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(théaya) your soul echoes mine

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YOUR SOUL ECHOES MINEÀ
@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

Naya, enfant abandonné depuis si longtemps que tu t’es construite sur des incertitudes. Tu passes ta vie à t’accrocher aux personnes qui te feront sans doute le plus de mal. Tu te protèges seul barrière pour protéger ton âme. Protéger ce coeur que tu refuses de laisser à quelqu’un. Un père absent durant toute ta vie qui a mit quatre femmes différentes enceintes rapportant des demies-sœurs comme pour te donner un lot de consolation. Une mère aimante, présente et si importante que c’est la maladie qui te l’a enlevé l’obligeant à souffrir pendant quatre longues années. T’étais trop jeune Naya, t’as mit ton enfance aux ordures et t’as dû grandir seule, être assez forte pour deux et t’as laisser tes émotions dans un tiroir. Tout le monde part un jour, évidence même dont la vie t’as donné tant de preuves. Tu ne penses pas mériter l’amour de quelqu’un, tu n’y crois même pas. Et pourtant, Josh il est arrivé dans le brouillard de ta vie, à traversé la mer noir au roues de ton cœur pour te redonner un espoir. Une étincelle qui t’a pousser à le suivre jusqu’au bout du monde si il avait fallut. Tu étais dépendante, incapable de penser t’en sortir sans lui. Il te l’a tellement répété, Naya. Tu y a cru, toi tu n’es pas faites pour vivre seule. T’as besoin de lui. De sa violence. D son amour si fort qu’il détruit tout, a consumé jusqu’à la moindre parcelle de ton corps. Tu n’es plus là depuis si longtemps. Il a tout prix en toi, mais t’as réussi à le fuir, quand ton corps a rencontré celui de Théodore.
Maintenant c’est à lui que tu t’accroches, lui qui détient cette partie de toi qui reste encore quelque part. Lui a qui tu pardonnes tout. Les coups bas, les cris et les injures. Lui pour qui tu serais prête à tuer si il te le demandait. Même cycle qui recommence encore et encore, parce que tu ne peux pas être seule. Ton corps qui rejoint un inconnu chaque soirs pour ressentir une présence quand lui en désire d’autres. Jeu malsain certes, mais c’est votre jeu et tu en addict. Tu as fais de lui, ta proie, incapable de le laisser t’échapper a présent il est à toi.
Ton corps qui appel le sien dans un besoin féroce et incontrôlable. Tu gémis presque d’impatience. Tu le veux c’est comme ça. Impossible de faire marche arrière, il faut qu’il soulage ton corps et ton âme. Sa ceinture qui s’enroule autours de tes poignets et une montée de désir qui te gagne. Et puis c’est la libération, pendant ces longues minutes, vous ne faites qu’un. Parfaite osmose, une harmonie comme tu n’en connais aucune autre. Deux moules qui n’en forme plus qu’un. L’écho de vos râles de plaisir qui sifflent dans le journal. A travers le silence, il n’y a que le son de vos corps qui se fracassent l’un contre l’autre, violemment dans un besoin de possession et de domination.

Tu sens doucement l’oxygène remplir tes poumons, la tête encore dans les vapes après ce qui vient de se passer. Tu es monté si haut avec lui, que la descente est difficile. Tu termine de boutonner ton chemisier, un regard vers la pièce où tu peux encore sentir lés effluves de corps en sueur. Tu vas ouvrir la fenêtre et tu viens remettre en ordre ton bureau ainsi que le dossier sur lequel tu travaillais. « Tu veux que je rentre avec toi ? » La voix de Théodore qui résonne et te ramène à la réalité, tu viens enfin poser les yeux sur lui. Il a les cheveux en bataille, les joues rougies par l’effort qu’il vient de faire et la lèvre davantage gonflé par apport à son arrivé. Il est beau, le regard brillant et toi tu pourrais recommencer inlassablement. Tu viens près de lui et tu glisses tes bras autours de son cou.

— " Oui, reste avec moi toute la nuit. J’ai besoin de toi. "

Tes doigts qui glissent sur sa nuque lentement et tu viens l’embrasser, un baiser plus tendre maintenant que tu as été soulagée. Tout ton corps s’enflamme à nouveau contre lui et tu lui donnes tout. Tu veux qu’il sente combien tu l’as dans la peau. Combien tu ne seras jamais toi sans lui.
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Naya. La pluie sur la ville te couvrait comme un blouson de cuir émietté, bouffé jusqu’à la corde par les mites quand elle est entrée dans ta vie ce vendredi soir-là. Première année à Harvard, première soirée étudiante. Maladroit petit Théodore, complètement perdu dans cette foule dansante. Loin, bien loin de comprendre le rythme de la vague festive. Ce n’était pas encore dans tes habitudes de participer aux fêtes, non. Encore moins seul. Une mauvaise passe te serrait le cœur, difficile moment qui te poursuit encore aujourd’hui. Tu ne retrouvais même plus ton feu, une cigarette coincée entre les lèvres. Un verre de bière à la main, tes lèvres n’ayant goûté l’alcool que deux fois dans ton existence entière. Jeune homme si prude… Si sage mais déterminé à se noyer pour oublier. Pour ne plus y penser. Grand-Père. Un frisson de dégoût et d’admiration, ambivalence paradoxale glaçant ton sang. « Tu veux que je rentre avec toi ? » . Tu sais pertinent la réponse, mais tu as besoin de l’entendre. Tu ne veux pas dormir seul, tu refuses d’affronter tes cauchemars cette nuit. Tu refuses l’insomnie et les réflexions terribles qui effraie Morphée. Non non… Tu ramasses distraitement les divers objets ayant été projeté au sol. Tu ne peux empêcher ces pensées venir t’assombrir après chaque moment d’intimité partagé. Pas sans une dose massive d’alcool dans le sang. Mécanique mouvement de nettoyage compulsif, tu occupes tes pensées en ramassant, ramassant, ramassant… Ton regard surveille distraitement Naya qui se rhabille, la courbe de sa poitrine se dissimulant derrière son chemisier noir. Théodore, tu te surprends encore à entendre la musique sourde qui battait tes oreilles lorsque ton regard s’est plongé dans le sien pour la première fois. Accidentel échange visuel qui a bouleversé ton existence. Pendant un instant, tu as oublié jusqu’aux moindres souvenirs. Vous vous êtes rencontrés en vous heurtant, chacun portant entre ses mains ses entrailles déchirées, n’osant pas admettre votre répugnance pour l’existence. Victime. Ce mot te hantait autant que ses mains ridées sur ta peau juvénile. Tu n’as jamais su en parler à quiconque même pas à Naya, même pas à Lali. Comment aurais-tu pu en parler avec Lali lorsque sa douce peau avait réveillé en toi les souvenirs traumatiques ? Impossible. Théodore, tu es enterré dans un cercueil de silence pour toujours. La terre oppressant tes membres, paralysant tes pensées. Cependant, à cet instant, dans son regard, quelque chose s’est mué. Tes démons se sont tus, comme troublés par son être. Une bête féroce, constamment affamée s’est révélé à toi. Une créature dont il faut continuellement gorger jusqu’à la gueule pour éviter le moindre incident, pour qu’elle ne se jette pas sur quelqu’un le brisant de tes poings. Naya t’apaise. Elle a ouvert le cercueil, laissant l’oxygène t’attendre ne serait-ce qu’une seconde. Tu sais Théodore, que ce sentiment est réciproque. Les hommes des unes font le bonheur des autres n'est-ce pas ? Lali ne te pardonnera jamais. Est-ce important ? Tu n’oses pas répondre à cette question tant la peur te serre la gorge. « Oui, reste avec moi toute la nuit. J’ai besoin de toi. » Ses bras se glissent autour de ton cou et tes mains vont presque naturellement se loger dans le bas de son dos. Sa bouche apaisée vient s’offrir plus tendrement à la tienne. Loin de la précipitation, tu es bien plus langoureux avec elle. Tu t’amuses à lui mordre la lèvre inférieure, serrant son corps contre le tien à t’en briser les côtes avant de la relâcher. Tu souris joueur, replaçant une mèche rebelle derrière son oreille. « Je reste avec toi alors Naya » Tu saisie sa main, venant masser ses poignets maltraités par ta ceinture. « Heureusement, aucune marque a déplorée. »


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@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

La pluie cette nuit à emporté avec elle les reste de la jeune Naya. Celle qui croyait aux histoires qu’on raconte dans les livres. Ces histoires qui parlent de l’amour qui rend heureux et qui ne garanti que le bonheur. Cette nuit la, tu as comprit que l’amour ça faisait mal, c’était les assiettes qui volent, les hurlements et cette jalousie qui vous a consumé au point de vous détruire. Quand t’as vu Josh avec cette fille chez vous, t’as cru que ton cœur avait explosé dans ta poitrine. La violence du choc fut si forte. Tu revois encore son regard braqué sur toi alors qu’il l’assenait de coup de reins. La gerbe à la bouche, t’as couru cette nuit là aussi loin que tu as pu. Ton univers a prit feu et a tout balayer ne laissant qu’un tas de cendres. Tu peux encore en sentir l’odeur au fond de toi. C’est à bout de souffle que tu as fini par entrer pour te prendre un verre et que vos corps sont entrés en collision.
C’est son corps qui a appelé le tiens en premier, ils se sont désirés à cet instant. En second se fut vos regards qui se sont croisés et t’as plongé. En apnée, t’as vu des démons. Les a salué d’une révérence et leurs a souhaité la bienvenue avant de les accueillir chaleureusement. Les tiens se sont trouvés des alliées dans leur tempêtes. Dans ce désir de destructions. Naturellement, vos corps ont valsé, longuement cette nuit la. Quelque chose s’est passé et ce fut le début de la chute. Lente. Passionné. Orageuse.
Tu essaies de remettre tes cheveux brun en ordre lorsque tu retrouves une contenance. Tu redeviens doucement toi-même, plus a même de maîtriser tes émotions à présent. Tu n’as pourtant aucune envie de le voir disparaître dans la nuit. Tu veux encore son odeur. Ses lèvres sur ta peau salé. Tu veux ses bras autours de toi. Le bruit de sa respiration quand il parvient à trouver le sommeil. Tu veux ses baisers. Tu veux tout, encore un peu. Pour toujours. Venant contre lui, tu ne résistes pas à l’envie de l’embrasser encore. Baiser qui devient très vite plus profond, plus désireux d’en avoir encore plus. Ton bas ventre qui s’embrase et il te presse si fort contre lui. Plus près toujours plus près encore plus près. Ta main qui s’échoue dans ses cheveux et tu finis par le relâcher à bout de souffle une fois de plus. « Je reste avec toi alors Naya. » Un soulagement qui t’envahis. Tout ce que tu désirais. Sa main qui saisit ta main pour te masser le poignet, un léger sourire qui parcours tes lèvres alors que tu aimes quand il est comme ça, dominant. Tu viens nouer tes doigts au sien pour l’attirer à l’extérieur.

— " Même si il y en avait eu, ça n’aurait rien changé. "

Marque ou non, c’est un moyen pour vous de laisser une trace de votre passage. Les suçons, les griffures et parfois les marques de dents. C’est vous tout ça et tu ne changerais rien. Le regard des gens n’a jamais eu d’importance pour toi, Naya. Tu vis selon tes désirs et ça s’arrête là. Quand, vous passez la porte la pluie tombe à torrent et t’arrache un rire. Rire mélodieux qui résonne dans la nuit noir. Le souvenir de votre première fois qui s’éveille en toi à nouveau alors tu plonges tes yeux dans les siens.
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Théodore, lorsque son corps est ainsi pressé contre le tien, tu ressens parfois une peur saisissante. Frayeur fébrile de te perdre encore un peu plus dans l’obscurité, dépendre d’un autre être… Que le fait d’être avec elle soit devenu si constitutif de ton identité que la moindre séparation ferait voler en éclat l’individu. Tu préfères refouler cette pensée loin dans les méandres de ton esprit, préférant goûter ses lèvres à nouveau. Cette douceur mielleuse qui vibre jusqu’au plus profond de ton estomac. Tu ne veux plus dépendre autant de quelqu’un. Non, pas encore. Cette rengaine ne mène qu’aux plus profondes insatisfaction. Demain, tu te perdras dans les bras de qui tu veux, de n’importe qui. Théodore, profites donc de cet instant avant que la souffrance ne t’arrache à nouveau, que les larmes ne coulent et que les blessures ne soient échangées. Vous excellez dans l’art de la maltraitance, vous torturant les pleurs dans les yeux et le sourire cruel à la bouche. Tu es persuadé que vous n’êtes pas comme les autres, comment pourrait-il en être autrement ? Comment les infâmes pourraient-ils ressentir une telle explosion sans s’écrouler ? Sans s’éteindre sur le bûcher ? Vous êtes un putain de miracle, échappant aux questions et à la bassesse des sentiments faciles. L’amour est un souvenir qui tord le cœur alors pourquoi s’en encombrer ? Un long silence fragile plane entre vous, une suspension du temps alors que les gémissements partagés hantent encore le lieu. Une brise fraiche t’atteint, débarquer seulement en tee-shirt était une mauvaise idée. L’odeur de rouille essaie de remonter à tes narines, mais elles ne sont sensibles qu’à son parfum hypnotique. Elle noue ses doigts autour des tiens, menottes desquelles tu ne peux t’échapper et elle t’entraîne à l’extérieur du bâtiment. « Même si il y en avait eu, ça n’aurait rien changé. » Le tiraillement d’un suçon tire la peau de ton cou, ta lèvre gonflée pulse étrangement et tu sais pertinemment que des striures parcourent ton dos. Elle adore laisser sa trace, marquant ton corps comme territoire de sa chasse. Lionne en cage refusant de céder ne serait-ce qu’une parcelle de ton être aux moindres individus de ce monde. Cependant, tu ne peux céder à ce caprice qu’elle tente jours après jours, rencontre après rencontre de t’imposer. La nuit est obscure et une pluie torrentielle s’abat sur vous. Le sang séché sur tes vêtements inonde sans retenu le tissu alors que son rire cristallin éclate dans la rue. Écho magnifique se répercutant sur le béton. Tu souris commençant à courir en direction de ta voiture en serrant plus fort sa main dans la tienne. Rapidement, vous êtes complètement trempés, comme cette première nuit. Tu ouvres rapidement la portière, déverrouillant l’habitacle. « Il y a un pull à l’arrière, enfile le avant d’attraper froid. »


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Theodore. Tu te demandes souvent combien de temps tu pourras encore lutter contre lui. Parce que même si tout donne l’impression que vous vous désirez, au fond la vérité est tout autre. Avez-vous vraiment le contrôle ? Tu voudrais être capable de le fuir, de pouvoir contrôler tes sentiments qui quand il s’agit de lui sont un vrai capharnaüm. Combien de fois vous vous êtes rejetés en trouvant des plans plus cruels à chaque fois ? Tout excuse est bonne pour se disputer, pousser l’autre à faire ce que vous êtes incapable de faire vous même. Ne jamais trop réfléchir à ce qui vous lie parce qu’il y a des vérités qu’on ne voudrait pas connaître. Refouler, enfouir, ternir par la douleur cette histoire qui pourrait être si belle. Seulement, vous ne serez jamais beaux, vous êtes brûlés, éventré, les boyaux laissés sur la table. Y a plus rien à sauver, il est déjà trop tard pour vous deux. Théodore, il est à la fois ton sauveur et ton destructeur. Il est ce que tu désires et ce que tu crains. Constamment ce ying et ce yang qui entre en altercation et toi tu perds le fil. Tu t’aventures trop près du précipice prête à faire le grand saut et en finir avec tout ça. Tu le sais que tu es nocive pour lui, tu es incapable de le sauver. Égoïste, tu veux qu’il s’accroche à toi et qu’il plonge avec toi jusqu’à la mort. Destructrice Naya. Tu as fais de lui ton roi dans ce monde de ténèbres et tu refuses de le laisser t’échapper. Ta main qui serre la sienne, tu as besoin de le savoir avec toi quoi que tu fasses c’est comme ça et tu sais qu’il en va de même pour lui. Vous êtes les mêmes parfait reflet, parfait poison qui coule dans vos veines et vous tue a petit feu. Aucun de vous ne pourra trouver la paix tant que l’autre sera la. Incapable de le laisser à une autre quand, toi tu passes tes journées dans les bras d’hommes qui pourront chasser les souvenirs de vos corps à corps. Même quand il n’est pas là, Théodore est dans tes pensées, dans les odeurs, dans les chansons. Il est partout pour te rappeler sans cesse que tu lui appartient. La face à la pluie, tu te retrouves a rien envahit par les souvenirs, une réalité qui te submerge, vous êtes liés à jamais même si ça fait mal. Il t’entraîne avec lui sous la pluie et tu suis aveuglement. Tu entres dans sa voiture alors que tu es trempée, tu frémis et il s’en aperçoit si vite. « Il y a un pull à l’arrière, enfile le avant d’attraper froid. » Le corps qui bascule vers l’arrière pour saisir le vêtement et tu l’enfiles aussi vite. Son odeur imprégné sur le pull remonte à tes narines et tu te blotti dans ke vêtements avant de le laisse démarrer pour qu’il vous mène jusqu’à chez toi.

— " Même avec ta sale gueule, tu es beau. "

Un sourire qui glisse sur tes lèvres. C’est plus fort que toi, il faut que tu le piques. Que tu lances les hostilités parce que ouais ça te désarme qu’il est une telle emprise sur toi et tu essaies d’exorciser comme tu le peux. Le visage trempé, les gouttes qui coule le long de son visage et tu vibres. Les lumières extérieur qui se reflètent sur son visage. Tu appuies ta tête contre le siège et tu le regardes silencieuse, tu t’imprègnes de lui.
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« Il y a un pull à l’arrière, enfile le avant d’attraper froid. » Funeste et silence. Le ronronnement du moteur envahit l’habitacle de la voiture, soupire mécanique bien loin des crissements de la tôle brisée. Les mains serrées autour du volant, phalanges blanchies par la pression exercée, peau violacée par les poings défonçant les mâchoires. Tu déglutis difficilement avant d’enfoncer le pied sur l’accélérateur. Tes gestes sont habiles, routine monotone d’un trajet réalisé de très nombreuses fois. Pleuvait-il également ce soir-là ? Lorsqu’Alyssia s’est assise sur le même siège que Naya ? Elle gesticule pour attraper ton pull à l’arrière et l’enfiler rapidement. Elle inspire bruyamment, s’imprégnant de ton parfum. Quelle odeur inondait ta voiture cette nuit-là ? Un mélange de bière, de weed, de gin et de citron. Bien loin du petit sapin violet pendouillant gentiment au rétroviseur. Lavande. Tu sais que ton haleine contient les effluves de l’alcool ingéré plus tôt. Est-ce prudent ? Pas de camion éblouissant à l’horizon, ni même la moindre présence humaine. La tension s’accumule dans ta nuque. Tu détestes conduire avec des passagers mais il est inconcevable de partager à quiconque ce secret. Jamais. La pluie s’abat bruyamment sur le parebrise, s’écrasant dans des gerbes sur les bords de la route. La route n’est pas très longue, tu peux parvenir à destination Théodore. Tu souris légèrement à Naya, sa présence est étrangement rassurante. Les néons des boutiques éclairent son visage, envoyant des myriades d’éclats dans ses yeux. L’angoisse des premiers mètres retournent dans leur antre obscur et tu te permets de poser ta main sur sa cuisse pour une légère caresse. Témoignage d’affection que tu distribues parcimonieusement. Tu connais les risques Théodore d’une telle addiction, d’un tel manque. Cette relation pourrait peut-être connaître un dessein plus sain, plus heureux. Possible. Mais tu préfères amplement vos violentes querelles, vos ivresses blanches… Sa bouche brûlante traçant la damnation sur ta peau. Impossible que cette relation aboutisse à la moindre absurdité romantique. Tu refuses catégoriquement de retourner dans ce manège idiot. « Même avec ta sale gueule, tu es beau. » L’appartement de Naya se rapproche et le monde semble bien mort ce soir. Morne paysage de solitude. Vide et mort. La pluie dans tes cheveux coule le long de ta nuque et le sang sur ton tee-shirt devient une étrange trainée rose. Tu es complètement trempé et le froid mord durement tes membres. Il est fort probable que tes lèvres bleuissent légèrement et qu’une chair de poule te traverse. Un tremblement. Tu restes concentré sur la route, ta vision étant particulièrement réduite par le torrent qui continue de tomber inlassablement. Vous serez bientôt à destination. « Je ne suis pas sûr de devoir le prendre comme un compliment. » Tu ris un peu avant de brièvement te tourner vers elle. « J’adore quand tu as ce sourire narquois. Je n’ai même pas envie de te taquiner quand il est sur ton visage. » Enfin, l’appartement. Tu te gares rapidement, pas d’accident. Le soulagement après la tension. « Après, je dois admettre que le mascara coulé sur les joues, ça donne un certain charme... ». Un nouveau rire t’échappe pendant que tu farfouilles à l’arrière après un parapluie.



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« Même avec ta sale gueule, tu es beau. » Un sourire narquois sur les lèvres, fière de pouvoir lancer ton venin pour atténuer le flot émotion qui t’envahit. Tu le sais, vous auriez tout pour vivre une belle histoire, pour laisser la vague de sentiments qui vous anime prendre le dessus. Aucun de vous n’en a envie. T’as peur Naya, peur de ce que ça représente, peur qu’il t’abandonne comme ces êtres à qui tu as ouvert ton cœur. Peur que l’amour t’envahisse et te change. T’as pas envie de changer, tu aimes ta colère, tes orages, tes failles et ces démons dont tu as fais tes amis. Tu ne veux pas t’éteindre pour toujours. Pourtant, là dans l’obscurité de la nuit, simplement les lumières de la ville pour vous éclairer tu le trouves si beau. Si attirant que tu pourrais commettre un faux pas. Tu le laisses conduire jusqu’à chez toi, sa main qui se pose sur sa cuisse. Tu t’approches et ta tête rejoins son épaule. Son odeur, mélange des deux votre et de transpirations, te fait te remémorer ce qui c’est passé au journal. « Après je dois admettre que le mascara coulé les joues, ça donne un certain charme. » Un sourire se glisse sur tes lèvres et tu es gelé. Son pull est bienfaiteur vu ton état. Tu es trempée et la première chose que tu comptes faire c’est retirer tes vêtements et aller sous la douche. La voiture qui s’arrête devant ton immeuble et tu te redresses retirant ta ceinture. Tu le laisses attraper un parapluie, bien que le mal soit déjà fait. Tu le laisses sortir de la voiture et en gentleman il vient t’ouvrir ta portière. Vous courez tous les deux sous la pluie et finalement accédé a ton appartement. Tu le laisses entrer en fermant à clé, puis tu commences à te déshabiller devant lui.

— " Une douche chaude nous fera du bien à tous les deux. "

Ou pas. Tu ne sais même pas si il compte te suivre. Toi tu lui laisses un chemin de tes vêtements trempés comme pour lui indiquer le chemin qui le mènera jusqu’à toi.
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Le ronronnement de la voiture s’arrête lentement. La pluie continue son petit jeu, inondant la route et le trottoir. Le bitume brille sous les néons des commerces et un monde parallèle se dessine dans les multiples flaques d’eau. Des reflets offrant de multiples possibilités, des univers entiers où les évènements et les relations seraient bien différentes. Qui serais-tu Théodore dans l’une de ces existences ? Un compagnon aimant ? De qui ? Pourquoi ? Tu appuies légèrement ta tête contre celle de Naya, serrant dans ta paume sa cuisse. Elle semble si frêle et fragile dans ton pull. Serais-tu heureux à ses côtés dans cette flaque ? Ou seriez-vous de parfaits inconnus, vaquant à diverses activités sans importance aucune ? Peu importe, votre relation est condamnée à ce bouleversement incessant, fiévreux mélange d’attraction et de haine, de luxure et d’affection profonde. L’amour est une perte de temps idiote que formellement tu t’interdis Théodore, limite infranchissable dont la simple aurore t’invite à la disparition immédiate. Punition ultime pour une blessure incrustée dans ton être pour toujours. L’impossible passion. Tu embrasses sa joue avant de te détacher d’elle, cherchant un parapluie pour éviter d’être enseveli plus encore sous le déluge. Tu sors de l’habitacle, te précipitant pour lui ouvrir la portière et la protéger de la météo. Rapidement, vous avancez vers la porte de son appartement, tes pieds brisant la surface des moindres miroirs de pluie se présentant à toi. Destruction de ces multiples possibilités que tu refuses. Jamais un autre chemin ne s’offrira à toi Théodore, tu le sais pertinent. Tu appartiens corps et âme à ce monde et aucune autre destination n’est envisageable. La chaleur de son appartenant t’atteint rapidement, réconfortant ta peau endolorie par le froid. Naya ne patiente nullement et à l’instant où la porte se referme sur vous, elle quitte ses vêtements trempés. « Une douche chaude nous fera du bien à tous les deux. » Tu souris, amusé par son ardeur continuelle. Jamais le violent frisson de la luxure ne quitte son être. Brûlante tentatrice qui rapidement se dirige vers la salle de bain, laissant derrière elle un chemin de vêtements. Ton tee-shirt blanc colle à ta peau, épousant la forme de tes muscles. Tu abandonnes tes chaussures dans l’entrée avant de la suivre. En ouvrant la porte de la salle de bain, une vague vapeur t’enveloppe immédiatement. Tu devines derrière la vitre son corps nu. Vision voluptueuse dont ton regard ne se sépare seulement que pour retirer tes propres vêtements. « J’ignore si c’est la promesse d’une douche chaude qui m’attire dans cette salle de bain ou autre chose… » Sur tes côtes, les souvenirs d’une ecchymose apparaît toujours sous les traits d’une affreuse déclinaison jaunâtre. Le violacé ayant déjà fait ton temps. Tu pénètres sous l’eau chaude, venant rapidement l’enlacer. « Contente que je sois là ? »



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« Une douche chaude, nous fera du bien à tous les deux. »  Tu es gelé Naya, le froid est apparut bien trop vite en ce mois septembre. Tu sais que le temps sera en harmonie avec tes émotions. Orageux, pluvieux et glacial. Tu as besoin d’une douche pour chasser ce moment de faiblesse. Ces sentiments, mot à bannir, qui t’ont envahit et ressenti pour lui. Tu le sais Théodore et ta faiblesse. Il pourrait te faire changer si il essayait, tu serais prête à tout les sacrifices pour le garder. Théodore. Il était un gars comme les autres quand tu l’as rencontré ce soir là. Un peu perdu et refoulant ce mal être en lui. Il souriait quand il a posé les yeux sur toi cette nuit là et toi tu l’as détruit. Tu as fais de lui ce qu’il est. T’as prit ces ténèbres et sa douleur et t’as tout fait sortir. Tu l’as obligé à les aimer et à les entretenir. Doucement, il s’est fermé à l’amour et aux sentiments. Tu l’as fasciné et il t’as suivi. Tu l’as même pousser à la tromperie sans aucun scrupule. Tu es mauvaise pour lui, néfaste et ton poison glisse encore dans ces veines. L’alimente pour le garder. Tu te demandes si la haine entre vous ne vient pas de la. Si il ne regrette pas de s’être accroché à toi et de vivre dans votre monde à vous. Ouais, tu sais que c’est toi qui a fait de lui ce qu’il est et tu as peur qu’il finisse par te chasser un jour. Tes vêtements qui finissent sur le sol et tu as besoin de retirer toute cette culpabilité de tes épaules. Tu entres dans la salle de bain et tes sous vêtements s’échouent à tes pieds. Tu te glisse dans la douche et tu laisses l’eau chaude glisser sur ta peau. Tes mains appuyés contre le mur, tu fermes les yeux. Vous pourriez vous dire que le passé ne compte pas, tout détruire. Arrêter le temps ce soir, juste profiter de l’instant et oublier d’où vous venez. Vos colères. Vos douleurs et les cicatrices. « Contente que je sois là. » Ses mains qui s’enroulent au tours de ta taille et tu prends appuies contre son torse. Tu le presses contre toi. Un moment silencieuse, alors que l’eau vous réchauffe et que tu réalises qu’il est tout ce dont tu as besoin.  

— " Je voudrais que tu le sois pour toujours. " que tu lâches, c’est presque inaudible tant ça te coute de le dire à voix haute.

Tu viens attraper le gel douche et en déverse dans ta main. Tu te tournes pour lui faire face. Il est nu et si beau. Tu laisses tes mains glisser sur son torse et remonter à ses épaules, glisser le long de ses bras lentement alors que tu ne le quittes pas des yeux un seul instant. Tu essaies même de ne pas entendre le vacarme que fait ton cœur contre ta cage thoracique.
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« Contente que je sois là ? ». Naya. Ses deux mains appuyées contre le carrelage de la salle de bain et le dos offert à ta vue. Ses longs cheveux noirs lissés par l’effet de l’eau. Aucune imperfection, par le moindre impact sur sa peau ne vient trahir ses blessures secrètes. Une hémorragie interne souille continuellement son esprit, mais sa divine enveloppe s’échappe encore de la souffrance. Et toi Théodore, petite tumeur maligne, tu t’amuses de ces maigres réserves. Tu te niches partout, creusant de tes canines les sillons de sa dépendance. Loin d’ignorer l’emprise que tu exerces sur sa personne, tu t’amuses avec elle. Éclatant ses plus violentes colères, poussant sans cesse ses limites, détruisant ses retranchements. Tu es un poison répugnant et le dégoûtes que tu t’inspires n’est qu’un moyen supplémentaire de te noyer dans la déraison. Pourquoi se satisfaire d’être perdu lorsqu’il est possible de se vautrer dans l’ignominie ? Tu t’avances lentement à sa rencontre, la vapeur venant entourée ton corps froid. Inutile petit confort physique qui tente d’apporter la moindre once de réconfort à ton être éteint. Aucune sensation, aucune lumière. Rien, le néant. Objet céleste compact empêchant toute forme de rayonnement de s’échapper, tu aspires à toi la détresse, abreuvant ainsi ton être desséché. Un trou noir sans fin. Nulle joie de demeure longtemps à tes côtés. Tes mains enserrent sa taille l’attirant contre toi et dans la perdition de ses sentiments elle vient prendre appuie sur toi. Comment si tu pouvais être un quelconque support Théodore… Elle te serre contre elle, ne résistant pas à l’alchimie si particulière de vos corps. La salle de bain est silencieuse, seulement troublée par le bruit de l’eau s’écrasant au sol et sur vos corps. Tu poses ta tête endolorie contre son épaule, venant perdre ton visage dans le creux de son cou. « Je voudrais que tu le sois pour toujours. » Inaudible phrase, timide petite évidence, tu souris contre sa peau avant d’y poser les lèvres. Ce murmure n’est pas honteux, non, il est empli de peur. Aveu que ta présence est constitutive d’un bonheur fictif, d’une complétion. Elle s’éloigne de toi pour saisir un gel douche, elle se tourne et te fait face. Tes yeux ne quittent pas les siens, forme de communication dont les paroles ne sont que superflues. Ses mains glissent sur ton torse jusqu’à tes épaules avant de redescendre sur tes bras. Lorsqu’elles effleurent tes côtes, une grimace légère t’échappe. « Tu ne t’ennuierais jamais de moi si j’étais toujours présent… » Tu suspends ta phrase pendant un court instant pour attraper à ton tour le savon que tu viens appliquer sur son corps. Ta main glisse jusque sur son ventre avant que tu ne termines ta phrase. « …Et plus aucun tiraillement animal ne viendrait se loger ici. »



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