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que vois-je ?

@Esteban J. Quesada
31.10.2022, au soir
boston, labyrinthe effrayant


Mon premier Halloween aux États-Unis. En France aussi on le fête mais elle n’a pas la même importance qu’ici. Chez nous, c’est du porte à porte pour que les gosses puissent se gaver de bonbons. Ici, c’est une véritable tradition, les rues sont toutes en fête pour l’occasion, et pas que des petites décorations, il y a vrais œuvres d’arts. Je t’avais envoyé un message, dans l’idée peut-être de prendre Tillie pour aller faire le tour des maisons, j’avais même prévu un déguisement pour l’occasion, celui de Sally, de l’Etrange Noel de Monsieur Jack. J’aime beaucoup ce film d’animation en cette période. Même si certains le regarde plus pour Noël qu’Halloween. C’est un choix. Au final, Tillie le fait avec ta famille, ce qui est normal en soit. Mais le manque ce fait clairement ressentir, le manque de toi, et de tes bras. De ton odeur, de ton sourire, de tes mains sur ma peau. L’absence est encore plus dur que tout ce que je pouvais imaginer. Quinze jours que je prend sur moi. Une chance encore qu’il nous reste le téléphone, et encore ce n’est pas simple avec le décalage horaire. Pourtant, il va falloir que je m'habitue, il me reste encore quinze jours à tenir avant de te retrouver, de te sauter dans les bras, t'embrasser tes lèvres. Depuis, je me suis jetée à corps perdu dans mon stage qui se déroule, faisant même plus d’heures que nécessaire. La meilleure façon d’oublier ton absence. Je décide tout de même de me préparer dans ce costume, je voulais le faire dans la coutume locale. Une robe effet patchwork, un teint pâle, une cicatrice dans le cou. J’ai juste gardé mon long cheveux blond que j’ai lissé. Parti dans l’optique de voir du monde, peut être de faire des connaissances. Satisfaite de ce que je vois dans le miroir, direction le fameux labyrinthe fait pour l’occasion dans un terrain vague. En prime ce soir, le brouillard décide de se mêler à la soirée pour une ambiance encore plus glauque. Certains sont déjà en train de se questionner sur du gauche ou droite. Je me lance dedans quand on me touche l’épaule. Sur mes gardes depuis déjà quelques minutes, je me retourne le poing en avant, criant aussi fort que mes poumons le permettent.
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Outfit. Quinze jours que tu avais quitté le sol américain pour rejoindre l’Égypte, l’Afrique. Un continent totalement différent, l’ambiance, la température, rien à voir avec ce que tu connaissais. Il est vrai que tu aimais tes études pour ça, des stages si enrichissants, malgré le fait que tu devais laisser ta fille et ta femme pour un mois. Du moins, c’était ce que tu avais sur le papier, mais ton responsable t’avait demandé de rentrer, pour faire deux semaines de bureau, histoire de saisir absolument toutes les découvertes et mettre à jours les dossiers. Ça ne te dérangeait pas, ça te permettait de faire autant du terrain que du bureau, tu voyais vraiment tous les aspects de ce métier. En plus, le fait de retourner au bureau, voulait dire que tu rentrais à Boston pour la fin de ton stage. Tu allais rentrer pile pour les festivités, c’était Halloween et tu aurais été dégouté de louper tout ça. Tu avais gardé tout ça secret, tu savais que Maxyne avait prévu d’y aller étant donné qu’elle avait demandé pour ta fille. Mais pour lui faire cette surprise, tu avais dit qu’elle le faisait avec ses grands-parents, chose qui était juste d’un côté. Til aurait très bien pu le faire avec Maxyne, elle aurait été aux anges, ça sera pour une prochaine fois. Ta fille n’était pas au courant que tu rentrais, seulement tes parents, tu la retrouverais le lendemain, car ton avion arrivait pile pour le trente-et-un, elle était déjà dans sa bulle et son déguisement. Tu n’avais pas envie de bousculer tout ce qu’elle avait déjà prévu dans sa petite tête. Tu avais juste demander des photos de ce petit monstre. C’était le premier Halloween qu’elle allait faire sans toi, ça te faisait un peu étrange, mais c’était ainsi. Heureusement, tu avais quelques heures devant toi, tu avais demandé à une ami de te maquiller, tu lui avais bien évidement laissé quelques billets. Tu lui demandais quelques choses d’assez imposant, tu ne voulais pas forcément être reconnu directement, une fois terminé, tu enfilais des vêtements classiques, jean noir et t-shirt noir et veste en cuir. Tu avais demandé à ta belle de t’envoyer des photos, ainsi tu connaissais son costume et tu lui avais demandé où elle comptait se rendre, histoire de connaitre sa localisation. Elle s’embarquait seule dans le labyrinthe, courageuse, tu la suivais, dans un silence plat. La fatigue était présente, mais pour ce soir, tu ferais le nécéssaire pour rester éveillé. Le brouillard qui se levait, ça ne donnait pas envie de continuer, mais tu te dépêchas de la suivre pour soudainement poser sa main sur son épaule. Elle se retourna vivement, te menaçant du poing et hurlant de toutes ses forces. Tu ne pouvais pas te retenir de rire, l’action était magique. Pourtant tu ne décrochais aucun mot, ne voulant pas qu’elle te reconnaisse directement. Tu restais planté devant elle, comme un zombie ou surtout comme un homme complètement cinglé.
@Maxyne C. Lurton
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Ce labyrinthe ne présage rien de bon, mais j’y vais je le lance. Et il faut dire que cette longue robe ne va pas m’aider dans cette affaire. J’ai juste anticipé le coup en mettant des baskets plutôt qu’une paire de talon. Si je dois courir dans ce terrain ça sera bien plus facile. C’est étrange d’être ici toute seule, je ne suis pas la plus rassurée, bien au contraire. J’ai l’impression d’avoir tous mes sens en ébullitions, l’oreille tendu au moindre craquement de branchement, les avants bras qui frissonnent au contact du vent froid, le regard qui se balade partout sans se poser à un point fixe. Putin, pourquoi tu n’es pas là ? Je serai bien plus rassurée avec toi à mes côtés. J’aurai pu proposer à Maxime aussi, mais je ne voulais pas l’embêter. Je ne suis pas la plus agréable à vivre depuis ton départ, un peu trop souvent morose. Je suis passée d’une femme indépendante, à une femme dépendante de ta personne. Les moments où je souris, c’est en lisant nos messages comme cet après-midi, avec des photos de ma tenue pour Halloween. Impatiente que tu rentres. Je sais que ce labyrinthe est peuplé de personnes déguisées, faites pour nous faire peur. Et c’est réussi. A peine quelques pas de fait dedans, je hurle comme pas permis. « LACHE-MOI !» retirant ta main de mon épaule. Mon poing n’atteint pas le visage de la personne que j’ai en face de moi, me rappelant qu’il y a un humain derrière ce maquillage. Je ne prête pas plus attention que cela sur le moment à la personne que j’ai en face de moi. Je t'entend juste rire en me fixant. Horriblement flippant. Je fini par tourner te tourner le dos sans le savoir, avançant, d'un pas décidé, et un peu plus rapide. Je ne sais même plus le chemin que je prend, si j’ai pris avant à gauche ou à droite. Tout ce que je vois, c’est que tu me suis, ignorant toujours qui tu es. L’adrénaline qui monte, la peur aussi. Une femme seule dans ce genre d’endroit, il pouvait arriver n’importe quoi. Je suis conne aussi d’être venue sans personne. « Tu veux quoi bordel ? Dégage ! » Le ton monte en te faisant face, mais en gardant une distance de sécurité suffisante. Je ne suis pas forcément une jeune femme vulgaire, mais je sens que ça pourrait arriver. Je fini enfin par m’attarder sur ce visage qui me fixe. Je deviens folle, j’ai tellement envie de que tu sois là pour me sortir de cette situation, que j’ai l’impression de deviner ton visage sur celui de l’inconnu en face de moi.
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Tu avais déjà tout prévu, tout était controlé à la minute près. Tu ne devais pas te louper si tu voulais faire la surprise de ton retour et lui faire peur par la même occasion. Tu ne comptais rien lui dire, juste lui demander comment se passait sa soirée, ce qu’elle comptait faire. Juste dans le but de la retrouver plus facilement car Boston ça restait grand. Tu n’avais pas toute la nuit devant toi pour la retrouver. Une fois le maquillage fait la tenue enfilée, tu avais mangé rapidement pour pouvoir la rejoindre rapidement. Tu lui avais dit pouvoir lui parler car tu ne travaillais pas ce jour, histoire d’être un peu plus logique par rapport aux autres jours. Elle s’enfilait rapidement dans ce labyrinthe, chose que tu ne ferais pas tout seul, c’était jamais le bon plan. C’était certain qu’elle allait tomber sur des gens, c’était ça le but du jeu, mais il fallait être cinglé pour aimer avoir peur. Tu le faisais tout simplement pour lui faire peur et la retrouver, et si besoin, la défendre. Tu marchais derrière elle, regardant les autres personnes aux alentours. Les déguisements étaient plutôt bien fait pour la plupart, tu ne reconnaissais personne. En même temps, ce n’était pas comme si tu connaissais la ville entière, peut-être qu’au file de la soirée, tu rencontrerais deux ou trois personnes. Tu venais de poser ta main sur son épaule et bien évidement, tu avais deviné d’avance sa réaction, sans penser qu’elle allait te coller un poing en plein figure. Heureusement, elle s’arrêta à quelques centimètres de ton visage, n’ayant pas eu le temps de reculer. Elle avait hurlé de tout ses poumons, mais personne n’y portait vraiment attention étant donné que c’était Halloween. Elle repartait de plus belle et tu la suivais, pour tellement lui flanquer la peur de sa vie. Même si dans le fond, tu n’allais pas faire durer ça éternellement. Tu n’avais pas envie de finir castré ou embarqué par les flics pour harcèlement où une connerie de ce genre. Elle se retourna pour t’hurler dessus une seconde fois, tu n’en pouvais plus. Eclatant de rire cette fois avant de souffler « C’est comme ça qu’on accueille son mec. » petit sourire sur tes lèvres, tu croisais les bras sur ton torse.
@Maxyne C. Lurton
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Qu’est-ce qui m’a pris de venir ici toute seule ? Une phrase que je me répète en boucle dans ma tête, de moins en moins rassurer par toi, l’inconnu encore, qui me suit Ton regard, j’aurai pu le reconnaître entre milles si je prenais le temps de te regarder. Sauf que la peur prendre le dessus, accélérant le pas entre les haies formant ce labyrinthe. J’y vois rien, hormis des étudiants qui courent, certains m’ont bousculé mais je n’en tiens pas rigueur. Il faut dire que je ne suis pas la plus attentive non plus au monde qui m’entoure. Je me focalise juste sur toi, et ce regard qui me glace le sang, ce sourire presque malsain. Un énième tournant vers la droite, l’impression de ne voir la même chose depuis tout à l’heure. L’adrénaline qui monte, un courage que je ne saurai même pas dire d’où elle sort, je me stoppe, déterminée à mettre fin à ce petit jeu qui ne me plait pas. Je ne sais pas qui tu es sur le moment, je veux juste que tu arrêtes de me suivre comme ça. Agressive dans le son de ma voix, te demandant ce que tu me veux. Je sais que je prend un risque, si tu étais un psychopathe par exemple. Après tout, on est aux Etats-Unis, un soir d’Halloween, tout est possible. Tu finis par éclater de rire, mon visage se ferme d’avantage. Qu’on accueille son mec ? Quoi ? Les secondes passent sans que je ne sorte le moindre mot. Impossible, tu es sensé être à des milliers de kilomètres de moi. Pour la première fois depuis l’entrée du labyrinthe, je te regarde. Tes yeux, ton sourire, ton rire. Mon cœur se sert, les larmes me montent aux yeux comprenant enfin. « C’est toi..» Je saute à ton cou en une fraction de seconde, la tête dans ton cou humant ton parfum qui me soulage l’esprit. Mes mains pressent tes joues, mes lèvres pressantes sur les tiennes, te montrant à quel point ton absence a été dur. « Qu’est-ce que tu m’as manqué !» Je ne suis pas une spécialiste pour parler de sentiments, jouant plus avec l’humour pour dissimuler la vérité, je ne le ferai pas là. Mes actes parlent d’eux même. Je refuserai presque de te lâcher si je n’avais pas envie de finir une chose. Je m’écarte, et le poing qui était dirigé vers ton visage finit dans ton épaule. Bien sûr, ce n’est pas ma force qui va te faire du mal. « T’as failli me faire mourir de peur idiot.» Me détendant, je fini par rire de ta connerie.
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Tu ne savais pas vraiment comment elle le prendrait, certainement à vouloir te tuer pour cette mauvaise blague. En même temps, tu te mettais un peu à sa place, ce n’était pas très agréable de se faire poursuivre par un cinglé, un soir d’halloween. Mais c’était tellement tentant, lui foutre la trouille. Grand gamin, tu ne changerais pas sur ça, au contraire, tu allais devoir te retenir de rire. Tu avais marché jusqu’à ce fameux labyrinthe, ne connaissant pas la sortie, c’était bon pour y rester une éternité. Au moins, ça t’éviterait de dépenser ton argent dans les conneries, alors tu marchais tranquillement derrière elle. Dans un premier temps en gardant tes distances et une fois bien avancé dans le labyrinthe, c’est là que tu commençais ton action. Lui faire peur, ça avait marché, elle avait hurlé tellement fort, qu’elle t’avait certainement tué les tympans ainsi que les vitres et miroirs aux alentours. Te décrochant un léger rire de satisfaction, tu essayais de garder ton sérieux, histoire de faire durer le suspens. Mais plus tu poussais la chose et plus tu remarquais qu’elle commençait réellement à prendre peur. Le but n’était pas de la terroriser à vie, alors tu arrêtas ton jeu, lui posant cette question fatidique. Alors oui, elle n’allait rien comprendre, tout chambouler dans sa tête et c’était également ton but. Tu avais pris ça que très rarement et tu avais voulu lui faire cette surprise, revenir à Boston pour Halloween et passer la soirée avec elle. Tu ne bougeais plus, croisant les bras sur ton torse, la laissant te regarder. Elle te sauta dans les bras, la récupérant avec un grand sourire. « Oui c’est moi. » ça te faisait du bien de l’avoir près de toi, de pouvoir la serrer dans tes bras. Tu avais l’impression que ça faisait une éternité que tu ne l’avais pas vu. « Tu m’as beaucoup manqué aussi. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu rigolais en écoutant ses paroles « J’avais bien remarqué. », la laissant te mettre un léger coup de poing dans l’épaule. Tu déposas tes lèvres sur son front. « Mais c’était tellement marrant de te voir comme ça. » petit moqueur que tu étais.
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Si je n’avais pas eu envie de découvrir les coutumes d’halloween aux Etats-Unis, je serai volontiers rester chez moi, devant netflix ou un film quelconque. Il faut dire que ces quinze derniers jours, je n’ai pas beaucoup mis le nez dehors. Parfois traîner par mes amis les plus proches, plus pour leur faire plaisir que par envie. Et pour la fois où je met le nez dehors de ma propre volonté, je me fais suivre par un malade qui me fixe avec un sourire narquois. Ayant fini par m’arrêter te demander ce que tu me veux, ton identité est enfin dévoilé. Mon homme parfait, le mien, bien qu’il me faut de longues secondes pour assimiler cette information. Le son de ta voix, douce et familière, non transformé par le téléphone me réchauffe le cœur par ce froid extérieur. Dans tes bras, on me retire enfin ce poids de ton absence. « Mais qu’est-ce que tu fais ? Tu ne devais pas rester là-bas encore deux semaines ? » Trop d’interrogations dans ma tête que je ne sais même plus par lesquelles commencer. Je sais juste que je suis la plus heureuse des Sally ce soir. « Ton maquillage est bien fait, j’adore ! Enfin maintenant j’adore, il y a deux minutes, j’avais envie de te tuer.» que je ris en passant mes doigts légèrement sur ton visage pour ne pas abîmer le maquillage. « C'était pas marrant pour tout le monde» que je dis après avoir donner un léger coup de poing dans ton épaule. « T’avais tout manigancer depuis combien de temps ? J’imagine que les messages cet après-midi, c’était pas pour rien du coup. Une chance que je n’ai pas décidé de rester au loft au dernier moment. » Je t’imagine bien, tenter d’effrayer plusieurs femmes présentes en espérant tomber sur moi. Ça aurait fait la une de la presse demain à coup sûr. Ton baiser sur mon front, rassurée par ta présence. « A cause de tes conneries, va falloir qu’on s’y retrouve pour sortir d’ici maintenant.» Je ne veux pas qu’on meurt ici, ça c’est sûr. « Prend les devants.. tu m’as fait assez peur pour toute une vie là.» Si tu poses ta main sur ma poitrine, tu pourrais sentir battre mon coeur à une vitesse qui frôlent la tachycardie. Alors si une personne déguisée doit nous tomber dessus, je préfère encore que ça soit toi. Puis n'est-ce pas être gentleman que d'aller au devant du danger pour sa belle ? Je suis trop jeune pour mourir d’une crise cardiaque.
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Malgré que tu étais la-bas pour ton stage, tu sortais quand même de temps en temps avec tes collègues. Des soirées, il y en avait eu, et c’était des sacrés fêtards. Heureusement que tu sortais souvent auparavant, ça te permettait de pouvoir les suivre dans leur cadence. Heureusement qu’il fallait parfois retrouver un peu de sérieux, tu ne pourrais pas assumer les nombreuses nuits blanches. Toi, qui avait besoin de plusieurs heures de sommeil, sans tes six heures, tu pouvais être sacrément désagréable. Mais avec le décalage horaire, pour pouvoir parler avec ta femme, tu devais te coucher tard, ce qui collait bien avec ton emploie du temps. Tu savais que tu allais devoir rattraper ce sommeil, car tu ne tiendrais pas dans la durée. Tu avais pu dormir un peu dans l’avion, ainsi tu allais tenir longtemps ce soir, enfin tu l’espérais. Deux semaines éprouvantes, très intéressantes et agréables, mais elle te manquait tout comme ta fille, tu ne pouvais pas dire le contraire. Ton regard se posa sur la jeune femme « Finalement, je rentre au siège pour de l’administratif et mettre à jour les dossiers avec ce qu’on a trouvé etc. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Un léger sourire sur tes lèvres, ça te faisait du bien de la sentir près de toi. « Je trouve que je suis bien déguisé, même très effrayant. » tu te moquais un peu d’elle, tu ne pourrais certainement jamais oublié sa tête et comme elle avait hurlé. « Moi j’ai bien rigolé, c’est le principal. » tu lui tirais la langue, comme un petit enfant, fière de sa bêtise. « Tu as tout compris, ça fait seulement deux jours que je le savais. Mais je l’ai gardé pour te faire la surprise. » lançais-tu tranquillement. Tu regardais un peu atour de toi, il y avait plusieurs personnes qui couraient partout, certains rigolaient, des autres hurlaient. « On va bien trouver la sortie. » tu attrapais sa main, commençant ta marche à travers le labyrinthe. « Bon malgré ta frayeur, ça te fait plaisir de me retrouver. » car il est vrai qu’elle ne l’avait pas dit. Tu savais que c’était difficile pour elle, tout autant pour toi.
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J’écoute les raisons de ton retour, agréablement surprise de te voir en face de moi. « C’est génial ! ça sera moins drôle pour toi, mais je suis trop contente.» Si je pouvais avoir ton maître de stage en face de moi, je lui dirai un milliard de fois merci que tu sois rentré. Les quinze jours étaient déjà assez compliqué alors que c’est un stage. Qu’est-ce que ça sera quand ça sera officiellement ton travail ? D’autant plus que si toi l’année prochaine, tu rentres dans la vie active, en théorie, il me reste encore plusieurs années d’études. Le genre de conversation qu’il faudra bien qu’on est à un moment où un autre, imaginant que cela risque d’être compliqué de se mettre d’accord. Mes études ont une place centrale dans la vie, tout comme tu deviens mon centre du monde à moi. Je refuse d’y penser en me concentrant sur le moment présent, celui où je suis dans tes bras, déguisée en Sally, et toi en un squelette très bien réussi. « Qui te l’a fait ? Tu ne l’as pas fait toi-même j’imagine.» Moqueuse à mon tour. Bon après tout, en tant qu’homme, on ne te demande pas de savoir faire ce genre de maquillage. On voit clairement que c’est une personne qui maîtrise son sujet qui te l’a fait. J’admire chaque trait, surtout j’en profite pour t’admirer, l’impression de te redécouvrir, alors que tu me tires la langue comme un enfant. J’en rigole, je sens que je vais en entendre parler pendant un long moment te connaissant. Ça me va, c’est bon enfant. Tu me racontes comment tu as tout manigancé ton retour, réalisant que je n’ai absolument rien vu venir. « Je ne te savais pas si romantique...» Romantique si on oublie le contexte autour de nous. Romantique dans la façon de faire. Si je n’avais pas le teint aussi blafard par le maquillage, tu me verrais prendre des rougeurs. Je n’ai jamais forcément cru aux belles histoires, celle qu’on lit dans les contes de fée, et pourtant je me découvre adorer ce genre de petites attentions. Tu attrapes ma main pour continuer ensemble dans le labyrinthe. Ce genre de geste qui m’a tellement manqué. Je suis une Sally aux anges. « J’espère bien.» Une phrase qui fonctionne très bien avec le fait que tu sois heureux de me retrouver, et qu’on va sortir d’ici. J’avais confié à Maxime que ce stage allait signifier beaucoup, si tu allais avoir le manque de moi, et inversement, bien que de mon côté je n’en doutais pas. « Je t’ai beaucoup manqué ?» L’oeil brillant de nos retrouvailles, ce besoin d’être rassuré, de savoir que je t’ai manqué. Il ne nous faut que quelques pas pour apercevoir une femme, en robe blanche, ensanglantée. Par réflexe je me met derrière toi. « PUTAIN !» que je lâche par surprise. « Le pire présage qui soit...» Le pire déguisement qui pouvait apparaître devant nous, on se retrouve à peine, et c’est une mariée en sang qui apparaît. Merveilleux. Ou pas.

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'Labyrinthe effrayant' :
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