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bashani ϟ you'd rather something toxic

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you'd rather something toxic w/ @Eshani Qurban

cela te fit un peu bizarre de la voir dans cet état. aussi tourmentée. aussi perdue. tu l'avais mise dans cet état, t'en étais parfaitement conscient. et tu ne savais pas si tu le regrettais, d'un côté tu n'étais pas prêt à ce qu'elle revienne dans ta vie, de l'autre elle n'avait aucune raison valable de se trouver seule ce soir, si ce n'était pour faire la fête. t'estimais avoir ce rôle, de pouvoir veiller sur elle en l'absence de son fiancé. tout de même, c'était dans ce genre de soirées qu'il arrivait les pires phénomènes. alors oui, il pouvait t'arriver de t'inquiéter pour elle. alors que plus tôt, tu avais joué avec ses nerfs, pour l'éloigner de cette tentation dans laquelle tu étais le premier à tomber en règle générale. après t'avoir presque reproché de l'avoir repoussée. on jouait avec toi, on subissait en retour. mais tu étais bien plus que cela, sous cette carcasse et cet esprit déluré. tu préférais fuir ou faire fuir les autres, tel était ton quotidien mais ce soir, tu faisais une exception pour l'afghane. tu avais suffisamment torturé l'esprit des gens pour comprendre qu'elle cherchait ta compagnie, pour une raison qui t'échappait encore, et non pas pour profiter de ta simple présence et c'était cela que tu détestais. au point de devenir impitoyable, même avec une gentille fille comme eshani. tu détestais aussi le fait d'avoir montré cette part de toi alors que tu l'avais prévenue qu'en jouant avec toi, elle pouvait vite le regretter. tu lui en voulais de ne t'avoir pas écouté mais c'était plus profond que ça, son problème et tu t'en doutais mieux en allant la retrouver. malgré ton étreinte qui se voulait le plus rassurante pour elle, tu sentis encore sa peur, son désarroi, quelque chose semblait fortement l'agiter donc tu caressas son dos doucement, pour la calmer du mieux possible. — respire... tout va bien, je suis là maintenant. elle luttait encore, contre quelque chose, contre la vérité sans aucun doute. et là voilà qui traversait ses lippes entre deux sanglots étouffés. le choc t'immobilisa, aussi cruelle qu'elle l'était, il ne t'était pas bien difficile de se mettre à sa place. tu resserras ton étreinte, aussi bien pour elle que pour toi, car tu luttas aussi contre de vieux souvenirs. — je sais, je sais, je sais... toi aussi tu revivais l'instant où les tiens étaient morts alors tu ne lâchais plus l'afghane. tu comprenais son désir d'oublier plus que quiconque mais jamais elle ne pourrait effacer cette douleur. — je suis sincèrement désolé... pour ta famille. tu soupiras avant de prendre son visage dans tes mains, tu tentais de la rassurer, de lui montrer que tu partageais sa peine et sans la quitter du regard, tu essuyais tendrement ses larmes. — écoute, reste forte, ta famille l'aurait voulu... pour toi... sinon fais-le pour moi. tes pouces caressèrent désormais le bout de ses lèvres, qu'ils ne parvinrent plus à quitter. — tu dois essayer... l'esprit ailleurs, tu n'avais qu'une seule obsession là, et tu t'exécutas sans réfléchir. soulevant son visage, tu t'approchas de ses lèvres pour lui offrir le plus doux des baisers. celui qui apaisait les tourments de l'âme et qui chassait toute pensée douloureuse. celui qui rappelait à la vie. doux souvenir de ces sentiments éprouvés cet été-là, l'été de votre rencontre.
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C'était trop difficile de le dire encore. je ne voulais pas mais il fallait bien que Bastille comprenne mon état d'âme. Lorsque les mots ont pu filtrés mes lèvres, je me sens encore plus fébrile. Je lutte, je m'accroche à Bastille. Je le ressens qu'il a compris, par cette étreinte qui devient encore plus forte. De le sentir contre moi, ça me fait du bien. Mine de rien, c'est rassurant d'avoir Bastille à mes côtés. Même si notre relation est du passé, c'est un sentiment agréable qui se crée dans mon être. Et je sais qu'oublier, ne plus y penser, je pourrais peut-être avancer. Je n'arrive pas à lui répondre, même si le coeur est reconnaissant de la sympathie qu'il me porte. Mes lèvres s'entrouvrent sous la surprise, quand il éloigne mon visage pour que nos regards se rencontrent. - Bastille... J'ai mal aux yeux. je tremblerais si je n'étais pas agrippée à Bastille. Celui-ci me demande d'être forte. Comment ? Parce que c'est trop dur. C'est douloureux. Pour ma famille, je dois être forte. C'est alors que mes yeux brillent d'un éclat quand il me demande de le faire pour lui. La sensation de ses mains qui essuient mes joues sont à la fois douces mais douloureuses. - Pour toi ? surprise qu'il me demande ça. Je pourrais y réfléchir à ce pourquoi si son pouce ne caressait pas mes lèvres de cette manière. A sa demande, mon cerveau ne réfléchit pas, pleine confiance lui ait accordé. - D'accord. je susurre à peine quelques millisecondes avant que les lèvres de Bastille ne viennent retrouver les miennes. Cette sensation est à la fois étrange mais agréable. Elle me ramenait à un passé où ma vie était parfaite. Lorsque nous étions tous les deux. Mes mains tombent de ses épaules, de ses bras jusqu'à ses hanches, se glissent sous ce haut. - Emmènes moi loin de tout ça, Bastille. je lui demande avant d'emprisonner quelques secondes sa lèvre inférieure avec les miennes. - Fais-moi oublier jusqu'à mon prénom, je t'en supplie. Si je ne l'embrasse pas encore plus, c'est parce que je veux qu'il soit d'accord. mais il est évident que c'est mon cas, je le désire. lui. je ne me rends pas compte à quel point le mouvement de mes mains sur sa peau, mon souffle contre sa bouche avaient le rythme d'un désir malsain. de ma part. je dépose un baiser sur son menton. - Bastille... je l'appelle tout doucement.

@Bastille Byers
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you'd rather something toxic w/ @Eshani Qurban

tu l'avais embrassée, de façon à apaiser les maux qui lui tourmentaient l'âme. de façon à faire taire cette vague d'envie qui s'était emparée de tout ton être. tu avais tenté bien sûr de l'ignorer, pour choisir une autre proie sur qui te défouler, mais ce baiser ne fit que confirmer tes craintes, ce serait elle qui tomberait dans tes filets, personne d'autre. t'étais le démon de la luxure et tu ne t'en cachais pas. mais la pauvre ignorait tout de toi, acceptait les yeux fermés de se livrer littéralement en offrande. si elle savait à quel niveau se trouvait ton envie mais t'étais encore suffisamment lucide pour te contrôler. tu n'oubliais pas que les plaies restaient toujours béantes, qu'elle souffrait de cette absence qu'elle n'avait pas demandé. tu savais à quel point cela pouvait être douloureux de se sentir esseulé, lorsque tout ton monde s'effondrait autour de toi. lorsque tes repères disparaissaient du jour au lendemain, laissant les questions sans réponses. une vie complète en suspens, sans savoir de quoi serait fait demain. l'impression d'être au bord du précipice. à cette sensation qui te ramenait à ce passé pourtant révolu de ton enfance et qui te retournait le coeur. malgré le temps à l'oeuvre qui se chargeait de panser les blessures toujours présentes. voir la vie en rose n'avait jamais été une option, malgré toi tu sentais l'électricité qui naissait sous ce baiser, qui te poussait à vouloir faire sauter toutes les barrières. au point d'arrêter de réfléchir, d'essayer de te retenir. c'était bien plus qu'une passade là, bien plus qu'une simple envie, tu la désirais tout autant que rattraper tout ce que tu avais manqué de faire avec elle. ses mains te réchauffaient, même si tu brûlais déjà pour elle. tu accentuas le baiser, manquant de la faire tomber par ta fougue soudaine avant de l'entraîner contre le mur. sa peau, son odeur, tout t'obsédait jusqu'à perdre la tête. les mains contre le mur, qui l'encerclaient, tu la retenais prisonnière de tes baisers enflammés qui descendirent le long de son cou. tu ne lui laissais aucun répit, le corps en proie aux flammes. difficile d'ignorer ses propos quelques instants plus tôt. alors tu stoppas tout, à contrecoeur. — d'accord, je suis tout à toi, le temps de reprendre ton souffle. tu l'avais entendu son appel. — donne-toi à moi eshani, que tu murmuras d'une voix rauque, le nez collé au sien, les mains à présent sur son visage. impossible de la quitter ou de ne penser à autre chose qu'à elle, à cette envie qui te consumait sur place. incapable de résister face à l'afghane. — si t'as envie de moi... reste. même si elle devenait ta drogue, en aucun cas tu ne voulais la forcer. — regarde-moi, tu n'es pas obligée. tu la contemplas un instant, lui montrant qu'elle avait encore une chance pour partir mais sans lui laisser le temps de répondre, tu saisissais derechef son visage pour lui offrir un nouveau baiser passionné.
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Mon corps épouse le mur, suivant les courbes du doré, me laissant aller à ces baisers. C'est trop bon. Trop addictif. Parce que chacun d'entre eux, apaisent mes maux. effets qui sont temporaires mais que je continue de profiter. Alors qu'il me demande d'être à lui, je comprends pas. - Je le suis déjà. C'est ainsi que je le ressens. A lui, à personne d'autre. Ce soir, il n'y a que lui qui comptait pour moi. Je caresse sa peau, sa nuque, ses épaules. Je sens déjà mon corps fourmiller de désirs que jusqu'ici, je n'avais jamais ressenti. Comme si c'était des évidences qui sortaient de l'ombre. - Restes. je souffle, mélangeant les nôtres, ressentant cette tension insoutenable. Je profite de chaque baiser, me laissant emporter par cette chaleur. Mais quand le bruit d'un meuble qui racle le sol se fait entendre, je comprends que l'on ne sera pas tranquille. Que je n'arriverais pas à profiter de ce nous pendant cette soirée. Pas comme je le suis sous-entend. - Viens. Présente depuis un moment à cette soirée, j'étais déjà passée par l'extérieur. J'avais vu ce petit cabanon où il était, à l'origine, interdit d'y aller. Mais la porte s'ouvre à nous et j'attire Bastille à l'intérieur. Je ne l'ai pas lâché d'une seule seconde. la porte se ferme, nous isole du monde. A l'intérieur, un petit salon détente. Des coussins à profusion et une ambiance cocooning. Quand je regarde Bastille, je me sens rougir un peu. - Je...

@Bastille Byers
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