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((QUEEN B)) LONG-AWAITED WEEKEND.

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LONG-AWAITED WEEKEND.
@Bianca M. Almeida

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Son sac pour deux jours est prêt et il a rien oublié, l’architecte, il en est certain. Ils en discutent depuis la rentrée de ce weekend, sa Queen B et lui alors, il pouvait ni l’oublier, ni le repousser davantage. De toute façon, il en avait envie, de c’te moment à deux, rien qu’eux, entre amis. Meilleurs amis, même, nan ? Tout ce qu’il sais, l’anglais d’origine, c’est qu’il tient bien trop à elle pour plus l’avoir dans sa vie et ça, ce n’est pas l’cas de tout le monde.
- « Monsieur Hemingway. Mademoiselle Bianca est là. Dans le salon, avec son sac. » Patientant à la porte, Alfred attend une réponse de son employeur. « Génial. J’arrive ! » Un large sourire est présent sur son visage tandis qu’il attrape son sac à la volée pour descendre les marches interminables de ses escaliers. « Queen B, j’suis là ! » Il annonce une fois au rez-de-chaussée pour la rejoindre et la prendre dans ses bras. « Salut ma B. » Son sourire s’étend d’une oreille à l’autre sur son visage. « On va prendre le 4×4 pour la route. Donne ton sac. » S’en emparant, il lui fait signe de le suivre pour quitter son manoir, Alfred sur ses traces. S’arrêtant au niveau de son immense garage, il dit à l’intention de c’te dernier : « Heu… Si vous recevez l’moindre appel sur la ligne téléphonique pour moi, concernant l’boulot, faites-le passer sur mon iPhone. » L’ouvrant, il se gratte un sourcil et prononce dans une grimace : « Toutes les voitures, les 4×4 ont l’plein d’essence ? » Parce qu’il en a une sacrée collection de voitures. « Oui, monsieur. Vous pouvez utiliser celui que vous préférez. » Poussant un soupir, il se saisit des clés de l’Audi dernière génération et l’ouvre. « Viens, ce s’ra celui-là. » Il dit à Bianca, pour déposer leurs sacs dans l’coffre et lui ouvrir sa portière coté passager. Faisant le tour pour rejoindre son siège conducteur, il termine de mettre le moteur en route après avoir attaché sa ceinture et ouvre la vitre pour déclarer ses quelques derniers mots à l’égard d’Alfred : « Pas d’fête pendant mon absence, on est okay ? » Lui offrant un clin d’œil, son majordome lui offre un mince rire pour lui affirmer qu’ils seront sages quand ils prennent définitivement la route. « J’espère que t’es patiente et qu’les longs trajets t’ennuient pas. » Qu’il dit à Bianca, inquiet et anxieux à l’idée de laisser Rebecca à l’hôpital, dans le coma, seule, durant ce weekend.


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Enfin avec Thomas on allait partir en week end et j'avais tellement hâte, il faut dire que ces derniers temps j'ai broyé du noir et j'avais coupé contact avec beaucoup de personne mais ce petit séjour allait me faire énormément de bien, arriver dans le grand manoir de Thomas je patientais dans le salon à la demande de son employé et je n'attendis pas très longtemps avant que le jeune homme arrive, mon sac poser au pied du sofa je me dirigeais vers lui impatiente comme le serait une enfant. "Salut babe, j'ai tellement hâte d'être loin d'ici." Je me blottissais contre lui pour un rapide câlin avant de me détacher de lui pour récupérer mon sac et lui donner. "Tout ce que tu voudra c'est toi le maitre de ce week end." Je suivis les deux hommes avec toujours ce sourire idiot sur les lèvres et une fois devant son garage je laissais mes deux hommes discuter, mes parents avaient toujours eu une vie aisée mais jamais à ce point donc je n'étais pas habitué à tout ça, j'avais eu un confort certains et jamais je n'avais eu des soucis d'argent mais ce train de vie là je le connaissais que très peu. Je regardais ses voitures garés devant moi en secouant une épaule, il y en avait pas mal avant qu'il me montre celle qu'on prenait pour partir. "C'est pas comme ci tu avais un choix énorme." Je me mis à rire en le suivant à la voiture, il mit les sacs dans le coffre et m'ouvrit la portière, je le remerciais en m'installant, je me m'étais à l'aise tout en bouclant ma ceinture et sa remarque à ce fameux Alfred me fit rire. "T'es vache tu aurais pu laisser le manoir à ce fameux Alfred pour une soirée sexe de folie avec sa femme.." Je lâchais un rire amusé complètement exciter d'avoir prit la route, je le regardais en secouant la tête. "Oh non tellement pas, on aura tout le temps de parler, de chanter tu verra le temps passera vite.." J'avais hâte d'être seule avec lui, qu'on s'amuse, qu'on ce fasse des papouilles et qu'il me fasse tout oublier.

@Thomas Hemingway
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@Bianca M. Almeida

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Thomas a besoin de partir. De s’évader. Avant, il l’aurait fait seul, mais aujourd’hui, c’est impossible. Bianca, elle est toujours là, dans les parages. Tout simplement parce qu’il est trop proche d’elle pour la laisser s’éloigner. Puisqu'elle est son fard en pleine nuit, tandis qu’il se trouve à naviguer sur les eaux obscures. C’est son encre, sa force : avec sa queen B, l’architecte se ressource, tout bonnement. Et en ce moment, ça ne va pas fort. Rebecca, celle pour qui il ne sait pas ce qu’il ressent, est dans le coma et lui, broie du noir. Parce qu’il passe ses soirées et parfois la nuit à son chevet, comme s’il n'avait jamais assez à faire dans ses journées qui demandent plus de 72 heures ! Mais il est ainsi, toujours le cœur sur la main, alors qu’il ne se trouve que des défauts.
Rejoignant sa B. au salon, Thomy la serre tendrement dans le creux de ses bras avant de se saisir de son sac pour le weekend. Portant le sien et celui de Bianca, il l’entraîne jusqu’à son garage dans lequel se trouve une ribambelle de voitures, car collectionneur. Discutant avec Alf’ il termine de prendre les clés de l’un de ses 4×4 pour rire à la remarque de la brune.
- « Nan. L’choix est pas énorme. C’est pour ça que j’pense à m’offrir une prochaine bagnole. Un p’tit bolide de plus. » Il use de sa moue à faire fondre n’importe qui avant de déposer leurs sacs dans le coffre et d’ouvrir la portière à sa reine, gentleman, toujours. Puis avant de s’en aller, il n'oublie pas Alfi, celui qui travaille pour lui depuis ses débuts, avant de partir pour rejoindre son chalet, l’ayant acheté il y a quelques années déjà. « Ouais, j’sais. » Il sourit d’une oreille à l’autre de son visage. « Mais, tu vois, avec Alfred, on sait jamais à quoi s’attendre. J’suis sûr que mon manoir aurait pu finir en cendres ! » Il plaisante et ça lui fait beaucoup de bien. « Choisi la musique, j’te donne c’te privilège. » Thomas offre un clin d’œil complice à Bianca. « Mais rien de trop fille, genre, j’veux pas du Beyoncé durant tout l’voyage ou j’sais pas, du Britney, bien que j’connaisse sa première chanson par cœur. » Puis, il se met à chanter : « Hit me, baby, one more time ! » Riant de plus belle, il n’en oublie pas l’autre brune, celle toujours allongée dans son lit d’hôpital et qui refuse de se réveiller. « Suis certain que t’y arriveras, ouais. » Se pinçant les lippes, il reprend : « Fin, que ça passera vite, en parlant, tout ça. » C’est en passant une main dans sa chevelure - tic nerveux - qu’il achève sa phrase, pour continuer de rouler.


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J'avais ce besoin de partir et de ce que je comprenais Thomas en avait aussi besoin mais pas pour la même raison que moi et même si cela ne me plaisait pas qu'il ce rapproche de cette femme je ne dirais rien parce qu'elle était dans un lit d'hôpital mais je ne l'appréciais clairement pas et je ne pourrais pas faire semblant, je ne me faisais pas de soucis pour elle mais pour Thomy alors s'il avait besoin de mon soutien je pouvais lui donner parce que le concernant je ne faisais pas semblant et je tenais à ce qu'il ce sente bien. On partait en week end et c'était dans mes cordes de lui changer les idées, de penser à autre chose que Boston et de s'amuser, je broyais aussi souvent du noir en ce moment et j'en avais besoin. Je le laissais discuter avec Alf', on grimpait dans cette voiture et dans un rire je répondis simplement. "Ben oui clairement une voiture en plus te faciliterait vachement la tâche." Je me moquais ouvertement de lui et il entrait dans mon jeu, on prenait la route en parlant de son employé et c'est qu'il me ferait de la peine ce petit Alf', je ris en secouant les épaules. "Je ne pense pas tu vois, je pense qu'il aurait fait super attention et que tu l'aurais retrouvé en train de briller de partout au contraire, il aurait je pense trop peur de perdre son boulot." Je me chargeais de trouver de la musique à sa remarque avant de froncer les sourcils. "Pour qui tu me prend, je suis danseuse alors je ne peux avoir que des goûts d'enfer et désolé mais Britney c'est pas ma came même si je remarque que c'est la tienne." Je me mis à rire parce que je n'aurais jamais penser l'entendre chanter du Britney, j'avais clairement aimer sa chanson auparavant mais elle ne faisait pas parti de mes chanteuses favorite. Après ses mots je tombais sur une musique latino, je me mis à chanter dans ma langue natale, en portugais avant de me mettre à bouger les épaules et la tête en rythme. "Voila de la bonne musique."

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Il n’était pas en forme, trop soucieux, comme très souvent. Mais c’était pas ses affaires qui l’ennuyaient pour le moment, c’était une femme dont il connaissait pas l’avenir. Étant dans le coma, il pouvait rien faire, hormis se rendre à son chevet. Il lui lisait tout un tas d’articles de son journal papier, puis il finissait par s’endormir, assez fréquemment, sur le fauteuil à ses côtés. Mais putain, franchement, il se demandait pourquoi il se donnait tout ce mal ! L’architecte était bien plus gentil et généreux qu’il voulait le croire et cette femme, bien qu’il l’ait connu dans le passé, il parvient pas à la laisser tomber. Déjà, il s’est rendu au SC pour elle, parce qu’elle avait trop bu et c’était noyée, mais il pense bien qu’elle désire s’autodétruire et c’est pas la meilleure fréquentation qu’il puisse avoir. Alors, il a décidé de partir, malgré son état. D’abord avec sa queen B pour ce weekend de deux jours puis avec Thalia pour une semaine en Italie. Car il doit continuer de vivre et pas la déterminer pour des personnes qui n’ont pas envie qu’on les sauve.
Tandis qu'il cause voiture avec Alfred, sa queen se paye sa tête et il en rit avec elle. Même s’il est pas dans son meilleur état, il s’empêche pas de profiter de l’instant présent, manquerait plus que ça !
- « Ouais, on est d’accord. » Il fait mine d’être sérieux, la fixe de ses grosses billes claires et bien rondes, tout en hochant de la tête. « Au minimum un nouveau bolide. Et encore, un, ça semble peu. » Il arrive pas à s’empêcher de plaisanter, quand ils grimpent dans son 4×4 pour partir à l’aventure. Parlant d'Alf’, Thomy secoue la tête, mais négativement c’te fois-ci. Faut croire que sa reine Bianca le connait pas si bien que ça, vu ce qu’elle prononce. « Tu sais… » Qu’il commence ses lèvres pincées, au point de disparaître. « Ils vivent avec moi, dans l’manoir. Ils ont des chambres dans une aile qui leur est dédiée, mes employés. Ils sont pas logés dans une cabane miteuse au fond du jardin. La seule qui existe et qui l’est pas, parce que c'est une maison, c’est pour la femme qui m’fait à manger, car elle a une famille. Crois-moi, elle a besoin de rien. Puis si c’était l’cas, elle compterait sur moi et m’en parlerait. » Ses mains vissées sur son volant, il conduit sans rien dire pour lui laisser le choix de la musique avant de se lancer dans du Britney. Faut dire qu’il en connait pas énormément de ses chansons, mais celle-là, tout le monde doit en connaître au minimum le refrain, nan ? Alors, il se lance, pour rire, détendre l’atmosphère, mais surtout se détendre lui.
- « Genre, tu connais pas, c’te chanson d’elle ? » L’homme à la chevelure ébouriffée lui demande, avant de soupirer à ses mots. « Pardon, mam’zelle la danseuse pro. » Il ajoute, alors qu’elle cherche pour tomber sur une station de radio qui émet une musique latino. « WOW ! » Il s’étonne tandis qu’elle chante et bouge des épaules. « Vas-y, continue ! Puis j’aime bien. C’est festif, même si j’sais pas c’que ça veut dire. » Parce qu’il a jamais appris le portugais. « Tu vas pouvoir chanter un moment, on arrive pas de suite. » Il ajoute, la prévient, bien que le trajet lui semblera pas long, non, pas avec sa queen à ses côtés.


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Je ne pouvais pas dire que j'étais dans un sale état, il faut dire que j'avais laisser les gens néfaste derrière moi et depuis le SC j'avais coupé les ponts avec plusieurs personnes, j'étais revenue vers ceux qui le méritaient et à présent je me devais de faire ma vie comme je l'entendais et seulement avec les gens qui le méritaient et pour le moment Thomas le méritait même si je ne comprenais pas pourquoi il perdait son temps avec cette femme et que cela m'énervait pas mal mais au final ce n'était pas mes affaires et je n'avais pas envie de gâcher notre week end en parlant de ça sinon on finirait par ce disputer. Je riais à sa remarque et je secouais une épaule comme ci l'achat d'une voiture ne signifiait pas grand chose. "Ouais pour toi c'est comme ci tu achetais une montre quoi.." Je repris avant de froncer les sourcils. "Quoi que mauvais exemple je suis sûre que tes montres sont aussi hors de prix." Je ne savais pas où vivait ses employés et au final je n'y prêtais pas plus attention parce que quand j'avais été dans les parages le soir je les avaient peu croisés. "Ben écoute je ne m'en doutais pas, je savais qu'il passait une partie de leur temps ici en grande majorité mais de là à vivre avec toi je ne m'en doutais pas... Vous êtes une grande famille quoi." Je riais à le voir chanter du Britney et ça lui allait plutôt bien avant de reprendre et de secouer la tête. "Non sérieux je connais comme tout le monde mais cela ne fait pas parti de mes musiques favorite quoi." Je me mettais à danser et chanter quand j'étais enfin dans mon univers. "Va vraiment falloir que je t'embarque au Brésil un de ces jours." Je lui adressais un clin d'oeil avant de rire. "On va dire qu'il fait beau alors je préfère ne pas trop tenter le diable avec ma voix de casserole."

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@Bianca M. Almeida

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Il était ailleurs Thomas, ce qui arrivait rarement avec sa queen B. Parce qu’elle a toujours eu le don de lui faire passer de superbes moments, à rire, plaisanter, se chicaner, s’adorer, se dorloter, mais là, c’était différent. Trop de choses à penser. Embourber dans une sorte de sable mouvant, il s’essayait à pas trop ruminer, ni même à réfléchir, seulement, y’avait rien à faire, l’architecte faisait que ça. Mais heureusement pour lui, sa Bianca était là, à ses côtés, dans l’une de ses bagnoles qui sentent le fric rien qu’en la voyant. Il se doutait qu’elle le taquinerait à ce sujet et c’est de bon cœur qu’il lui répond, un sourire présent malgré tout sur son visage :
- « Une montre ? ! » Il grimace, ri aussi, parce que putain, il en a vu des montres qui coutent une blinde ! Bien plus que la voiture d’un habitant lambda de Boston par exemple. « Ouais, t’as raison. » Qu’il commence pour lui offrir son regard énigmatique. « En vrai, j’ai un tiroir rempli d’montres. Il leur est dédié quoi. » Il hausse des épaules, comme si c’était rien. « Tu veux pas savoir, mais si j’les revendais, j’pourrais m’faire du fric, fin si quelqu’un qui a pas ma fortune me les volait pour les r’vendre, il se ferait un max de pognon ! » Ça, c'est certain, mais y’a aucun risque, avec la sécurité qu’il se paye. Pis son manoir est ex-centré et est comme qui dirait barricader, puisqu’entourer par un grillage que personne peut s’amuser à grimper. Il fait l’tour de toute la propriété et la seule entrée est également la seule sortie.
Quand ils évoquent ses employés, Thomas l’écoute tout en continuant de rouler. Il adore ça, conduire, surtout quand il cogite et puis qu’il est pas ivre, évidemment, ce qui est le cas aujourd’hui. « Ouais, c’est vrai qu’on est une famille. » Ses sourcils se froncent à ses mots parce qu’il l’avait jamais envisagé ainsi, mais au vu de son vécu, c’est pas étonnant dans le fond qu’il ait agi de la sorte. Il avait personne, maintenant, ceux qui vivent avec lui le connaissent, bien qu’il les paye pour leurs boulots. Pour ça qu’il a proposé à sa queen B, qui est sa famille, de venir s’installer chez lui, mais apparemment, elle en est pas certaine, ce qui le chagrine, même s’il le dira pas.
- « T’as raison, BritBrit, c’est un classique. » Il s’efforce toujours à sourire. « Quelles sont tes musiques favorites alors ? » Il demande, sérieux, tandis qu'elle continue à danser et à chantonner. « Va pour le Brésil, j’adorais. » Le brun à la chevelure folle ne plaisante pas. « Aller, arrête ! On s’en fout. J’sais conduire sous la flotte. » Puis, une idée naît dans son esprit et il ajoute, avec malice : « Sinon, j’me remets à chanter du Britney ! Et là, c’est pas d’la pluie qui va tomber, mais des grêlons ! »


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J'étais tellement ravie de m'en aller, de prendre l'air avec une personne que j'aimais, je n'avais personne qui était dans le coma de mon côté, je n'avais aucun soucis personnelle pas depuis le SC en fait mais j'avais ce besoin de changer d'air, d'oublier mes soucis, d'oublier que j'étais seule ici et je savais que ce week end j'en avais besoin, j'étais tellement pressée d'être sur place même pour être vraiment loin de mes soucis que j'avais laisser à Boston pour le coup. On parlait de son fric et je me moquais volontier de lui parce que j'avais été habituer à vivre plutôt bien avec mes parents mais depuis que j'étais parti de chez eux j'essayais de vivre selon mes moyens sans rien leur demander parce que j'étais un peu fâcher avec eux et même s'il ne m'avait pas couper les vivres je ne voulais pas dépendre d'eux. "Une montre qui doit coûter aussi cher que cette bagnole." Il fini par confirmer mes dires et je me mis à rire sans aucun surprise. "Je ne suis tellement pas étonnée en plus." Je secouais la tête à sa remarque puisque je ne doutais pas que sa collection devait valloir du fric. "Ouais enfin je pense pas que ce soit dans tes projets de les vendre." Je ne pense pas qu'il est fait une collection pour ensuite les vendre, je me mordillais la lèvre en regardant devant moi et je retirais mes chaussures pour mettre mes pieds sur le tableau de bord pendant qu'on parlait de ses employés, des employés qui semblait lui être fidèle et pour qui il avait l'air d'avoir de l'affection. "Tu peut être fière d'avoir des personnes aussi fidèle à tes côtés." Je m'improvisais dj pendant la route mais sa version de Brit m'avait bien fait rire, je zappait pour tomber sur des musiques latinos et là je pouvais dire que c'était de la vraie musique. "Ce genre là qu'on est en train d'écouter c'est mon truc tu vois." Je déconnais avec lui et je me mis à rire, il m'encourageais à continuer à chanter et sa remarque me fit secouer la tête pour accepter. "D'accord alors toi tu m'accompagne et tu danse... sans lâcher le volant bien sûr" Je me mis à rire en tapant des mains et je repris les paroles de la chanson et voilà que je me mis à chanter portugais.

@Thomas Hemingway
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@Bianca M. Almeida

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Avec Bianca, il pense avoir rapidement la tête ailleurs, mais c’est pas ce qui se passe alors qu’ils causent de son argent, en se moquant de lui, ce qu’il aime faire. Après tout, il sait qu’elle le fait pas pour le blesser, celle qu’il considère comme sa famille et puis ainsi, il réfléchit moins, ou du moins, il s’essaye à le faire. Parce que faut pas non plus qu’il ignore le fait qu’il pense à celle qui repose sur c’te putain de lit d’hôpital. D’ailleurs, si ç'avait pas été sa queen avec qui il allait en weekend, Thomas aurait annulé. Mais là, il sait qu’il va pouvoir se ressourcer et aussi prendre des forces.
- « Ouais, fin, ça dépend. J’prends pas mal d’options lorsque j’achète une bagnole. » Un immense sourire se dessine sur son visage. « Étonner de quoi ? Ma collection ou l’fait qu’elle rapporterait gros à la revente ? » Son regard est vrillé sur la route, bien qu’il se tourne de temps à autre du côté de Bianca, pour la voir et plaisanter avec elle. « Nan, c’est vrai que c’est pas l’projet que j’ai en tête, là, de suite. » Il en a des projets, ça, oui ! À foison même, mais c’est pour son boulot et pas pour ce qu’il voudrait r’vendre ou non. D’ailleurs, il garde tout ce qu’il possède donc, de ce côté-là, y’a pas d’interrogations à avoir. « Mouais… » Il se contente de souffler quand elle cause fierté par rapport à ses employés, quand il se met à chanter du Britney ce qui, il doit l’admettre, est amusant. Sa queen semble d’ailleurs pas s’en plaindre et quand elle reprend la parole, il acquiesce dans un mouvement de tête. « J’me doute bien, vu la première chanson qu’on a écouté et sur laquelle t’as dansé et chanté. » Il s’essaye à reprendre ses mouvements, mais c’est assez pathétique. « 'Fin, t’es bien plus douée qu’moi. » Il dit, après avoir ri, puisque ils conviennent d’un accord. « Sérieux ? Danser sans lâcher l’volant ?! J’sais pas si c’est possible, ça. » Faut dire qu’il s’est jamais dandiné derrière celui-ci, faut l’admettre. « Mais j’vais essayer ! » Qu’il continue en notant que ses pieds sont sur le tableau d’bord. Et là, il voit une autre façon d’plaisanter avec sa Bianca : « J’avais jamais réalisé que tes pieds étaient aussi grands. Genre, les Hobbits, là. Te manque les poils et on y est. » Taquiner les autres est sa marque de fabrique et si y’en a bien une qui le sait : c’est sa B. Alors, autant continuer, sur la longueur du trajet, déjà, puis ensuite durant leur week-end repos.


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Partir en week end était une bonne idée autant pour moi que pour lui, pour moi il était bien trop gentil avec cette nana mais je ne voulais pas me mêler de ses affaires de coeur et surtout ce n'était pas mes affaires en même temps mais il savait ce que j'en pensais et aucune femme ne le méritait en vrai, j'étais peut être aussi trop possessive mais il était vraiment trop gentil au fond. "Tu devrais être aussi exigeant quand tu choisi tes copines." Je ne le disais pas méchamment juste que trop de nanas pourraient profiter de lui et je ne l'acceptais pas. "Qu'elle rapporterait gros, enfin les deux en fait." Je le regarde amusé avant de dire. "Et c'est quoi ton projet?? Bosser encore plus??" Je me moquais de lui gentiment mais on avait fini par chanter, danser chacun sur une musique différente mais sa remarque me fit sourire. "Je suis plutôt douée donc ça va non??" Je le défiais mais c'était peut être trop demander. "Non mais ne lâche pas le volant ta raison et tu danse pas si mal du coup." Je mis mes pieds sur le tableau de bord et là il me taquinait, je lâchais un rire avant de lui claquer l'épaule. "Hey je ne te permets pas il sont super mes pieds... En parlant de poil sur les pieds tu es en plein dedans." On était de vrais gamins quand on commençait à ce vanner tout les deux.

@Thomas Hemingway
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