Lightning does not strike twice feat Galahad Jackson

C'est bien la première fois que je me laisse tombé sur ses fauteuils. Je viens à resté là a fixé quelque chose qui n'y est pas en repensant à ce que j'ai vus et entendus par la bouche de ma grand-mère et du médecin. Personne dans la salle commune...Il faut dire qu'il est tard alors pourquoi il aurait quelqu'un.

Je viens enfouir mon visage dans mes mains et craque, craque pour la première fois. Cette fois-ci ça été bien trop loin, je pourrais porté plainte contre négligence. Mais, il faut dire que ma grand-mère donne du fil à retorde et ils ont eu également peur de la retrouver à cet endroit. Continuant de pleuré ignorant les appels de ma mère voulant être un moment seul.

Me rappelant des faits tout me repasse en tête. Cet appel qui m'annonce qu'ils ont perdu ma grand-mère et que je quitte en trombe le cours et cherche partout dans Boston pour la retrouver blessé faiblement et j'appelle une ambulance en expliquant et attends et les médecins qui me disent que sa maladie à évoluer que l'ont devrait la placer. Et voilà je me suis mis à hurlé en refusé et reparti voir ma grand-mère après cela.

Me souvenant cela, mes larmes coulent à flots et je commence à faire une crise sous l'effet de la colère et la panique. Je cherche mon traitement en panique, ce qui augmente la crise et essaye de me calmer en me levant et vient à tombé au sol.

Depuis le retour du Summer camp, t'avais pas encore réellement eu l'occasion de prendre du temps pour passer à la PfoHo, te faisant te demander si tu avais encore une raison d'y rester en vue du manque de temps que tu avais. Alors ce soir, t'avais tenté de te libérer, sauf que finalement, le temps était passé bien plus rapidement que prévu et la nuit était déjà tombée depuis un bon moment. Peut-être que tu croiseras quand même quelqu'un malgré l'heure tardive et c'est ce que t'espères pour pas qu'on te balances par texto que t'es un membre fantôme depuis quelque temps.

T'arrives alors dans la salle commune juste après la chute de Thanum, un gars que tu as déjà croisé quelque fois dans la pfo ou lors des événements. T'as jamais vraiment chercher à sympathiser avec lui, tu sais pas pourquoi et c'est clairement pas ce soir que tu vas le faire en vue de ce qu'il se passe. Tu sais même pas ce que t'es supposé faire, mais tu t'approches à grande enjambée de lui et t'accroupit en espérant le voir toujours conscient. T'es prêt à sortir ton téléphone pour appeler les secours.

Être un homme fort, c'est ce que je fais depuis mon arrivé sur Boston. Mon retour du Summer Camp? Non depuis mon adoption, à l'époque Michelle Wu n'était pas encore vraiment connue, enfin un peu. Mais j'ai vécu plusieurs chose de ma mère adoptive, qui a bien pansé que j'allais être un enfant perturbé chaque nuit et troublé par ma nouvelle vie.

Mais j'ai toujours voulu changé les réponses négatives en positives, les non en oui. Prouvé que malade on peu faire ce que l'on aime, veut dans la vie. Car mon asthme me mets souvent des barrières à tout ce que je veux entreprendre, enfin c'est ce que pense les professeurs, maître. Mais au final je suis debout...Enfin au sol en ce moment!

Essayant de calmer cette crise, mon inhalateur,mon médicament se trouve à être dans mon sac. J'entends des pas, puis vois une silhouette que je distingue vaguement. Je lui montre mon sac pour lui dire que mon traitement est dans mon sac.
Jusqu'à présent j'avais caché à Harvard étudiants comme professeurs mon asthme, pour ne pas être recalé à chaque chose qui demandais un effort de souffle.

Entre deux manque d'air tu essayes de dire, d'expliquer ce que tu veux. Bien que cela soit dangereux. Aussi tu as une seringue de secours en cas que tu viendrais à tombé dans les pommes à cause de la crise.

Médic....Sac...

Tu viens à toussé ayant mal serrant les poings ne voulant pas partir en premier. Ayant encore trop de chose à faire et voulant être auprès de ta grand-mère encore et encore.

T'es pas con, alors quand il te montre comme il peut son sac, tu t'empresses d'attraper la sacoche pour fourrer rapidement tes mains dedans et chercher un médicament. Sauf que tu sais pas ce que tu cherches, une plaquette, une seringue autre chose ? Fallait que ça te tombe sur la gueule, t'as pas assez de truc en tête, que tu te retrouves à devoir gérer un truc du genre sans savoir de quoi il en retourne. Le mec semble avoir du mal et toi, tu finis par simplement retourner son sac pour en faire tomber tout ce qui se trouve, au risque de perdre des choses ou d'en casser. T'as pas le temps de penser à ça et c'est pas comme si tu avais pas l'argent pour payer l'un ou l'autre truc. L'argent n'a jamais été un soucis pour toi pour être honnête et encore moins depuis que ton père a quitté cette terre. Héritage d'un joli paquet d'argent, mais aussi d'une partie de son entreprise, comment dire que tu pourrais très bien arrêter tes études pour simplement vivre de l'entreprise dont tu es déjà à la tête. "Je dois chercher quoi ?" Balances-tu alors, cherchant un peu à rester calme, même si t'es tendu, tes mains repoussent un peu tout. Tu finis par trouver une seringue, ton regard ne captant même pas l'inhalateur, faut dire que c'est pas un objet avec lequel tu es familier... "C'est ça ?" Tu penses alors à une crise de diabète. T'as pas fait médecine toi !

Je ne suis pas tombé sur le bon et s'il vient à m'emmener tout droit vers la faucheuse, il aura ma mère sur le dos, la maire de Boston...Et ça je refuse qu'il est des soucis à cause de moi. Peut-être qu'il n'est pas doué en médecine, mais cela ne fais pas de lui un étudiant doué en autre chose.
Je sais que je ne l'ai vu que de brèves fois. Je n'ai pas eu l'occasion de sympathisé avec lui.
Mais s'il me détestait vraiment il ne serait pas là a essayé de chercher midi-quatorze heures.

Après lui avoir montré le sac, je le vois fouiller et fouiller. Il n'arrive pas et s’énerve, une chose qu'il aurait encore plus de mal si un tragique évènement arrivait et qu'il devrait secourir. Puis il retourne le sac, laissant tombé livres,trousse, agenda. Puis je viens à me hisser ayant mal. J'ai l'impression d'être paralysé par le bas.

Les heures défilent que j'en oublie le temps, le début de ma crise. Je vois mon inhalateur, m’apprêtant à vouloir le saisir, mais je viens à me coucher au sol et commence à battre des yeux pour finir sur le sol et être dans les vapes à cause de l'air bloqué . Étant juste à côté de mon inhalateur. Dont à présent le seul médicament était la seringue, avec les explication dans la boîte fait par mes soins, pour toute personnes qui viendrait à me trouvé en crise et me voir avec ça.

Tu le vois se mouvoir, tenter d'attraper un truc et tu tentes de lui donner, mais tu le vois vaciller encore plus dans sa crise. Tu piges alors un peu mieux ce qu'il se passe et la petite boite en main, tu l'ouvres alors pour voir ce qu'elle contient, parce que c'est clairement pas un écrin à bijou, t'es pas doué en médecine, mais t'as assez de connaissance pour faire la différence. Tu trouves alors le papier que tu lis rapidement avant de préparer la seringue en suivant les instructions sur le papier pour finalement lui faire la piqures. Si on t'avait dit que l'une de tes dernières soirées à la PfoHo serait de jouer au médecin, mais pas de façon sexuelle, tu l'aurais clairement pas cru. Tu prends alors ton téléphone pour quand même contacter les urgences, espérant quand même que le gars va se relever là et recouvrer un peu ses esprits pour pas que tu te retrouves encore plus dans une situation compliquée.

Hj: pardon pour le temps et la qualité médiocre

Les minutes après l'injection du produit, sont les plus horribles. Souvent on regarde la montre, la pendule, on s'accroche à son portable. On fait les cents pas en espérant que la personne va réagir. Pour cela tout dépend du temps entre le moment où la personne est resté bloqué et le produit à été injecter.
Pour ma part je mets assez de temps pour avoir le produit dans mon corps. Mais je n'ai jamais eu besoin d'aller jusqu'à l'hôpital.

J'ouvre enfin les yeux et viens à toussé, je me redresse et m'adosse contre le canapé. Le regard encore dans le vague. Je vois plein d'affaires au sol, puis je vois enfin une personne. Et mets un nom sur le visage. Je me redresse un peu mieux et le vois tenir son portable et lui dit.

N’appel...N’appelle pas les urgences...Ma grand-mère est à l'hôpital et je ne veux pas inquiéter ma mère.... Je me suis battu pour prouvé qu'un asthmatique à le droit d'être sur scène.

Je me relève doucement et m’assois dans le canapé fatigué par ce qui vient de se produire. Puis le regarde. Et je regarde autour de moi. Puis pose ma tête sur le dossier du canapé et regarde Galahad.

Tu viens faire quoi ici? Tu viens à la recherche de ta copine du summer camp? Et pardon j'aurais dû me changer en une belle pom-pom girl peut-être que monsieur Jackson aurait fait du bouche à bouche.

Le simple fait de rire, me fait toussé, mais au moins je suis en forme pour dire des âneries . Puis je soupire et me dis que je vais devoir aller consulté et demandé une nouvelle seringue en cas de crise. Je le regarde puis lui demande quelque chose, que je ne n'ai jamais fais.

Gal...Tu peux rester à coter de moi? Jusqu'à ce que j'aille mieux.Et promis, je ne dirais rien à personne de ce que tu as fais si cela te dérange.

Alors que tu fais sort ton téléphone, hésitant à contacter les urgences ou non, tu finis par entendre sa voix. Une supplique rapidement suivit d'explication et tu hausses les épaules. "Faut quand même que tu fasses un contrôle." Soupires-tu alors, le regard un peu dur envers lui. T'as pas envie d'imaginer ce qu'il lui serait arrivé si t'étais pas passé par la ce soir. Il y a pas l'air d'avoir grand monde pour le moment dans la pfo ce que tu trouves un peu triste, mais ce qui rendra ton départ plus discret et plus rapide. Pas besoin de justifier ou d'autres trucs dans le style. La simplicité te convient parfaitement. T'arque alors un sourcil à ses paroles, les trouvant assez désagrable à entendre. Peut-être parce que ton mec a pas arrêté de te faire des crises de jalousie à cause d'une pompom-girl justement... "Je viens juste récupérer mes affaires." Finis-tu par lui dire le ton un peu sec. "La prochaine fois, probablement que je te laisserais sur le sol si c'est pour me prendre des remarques comme ça." Tu récupères alors tes affaires pour quitter la pièce quand il t'adresse une nouvelle parole. "Je m'en fou que tu balances ce qu'il s'est passé ici. Et je peux rester, mais t'es remarques à la con, tu te les gardes alors."

Eh...T'es ma mère? Je connais mon corps. Elle me dit toujours ça quand je fais une crise de se genre...C'est juste des évènements qui l'on déclencher. Mais si ça vient à se savoir...C'est fini...Elle fera tout pour me faire stopper mes rêves.
Tu viens le regarder vaguement puis tu regardes devant toi en repensant à l'idée de ce qu'elle pourrait faire pour stopper tout ça. Puis tu te redresses ayant un peu mal à cause de cette crise.
Tu sais...ma grand-mère est malade, je suis le seul à lui rendre le sourire. Sans moi elle serait placer. Je me bat pour changer les idées de ma mère adoptive. Enfin passons.
Tu le regardes de nouveau et viens à soupirer
Tu nous quittes? Excuse moi, comme je t'ai expliquer, on veux placer ma grand-mère. Certes c'est compliqué, mais elle mérite d'être encore d'être avec la famille. D'ailleurs si tu étais à ma place ton ressentis serais quoi?
Tu viens te lever difficilement pour aller fouiller dans un endroit que seul toi connais. Puis sors quelque chose qui est interdit normalement dans l'enceinte de l'établissement. Puis tu viens lui donner en souriant.
Tiens c'est pour toi, ma cachette surprise. Une bonne bouteille que j'ai ramener de chez ma famille.

Tu laisses entendre un soupire en entendant ses mots. "Non, mais tu vois toutes personnes sensé et qui connait pas tes antécédents médicaux te dirait ça alors sérieusement redescend mec. On s'est pas parlé plus que ça jusqu'ici, je t'ai jamais manqué de respect ou quoi alors t'es prié de faire de même parce que je n'ai pas beaucoup de patience vois-tu ?" Il pige pas ce que tu lui dis ou quoi pour te balancer des remarques à deux balles de la sorte ? S'il veut chercher la bagarre, il est plutôt mal tombé avec toi parce que t'es pas du genre à apprécier les embrouilles qu'elles soient justifiés ou non. Il commence alors à te parler de sa vie de famille de but en blanc et sans raison. T'arque un sourcil en le fixant cherchant à comprendre où il veut en venir. "Ouais, j'ai plus le temps pour être dans une confrérie." Pas plus de justification, en même temps t'en as pas vraiment c'est un choix purement égoïste et peut-être que tu finiras par le regretter ensuite, mais pour l'heure t'estime que c'est le mieux pour toi. "Et j'en sais rien, j'ai jamais connu mes grands-parents." Donc non, tu peux pas piger ce qu'il peut ressentir. "Mais si c'est pour une histoire de santé et de bien-être pour elle, c'est mieux si elle peut avoir un vrai suivi en permanence dans un établissement approprié. En plus elle verra plus de monde qu'en étant enfermé chez vous et aura des activés car sauf erreur de ma part ils ont des animateurs dans les maisons de retraites, de quoi donnée un semblant de vie active et surtout t'auras toujours l'occasion de la voir." Un avis totalement neutre, si c'est ça qu'il voulait en voilà un où aucun sentiment n'influence néant pas connu cette expérience de ton côté.