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Le soleil brille aujourd'hui sur le campus, et ça donne vraiment le moral. Après les mauvais jours qu'on avait eu ça fait vraiment du bien. J'avais bientôt fini les cours et je n'avait absolument aucune envie de rentre chez moi pour travailler mes partiels. Je me sentais vraiment de bonne humeur et surtout d'humeur à rigoler. En regardant l'heure à ma montre et après quelque instant que de réflexion je savais pertinemment qui serai disponible pour une petite virée mais pour ça il faut que je le décolle de son ordi et ça c'est pas une mince affaire. Ce cher Brennan, une tête en informatique qui as même piraté un entreprise et qui travaille maintenant pour ladite entreprise, enfin j'ai jamais bien compris le délire mais bon, il fait ce qui lui plait. Je savais qu'aujourd'hui il ne travaillait pas mais qu'il était en salle d'info' pour faire ce qu'il a à faire. J'ai jamais été doué en informatique donc il a beau me répéter à chaque fois la même chose, je comprend toujours rien.
De plus si j'avais pas eu un problème d'ordinateur il y à quelque année je sais pas si on se serai rencontré un jour, et depuis je vais pas dire qu'on est inséparable, mais on aime passer du temps l'un avec l'autre et se taper de bon délire et ça fait presque quatre ans que ça dure et j'espère que ça ne s’arrêtera jamais.
16h la fin de ma maigre journée de cours, je range le matériel que j'avais utilisé ces deux dernières heures, prend mon sac sur un épaule et prend la direction de la salle d'info. Les couloirs de l'université étaient bondés de monde, certain prenaient leur temps, d'autre foncé à toute allure pour ne pas rater le début d'un dernier cour, mais ce que je déteste par dessus tout c'est les filles qui prennent le couloir entier à deux cotes à cotes et qui ne se décale pas d'un pouce pour laisser passer les gens, ça à le don de m'exaspérer et aussitôt sortait un:"Ça me gonfle les gens qui prennent tout le couloir" pour rester polie bien sur. Je fait même une petite halte à la cafétéria pour prendre deux grands cafés. Et je repris rapidement le chemin de sa tanière, il me restait encore quelques dédales avant d'arriver à mon but, je prenais mon temps pour y aller je savais très bien que je ne serai pas sortie de là avant un moment donc un peu plus un peu moins...
Les derniers élèves sortaient de classe d'autre entré, et bientôt je me retrouvais quasiment seule dans les couloirs; je touchais enfin à mon but et j'avais encore raison en passant la tête par la porte il était là devant son ordinateur à faire je sais pas quoi et totalement absorbé par son écran et totalement coupé du monde avec un énorme casque sur les oreilles. D'un pas lent je me dirigea vers lui et déposa le café à coté de lui puis m'appuya contre le bureau et bus une gorgée de café en attendant qu'il daigne me prêter une quelconque attention.
De plus si j'avais pas eu un problème d'ordinateur il y à quelque année je sais pas si on se serai rencontré un jour, et depuis je vais pas dire qu'on est inséparable, mais on aime passer du temps l'un avec l'autre et se taper de bon délire et ça fait presque quatre ans que ça dure et j'espère que ça ne s’arrêtera jamais.
16h la fin de ma maigre journée de cours, je range le matériel que j'avais utilisé ces deux dernières heures, prend mon sac sur un épaule et prend la direction de la salle d'info. Les couloirs de l'université étaient bondés de monde, certain prenaient leur temps, d'autre foncé à toute allure pour ne pas rater le début d'un dernier cour, mais ce que je déteste par dessus tout c'est les filles qui prennent le couloir entier à deux cotes à cotes et qui ne se décale pas d'un pouce pour laisser passer les gens, ça à le don de m'exaspérer et aussitôt sortait un:"Ça me gonfle les gens qui prennent tout le couloir" pour rester polie bien sur. Je fait même une petite halte à la cafétéria pour prendre deux grands cafés. Et je repris rapidement le chemin de sa tanière, il me restait encore quelques dédales avant d'arriver à mon but, je prenais mon temps pour y aller je savais très bien que je ne serai pas sortie de là avant un moment donc un peu plus un peu moins...
Les derniers élèves sortaient de classe d'autre entré, et bientôt je me retrouvais quasiment seule dans les couloirs; je touchais enfin à mon but et j'avais encore raison en passant la tête par la porte il était là devant son ordinateur à faire je sais pas quoi et totalement absorbé par son écran et totalement coupé du monde avec un énorme casque sur les oreilles. D'un pas lent je me dirigea vers lui et déposa le café à coté de lui puis m'appuya contre le bureau et bus une gorgée de café en attendant qu'il daigne me prêter une quelconque attention.
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