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(théaya) your soul echoes mine

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YOUR SOUL ECHOES MINE
@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

Il n’y a que toi entre ces murs Naya, toi et le bruit de l’horloge accroché sur le mur face à toi. Il n’y a que toi et ta solitude qui semble s’être invité à la fête comme une vieille amie. Regarde toi assise devant ton écran d’ordinateur à une heure aussi tardive. Tu te trouves si pathétique incapable de rentrer chez toi parce que tu sais que personne ne t’y attend. Tu es seule, Naya. Cette petite voie en toi qui te le répète sans arrêt si bien que la colère en toi ne semble pas vouloir s’essouffler, jamais. Tu as beau avoir deux demies-sœurs sorties de nulle part, tu te sens irrémédiablement vide et seule. Seule depuis que tu as vu ta mère s’éteindre sur son lit d’hôpital après trois ans à se battre contre le cancer. Ta vie s’est arrêté à ce moment-là. Gamine incapable de la sauver de la maladie, incapable d'arrêter les douleurs. T’as ensuite cru en Josh. Tu pensais qu’il était l’homme de ta vie, jeune fille seule et naïve qui s’est accroché à lui si fort que vous avez fini par vous détruire tous les deux. T’as renoncé à lui, t’as décidé de te consumer par la douleur des actes passé. Tu as lentement sombré Naya et maintenant tu ne te vois plus remonter. Tu en es simplement incapable.  
Téléphone qui sonne et tu vois son prénom s’afficher. Théodore. Un rictus au coin des lèvres. Décidément, il sait toujours à quel moment apparaitre dans ta vie. Il est sans doute ton dernier espoir, t’as décidé de le laisser prendre une partie de toi et maintenant tu refuses qu’il t’échappe. Il est à toi et tu es à lui. Il n’y a pas d’autre alternative possible. Son âme est jumelle à la tienne, vous vous comprenez sans mots, vous ne trichez jamais et c’est pourtant si facile. Dans tes ténèbres, il est à l’avant à naviguer dans cette mer si noire et si froide. Il ne cherche pas à te sauver, au contraire et c’est ce qui vous anime tous les deux. Tu échanges des messages avec lui, entre les lignes se laissent entendre que vous avez besoin de vous rassurez que ce soit toujours vous deux contre le monde entier. C’est fou comme loin de lui, tu te sens seule. Alors tu l’attends, tu es perdue là ce soir dans tes ténèbres et t’as besoin qu’il t’attire contre lui et qu’il reprenne la main.  

Tu descends pour le rejoindre à l’entrée et demandé au gardien de le laisser entrer. Il apparaît et tu es là face à lui à le regarder. Déjà tu sens en toi une petite flamme s’allumer. Tu ne comprends pas les règles du jeu entre vous, mais t’as besoin que ça continu. Besoin qu’il te rende vivante.

— " T’as une sale tête. “ que tu lâches alors que tu ne ries pas.

Ce soir t’es éteinte, tu t’es laissé attraper par la solitude et elle a essayé de t’emporter. Maintenant qu’il est là tu veux juste être sauvée. Il a quitté sa soirée pour toi. Il quitterait tout pour toi et tu le sais, alors tu laisses ta main effleurée ses blessures et tu glisses ta main dans la sienne pour l’entraîner jusqu’à ton bureau pour le soigner.

— " T’as mal ? “  

Tu le laisses prendre place sur la chaise et tu te mets face à lui, ton regard océan ancré dans le sien. Il te désarme d’un regard à chaque fois et c’est si brutal.

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Vingt-et-une heures. Ton esprit vibre sous l’intensité des basses, rien n’échappe au volume assourdissant de la musique. L’alcool coule à flot et la masse compacte des étudiant.e.s s’agglutine difficilement sur la piste de danse. Les corps tremblent, électrisé par cette folie festive. Cependant, tout n’est qu’un ennui prolongé Théodore. Loi universelle écrasant de sa botte les espoirs démesures des idiot.e.s souhaitant une jolie finalité. Un sens légitime et une occupation saine à leurs tristes existences. Tu assistes nonchalant au spectacle, un sourire narquois voguant sur les lèvres. Ce n’est pas de ta responsabilité, ni de ta faute. En vérité, si tu t’emmerdes si profondément c’est parce qu’il n’existe plus rien de nouveaux à désirer. Rien du tout. Loi naturelle que tu sembles être le seul à connaître. Eux, ils sont épargnés de la lucidité. Ils ne savent rien, jouissant innocemment de leur stupidité. Chanceux. Ils avancent aveuglément sur une trajectoire calculée pour eux depuis bien longtemps déjà. Tu portes à tes lèvres ton verre. Il est temps d’enfin museler cette maudite lucidité pour aujourd’hui, de plonger dans la foule et de ne plus être. Se perdre en eux, abreuver les méandres vides de ton être par leur présence et chaleur périssables… Que d’objets à utiliser pour ton bon plaisir. Félin en embuscade, tu aperçois une demoiselle largement suffisante pour un moment de luxure. Des paroles, seulement des paroles et elle succombe. Si aisément, tu as presque envie de vomir sous la facilité de ta parade. Carnassier sous tes airs séducteur, tu n’attends que d’atteindre ton ultime dessein en glissant sous les draps. Tes canines brillent lorsqu’elle se dénude. Ennuyeux tant cela devient simple. Comment peut-elle ne pas comprendre la fausseté de tes mots ? Prête à t’offrir ses râles d’agonie, ses souffles devenant déjà si courts alors que ton cœur n’accélère même pas. Rien ne semble t’arrêter dans tes belles paroles. Froid et sans passion aucune. Tu souhaites simplement t’oublier ne serait-ce qu’un instant. Tu pourrais presque supplier pour qu’elle range soigneusement son romantisme minable. Non non non… Pitié qu’elle se taise et qu’aucuns mots ne lui échappe plus. Son parfum se mêlant à ton oxygène est déjà bien insupportable. Théodore, tes mauvaises intentions sont bien dissimulées derrière tes caresses et sourires. Brutalement, une irruption dans la chambre transforme cet instant de lassitude en une poignante violence. Tiré par derrière, ton souffle se retrouve coupé par un poing s’écrasant sur ton visage. Une gerbe de sang s’échappe de ta lèvre et de ton nez. Un rire t’échappe tandis que tu te redresses. Un pauvre type, pauvre de lui… Tu ris face à sa son désespoir et Théodore, dans ta cruauté tu réclamerais presque qu’il continue à te frapper. Mais non, bien sûr que non. Quand tu commences à rendre les coups, la plupart des preux chevaliers dont la vertu est trahie s’enfuit lâchement. Après une bagarre ridicule et courte, piètre combat pour une demoiselle dont l’attrait n'est pas plus imposant que celui d’une tasse de café tu quittes la chambre tes doigts pianotant sur ton téléphone. Assez de cette médiocrité, elle te manque. Impossible ce soir d’atteindre une certaine plénitude. Tu veux Naya. Elle seule, possesseuse d’une part de ta personne, peut soulager ton être de cette affreuse solitude. De cet ennui inimaginable. Ta moitié, ton âme sœur si ce terme n’était pas si romantique… Naya. Maintenant qu’elle est dans ton esprit il est impossible qu’elle ne le quitte. Tu n’es pas une belle personne Théodore, cela fait bien longtemps que tu te vautres dans l’inacceptable. Une sale bête prête à sauter au visage du moindre individu trop stupide pour s’approcher. Tu démarres ta voiture, rapidement coincé dans des embouteillages, tu pianotes impatiemment sur le volant. Iels ne savent pas ce que c’est… Seule elle peut comprendre ce qu’on ressent lorsque nous sommes le terrain où le bien et le mal s’affrontent continuellement. Naya. Son prénom forme une boucle continue dans ton esprit, obsession maladive. Tu sais Théodore, qu’elle restera toujours peu importe tes actes. Dans ta bouche, le goût métallique du sang te fait grincer des dents. Miraculeusement, tu parviens à atteindre l’immeuble suffisamment rapidement. À son contact, l’air semble s’épaissir et dès que vos regards se croisent tu lui offres tacitement tout ton corps, ton âme… Qu’elle prenne tout et tout de suite. « T’as une sale tête » Pas un rire dans sa voix. Tu souris, ton tee-shirt blanc maculé de sang. Elle ne semble pas très joyeuse ce soir. Sa main parcourt tes blessures, examinant certainement l’étendue des dégâts avant de prendre ta main. Tu exerces immédiatement une pression sur sa paume. « J’ai l’impression que c’est pas terrible. » Tu la suis aveuglément dans le bâtiment, rejoignant son bureau. « T’as mal ? » Tu t’installes sur la chaise du bureau alors qu’elle se place face à toi. Vos regards se croisent et ne se quittent plus. Elle sait tous tes enchantements et tu connais tous ses sortilèges mais jamais, non, jamais tu ne pourras être habitué au bleu de ses yeux. Tu frémis presque, l’attirant à toi pour déposer sur sa joue un baiser. Tu ne voudrais souiller ses lèvres de ton sang. « Non, pas encore. Et toi ? »



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Est-ce qu’ils savent les mortels, combien il est difficile de vivre entouré de leurs personnes. Combien, il est si dur de trouver une personne qui puisse être divertissante plus de cinq petites minutes. Tu as commencé ce travail en écrivant un blog. Ce besoin d’écrire ce que ta tête contenait pour espérer trouver une paix, paix qui après quatre ans n’est toujours pas atteinte. Tu avais envie de dire à haute voix ce que le monde à trop peur de révéler. Alors, tu es devenue journaliste, tu restes caché derrière les questions que tu poses et non celle qui te sont posés. Tu refuses obstinément de parler de toi, tu détestes ça. Personne n’a besoin de savoir combien tu es un être brisé, consumé lentement par des douleurs du passé. Personne n’a besoin de savoir que toi ce qui te rend vivante dans ce monde, c’est lui.
Ce sentiment de manqué d’air chaque fois qu’il est loin de toi trop longtemps. Ce besoin d’occuper ton esprit pour ne pas penser à celles qui se languissent de lui. Il est le seul à te comprendre réellement, le seul à amplifier tes démons et à les aimer. Maintenant qu’il a écrit, le temps qui vous sépare te semble interminable. Est-ce que tu peux seulement survivre sans lui ? Théodore glisse et se faufile dans chacunes de tes pensées. Trop de fois, tu t’es mise à penser à lui dans les bras d’un autre. Tu ne luttes pourtant pas, t’aimes ça savoir qu’il a une emprise sur toi. Que l’un comme l’autre vous vous accrochés l’un à l’autre comme si c’était le seul fil qui vous gardait vivant. Il te manque, ça te frappe si fort dans la poitrine que tu voudrais qu’il apparaisse sur le champ. Tu fais taper ton stylo contre ton bureau sentant l’impatience te gagner. T’as tellement besoin de lui. T’as juste besoin de lui. Impossible qu’il t’abandonne, il sera à jamais là avec toi, tu le sais. Ensemble vous êtes un tout, une entité propre qui tente de survivre entourer de ces gens sans saveur.
Une fois que vous êtes dans la même pièce, c’est comme si le temps s’arrêtait. Tout existence autours de vous n’a plus lieu d’être. Ce ne sont que des parenthèses à votre univers. Votre monde à deux et qui est un refuse que tu retrouves avec plaisir. Son sourire est comme une décharge dans tout ton corps. Tu veux qu’il te prenne tout entière, qu’il te sauve de cette solitude qui à failli avoir raison de toi ce soir. Moment où Naya tu t’es sentie si faible dans cette réalité. Lorsque ta main prend la sienne, il la serre et ton regard se pose sur lui. C’est sa façon de te dire qu’il est là, avec toi, que c’est fini.

— " Non, tu as raison, je vais m’en occupée. “

Tu es sans doute devenue son infirmière particulière depuis que tu prends soin de panser ses plaies. Toutes les plaies, même celle qui sont caché au fond de lui. Celle que tu es la seul à voir dans l’obscurtité de ses émotions parfois abimées. Tu le laisses s’asseoir prenant place face à lui et voilà qu’il te désarme une fois de plus. Ses lèvres se pressent sur ta joue et tu sens ton cœur qui bondit dans ta cage thoracique. Résister irrémédiablement à cette envie d’être liée à lui.

— " Je crois que oui, mais ça ira mieux. “

Tu lui avoues entre les lignes, combien tu te sentais en souffrance avec qu’il n’arrive. Qu’une fois encore tu as besoin qu’il te sauve. Tu attrapes la boîte et en sors un coton puis tu viens y verser du désinfectant. Tu le regardes et tu viens doucement tapoter sur le bord de lèvre en espérant que tu es assez douce, même si finalement c’est quand il a mal qu’il est si bien.

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Quelle sensation étrange lorsque ton regard se noie dans le sien Théodore, lorsque l’oxygène semble s’extirper de ton être, que tu coules profondément à travers cet azur… Tu ne perçois plus la surface, l’obscurité abyssale t’accueille en son sein… Un baume divin fraye dans le labyrinthe organique de tes enfers. Elle connaît le chemin, laissant sur sa route les marques de son passage. Un frisson poignardant le corps, fascinant chaos de l’être et obsession dérangeante de l’esprit. Impossible de supporter cette faim insatiable qui te tord l’estomac et peu importe combien tu dévores sa chair, rien ne peut apaiser cette aspirante ardeur. Elle est un incendie que tu ne peux éteindre. Que tu ne veux éteindre. Qu’est-ce donc que ce tiraillement constant ? Ce bouleversement de la raison, cet enivrement continu ? Il semblerait qu’un être unique soit l’originel. Deux visages, quatre jambes et bras… Nulle couture sur la peau pour marquer la moindre séparation. Union parfaite pour les deux âmes esseulées, comblées sans heurt possible. Une existence sans solitude ni souffrance. Pas de manque, pas de conflit, pas de désir. Comment cet être ignorant tout de la solitude pouvait-il bien désirer un instant un élément déjà ancrer dans ses muscles ? Dans son squelette ? Bien évidemment, cette mythique créature, somme singulière d’unicité et de dualité, ne peut empêcher l’insolence de la complétude détruire ce bonheur. Déchiré en deux. La créature n’est plus que de misérables êtres cruellement divisés recherchant inlassablement ce double d’eux-mêmes. Douloureuse condition d’éprouver constamment l’incomplétude dans son cœur. Les âmes-sœurs. Naya pourrait être ton âme-sœur si tu n’étais pas aussi… Le bonheur n’existe pas, l’unicité est impossible et plus rien n’est grave dans cette existence révulsant. Tu n’es pas le résidu de cette créature originelle, non. Théodore, tu es le déchet d’un Hécatonchires. Haïssable et monstrueuse créature, craint et haï par les siens. Gardien d’un Tartare bouillonnant. Tu sens fondre sur toi de lourdes épouvantes, bataillons de démons te conduisant vers un horizon sanglant. Pas d’allégresse future. Tes doigts se resserrent instinctivement contre sa paume, elle est là. Tout près, jamais assez proche. « Non, tu as raison, je vais m’en occupée. » Âme-sœur. Il serait bien trop réducteur d’employer ce terme pour vous définir. C’est bien plus que ce cliché si kitsch. Jamais vous n’avez été comme les autres. Tu ressens de violentes pulsions lorsque tu glisses vers le fond de son regard. « Je peux faire quelque chose pour te remercier ? » Tes lèvres se posent contre sa joue et tu succombes un peu plus à son charme, ton cœur accélérant à son contact. « Je crois que oui, mais ça ira mieux » Elle attrape la boîte à pharmacie et sort un disque de coton qu’elle imbibe de désinfectant. Ses gestes sont lents et assurés, habituel ballet de ses doigts s’approchant de tes plaies. Elle tapote doucement et l’alcool contre la plaie te fait légèrement tressaillir… Quelle plaisante sensation. Tes yeux quittent les siens pour s’accrocher à la courbe de ses lèvres. Le désir devient une prison dont les geôliers te hurlent de l’embrasser. « Je me sens déjà bien mieux là… »



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@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

Théodore. Prénom qui résonne sans fin dans ton esprit, vient assombrir un peu plus le flux de tes pensées. Tu aimerais le faire disparaitre et tu essaies encore et encore. Tu te cherches de douces victimes, celles et ceux qui seraient capable de l’effacer ne serait-ce qu’une heure. Mission qui semble toujours un échec, il est bien trop fort pour que tu parviennes à tout arrêter. Le mal qu’il te fait en a-t-il conscience ? Toi-même, tu peux être cruel lorsque ton cœur est atteint. Tu sais comment attiser la rage dans ses yeux, le pousser à bout et bon sang qu’il te plaît encore davantage quand il est si noir. Théodore, le vrai, la bête celle qui aurait bouffé Belle. Le loup qui n’aurait laissé aucune chance au petit chaperon rouge. Dragon qui n’aurait pas mis une minute pour anéantir Philip. Il n’est pas le gentil de l’histoire, il est tout ta force et ta kryptonite. Il peut t’élever et mettre à terre si facilement. Tu serais capable du meilleur et du pire pour cet homme. Là assise face à lui tu tombes. Ce regard qu’il pose sur toi te coupe le souffle. Tu sens ton cœur qui s’emballe, tes entrailles qui s’agitent. Désarmé et envouté. Il t’a encore lancé un de ces charmes vaudou. Tu le sais, tu le sens, il est ancré en toi nul ne pourrait te sortir de cette détresse.
Tu te sens tellement nue là face à lui parce qu’il ne te quitte pas des yeux. Il voit au-delà du visible, parviens même à décrypter tes silences. Tu sens l’attraction entre vous, cette tension qui vous enveloppe tous les deux. Ce besoin d’être contre lui, de le posséder encore et encore pour qu’il se souvienne de tes cries, du son de ta voix quand tu prononces son prénom. Aucune autre ne devrait le satisfaire, parce qu’entre vous c’est un million de contraste, une possibilité infinie. Aucun de vous ne sait jamais comment les choses se passeront, vous êtes bien trop instable, des émotions qui prennent tout et explosent parfois. Les coups, le verre qui se brise et les crient de rage font partis de vous. Tu ne changerais rien, vous êtes liés, vous êtes connectés. Âmes sœurs, sûrement, si tu croyais à tout ça. Seulement entre vous c’est plus fort, tellement plus envoutant et déchirant. Demain, vous serez peut-être en train de vous battre, de vous saccager en vous faisant du mal volontairement. Un rappel à l’autre, qui appartient à qui. Ne jamais oublier que ce sera toujours vous deux contre le monde.
Sa voix qui résonne dans la pièce alors que tu le dévisages longuement, il y a tellement de chose qu’il pourrait faire. Être à toi, t’embrasser, te réanimer, te soutenir, chuter avec toi pour toujours. Tu viens caresser sa joue et tu colles ton front contre le sien. Vos souffles qui se mélangent, de plus en plus lourd et profond. L’attente est impitoyable, dévorante et elle fait presque mal.

— " Soit à moi. “ que tu souffles dans un murmure à peine audible.

Tes soins prodigués correctement et il semble déjà aller mieux. Cette douleur qu’il ressent, tu ne t’en inquiète pas, ce n’est qu’un moment de plaisir intense pour lui. Tu n’as pas peur pour lui, jamais. Seulement tu vis avec cette peur constante de le perdre. Vos regards toujours accrochés, tu sais ce qu’il veut parce que tu veux la même chose que lui.. Tu as le sentiment que tu pourrais tout donné juste pour pouvoir sentir le goût de ces lèvres. Tu frôles son nez du tiens, tes lèvres glissent lentement sur les siennes, tu les frôles, les caresses presque, mais tu le fais attendre, tu veux qu’il cède et qu’il te montre que tu es la seule.

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« Je peux faire quelque chose pour te remercier ? » Le désinfectant s’attaque à ta plaie, brûlant délicieusement ta lèvre enflée. Perversion ultime de la douleur devenue plaisir, quand elle seule semble être la réponse à la grande question : pourquoi continuer la mascarade de l’existence ? Pour ces instants de connexion unique, lorsque la souffrance t’extrait de la lassitude. Ça te ferait du bien d’avoir un peu plus mal. Pitié, qu’elle te fasse sortir de tes tourments, qu’elle éteigne ton esprit pour réveiller l’animal affamé. Le goût acide remplace la rouille dans ta bouche et son parfum grisant celui sanguinolant. Tes mains s’accrochent à ses reins, l’approchant dangereusement de toi. Plus près, toujours plus près. Tes griffes se renferment sur elle, serrant nerveusement le tissu sombre de sa tenue. Elle est acculée, amante d’élection, contre ton corps meurtri. Elle ne peut s’échapper, piégée contre la bête. Charybde vorace et profond comme le vide. Rien ne pourra rassasier ce tourbillon incessant. As-tu donc commis quelques actions singulières ? Ton âme est compromise, destinée à la damnation, aux enfers. Tu as accompli des choses que tu regrettes suffisamment pour qu’elles ne quittent jamais tes pensées. Jamais Théodore ? Non, presque jamais. Face à elle, tes prouesses semblent s’effacer pour ne laisser que vos ombres vous engloutir. Ta peau est martyrisée mais s’anéantir contre Naya apporte toujours le repos. Sa passion violente est un aphrodisiaque puissant. Elle seule semble pouvoir expliquer ton trouble et ton effroi. Tu sens ton sang entré en ébullition lorsqu’elle penche son doux visage féroce vers toi. « Soit à moi. » Tu frisonnes de peur lorsque tu entends ses mots, échine éveillé par le souffle inaudible de sa voix. Qu’elle ne te regarde pas ainsi, commencement de ta perdition… Vos respirations se mêlent, son nez frôle le tien et une pression s’exerce dans ton plexus solaire. L’abîme béant du désir prolifère alors que sa bouche frôle la tienne électrisant ta plaie. Elle te brûle jusqu’au sang, douce tortionnaire qui s’amuse de tes faiblesses. Tu veux lutter Théodore, ta bravoure est exemplaire. « Et comment puis-je satisfaire une telle demande ? » Tu déglutis difficilement, te cramponnant à tes maigres réserves de contrôle. Tu l’attires un peu plus vers toi, l’obligeant à prendre place sur tes genoux. La proximité de vos bassins s’avère être fatal. L’éruption d’un volcan déchire ta retenue et tes lèvres viennent durement s’écraser contre les siennes. La violence du contact entrechoque vos muscles et os, tu sens l’urgence et la tension dans votre baiser. Tes mains quittent le tissu pour se glisser contre sa peau. Nulle douceur dans ta précipitation, peu importe les fioritures dans l’appel de vos corps. Bientôt ton souffle se fait court et les pauvres limites de ton corps te rappelle à l’oxygène. Tu voudrais tant être plus près, toujours plus près. Vos lèvres s’éloignent quelque peu, que ton souffle reprenne ses droits. « Je te veux. »



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— " Soit à moi. “

Peut-être qu’une moitié ça ne te suffit plus, Naya ? Égoïste, tu t’y autorise avec lui une fois encore parce que tu veux tout. Tu es pourtant incapable de t’abandonner à lui, ce besoin de conserver cette moitié qui te permet de te rassurer. Il a déjà une si grande emprise sur toi que tu serais condamnée si tu lui donnait tout. Cette peur aussi qu’il ne te trouve plus assez intéressante, qu’il se lasse aussi, parce que tu le sais, tu ne veux pas que ça s’arrête. Ce que tu ressens là maintenant, aucun ne peut déclencher ça en toi. Théodore te rend vivante. Tout est plus intense et plus beau quand il est là. La saveur des choses est une découverte quand tu as toujours vécue dans un monde sans couleur et sans âme. Tu sens ton être tout entier s’embraser face à lui. C’est un besoin à assouvir, une addiction et là tu es juste en manque Naya. Tu es devenue une junkie qu’à besoin de sa dose. T’as pas besoin d’oxygène, t’as besoin de ta dose de Théodore pour survivre à ce monde.
Ces mains t’ont déjà rapprocher de son corps que tu peux presque sentir contre toi. Il te tient fermement et bon sang que tu aimes ça. Savoir qu’il a l’ascendant sur toi, qu’il mène la danse. Tu es prête à lui succomber, prête à t’abandonner et déposer les armes quand une partie de toi veut tenir encore. Tu aimes quand le manque est si fort que vous vous ans abandonnez l’un à l’autre. Les cerveaux sur pause, plus rien ne compte que lui, que toi et ce besoin d’être toujours plus près. Ça ne sera jamais assez, vous êtes deux aimants tous les deux. Tu es irrévocablement et irrémédiablement dépendante de lui et de ces actes. Il est ta boussole. Quand vous êtes aussi connecté l’un à l’autre, tu peux oublier les douleurs, les chagrins d’une vie passée. Tu n’as que l’écho de vos rires, de vos soupires, de vos chamailleries.
« Et comment puis-je satisfaire une telle demande ? » De ses mains, il t’oblige a venir toujours plus près. Une fois sur ces genoux, tu laisses ta main se perdre dans sa nuque. Ses mains sur toi ne demande qu’à parcourir ton corps qui les réclame, le réclame. Tu le vois se jeter sur tes lèvres et tu l’accueilles avec la même violence. Violence du choc de vos bouches qui s’accrochent, valsent et luttent dans un combat perdu d’avance. Son corps qui se presse contre le tien, l’adrénaline qui parcours tout ton corps, c’est trop tard pour toi. Tu grognes quand ces lèvres quittent les tiennes, le souffle court et le cœur qui bat si vite que tu pourrais crever pour lui. « Je te veux. »

— " Prouve le ! “

Toujours dans la provocation, tu le défies. Les mots n’ont jamais eu de sens à tes yeux, t’as besoin d’actes toi, Naya. Tu le regardes avec tes pupilles dilatés par le désir qui te consume en sentant son bassin contre le tien. Tu joues, tu commences à mouver ton corps contre lui. C’est toi qui vient plaquer tes lèvres contre les siennes avec voracité cette fois-ci.
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« Et comment puis-je satisfaire une telle demande ? » À l’instant où les mots quittent ta gorge que déjà vous vous heurtez. La collision. Vos deux corps qui se rencontrent brutalement. Les fibres de ton être tendues, luttant pour rejoindre les siennes. La peau fiévreuse et le rythme cardiaque saccadé. Ton corps tremble succombant à l’onde de choc. Tes mains agrippent son corps, la pressant contre toi. Parfois, tu aimerais qu’elle puisse rejoindre ta chair. Qu’elle se mélange à ton être et qu’elle ne puisse s’échapper. Tes pensées deviennent irrégulières, le flux s’atténue pour ne se concentrer que sur l’action, sur les sensations. Ta lèvre fendue est maltraitée par les siennes pressantes. C’est si bon de souffrir contre sa bouche. Tu succombes encore à son charme. Dès le premier regard, elle t’a fait pâlir de désir. Cueilli par l’incendie, six ans déjà. Tu ignorais tout de ce fléau qui bientôt s’abattrait sur toi, mais qu’est-ce que tu adores l’avoir dans la peau Théodore. Naya. Tu es envouté par tes envies les plus folles, et ses ongles s’enfoncent dans ta nuque. Tu perds complètement la raison, ton désir prenant le dessus. Elle n’est qu’érotisme et tu succombes à ses charmes. Vous plongez dans l’obscurité, enseveli sous ce poisseux miasme, vos démons mêlées provoquent un étrange court-circuit. Ta respiration devient douloureuse et vous vous séparez quelques instants. Un grognement de frustration lui échappe et tu entendrais presque les battements de son cœur contre ta poitrine. « Je te veux » Ses pupilles dilatés te défient du regard. « Prouve le ! » Tu ris narquois Théodore, comme si tu n’avais jamais relevé ce défi. Bien souvent Naya devient tienne. Elle joue avec tes nerfs, s’amusant de la situation. Elle sait parfaitement que dans cette configuration, le pouvoir est entre ses mains. Son corps commence à se mouvoir contre le tien, elle ajoute de l’huile sur le feu te consommant déjà entièrement. Sa voracité t’aspire à elle en un nouveau baiser de violence. Elle t’offre dès maintenant sa peau marmoréenne et ses lèvres rougies par la passion. Ses reins contre tes mains et ses cheveux noirs qui balaient ton visage. Théodore, surpris par ta propre impatience, tu débarrasses son bureau d’un bras, la soulevant du sol de l’autre. Tu évacues toute haine dans ce déchainement, t’éloignant quelque peu d’elle pour la regarder un instant. Là, assise sur le bureau. Le silence seulement briser par vos respirations extatiques. Elle est si belle, les cheveux défaits, les lèvres gonflées. La poitrine se soulevant rapidement, un regard de fauve affamé. Tu ôtes ton tee shirt encore sali par du sang. « Rien de fragile sur ton bureau j’espère… »


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@Théodore Hawthorne & @Naya Domingues

« Je te veux. » Ces mots pénètrent ton âme, c’est la seule chose que tu ne peux lui refuser. Ce que tu aimes sentir son cœur en perdition quand tu poses les yeux sur lui, quand tout son être lui hurle de te garder pour toujours. Ce besoin d’un symbiose parfaite, a jamais lié. Plus de séparation au petit matin. Plus ce jeu cruel de la réalité. Ces hommes et ces femmes qui s’invitent dans votre monde, s’offrent une pause luxuriante alors que vous vous consumez de jalousie. Ce soir, il n’y a que vous, personne derrière qui se cacher et éviter d’affronter la réalité. Celle qui fait mal tant elle est criante de réalité. Celle que tu ne diras jamais à voix haute de peur que tout s’arrête. Dans ces yeux, il ne devrait rester que ton reflet pour toujours. Reflet dans lequel tu plonges, tu inonde son âme de ta personne. Laisse ta marque, la trace d’un énième passage. Tes doigts qui s’enfoncent dans sa nuque alors que vos bouches ne s’accordent aucun répits. Tu t’accroches à lui de toute tes forces, il n’y a pas de romantisme, juste cette violence et ce besoin féroce. Dépendance qui est en train de te brûler de l’intérieur. Tu n’en as jamais assez avec Théodore. Il anime en toi tes démons les plus dangereux et il est le seul a éveiller cette animal féroce qui vit en toi.
Tu l’as poussé dans ces dernières limites. Tes affaires qui s’écrasent sur le sol quand ton corps percute le bureau. Tes cuisses qui s’ouvrent pour l’y accueillir, tes mains qui tirent sur ses vêtements comme si ils n’avaient rien à faire la. Ton taux d’oxygène en chute libre, tu le vois reculer et tu sens à nouveau tes poumons se remplir. Les cheveux en bataille, la respiration saccadé et les lèvres en feu à présent tu le regardes. Tu le contemples même comme si il était l’une des merveilles de ce monde. Il te contemple et toi tu l’as dans la peau. Tu cherches en vain un autre, quelqu’un qui parviendrait à te le faire oublier, à éteindre l’incendie en toi quand tu penses à lui. Mission impossible. Il n’y aura toujours que vous deux. C’est plus fort que tout, plus fort que la roche, que la Terre et plus ravageur que les forces de l’univers. Tu le regardes retirer son haut et tu te mords la lèvre, t’en veux encore de lui, de vous. Tu ne le quittes pas des yeux et tu viens retirer ton haut à ton tour et le laisse s’échouer sur le sol. Tu retirer ton sous-vêtements et vous voilà sur un pied d’égalité. Deux fauves près à ce bondir dessus, la rage au cœur envelopper d’une passion dévorante. Reflet d’un miroir brisé, échos de deux âmes jumelles. Tu viens saisir sa main et vos peaux se collent l’une contre l’autre. Ce contact que tu cherchais temps qui t’embrase. Vos coeur qui tambourinent l’un contre l’autre c’est une mélodie qui résonne dans ton bureau. Tes doigts qui glissent lentement sur ses bras et remontent à ses épaules pour les poser de part et d’autres de son visage. Tu viens écraser tes lèvres sur les siennes, son goût cette saveur unique dont tu es accroc depuis six longues années. Vos corps qui se caressent, se pressent l’un contre l’autre et vos bassins qui hurlent pour que vous les laissiez enfin s’envelopper d’une romance chaude et passionnée. Un gémissement quitte tes lèvres, tu peux enfin être à lui maintenant.
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your soul echoes mine ★ ─
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TW rapprochement physique.

Théodore, tu portes sur le visage les marques profondes de lassitude, celle-là même ressentie lorsque l’existence ne possède ni sens, ni joie. Tu marches sur ce chemin et maintenant ton âme n’est que flétrissure, angoisse encore dissimulée derrière tes mots durs. Derrière tes silences, tes violentes inactions. Tu souffres dans ta peau, mais il y a toujours un instant qui te vole la libération. Tu n’oses avouer tes failles abyssales. L’abîme te regarde et tu lui souris. Édenté, la peau calcinée par les excès. Tes souffles ne sont que des rejets de cendres et de poussières. La souffrance est survenue et tu étais désarmé. Il a frappé, encore et encore, brisant tes os, versant de l’acide dans ton cerveau… Maigre cervelle devenue miasme putride. Fragile petit Théodore. Tu étais presque heureux, les pieds dans les glaïeuls ignorant tout de la lucidité et de la vérité et la faucheuse t’a cueilli assenant sur ton esprit le dur poids de la réalité. Ta vie déjà parcourue de fissures a volé en éclat. Qu’est-ce que tu imaginais ? Que tu serais épargné et protégé ? Que tu traverserais ta vie sans embûche ? Ton optimisme et tes espoirs sont piétinés sans repos. Vulnérable et éphémère, voilà la condition humaine, seul l’orgueil aveugle les petits pions. Le silence des bureaux du Boston Globe est seulement troublé par les bruits déchirants de vos passions. Les souffles grognant, les heurts de vos corps se séparant pour mieux se retrouver, les griffures le long de vos corps et vos respirations sifflantes. C’est presque dans le silence que vous vous entendez le mieux finalement. Naya. Ce qui l’attire le plus dans ton pauvre être minable c’est exactement ce qui fait fuir les autres Théodore. De ses yeux, elle perce jusqu’au plus lointaines méandres de ton être, s’abreuvant de tes moindres cassures. Tes démons dansent dans ses yeux et c’est ton reflet que tu perçois dans son regard. Tu réchauffes ton corps paralytique à ces flammes brûlantes. Son chemiser et son sous-vêtement chiffonnés par tes mains rejoignent le sol. Sa peau brille sous le néon allumé au-dessus de vous et tu admires le spectacle de ses cheveux décoiffés. En un geste, tu retires ta ceinture que tu viens attacher à ses poignets avant de venir te presser contre elle, courbant son corps dans la douleur. Ton pantalon à peine baissé, tu te glisses entre ses jambes relevant sa jupe. De ton regard sale, tu la souilles malgré toi Théodore. Il ne pourrait en être autrement, tu es dégueulasse.

Enfin. Vous vous êtes blessés sans prononcer le moindre mot, brisant encore le moindre espoir de salvation. Tu rattaches ton jean, allant directement ramasser les objets éparpillés par terre. Personne n’est venu troubler vos ébats, pas un concierge, pas un gardien. Heureusement. La moiteur de vos corps se répandant dans l’atmosphère du bureau. Sur votre passage, le souffle brûlant de la passion est palpable. Activité destructrice, impitoyable détachement de soi-même pour rejoindre une symbiose incomplète. Chaque meuble semble se souvenir des éclats de vos gémissements. « Tu veux que je rentre avec toi ? »



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