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(PEYTON) STRESS & BOXING SESSION.

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STRESS & BOXING SESSION.
@Peyton Halliwell

TW : trouble HSD
Il frappe sans discontinuer, mais souffre. Plus le temps s’écoule et plus, elle l’affecte, sa pathologie, si bien que rapidement, il ne tient plus. Alors, lorsque Peyton marque une pause, l’adonis en fait de même. Épuiser, il l’est, mais ce n’est guère ce qui le rend ainsi. Ce sont plutôt ses douleurs qui le minent de cette manière, sans parler d’elle : celle qu’il n’aura jamais. Bien qu’on ne possède une personne, Ezekiel aurait aimé partager son existence bien plus longtemps, mais à leurs messages échangés, il a saisi que quelque chose se trame. Sans doute son cœur s’en trouvera davantage endolori et cela, il ne sait pas s’il parviendra à l’affronter. Car comment se relever alors qu’on se trouve déjà à terre, gisant sur un sol au bord de l’agonie ? Le professeur n’en a la réponse et tandis qu'elle l’aide a ôté son gant, il l’implore par son regard d’en faire de même avec le bouchon de sa bouteille.
- « Tu as raison, je ne me ménage point. » Il regarde ailleurs, puisque aveux de faiblesse. « Je sais que tu es la Peyton, pour moi. » Il continue en baissant d’un ton sa voix. « Seulement, il n’est pas évident pour moi de communiquer sur ce qui ne va pas. » Il pousse un long soupir après ses dires et reprend, ancrant cette fois son regard dans le sien : « Peux-tu au moins me l’ouvrir afin que je boive ? » Une fois cela fait, il songe aux étudiants tandis qu’il avale plusieurs gorgées, pour reprendre après ses dernières : « Penses-tu réellement que ce sont encore des enfants ? » Il l’est toujours, en compagnie de sa meilleure amie, lorsqu’ils plaisantent et se charrient, alors pourquoi pas eux ? « Enfin, ils sont insupportables. » Où plutôt, il est insupportable de se retrouver en compagnie de certains, ou encore, de l’une d’entre eux, puisque celle à laquelle il songe en permanence se trouve affilié à son cours, ce qui l’aide encore moins. « Disons que je me trouve dans une situation complexe, mais dès que tout se sera arrangé, je t’en ferais part. » Il termine de prononcer pour jeter un regard au banc et se dire que s’il s’assoit, il lui sera impossible de se redresser avant un moment.



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@M. Ezekiel Emerson    
On est des parfaits copiés/collés l'un de l'autre. On peut dire qu'on se ressemble en tout point sur certaines choses. Comme le fait qu'on ne souhaite pas se reposer, se ménager en ce qui concerne notre santé. On aime aller au bout des choses et combattre le mal par le mal, comme le dirait le proverbe. De toute façon, à quoi bon rester allongée sur un lit alors que je peux cogner fortement et tant qu'il m'en plaira sur un sac de punching ball? Le goût du risque, c'est ce qui me plait et on peut voir que toi aussi. Malgré ta maladie qui n'est pas guérissable malheureusement, t'es là à combattre ce sac qui n'a rien demandé et au vu de ton visage, t'aurais bien besoin de repos plus que d'autres choses. Ouais, faut songer à te reposer de temps en temps. Oh je sais que je perds de toute évidence mon temps en te parlant de repos, mais je tente quand même. Toutefois, je vois bien que c'est pas évident pour toi de gérer la douleur et que quoique tu fasses, tu te sentiras toujours mal physiquement comme moralement. Il faut dire que ce n'est pas rien, tu dois te battre tous les jours de cette maladie et il y a aucun remède à ça. Un soupir franchit mes lippes. T'as de la chance, ta meilleure amie et adorable soeur sait lire dans les pensées. Que je lance pour plaisanter avant de reprendre tout en ouvrant la bouteille d'eau pour te la tendre. J'ai un remède pour toi, ma fille. Elle voudrait passer du temps avec son parrain et elle veut te faire des couettes pendant que maman s'attèlera à préparer la chambre du futur bébé. Et oui, il va bien falloir que je songe à préparer la chambre de Lilyana. On a déjà pleins d'idées dans la tête avec Demyan, mais il faut mettre nos plans en exécution. On en revient au sujet de tes élèves, pour moi c'est des gosses, mais vu ce que tu dis, ça laisse à réflechir. Un sourire amusé s'étire sur mes lèvres. J'espère que Phoebe et Lilyana ne seront pas aussi insupportables. Je ne languis absolument pas la période de l'adolescence au contraire, j'angoisse d'avance. Si elle tient de mon caractère, ça va pas être de tout repos. Tu me parles vaguement d'une situation, mais t'as trop piqué ma curiosité. T'en dis pas assez... Mais je respecte ton choix, tu m'en parleras quand t'en auras envie. Je ne veux pas te forcer à en parler si c'est difficile pour toi à l'heure actuelle.
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@Peyton Halliwell

TW : trouble HSD - épuisement moral et physique
L’homme est épuisé. À bout de force ainsi qu’à bout de nerfs, il souffre. Seulement, c’est à cause de sa pathologie, cet aspect-ci de son existence. Tous les jours, il ressentira des douleurs, malgré l’aide de sa combinaison de compression ainsi que de la médication qu’on lui procure. C’est une sorte de fatalité qu’il doit admettre, mais à l’évidence, il n’y parvient pas. Impossible pour le professeur de se ménager, puisqu’il pense trop, rumine et son cœur en prend un coup. Ses douleurs sont également dues à ses maux de cœur, à son esprit torturé et s’il ne parvient pas à trouver une solution à tout ceci, l’adonis au teint blafard va imploser. Lorsqu’il se laissera craquer, lorsqu’il n’en pourra plus, ce ne sera pas beau à voir et il le sait pertinemment.
- « Se reposer. » Un rictus semblable à un sourire se dessine sur son visage carré tandis qu’il s’efforce à fixer un point au fond de la salle, afin d’éviter le regard de sa meilleure amie et sœur de cœur. « Sais-tu comment on parle de personne comme toi ? » Il incline son visage et la regarde enfin, durant une fraction de second. « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais. C’est l’adage employé. Tu réponds parfaitement à ce dernier. » Puis en analysant sa phrase, il ne peut que se rendre compte que lui aussi, y répond. Poussant un soupir avec l’envie irrépressible de rire, il ajoute : « D’accord. Nous sommes pareils à ce propos. » Car il sait qu’elle ne va pas se gêner afin de le lui faire comprendre et alors qu’il l’implore silencieusement d’ouvrir sa bouteille, elle s’exécute, arguant qu’elle sait lire dans ses pensées. « Tu as raison. Personne ne me connaît comme toi. » C’est une évidence, puisqu’il se confie à elle, sa sœur de cœur plus qu’à quiconque. Avalant quelques gorgées de sa bouteille d’eau, il fronce des sourcils au début de sa phrase, pour s’apaiser à sa suite et fin. « J’imagine que j’ai bien besoin de ce remède en effet. » N’importe qui pourrait lui offrir de l’amour, ce ne serait pas comme sa petite Phoebe, sa filleule qui parvient toujours à lui redonner le sourire, mais aussi un semblant de goût à vivre ou plutôt, survivre. « Elle souhaite réellement me faire des couettes ? » Il l’interroge pour lever les yeux au ciel avant d’esquisser un sincère sourire, cette fois. « C’est avec plaisir que je t’aiderai à trouver de quoi meubler la chambre de little pumpkin. Avec l’approbation de Demyan, bien sûr. » Même s’ils ne s’entendent pas aussi bien qu’il l’a toujours espéré, Ezekiel se dit que leur relation ne peut aller qu’en s’améliorant et qu’avec le temps, ils parviendront à se tolérer. Du moins, c’est déjà son cas à lui. « Hm… Je ne serais pas objectif si je te répondais à ce propos. Il est évident pour moi que jamais, elles ne seront insupportables. » Puisqu’il les aime comme ses nièces, des personnes à part entière de sa famille. Mais lorsqu’il aborde son sujet complexe, il ne sait que répondre à Peyton qui doit s’interroger en se demandant ce qui lui arrive. « Ne t’en fais pas pour moi. » Il commence, pour continuer : « Du moins, pas pour ce qui me préoccupe. Tu as le droit de t’inquiéter au sujet de ma pathologie, mais pour le reste… » Il affiche une moue, l’air de dire que ce n’est rien, bien que son regard retranscrive son incommensurable tristesse.



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@M. Ezekiel Emerson    
Je suis bel et bien mal placé pour donner des conseils tels que je vient de t'en donner, j'en suis bien consciente. Depuis que je suis enceinte, je ne me suis pas reposé ou alors il y a eu deux jours où j'ai pu juste lire un livre assise sur le canapé, mais je déteste rester assise bien trop longtemps. Trop peu pour moi... J'ai besoin de dynamisme, d'adrénaline surtout. C'est bien ce qui me manquait. Surtout durant mon job secret,. Dans les débuts de ma grossesse, je continuais encore, mais maintenant j'ai plutôt du mal à porter. De plus, je vomis souvent, mes nuits se passent sur la cuvette pour la plupart du temps. Les joies de la grossesse ! Je me dis que dans quelques mois ça sera terminé, je pourrais enfin avaler des sushis, boire du vin et tout autre alcool dont je désire. Alors que toi, ta maladie est permanente, tu le vis au quotidien et t'as pas juste neuf mois à supporter la souffrance, tenir le coup comme tu le peux. Malheureusement, il n'y a aucun remède à ta maladie et ça m'insupporte de le savoir. Alors oui, je sais que je suis mal placée pour parler de te reposer, mais tu ne peux pas t'empêcher de me le faire remarquer, je lève alors les yeux au ciel. Oui, je suis maman et je ne peux pas me permettre de me reposer non plus. Tu sais à quel point Phoebe peut vite fatiguer, elle a la forme, elle ! Répliquais-je avec le sourire aux lèvres. Evidemment, je suis bien contente et c'est de la bonne fatigue que de profiter de chaque instant avec ma fille de six ans, l'élever seule n'a pas été facile, maintenant j'ai la chance d'avoir Demyan. Toutefois, elle en oublie pas son parrain, elle me parle sans cesse de toi alors évidemment je te fais part de ma merveilleuse idée. Tu sais comme elle est créative et qu'elle adore te faire perdre la tête. Un rire léger vient s'échapper de mes lippes en repensant à la façon dont elle te traite, c'est toujours enfantin et gentillet et en plus, tu te laisses faire avec grand plaisir. Elle en profite, la maligne et elle a bien raison. Elle prends exemple sur sa mère.Tant que ça ressemble à ce qu'il avait en tête, il ne verra pas d'inconvénient à ce que tu nous aide. Mon petit ami se méfie un peu trop de toi. En faites, il n'aime pas nous voir si proches et même si j'ai beau lui dire que il ne s'est rien passé et il ne se passera jamais rien d'ambigue entre toi et moi, c'est ainsi. Il n'arrivera pas à te faire confiance même si il me fait confiance. Je ne peux pas le forcer à t'apprécier, mais il respecte notre amitié et ne compte pas non plus te priver de nous faire part de tes idées pour la chambre de notre fille. Il sait que tu compte pour moi, comme un grand frère. T'es trop adorable, mais t'as le droit de dire qu'on est insupportables. Même si ça me touche que tu penses le contraire. Je dois bien reconnaître que mon caractère est bien trempé et que je suis parfois insupportable. M'intéressant plus sérieusement à ton sujet, ta vie sentimentale, mais tu ne veux pas non plus m'en dire d'avantage, ça me tracasse, mais c'est ton choix. Je m'inquiète pour tout en te concernant... Tu peux me parler, tu sais? Mon timbre de voix est sincère, mes opales posés sur toi. J'aimerais que tu me fasses confiance, que tu t'ouvres un peu à moi.
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@Peyton Halliwell

TW : trouble HSD - épuisement moral et physique

Le professeur ne tient plus et leur pause lui semble être une véritable bénédiction, puisqu’il aurait fini par chuter. Ce ne serait en rien ce qui lui ferait le plus mal, comme ses maux sont plus pesants et douloureux que les douleurs que son corps lui fait ressentir. Bien sûr, il s’interroge parfois pour se demander d’où vient cette force qui le maintient debout, mais il ne saurait répondre à cette question, parce qu'il n’en a aucune idée. Peut-être est-ce dû aux personnes auxquelles il tient, qui lui sont chères ou encore, à cause de son vécu, de ce passé nébuleux dont il ne souhaite toujours parler. Évoquer Beth est déjà une chose en soi, alors s’étendre sur le reste, notamment son enfance, il en est tout bonnement incapable.
- « Tu marques un point. » Ezekiel ne peut que le reconnaître. Sa meilleure-amie a une enfant dont il est le parrain et s’il y a bien un terme qui la qualifie, c'est "énergique". Il en vient même à se demander d’où déborde toute son énergie, puisqu’ils peuvent jouer des heures durant, avant qu'elle ne lui propose de le coiffer. Bien entendu, il accepte et grimace souvent, car elle tire sur sa chevelure brune afin de prendre le maximum de cheveux possible pour les lui tresser ou encore faire de multiples couettes ou de palmiers sur sa tête. « Oh, ça ! J’en suis informé. » Sa créativité le surprend toujours. « J’imagine que je vais encore ressortir de chez vous avec mes cheveux dans tous les sens. » Comme il défait la coiffure pour se retirer. Seulement, généralement, il ne parvient pas à les discipliner et des mèches partent d’un côté, tandis que d’autres vont de l’autre. Puis, évoquant la future chambre du bébé, Ezekiel se propose de l’aider. Comment faire autrement ? Peyton est sa famille, il la voit comme cette sœur qu’il n’a jamais eue, alors, il n’a d’autre choix que de se proposer, tout en respectant ses choix, ainsi que ceux de Demyan, qui a bien du mal à le supporter ainsi qu’à lui faire confiance. En même temps, le brun a eu vent de ce qu’il avait vécu et dans le fond, il ne peut réellement lui en vouloir. Son seul souhait est que sa sœur de cœur soit heureuse et il parvient à la rendre ainsi, lumineuse, rayonnante et c’est ce qui prime. « Je ne compte pas faire autrement que de suivre vos plans. Je n’imposerai aucune idée. Je serai une sorte de machine vivante qui répond au mieux à vos attentes concernant la chambre. » Comme s’il deviendrait un robot pour peindre et s’occuper de ce qu’ils souhaitent, sans s’essayer à apporter une touche personnelle. « Hm… » Il songe à ses propos, si bien qu’il en fronce les sourcils. Un sourire naît d’ailleurs sur son visage à la mâchoire carrée, tandis qu’il y pense plus sérieusement. « Très bien. Quelques fois, il est difficile de vous suivre, mais de là à prononcer le mot insupportable... » Non, elles ne le sont pas, puisqu’elles lui apportent bonheur et joie, ainsi qu’insouciance, ce qu’il n’a pas lorsqu’il se retrouve seul chez lui, ou même à son travail. Mais quand elle en vient à lui, ses sentiments ou plutôt, sa vie sentimentale, Ezekiel se renferme comme une huitre et cela se perçoit dans son attitude ou encore sur son visage. « Je sais bien, Peyton. » Il admet dans un soupir pour détourner le regard. « J’avais rencontré une femme qui a… éveillé mes sentiments. » Sa gorge se trouve nouée, il peine à continuer. « Seulement, elle tire sa révérence. Elle quitte Boston, ainsi que moi. Elle souhaite se reconstruire, et cela, seule. » Il hausse des épaules comme pour signifier que ça va, que ce n’est rien, mais il ment. Son départ l’affecte à cause des sentiments qu’il éprouve à son égard. Le fait est que rien ne pourra s’arranger comme elle se retire et il va devoir composer avec sa peine ainsi que son désespoir, encore une fois.



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@M. Ezekiel Emerson    
Et oui, c'est dur la vie de maman. N'empêche que je l'apprécie tel qu'elle est. J'aime être la maman de Phoebe. Elle a six ans, elle est très intelligente, elle a la forme et elle sait se débrouiller par elle-même, elle est très futée et maligne. En tout cas, elle m'apporte la joie et le bonheur à chaque instant. Si elle n'était pas là, j'aurais sûrement fini au fond du trou. J'ai aussi la chance d'avoir mes soeurs auprès de moi pour m'aider et me soutenir à chaque épreuve que je subis. Et toi, mon meilleur ami depuis quelques années. Je reconnais être bien entourée, j'en ai de la chance. C'est pour cette raison que je t'ai nommé comme parrain de Phoebe, je sais que je peux avoir confance en toi à cent pour cent. Avant Demyan, elle avait toi comme figure paternel si on peut dire les choses ainsi. Maintenant, elle a bien grandi et j'adore vous voir jouer ensemble tous les deux. Un rire vient s'échapper de mes lèvres en imaginant ta tête avec des tresses ou même des couettes, ça parait improbable et amusant surtout. Je pense, oui. Ou sinon tu ferais mieux d'emmener une brosse à cheveux et du gel, je peux aussi essayer de te coiffer. Pas sûr que ce soit une grande réussite, mais pourquoi pas. Décidemment, les Halliwell vont finir par te faire perdre la tête, n'est-ce pas? Ensuite vient le sujet de la chambre de Lilyana, il va falloir que je m'y prenne très vite. Je réfléchis déjà à sa future chambre. Demyan suggère le thème du monde merveilleux de Peter pan, son dessin animé préféré. Je sais qu'entre vous, ce n'est pas l'amour fou, il ressent de la méfiance envers toi, mais ça me fait plaisir de te voir aussi investi à vouloir nous aider. Je n'en doute pas et je t'ne remercie. Je voudrais éviter plus que possible les conflits et je suis certaine que toi aussi. J'apprécie ta démarche dans tous les cas et en plus, je sais que mon petit ami n'y verra aucun inconvénient du moment que tu respectes les plans. Hm... On va dire que tu nous supporte bien alors. Depuis de nombreuses années même. Tu viens ensuite te confier sur ta vie privée, ta vie sentimentale plutôt. Je tends l'oreille attentive, tu m'ouvres enfin ton coeur à propos de ta "bien aimée". Mais, à croire que le bonheur ne veut pas te sourire, mon sourire vient tomber soudainement à l'entente de tes dernières paroles. Je suis vraiment désolée pour toi, Ez.... Tu lui avais parlé de tes sentiments? Je sais combien il est difficile d'en parler à coeur ouvert avec la personne concernée, mais peut-être qu'elle changera d'avis en sachant tes sentiments envers elle si c'est réciproque... L'espoir fait vivre.
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Stress and boxing session.TW :: trouble HSD - épuisement moral et physique with @Peyton Halliwell et @M. Ezekiel Emerson
Leur séance de boxe tourne en conversation entre meilleurs amis, ou plutôt confidents. Cela dit, cela s’apparente également à une discussion entre un grand-frère et une grande sœur. Et Ezekiel en avait irrémédiablement besoin, de converser ainsi. Il sait qu’il peut compter sur Peyton, dans n’importe quelle situation. De plus, le fait qu’ils parlent entre eux sur un banc empêche celle qu’il considère comme sa sœur de trop forcer comme elle est enceinte et c’est un plus indéniable.
- « Pourquoi toutes les Halliwell désirent me coiffer ? » Il se joint à son rire, sait à quoi ressemble sa tête avec de multiples couettes et soudain, il l’interroge : « Que me ferais-tu, comme coiffure ? » Il est curieux, souhaite davantage rire encore. Et à sa remarque, il se dit qu’avoir du gel avec lui ainsi qu’un peigne n’est, semble-t-il, une mauvaise idée, puisqu’il a dans sa boite à gants une cravate, au cas où il doive en passer une. « C’est à moi de te remercier de me faire confiance. » Comme il ne souhaite point qu’elle se dispute avec Demyan, l’homme qu’elle aime et qui se méfie de lui, alors qu’il n’y a véritablement aucune raison. « Si tu le souhaites, je te répondrai même par le mot ; cheffe ! » Il rit de nouveau, quand elle évoque le fait que les Halliwell sont, ce que l’on peut qualifier de pénibles, puisqu’insupportables, mais ce n’est pas son avis. « Je crois que c’est cela. Je vous supporte plutôt bien. » Le professeur sait que c’est lui qui est insupportable en règle générale, alors comment leur jeter la pierre ? C’est tout bonnement impossible. Et le bonheur affiché se dissipe, s’étiole, disparait, puisqu’il en vient à se confier, ce qui n’est chose facile pour lui. Parler de ses sentiments, de ce qu’il endure, ce n’est pas son "truc", mais pour Peyton qui s’inquiète et s’interroge, il veut bien s’y essayer. À ses mots, elle aussi cesse de sourire et il laisse un soupir s’extirper d’entre ses lèvres charnues lorsqu’elle lui souffle être désolée. Il voudrait bien lui répondre qu’elle n’a pas à l’être, puisque ce n’est sa faute, mais il s’abstient et se contente de fixer le sol. « Je lui ai fait part de mes sentiments, oui. » Sa réponse est semblable à un murmure. « Mais… » Ses iris s’emplissent de larmes. « Ce ne sera suffisant. C’est ainsi. » Ses épaules affaissées, il les hausse malgré tout, afin de faire mine que ce n’est rien. Seulement, c’est vraisemblablement l’exact opposé puisqu’il souffre de sa décision : celle de quitter Boston et ainsi de l’abandonner. « Je ne suis pas assez bien pour elle, de toute façon. » Un rictus nait sur son visage aux traits tirés, à cause de ses multiples maux. « Elle était telle un ange à mes yeux et elle est partie. » Il n’y a rien de plus à ajouter.
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Tw : maladie, grossesse, décès.
stress & boxing session with @M. Ezekiel Emerson

Je laisse échapper un rire entre mes lèvres à l'entente de ta question en haussant les épaules. T'as des beaux cheveux? Répondais-je en réponse plutôt que d'avouer qu'on adorait te torturer, c'était plus joli dit comme ça. J'sais pas... Un chignon? Ouais pourquoi pas essayer de faire un beau chignon. Enfin, j'arrive bien à coiffer Phoebe, mais toi, j'en sais trop rien. Va falloir que Phoebe me montre comment elle te coiffe d'habitude. Tu proposais ensuite ton aide pour préparer la chambre de la nouvelle venue, Lilyana et j'ai déjà hâte de l'avoir dans mes bras. Être enceinte n'était pas évident tous les jours. J'suis fatiguée, j'ai des sautes d'humeurs que parfois mon petit ami a du mal à supporter, je ne peux pas boire de l'alcool ni manger ce que je souhaite. A côté de ça, j'me dis que j'ai la chance de porter la vie. Et que toi, t'aurais dû être père si seulement ta bien aimée était encore en vie... Alors, je me raccroche à ça quand ça ne va pas. Lorsque je suis sur le point de craquer et perdre les pédales. J'pourrais y prendre goût. Lâchais-je en riant légèrement. Cheffe, ça me va comme un gant. Après avoir bien rigolé, il était temps de passer à une conversation plus sérieuse. Je viens reprendre ma bouteille d'eau afin de m'en délecter d'une bonne gorgée tout en t'écoutant ouvrir ton coeur. En tout cas, ça faisait bien longtemps que ça n'était pas arrivé. Que tu n'avais pas parlé d'une autre femme qu'elle. Je fais une moue triste au fur et à mesure de tes paroles et prends conscience que t'as pas de chance d'être tombé amoureux d'une femme qui s'en est allé... J'avais aucune envie d'enfoncer le couteau dans la plaie, je prenais soin de t'épauler comme il se doit d'être. J'suis navrée, vraiment... Elle ne sait pas ce qu'elle rate visiblement. J'avais envie de te redonner le sourire, te remonter le moral. Tu dis n'importe quoi, t'es vraiment un mec bien, Ez. Si ce n'est pas à elle que t'es destiné, c'est la vie... Tu verras, tu finiras par trouver celle qui te mérite. Facile à dire, je sais que tu ne veux pas l'entendre, mais regarde-moi avec Demyan... Pourtant j'étais réticente à l'idée de m'engager à nouveau dans un couple et j'suis maintenant enceinte de lui.

 

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(PEYTON) STRESS & BOXING SESSION. - Page 2 Glass-10 with @Peyton Halliwell and @M. Ezekiel Emerson
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Leur conversation sur le banc l’arrange et il rit, comme il ne l’a pas fait depuis longtemps. Il faut bien admettre qu’il y a de quoi, étant donné qu’ils évoquent le fait que les Halliwell semblent avoir une véritable passion pour sa chevelure et alors qu’il l’interroge sur la raison de ces envies de le coiffer, il ne peut s’empêcher de rire encore à sa réponse.
- « Ouais. On va dire que c’est ça. » Il est surtout leur "souffre-douleur" préféré niveau coiffure, comme si Phoebe avait besoin d’une poupée vivante. Elle a décidé que ce serait lui, son parrain, qui aurait ce rôle. « Un chignon ? » Il interroge Peyton, alors qu’il lui avait demandé quelle coiffure elle lui ferait, et il ne peut s’empêcher de secouer sa tête de gauche à droite. « Il faudrait que je les laisse pousser, ou que tu me mettes des rajouts, ou extensions ? » À quoi ressemblerait-il ainsi ? Il préfère ne pas y songer, au risque de ne plus pouvoir s’arrêter de rire, quand ils en viennent à la chambre de celle qui va bientôt compléter la fratrie Halliwell : Lilyana. Bien évidemment, il l’aime déjà, ce petit être qu’il considérera comme sa nièce et à l’évocation du terme « cheffe », Peyton semble plus qu’heureuse qu’il en use afin de l’appeler. « Je n’en doute pas. D’autant que cela te va comme un gant. » Il ajoute un large sourire présent sur son visage, seulement, cela ne perdure. Puisqu’il vient à se confier sur ses relations personnelles et notamment à propos de celle qui a éveillé ses sentiments, de nouveau. Lilly-Ann est son prénom. Cependant, il ne le souffle et se contente d’admettre que malgré ses sentiments avoués, elle ne désire rester à Boston. Elle le quitte, se décide à se délester de lui pour recommencer à vivre et comment l’en blâmer ? Il ne le peut d’ailleurs et lorsque Peyton prononce qu’elle ne sait ce qu’elle rate, un rire amer s’extirpe d’entre les lèvres charnues de son meilleur ami. « Je crois qu’elle sait et que c’est pour cette raison qu’elle s’en va. » Comment aurait pu t-il en être autrement alors qu’il la désigne comme un ange ? Lui est voué aux enfers, il en a la certitude. « Je sais ce que je dis, Peyton. » Il termine dans un murmure, laissant ses larmes silencieuses coulées pour éclater sur le sol du gymnase, quand, après s’être laissé aller ainsi, à s’émouvoir, il prononce, à sa meilleure amie, la voix rauque et le regard embrumé de larmes : « Si nous allions boire un milkshake protéiné ou tout ce que tu voudras, hm ? » Il essuie de manière discrète ses larmes, traitresses et se lève du banc. « Nous pourrons même grignoter un petit quelque chose, d’accord ? » Il dit sans même attendre de réponse puisqu’il s’empare de son sac de sport et lui fait signe qu’il sort. Après tout, il ne porte plus ses gants et il se douchera chez lui. De plus, Peyton a suffisamment frappé dans le sac de boxe et ils ont tous deux besoin de quitter cet endroit. Une fois qu’elle le rejoint, il lui sourit, l’air de rien et ouvre la porte coté passager de son véhicule afin qu’il y prenne place. « Allons-y. » Sont ses derniers mots prononcés avant de fermer lac porte sur elle et de contourner le véhicule afin de se mettre derrière le volant. Une fois installé, il ajuste sa ceinture de sécurité et ils s’en vont rejoindre l’endroit idéal pour reprendre les calories récemment brûler.


FIN.
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