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Alors là, ça n'allait pas le faire! Cela faisait maintenant quinze minutes que j'étais réveillée, et je bouillais beaucoup trop. J'étais complètement enragée. Pour être plus claire, hier, j'avais été dans une boîte de nuit. La soirée jusque là avait été correcte, jusqu'à vers 23h00. Moment où Sören était arrivé. Notre relation, nous deux, était plus qu'étrange. Nous nous aimions bien, mais nous détestions aussi. Hier, je l'avais détesté, et comptait bien aller le voir aujourd'hui pour le demander quel avec été son problème. Je me fumai une clope pour me calmer, respirant à grandes bouffées la fumée de ma cigarette. Je m'habillai en vitesse, ou plutôt enfilai quelques morceaux de vêtements. Une camisole ne m'arrivant en haut du nombril, dévoilant mon piercing et mon ventre ferme. J'avais enfilé également une paire de jean serrées, que j'aimais bien porter. En sortant dehors, je me dirigeai d'un pas ferme et frustré vers la Winthrop House. Il allait m'entendre, ce Sören.

Ce qu'il avait fait, hier? C'était tout simple. J'avais reçu une petite livraison de drogue. Il était rare que j'en prenais, mais ce soir là, j'en avais réellement besoin. Je l'avais donc enfin reçue, mais il me l'avais volée. Pourtant, ce n'était pas tout! Ce soir-là, j'étais également en compagnie d'un mec que je comptais bien me faire, et ce sacré Winthrop l'avait fait disparaître pendant que j'étais partie aux toilettes. Arrivant à la Winthrop House, les regards des garçons de la place ne me lâchèrent pas du regard. J'étais bien trop enragée pour les prendre en compte. Arrivée devant la porte de la chambre de Sören et cognai à celle-ci en criant furieusement au travers : « Ouvre-moi! Tout de suite! »
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Il y a une chose sur ce bas monde que j'adorais particulièrement faire: emmerder Dixie. Des fois, je savais que j'allais, trop loin. Pourtant, je ne pouvais pas faire autrement. Hier soir, d'ailleurs, je dépassais les limites. En effet, j'avais conscience que je venais de dépasser les bornes. En plus, de voler son opium, je faisais dégager un jeune homme avec qui elle semblait désirer passer la soirée. Pourquoi? Là était la question. Je ne savais pas réellement pour quelle raison j'agissais ainsi, avec elle. Disons que le tout était plus fort que moi. Je dormais, encore, lorsque j'entendais un vacarme sans nom. J'ouvrais doucement les paupières avant de lâcher un ronchonnement de mécontentement. Soudainement, j'entendais la voix mélodieuse de Dixie. Je poussais un faible soupir avant de poser un pied sur le sol et de dire adieu, à ma grâce matinée. J'étais simplement vêtu de mon boxer, je gardais toujours l'habitude de dormir ainsi, je trouvais ça plus confortable. En temps normal, j'aurais vêtu quelque chose, mais vu qu'il s'agissait de Dixie, je n'avais pas la moindre pudeur. J'ouvrais finalement la porte avec un large sourire narquois afin de narguer, la jeune femme. « Bon matin, Dixie, oh merci de demander, je vais bien, merci et toi?» De nature arrogant, je ne pouvais point faire autrement. Bref, je me décalais un peu afin de laisser entrer la jeune femme, dans ma chambre.« Que puis-je faire pour toi?» Un sourire niais ornait mon visage, évidemment, je connaissais déjà la réponse à ma question.
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J'étais véritablement impatiente qu'il m'ouvre. Pas impatiente de le voir, mais plutôt impatiente de lui dire ma façon de penser. Je cognais du pied devant sa chambre, portant des talons. Le claquement se faisant entendre dans le couloir et probablement dans les chambres autour, réveillant ceux qui dormaient paisiblement. J'entendis même à un moment, au fond du couloir, un fort coup contre le mur intérieur d'une chambre, avec une voix masculine m'ordonnant de faire moins de bruit. Sören m'ouvrit finalement la porte. Je n'attendis même pas qu'il m'invite à l'intérieur : je le fis moi-même, avant de refermer la porte d'un claquement. Avant de commencer à l'engueuler, je ne pus m'empêcher de l'examiner, torse nu et seulement en boxer, avec sa voix matinale rauque si sexy. J'essayai d'ignorer ces détails qui risquaient de me faire perdre de ma puissante fureur. « Parce que tu vas bien? Attend donc encore un peu, tu verras que ça n'ira plus aussi bien pour toi, tiens...! » Je soufflai un coup, arpentant sa chambre, puis m'arrêtant finalement devant lui, les poings sur mes hanches. «C'était quoi ton problème hier, de me voler ma poudre et de faire déguerpir mon coup d'un soir? T'étais jaloux, c'est ça?» Je souris légèrement en coin, mais restant toujours furieuse. « Ce serait normal, après tout! » J'en profitai à ce moment là pour respirer un bon coup, le regard noir mais amusé quand même par ce que je venais de lui lancer. Alors Sören, que répondrais-tu à ça, ein?
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Je tournais les yeux vers le plafond. Oh putain. Décidément, pour un matin, elle était décidée à s'époumoner. Un bref rire s'échappait de mes lèvres lorsqu'elle prétendit que très rapidement, j'allais descendre de mon petit nuage. « Écoutes, c'est pas parce que tu aboies comme un chihuahua que je vais aller mal, pour ça.» Un sourire moqueur ornait mes lèvres, à cette phrase. Je prenais, par la suite, un air faussement offusqué lorsqu'elle prétendait que j'étais peut-être jaloux. Moi, jaloux? Non, mais elle pouvait encore rêver, quoi! Certes, elle était pas mal, en fait, Dixie était le genre de jeune femme ravissante que n'importe quel homme aimerait avoir dans sa vie ou peut-être dans son lit, sauf que, je ne ressentais pas la moindre once de jalousie vis-à-vis du morpion qu'elle comptait se taper, hier soir. « Moi, jaloux. Écoutes, tu devrais arrêter de rêver. Je n'étais pas jaloux. J'essayais simplement d'éviter que tu commettes l'erreur de ta vie, parce que honnêtement, tu allais pas coucher avec cette horreur ?» Tu passais une main derrière ta nuque avec ce léger sourire arrogant arpentant, tes lèvres. « Je pensais que tu avais des meilleurs goûts.» Tu haussais alors les épaules, un brin provoquant.
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Je laissai échapper un grognement de rage. Il me faisait chier, là, avec ses répliques bien choisies et bien placées. Les poings toujours serrés, je l'ignorai pendant un moment, me permettant d'aller dans la petite cuisine de sa chambre. J'ouvris son frigo, lui volant une canette de boisson gazeuse, que j'ouvris et but d'un trait. C'était pas bon pour moi, mais au pire je me réserverais quelques heures de sport à la fin de la journée. Je jetai la canette vide dans l'évier, puis trouvai son canapé. Je m'y jetai, croisant les jambes et les soulevant pour les placer sur l'accoudoir du divan. On était peut-être trop pareil, lui et moi, pour s'empêcher de se lancer des piques comme on le faisait présentement. « Comme un chihuahua? Attends, c'est le caniche qui me dit ça? » Je roulai des yeux, le fixant. J'étais un peu moins en colère, mais tout de même sur les nerfs encore. Pour qui se prenait-il, aussi? « L'erreur de ma vie? T'es sérieux? » Je me relevai et allai me positionner directement devant lui, les bras croisés sur ma poitrine. Elle était à quelques centimètres de lui, presque à la hauteur de son visage, l'air provocateur également. « Ah ouais? Quels sont mes goûts, tu penses?»
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Je ne savais pas pourquoi et encore moins comment, mais les choses, elles pouvaient s'avérer compliquées comme elles pouvaient s'avérer aisées, avec elle. Notre relation était un peu relatif à des montagnes russes et, je ne savais pas réellement pour quelle raison. Par contre, j'adorais ça. Je ne pouvais point vivre sans elle, malgré ses crises de colères et nos disputes, c'était plus fort que moi. Et puis, je devais avouer que très souvent, elle savait comment me faire marrer. Je riais doucement lorsqu'elle rétorquait. Elle et moi, nous nous ressemblions. Elle avait, elle-aussi, un fort caractère et elle n'était pas du genre à se faire marcher sur les pieds. « Tu m'insultes là, un caniche n'est pas aussi sexy que moi. » Je faisais un clin d'oeil à la jeune femme. Je m'asseyais sur le coin de mon lit, en face du canapé, je regardais Dixie prendre, ses aises « Très sérieux. D'ailleurs, je crois que tu devrais t'acheter des lunettes parce que je parviens toujours pas à croire que tu allais faire ça.» Un sourire moqueur ornait ton visage. Ah, tu adorais grandement plaisanter, surtout, lorsque le tout résidait dans son compte. Je plantais alors mon regard dans le sien, à sa question. Un sourire presque provocateur arpentait mes lèvres alors qu'elle se trouvait à quelques centimètres de moi. Pendant un bref instant, je dévisageais la jeune femme de haut en bas, elle était belle, particulièrement ravissante, ce matin. Je me levais, soudainement, pour agripper la jeune femme par les hanches et attirer celle-ci un peu plus contre moi, délicatement. Son visage était à quelques centimètres du mien, je pouvais sentir sa respiration sur ma peau.« Tu aimes, les hommes, les vrais. Du moins, j'osais espèrer.» Chuchotais-je, à son oreille, sur un ton provocateur.
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Mon dieu, ce qu'il me faisait profondément chier. Mais ce que j'aimais le voir. Avant hier soir et ma crise de ce matin, cela faisait déjà un très long moment que nous ne nous étions pas vus. On était tellement pareils qu'on se détestait, mais qu'on ne pouvait être éloignés l'un de l'autre trop longtemps. C'était bizarre, mais c'était comme ça. Avec Sören, il y avait des hauts et des bas, de la haine comme de l'attirance, et ils vivaient très bien avec ça. Son rire me calma un peu plus. Mon air séducteur prenait peu à peu le dessus, mettant de côté mon air de folle furieuse. « C'est encore à voir, ça... » Je souris en coin, amusée. À ce moment là, j'étais encore installée bien confortablement sur le divan, mais m'était levée immédiatement afin d'aller près de lui, d'une démarche quelque peu sensuelle. Je savais qu'il aimait ça, même s'il risquait de le nier. « Peut-être que c'était pour tenter de te rendre jaloux? Ou pas! » Je rigolai également pendant un court moment. Je pouvais maintenant le détailler à ma guise. Torse nu, en boxer, il était dangereusement sexy. Je me mordillai la lèvre inférieure en souriant. Ses muscles étaient très bien dessinés sur son torse et son visage était plus que craquant. Puis, sans plus de manières, il m'aggripa par la taille et me tira vers lui. Je sais que je ne pouvais être plus proche, mais j'essayai quand même de me coller un peu plus, remontant l'une de mes mains pour faire glisser le bout de mes doigts sur son torse. « Oh, tu me connais bien... En es-tu un vrai, dis-moi? » Je le regardai un instant, puis sans prévenir, je vins déposer quelques baisers prononcés dans le creu de son cou. Je me reculai le visage après quelques-uns pour l'observer, malicieusement, de façon provocante.
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Je prenais alors un air faussement choquer à ses paroles. «Pourtant, toutes les étudiantes de cette université son de mon avis.» J'étais du genre confiant. En effet, j'avais conscience du charme que je possédais. Après tout, toutes les femmes de cette université ou presque, elles étaient à mes pieds. Je n'avais pas besoin de déployer des efforts afin d'obtenir ce que je désirais chez les femmes. D'ailleurs, je parvenais toujours à obtenir gain de cause et ce, même avec Dixie. Il était difficile de croire qu'elle était venue, à la base, afin de m'engueuler. Le tout changeait radicalement. Et j'aimais ça. Depuis le début, il y avait cette attirance physique, entre elle et moi et je succombais, à chaque fois, faiblement. Après tout, il était impossible de résister à une telle femme, n'est-ce-pas? Un brin flatté, je posais mon regard sur Dixie. « Intérésant, très intéressant même. Dommage, que je ne suis pas du genre à être jaloux.» Enfin, presque pas. Je haussais les épaules, l'air naïf. Le tout était en train de devenir de plus en plus intéressant. Je détaillais du regard la jeune femme. Je l'attirais vers moi. Je sentais ses doits parcourir mon torse. Un bref sourire naquit sur mes lèvres, à ses propos. Je reprenais rapidement mon sérieux lorsqu'elle s'afférait à déposer des baisers au creux de mon cou.« Tu n'as qu'à constater, par toi-même.» Je ne pouvais résister plus longtemps à sa provocation et en moins de une, mes lèvres se retrouvaient sur les siennes, partageant un baiser langoureux, tandis que du bout de mes doigt, je caressais son bas ventre, remontant vers le haut afin de retirer sa camisole.
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Qu'est-ce que cette situation m'amusait, mais m'excitait à la fois. Eh oui, Sören était le seul qui réussissait constamment à me faire sentir plusieurs émotions à la fois. En ce moment, nous jouions, et ça me plaisait probablement autant que lui. À vrai dire, on ne pouvait pas me résister. Du moins, très difficilement. J'étais une Mather dans l'âme : je voulais? J'obtenais! Toujours. Inutile de demander la permission. Si je voulais quelque chose, je me jetais dessus, et gare aux autres, surtout aux filles, qui voulaient la même chose que moi. Pourtant, malgré nos très fortes ressemblances, une chose nous différenciait probablement, moi et lui. Il n'avait beau pas être jaloux, moi je l'étais facilement. Possessive et jalouse! Je ne pouvais rien y faire, j'étas comme ça. Un de ces jours, j'allais croquer toutes ces filles, oui... « Elles ne seront jamais de taille face à moi. Et tu le sais. » J'avais dit ça de façon assurée, confiance, et sans qu'il ne puisse y placer une objection. Ce qu'il me dit me fit sourire en coin. Je grognai légèrement de mécontentement, assez fort pour qu'il m'entende. Je ne répondis rien à cela, puisque mes lèvres furent capturées pour un baiser plus que fougueux. C'est ce que j'aimais de lui : il ne s'y prenait pas par quatre chemin. Comme moi. Ses mains commençaient à parcourir mon corps, à la recherche de mes courbes, ce qui me faisait frissonner. Entre deux baisers, ma respiration s'était accélérée et je soufflai tout près de son oreille, avant de la mordiller sensuellement. « Je ne suis pas encore certaine d'être persuadée... Montre-moi. » Là, c'était mon coeur qui me faisait chier. Il m'empêchait de résister à Sören. C'était à mon tour, de venir caresser son corps de mes mains. Je revins cependant chercher ses lèvres, puis fis glisser mes mains vers le bas de son corps, aggripant l'élastique de son boxer. « Je sais que tu ne peux pas me résister, Sören... »
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J'adorais particulièrement la confiance qu'elle projetait. Elle n'était pas nécessairement comme toutes les filles que tu cotoyais. Elle était, en effet, différente. Elle savait ce qu'elle désirait, mais par dessus-tout, elle savait ce qu'elle valait. J’acquiesçais lorsqu'elle prétendait que toutes les filles n'arrivaient pas à sa cheville. « Pas faux. Tu es de loin, la meilleure.» Je ne pouvais point nier ce fait: sur toutes mes conquêtes, elle était de loin en haut de ma liste. Il ne fallait pas longtemps avec que tes lèvres emprisonnent, les siennes. Il suffisait d'un rien pour renverser la situation, pour que cette attirance physique ait le dessus, sur tout, sur nous. Un bref sourire se dessinait sur mes lèvres, lorsqu'elle disait vouloir une preuve de ce que j'avançais. « Tu verras, tu ne seras pas déçue.» Je reprenais possession de ses lèvres, alors que je sentais ses doigt parcourir ton corps. Je frissonnais légèrement à ce contact que j'dorais, tant. « Je pourrais, mais j'ai envie de toi, tu vois.» Un bref sourire moqueur ornait mes lèvres, alors que je déposais divers baiser sur le cou de la jeune femme avant de remonter prendre possession de ses lèvres. Je faisais doucement basculer la jeune femme sur mon lit avant de me placer, par-dessus, elle. Ma main redessinait doucement les courbures de son corps avant de remontrer vers sa poitrine alors que tu profitais encore une fois d'un baiser langoureux. La chaleur montait, dans la pièce. Je déboutonnais doucement son bas avant de faire descendre, celui-ci. J'avais envie d'elle, terriblement.
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