite de ce qu'il entrevoit. « Ça devrait l’faire. »
MADE BY @ICE AND FIRE.
(Sheng Lao Xian)
Shut the door, Dim the lights. Your body's warm And it's so cold outside. Take off your clothes, Close your eyes ━ ━ ━
We'll be in hell tomorrow. But, we are...
heavenbound tonight ∇
Wendy Witter est on fire
Haiwee Wind River a des feels