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de la beauté là où il n'y en a plus (ellingter)

Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : de la beauté là où il n'y en a plus (ellingter) 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24941
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Jasper O. Ellington
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
@Taylor V. Foster Dans ta liste, j'ai rayé immédiatement toute idée de balade trop longue, de randonnée, de visites de touristes. L'été avait été suffisamment riche en découvertes ; voilà que je veux retrouver mon cocon, et la berceuse d'une balade sur l'eau. J'ai du mal à comprendre comment t'avais pu passer à côté aussi longtemps. L'océan, le port, donc. Un cabin cruiser loué pour l'occasion. Un permis obtenu y a des années, dont il ne reste que quelques vagues souvenirs, ça fera l'affaire. L'été passé loin l'un de l'autre, je saurais pas dire si ça aide. Ni si c'était voulu, d'un côté comme de l'autre. Question de timing. On mettra ça sur la tombe de notre histoire. Qu'on aurait pu. Qu'on s'est raté de peu. A quelques années près d'être merveilleux. J'ai le corps apaisé et les épaules légères, les vacances loin des préoccupations de la boite, et surtout celles du cœur. Ma silhouette a retrouvé cet appartement sans vraiment d'âme ; encore une cage temporaire. J'arrive pas à me stabiliser, à fixer des cadres au mur et repeindre le salon. J'arrive pas à choisir des meubles ; j'délègue tout à ma secrétaire. J'en ai rien à foutre. Seule la chambre de Junon semble être pleine de vie, de joie. Le reste, la poussière ose à peine s'installer, persuadée d'être rapidement déménagée. Logement de célibataire avec un enfant. Un jacuzzi sur la terrasse pour y mouver ses reins, frigo plein une semaine sur deux. Ridicule. Qu'importe. J't'ai donné rendez-vous en début d'aprem, et comme pour dire qu'on a tout fait, j't'ai accordé un morceau de ta balade. Deux-trois rues, histoire de. Un verre pris dans un bar caché dans une ruelle obscure, dont je doute que tu ai déjà goûté la spécialité épicée. Retrouver la simplicité des instants, comme on savait si bien le faire ; avant. Vers le port, j'ai le regard qui se balance par-dessus mon épaule pour te viser. « Le bar c'est fait, la balade aussi. » Un sourire coché sur la bouche amusée. « Il reste quoi ? » Avance, un peu, et te fait face, dos à la flotte. Une clé sortie de la poche. Pas peu fier. « Le bateau, c'est ça ? » Derrière nous, le sublime. Juste de quoi nous accueillir le reste de la journée. « Y a de l'indien dans le frigo, d'un resto qui vient d'ouvrir. » Le resto pas testé, tu peux rayer. « Et.. » J'te tends la main, pour t'aider à monter sur le bateau. Le sourire s'étale. « Y a personne qui m'attends avant demain matin. » La dernière ligne, sur la liste, j'l'ai pas oublié.

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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Boston - Harbor area
15 09 2022

De la beauté,
là où il n'y en a plus.


J’aurais pu te le dire, tu sais, que tu m’as manqué, qu’elles se sont tournées vers toi plusieurs fois durant l’été mes pensées. J’aurais peut-être dû être plus claire, plus cash, plus brute de décoffrage. Te dire que lorsque je ferme les yeux il m’arrive de voir ton visage. Mais je ne l’ai pas fait, bien au contraire même, j’ai foutu, à la faveur de son sourire, tous les détails, tous les peut-être et aussi tous les jamais de côté. Passer sous silence ce qui, dans notre relation, flanche. Pour ne garder que cette sensation de bien être à le retrouver.

Apprécier le moindre moment, le rattrapage d’instants. Ceux qu’on a manqué et s’imaginer ceux qui auraient pu être fait. Passer l’après-midi à se balader. A tester les retrouvailles d’une simple complicité après tout un été séparé. Puis croiser son regard quand je laisse mes pensées s’étioler, si bien que lui débute, un listing auquel je ne m’attendais. « Le bar c'est fait, la balade aussi. » Ce sourire qu’il me sert, cette façon de se montrer tout fier. « Il reste quoi ? » Mon expression se fronce, parce que non, je n’avais pas noté que ce que nous faisions c’était cocher les activités que j’avais pu lui envoyer. « Le bateau, c'est ça ? » Et cette clé qu’il transforme en trophée dans sa manière de la montrer. « Y a de l'indien dans le frigo, d'un resto qui vient d'ouvrir. » Sur le fil d’une esquisse de sourire, le temps d’opiner, de songer que c’est à tout, qu’il a pensé. « Et.. » Faussement suspicieuse lorsque j’attrape ta main qui m’invite à grimper, à soupirer de complaisance quand il achève, comme un secret. « Y a personne qui m'attends avant demain matin. » J’en exulte un rire, incontrôlé, une fois que sur le bateau, je tente de me trouver un équilibre. Presque trop rapide pour te souligner un minuscule petit détail, à la limite d’articuler, que tu flirtes avec le danger. « Bloqué avec moi sur un bateau jusqu’à demain. » Les sourcils arqués, le ton amusé, « T’as peur de rien. » Mais au cas où, on devrait se donner une liste de sujets à ne pas évoquer. Parce qu’entre nous, il y en a beaucoup, qui pourraient allumer un brasier. Nous enflammer. Pourtant, je me perds à te préciser. « Je suis presque touchée. » Pas presque, je le suis carrément, et tu le sais, je joue de la nonchalance, pour ne pas trahir l’accroche. Ne pas révéler que quand tu es comme ça, adorable à penser à moi, ça m’écorche.  

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@Taylor V. Foster Disparaître, louper des conversations, oublier des nouvelles. Sûrement qu'il y a de l'intention, dans ces espaces que je creuse dans la ligne, afin de transformer notre relation en tirets. Si nous étions de ces êtres qui se côtoient souvent, sûrement qu'il te serait plus aisé de venir m'interroger. Lumière braquée sur mes orbes et mots qui martèlent. Je préfère que tu me manques, plutôt que te perdre pour des paroles que je ne maîtriserai pas. Ou que je maîtriserai trop. J'anticipe les chutes, et en les dessinant à l'avance, je crois que je les provoque un peu. Mage qui prévoit l'avenir, qui ne sait dessiner qu'en noir. Toi qui porte si bien les couleurs. Je te soufflerai bien qu'il te faudrait les exposer à un regard plus optimiste, mais en haut de mes failles, il y a l’égoïsme. Profond, bien ancré, accroché à toutes mes décisions. A  un ego d'être un type bien. Les racines sont profondes, elles ont déjà étouffé bien trop d'alliances, m'en privant à l'annulaire. Disparaître et revenir, donc. Rattraper. Prévoir peut-être, que cela prendrait trop de temps, de fractionner ces idées. Autant tout faire d'un coup. C'est douloureux de reprendre une excessive inspiration après l'apnée. Étourdit d'un excès, je m'enivre de ce bateau qui coule. Notre bateau. Duquel on enlève la flotte de temps en temps, juste pour le maintenir à la surface. Pour changer de notre radeau, j'en ai loué un nouveau. Plus beau et pas encore abîmé. Une soirée, tu crois que ça peut tenir ?  « Bloqué avec moi sur un bateau jusqu’à demain. » C'est l'idée, comme pour s'obliger à ne pas fuir. Fermer les portes et te confier les clés. « T’as peur de rien. » Un rictus qui s'affiche sur les lèvres, et, c'est soufflé avec malice : « J'aime vivre dangereusement. » Avec mon battant, surtout. Pour le reste, tout est maîtrisé, calculé. La seule chose qui déconne bat encore dans ma poitrine ; un son désaccordé dans l’instrument. Qui aime, s'accroche, s'effraie. Relâche tes doigts, pour rajouter un peu de théâtre au drame. « Seulement presque ? » Recule, s'enfonce sur ce bateau dont un sbire nous délivre du bord. « Il fallait que je prenne la tenue de marin, en plus ? » Sourcils haussés, moue à la bouche. Un regard vers les commandes, et, nous quittons bientôt le port. Gamin moqueur. « Ou de capitaine, pour un peu d'ambition ? » J'irais pas dans les clichés, les gestes plus que l'apparence. Puis, plus doux. Orbes accrochées. « Il faut faire quoi, pour faire sauter le presque ? » Pour panser les plaies, comme tu le fais si bien au quotidien. Je suis celui qu'on soigne plutôt que l'inverse ; je ne sais pas faire. Mais apprendre, ça, c'est tout mon héritage.

(Jasper O. Ellington)



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15 09 2022

De la beauté,
là où il n'y en a plus.


Je vois le naufrage avant même qu’on ne quitte le rivage. Je me suis perdue dans les points et les virgules de notre histoire. Sans jamais savoir où nous sommes, alors j’ai arrêté de poser des questions, en guise d’unique protection. Faire le choix de ne plus en parler sérieusement, tisser une relation en se taisant. « J'aime vivre dangereusement. » Faut croire que moi aussi, forcément. Parce que tu m’attires, malgré tout, comme un aimant. C’est risible de continuer, de ne pas écouter mon instinct qui me dit que tu ne seras jamais mien. « Seulement presque ? » Un sourire qui traverse mes traits, presque c’est pour faire taire les peut-être. C’est pour feindre qu’à notre sujet, rien ne peut m’atteindre. « Il fallait que je prenne la tenue de marin, en plus ? » Tu demandes en te dirigeant vers les commandes, renchérissant quand le moteur de la bête se fait entendre. « Ou de capitaine, pour un peu d'ambition ? » L’ambition, t’as pas besoin d’un costume pour me la montrer, je sais pertinemment, qui tu es. Par réflexe, au démarrage, je m’accroche à ce que je peux, effrayée à l’idée de tomber. Consciente que c’est lui que je crains, car je me suis habituée à la douceur de ses traits, à ses airs aussi fiers que malins. « Il faut faire quoi, pour faire sauter le presque ? » Que t’arrêtes de disparaître, que tu restes, dégonflée quand je réponds à tes interrogations de façon erronée, « Ah ça, » mystérieuse qui ne l’est pas, qui délaisse son point d’ancrage afin de s’approcher avec lenteur, en quête d’un équilibre factice, de toi, « quelque chose de vraiment compliqué, » je me glisse derrière lui, une paume dans sa nuque comme une caresse légère qui suit le chemin de sa mâchoire, jusqu’à ce que je me positionne sur le côté, « tu pourrais, » hésitante qui érafle la lèvre inférieure de l’homme de son pouce, trahit l’envie d’un baiser, « m’... apprendre à le conduire. » En bataille intérieure, à vouloir me persuader que je me refuse toujours à te donner le droit de me détruire.

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@Taylor V. Foster  La sensation d'un temporaire auquel je dois m'accrocher, du plus fort que je peux. La fin au bout, qui hésite sur le bon moment pour s'imposer. Comme il n'y a aucun « bon », elle attend de voir, avec cet espoir que peut-être, on parviendra à bâtir une route qui bifurque de ce chemin tout tracé, un truc inattendu que personne n'avait vu venir, qui déjoue les plans initiaux. Tous les plans, un nouveau possible qui s'ajoute à l'étendue de ceux auxquels j'avais songé. Ne pense pas que j'ai jamais envisagé un après dans lequel on siège à deux. Puis, j'ai ajouté des morceaux de vérités. Des éléments de réalité, crus, bruts, pas si beaux que ça. Des cailloux qui prennent la place de roches, sur notre chemin. On ne peut pas les enjamber, et je fini par ne voir qu'eux, quand je regarde droit devant nous. Ne me dit pas que tu ne les vois pas, toi aussi. Même si je les tais. Si je n'en donne que quelques indices, dans ces rares moments de confidences. Je préfère la légèreté. Si nos moments sont comptés, je les veux heureux, d'une insouciance dont nos âges nous soufflerait qu'on n'y a plus le droit. Allons contre ces conneries de principes. D'un  bateau, d'un voyage court dont je prends le gouvernail. J'ai goût pour le parfait, tu le sais. Alors je veux effacer ce presque. Je veux tout, en sachant que ne saurait pas quoi en faire. « Ah ça, » L'équilibre est fragile, et j'observe la danseuse. « quelque chose de vraiment compliqué, » Il m'en faut plus, pour que çe me fasse peur. Le compliqué est mon moteur, juste à côté de l'ambition débordante. De la faiblesse d'un palpitant qui s'anime d'une caresse, aussi. Danseuse devient joueuse. « tu pourrais, » Les orbes suivent, se captivent. Les lèvres qui anticipent et s'entrouvrent à peine. J'en oublierai qu'il faut manœuvrer. « m’... apprendre à le conduire. » Allez idiot, ferme la bouche. Lèvres se soulignant d'un sourire franc, de celui qui s'est fait avoir. A un verbe. « T'apprendre à le conduire. » Répété, pour que le cerveau capte et accepte. « Évidemment. » Une inspiration plus profonde. [color=steelblue]« Que si tu nous sers un verre, d'abord. » Que tu t'éloignes, que je retrouve un peu mes esprits. Un regard vers le frigo, dans le semblant de cuisine dans la cabine. « Et, je ne sais pas si j'ai suffisamment confiance pour te le confier. » Soufflé avec une légère provocation, rictus malin ; balle qu'on renvoie, au chaud devenu froid sur ma bouche.

(Jasper O. Ellington)



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15 09 2022

De la beauté,
là où il n'y en a plus.


Un jour, j’imagine qu’on aura plus le choix, que les pas en arrière ne seront plus une possibilité, on sera obligé de prononcer les mots qui se cachent dans nos silences. Qu’il faudra poser les distances et probablement séparer nos existences. C’est pour ça, n’est-ce pas ? Qu’on se tait, qu’on continue de faire comme si de rien était. Pour ne pas nous écorcher. Pour ne pas me blesser. A la faveur de ce sourire que tu me décoches, j’oublie que je pourrais en souffrir. « T'apprendre à le conduire. » Et bien oui, quoi d’autre ? J’en ris de jouer les femmes un peu trop fortes. Comme si je parvenais à te résister. Comme si ce n’était pas compliqué. « Évidemment. » Hoche la tête pour appuyer ton mot balancé, c’est ma lèvre inférieure que de mes dents, je vais torturer, je l’apprécie cette tension, Jasper Ellington positionné en tentation… « Que si tu nous sers un verre, d'abord. » Suivant le regard, j’approuve encore d’un mouvement de tête significatif, un verre, plutôt que gérer notre situation, ça je sais faire.

Deux, trois pas, pour atteindre la cabine et l’entendre préciser ; « Et, je ne sais pas si j'ai suffisamment confiance pour te le confier. » En lancer une œillade assassine, l’air faussement outrée. « Je suis choquée ! » Je gémis, la main sur la poitrine … Mais il est vrai que ça pourrait devenir une catastrophe alors je ne défends mon idée que de moitié. Je ne te parle pas, des deux voitures que j’ai pliées. De ma justification préférée, le fait que les accidents n’étaient pas de mon fait. Bref, c’est le genre de souvenir qu’il n’est pas bon de raviver, et je secoue le visage, tandis que j’ouvre, que je trouve donc la bouteille et de quoi nous servir. Le tout sans même en renverser une goutte. A nouveau à côté de toi, je te tends une coupe, reprends avec naturel notre joute, « Pas confiance, hein ? » Alors que tu as déjà prouvé que tu avais plus de choses que moi à cacher. « Ca te va bien de me dire ça. » Les mots ont déboulé d’entre mes lèvres, plus forts que moi. Et les masquer d’une gorgée, sans prendre la peine de trinquer ; A nos peut-être, à ce qu’on n’est pas. A notre histoire qui porte le goût d’un jamais.

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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
@Taylor V. Foster  Spécialistes de l'esquive, on devient des professionnels des pas de côtés. C'est pas vraiment prévu dans la danse, mais on les rajoute, pour ne pas déraper, fracasser nos orteils ou nos cœurs. Il faut doser les rapprochements, les mains sur les hanches ou les instants aux corps éloignés. Ne pas s'oublier. Ne pas s'accrocher de manière trop intense, trop longtemps.  Ne pas devenir une habitude. Car je ne le sais que trop bien, les habitudes sont des amies infidèles, elles creusent dans le ventre et le battant, juste quand on pense pouvoir s'en débarrasser sans dégât. J'ai le corps gruyère, depuis les femmes. Celles qui ont compté. Et dans celles-ci, je sais qu'il y a une silhouette dont on pourrait deviner tes contours. Tu fais ta place, avec l'air de presque t'en foutre. J'en viens à m'en persuader, jusqu'à ce qu'une réplique claque plus qu'une autre, et me rappelle que je suis celui qui devient maître dans l'art de reculer. Toi, tu t'adaptes. Je sais que ça grogne dedans et que trop souvent tu te mords la langue. Si j'étais équipé d'un peu plus d'empathie, je m'inquiéterais de voir la marque de tes dents dans le tendre. Mais, je préfère les paupières fermées vois-tu. Oreilles rabattues. Déni pour nous sauver, c'est ce que je me souffle pour préserver l'ego. « Pas confiance, hein ? » Tu pourrais t'arrêter là, que j'aurai déjà compris. Mais je suppose qu'on peut qualifier la guerre de bonne, quand tu continues. « Ca te va bien de me dire ça. » Ca m'en décoche un sourire bien malgré moi, comme une surprise toujours intacte de te voir me renvoyer la balle, même quand je te l'envoie mollement. Je taquinais, tu mords. Les orbes se relèvent, et j'ai la coupe qui veut faire de même, mais voit que sa pareille finit contre tes lèvres sans s'emmerder d'une coutume. « T'as pas oublié un truc ? » Sermonné avec une légèreté assez mal exécutée. J'ai l'air d'un con avec ma coupe ainsi levée. On s'loupe même pour ça. La grimace est rapide, bien vite camouflée par une gorgée. Assez conséquente pour vider une partie du verre. J'sais pas pourquoi, mais j'sens que le bateau va tanguer, même sans l'aide des rouleaux. « Vas-y, explique. » On a quitté le bord, la terre, et ainsi bloqués, je suppose que c'est le bon moment pour sortir le jeu d'échec. Déballe ce qui est resté bloqué dans ta gorge, vas-y. J'mets le bon cap, et j’enclenche le pilotage automatique. La main tout de même appuyée sur le gouvernail. Occuper son corps, se tenir debout comme on peut. « Allez Foster. » Me chatouille pas d'une lame, si tu n'es pas capable de l'enfoncer un peu.

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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15 09 2022

De la beauté,
là où il n'y en a plus.


J’efface les non-dits à coups de gorgées, avec ce vin dont j’aime le goût et mes envies de me rapprocher. Celles contre lesquelles je lutte quand t’es à proximité. Parce que je ne sais jamais, ce qui est autorisé. Je réfléchis quand c’est lâcher prise que je voudrais. Dans notre relation, Jasper, dis moi, où est-ce qu’on en est ? On a passé le cap du soutien, de l’amitié ? Sur ce bateau, j’ai peur de couler, effrayée à l’idée de me confronter à notre réalité. Je crains le « au revoir » qu’on ne pourra probablement pas éviter. Parce que j’en désire trop et toi pas assez, parce que c’est ton cœur, et le mien, que je souhaite panser. « T'as pas oublié un truc ? » Plusieurs même, mais elles sont passées par-dessus-bord, mes bonnes manières. Et je vendrais mon âme au diable pour te regarder prendre tes grands airs. Quand je devine que tu pallies mes oublies par l’alcool, que tu effaces en buvant, et par les mots, me surprends. « Vas-y, explique. » Seulement d’avance, ça pique. La pointe de ma langue glissée sur ma lèvre inférieure, j’avorte un rictus railleur. L’observant tandis qu’il se débarrasse de la responsabilité des commandes, et qu’il me relance, débute une nouvelle danse. « Allez Foster. » à la recherche de ce que je garde à l’intérieur, au sujet de notre histoire, de nos erreurs. J’en inspire longuement, avec lenteur, claquant ma langue sur mon palais, et je le désigne de mon index pour souligner son côté malin, avant de trouver du courage dans ce verre que je finis d’un trait. « Je parle… » j’hésite pour la forme, et de son être, je m’approche, « de tes secrets, » ce que tu choisis de me cacher, ceux que tu gardes, ceux qui font que tu n’oses jamais, ceux qui nous font foutrement stagner, « tu sais, genre ta colocation. » Tout ce qui engendre le bancal de notre relation.

MADE BY @ICE AND FIRE.
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Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : de la beauté là où il n'y en a plus (ellingter) 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
de la beauté là où il n'y en a plus (ellingter) QIkbezwN_o
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
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@Taylor V. Foster  Tes pas, innocents, me font reculer jusqu'à ce que mon dos se fritte contre le mur. C'est même pas voulu, je crois. Tes foulées sont trop légères, il manque du belliqueux dans cette cavalcade pour que je crois vraiment à une attaque. Qu'importe, le résultat est là, mon verre tendu dans le vide et mes doigts qui ne souhaitent même plus naviguer. Je nous aurais donné un peu plus de temps. Peut-être même suffisamment de milles pour te faire visiter l'intérieur de la cabine, nous laisser déguster les mets choisis. Prendre une bouffée de cette jolie pause. Mais voilà, je le sens ce foutu mur, égratigner la peau tendre de mon dos. Chair scarifiée de plusieurs mésaventures, j'ai tendance à ne plus l'exposer à tout va. J'te l'ai dévoilé dans quelques rares instants de maladresse ; mais laisse-moi le cacher, maintenant que je perçois les lames dans tes paumes. On voit encore la terre, Foster, n'es-tu donc pas foutu d'attendre encore un peu ? « Je parle… » Tu t'approches et j'ai le corps qui se redresse, le menton haut, porté en défense. J'refuse le moindre pas en arrière. Le mur, toussa. « de tes secrets, » Un fin sourire même, qui se place en riposte silencieuse aux commissures des effrontées. Je tais les réponses trop faciles qui voudraient passer la barrière de ma bouche. L'intelligence de savoir quand la situation mérite réflexion. De savoir surtout que la précipitation pourrait nous diriger droit vers notre perte. Accélérer la foulée, réduire la distance, qu'importe mais le résultat sera le même. « tu sais, genre ta colocation. » J'ai les traits qui se secouent, et le rire léger, j'l'ai pas vraiment calculé sur le moment. « Genre la colocation. » Répété. « Avec Leandra. » Soufflé, fort, si bien que ça n'a plus aucun intérêt de vouloir le placer sur ce ton. J'ai l'impression de rejouer cette scène, la même scène, depuis dix ans. Probablement que j'me pose pas les bonnes questions. « Parce que si j'avais fais une colocation avec Robert, soixante-huit ans, j'suis pas sûr que ça compte comme un secret. » J'avais moins de chance de me le taper sur le plan de travail de la cuisine, certes. Les bras se croisent, et j'trouve un appui contre la porte qui nous sépare de la cabine. Une-deux secondes de pause. « C'était pas un secret. » Jouons sur les mots. « Tu m'poses juste pas les bonnes questions. » Vous avez ce talent. Tu le partages avec Alaska. Vous ne posez pas les questions, car vous ne voulez pas les réponses. Et moi, je crois que vous aime aussi pour ça.

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Il y a dans le faible rire qu’il m’offre, l’aveu qui murmure que de mon ongle j’ai accroché un bout d’écorce qu’il ne me faut pas encore arracher. Que c’est trop tôt, que je vais tout gâcher. Que la partie n’était même pas réellement débutée. Que la catastrophe ne viendra pas du destin, qu’elle se trouve à l’évidence dans le creux de ma main. Je n’ai pas réussi à tenir le rôle qu’on voulait me donner. Et tu sais le pire ? Je ne suis pas désolée. On a beau le croire, Jasper, on n’est plus des bébés. On ne peut plus se cacher. « Genre la colocation. » Celle qui m’a donnée envie de te gifler. De te blesser. Mensonge, dissimulation assumée. « Avec Leandra. » Je me laisse surprendre, en sourcillant, par son intonation. J’imagine que la défensive se lie naturellement, pour lui, à ce prénom. Mais je n’entends pas directement le coup que ça porte à mon affection, celle qui s’amalgame à la sienne, d’appellation. « Parce que si j'avais fais une colocation avec Robert, soixante-huit ans, j'suis pas sûr que ça compte comme un secret. » J’en secoue le visage face à sa mauvaise foi, bois une gorgée pour pallier l’aigreur qui comment à poindre en moi, tandis que lui croise les bras. « C'était pas un secret. » Tu parles, ce n’est pas beau de tenter de m’embobiner. Parce que je pourrais y croire et te laisser encore m’érafler. « Tu m'poses juste pas les bonnes questions. » Alors la faute me revient ? Je l’avoue volontiers, oui, à quel point il est malin. Combien c’est bien joué. Mais il semble avoir oublié, l’espace d’une petite seconde, que nous sommes deux à le faire, et que la balle, je sais la renvoyer ; « Quand je t'en pose, je n’aime pas tes réponses. » Je dois te le remémorer, le fait qu’on se soutient ? Ce qui nous a valu plusieurs jours de silence, avant que ne vienne de ton cœur, la défaillance. « Mais soit. » Sur ce bateau, l’option retour n’existe pas. « C’est à cause de moi que tu as omis de me dire que tu vivais avec ton ex et que tu couchais avec elle. » Le sabotage, l’autodestruction, je maitrise, plus qu’on ne le croit. Passer une soirée sans nous abîmer, ça ne nous ressemble pas. Mords-moi.

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