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Un café avec son meilleur ami. (FF)

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Je suis de retour sur Boston. J’avais passé de superbes vacances avec mes deux potes Zequi & Brad. On s’était bien marré un sacré Very Bad Trip. J’étais content de revoir ma tortue, mais aussi mon chien qui m’avait terriblement manqué. Être loin de lui, m’avais déchiré le cœur, mais il était avec une personne de confiance, mais mine de rien un chien, c’est comme un enfant. Quand je suis rentré à l’appartement, il m’avait sauté dessus, il était tellement heureux qu’il ne voulait plus me quitter. Cependant, j’espère qu’il était sage, durant mon absence, qu'il n'a pas trop fait de bêtise. J’avais eu dans l’idée d’aller boire un café avec mon meilleur ami Thomas, ce dernier était resté à Boston. Il faut absolument que je lui raconte mes retrouvailles avec mon ex femme. J’ai cru que ça allait être tendu entre nous, mais non tout s’est très bien passé. Bien sûr, je sais qu’il faudra que nous ayons cette discussion sur notre dispute qui avait causé notre divorce. Un sujet douloureux, mais il faudra passer par là, pour creuser le mal qui est en nous. Elle était claire, elle s’était remise en couple. Moi non, elle avais du mal à le croire elle pensais que j’allais avoir toutes les filles après moi, pourtant, j’ai été sage. Je n’ai pas eu beaucoup de coups d’un soir depuis notre séparation. De mon côté, j’étais un peu surpris d’apprendre qu’elle avait refait sa vie, elle savais que ça allait me faire du mal donc elle n’avais pas appuyais avec ses détails. À peine rentré, j’avais laissé mon chien avec ma tortue, il était en pleure, mais je reviendrais vite vers lui, c’est seulement un moment avec mon pote Thomas.

La première fois que j’avais revu Sarah, c’était il y a quelques mois, avant le début du Summer Camp. Elle était en boite de nuit, bien accompagnée d’une bande de copines. Je l’avoue, j’ étais assez énervé de la voir s’amuser ainsi. Son attitude, avait causé mon accident de moto. Cela prouve qu’il y a encore quelque chose entre nous. Je n’ai clairement pas tourné la page, elle non plus, je le vois dans son regard quand elle me parle, il n’y a pas de haine dans ses yeux.

J’entre dans le café, je m’installe à une table. Puis je sors le journal en attendant mon ami Thomas.



@Thomas Hemingway
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C'
est la rentrée à Boston. Pour les professeurs, les étudiants. Pas pour Thomas. Lui, il a bossé tout l’été, comme toujours, dans son cabinet d’architecture. Il a même de nouveaux projets en route et ça lui fait plaisir, quelque part, du moins, il veut l’croire. Mais en vérité, rien ne le rend heureux. Ça fait des lustres qui ne sait plus ce que c’est le bonheur et il en vient à se questionner sur le fait qu’il ait pu le connaître un jour. Pourtant, il a bien d’autres choses à faire. Déjà, il doit se doucher. En c’est las qu’il délaisse son lit, une main passée dans sa chevelure tandis qu’il attrape son briquet et son paquet de clope. À peine lever qu’il en grille une, se moquant de l’odeur qui n’existe plus tant il s’y est habitué. De plus, il vit seul et hormis ses domestiques, personne n’a à en subir l’odeur. Ils sont payés grassement pour ça, qui plus est, nan ? Alors, après l’avoir fumé jusqu’à ce qu’il ne reste que des cendres, il se lève, l’anglais pure souche, pour se glisser dans son immense salle de bain. Oui, il ne manque de rien, matériellement parlant. Question humaine, c’est plus complexe. Il possède des corps, lorsqu’il le souhaite, en payant, mais il ne fait plus battre aucun cœur et le sien est réduit en cendres. Il ne battra plus, ne vibra plus pour quiconque et faut se l’avouer, c’est une vie de merde. Il a même cette maudite impression de ne plus posséder d’âme parfois et ça le fait paniquer. Serait-il capable de faire n’importe quoi ? Un acte irrémédiable ? Il préfère se focaliser sur sa respiration lorsqu’il y pense pour fermer les yeux et oublier cette idée. Car elle ne lui apporterait rien de bon. Il déprime suffisamment chaque jour, puis il se tue à petit feu avec toutes ses clopes qu’il allume pour les fumer en sachant pertinemment ce qui pourrait lui arriver. C’est comme s’il jouait avec le feu, voulait qu’il lui arrive un truc afin d’avoir un déclic ou de sombrer. Il se tient sur une corde, à l’image d’un funambule et encore aujourd’hui, il ne sait pas ce qu’il veut faire. Continuer ou chuter. Pourtant, il n’a que deux choix qui s’offre à lui et il ne sait pas quoi faire. Alors, il subit, vit dans son enfer personnel qu’on lui a dédié sur terre ou encore qu’il s’est créé lui-même. Thomas ne sait plus rien et il s’en contre-fout.
Il met peu de temps pour se préparer. Ce sont toujours les cheveux en bataille et mal essuyé qu’il passe ses coups de fils en fumant cigarette sur cigarette dans son bureau à domicile. Une fois qu’ils sont tous passés, il s’empare de sa tasse de café à présent froid pour l’ingurgiter et il s’en va avec son portefeuille, ses clefs de voiture et ses clopes ainsi que son briquet. Vêtu d’un costume noir griffé, de chaussures de ville qui le sont également et d’une chemise blanche, il passe la porte d’un café dans lequel il s’est donné rendez-vous avec l’un de ses meilleurs potes : Niccolò. Le cherchant en ôtant ses lunettes de soleil, il plisse des yeux à cause des luminaires qui lui offre trop de luminosité pour apercevoir le grand brun déjà assit à une table, un journal entre ses mains. Cette vision le fait sourire, car il pensait qu’il n’y avait que lui pour lire ainsi de la presse écrite.
- « Salut, mec. » Il prononce à son intention tout en souriant davantage. « Comment va ? » Il tire sur sa chaise et s’assied, s’amusant déjà à se pencher en arrière. « Y’a une carte ici ? » Il ne sait plus s’il connait les lieux ou non, faut dire qu’il ne dort pas suffisamment la nuit. « J’suis content de te voir. » Il termine, car il est important à son sens de le lui souffler. Deux mois, c’est long sans son pote à qui il se confie et qu’il écoute, puisque c’est donnant donnant. « Faut que tu m’racontes absolument tout, mais pour le moment, je crève la dalle ! » Et c’est peu de le dire étant donné qu’il n’a qu’un café refroidi dans le ventre.  

@Niccolò Russo
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Un café avec mon meilleur ami
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Je repense à mon ex femme Sarah. Il y a six semaines, elle était au fond du trou, elle n’avait plus de force, elle était perdue. J’ai cru que j’allais la perdre, on aura dit une autre personne. Elle était défoncée du matin au soir, le fait qu’elle accepte de se faire soigner, j’ai trouvé sa très courageux de sa part. Elle qui aime sortir, faire la fête. Voyager dans le monde. Etre fermé avec des inconnues qui s’occupent d’elle, ça doit être vraiment très dur. Elle revenait de loin, c’est moi qui avais intégralement payé ses soins. Je l’ai envoyé dans le meilleur centre, avec les meilleurs médecins, je voulais qu'elle reviennent en forme, sa santé était mis en péril. Je voulais tout simplement retrouvé mon ex femme. Quand elle est partie en désintoxication, je lui avais promis, qu’on allait se retrouver autour d’une table pour avoir cette fameuse conversation. Au début, elle ne voulait plus entendre parler d’un retour de notre couple, mais j’avais prêté main forte pour sa cure, je voulais lui proposer mon amitié, car c’est ce que nous étions aussi dans notre couple, nous étions un binôme. Quand on s’est retrouvé au Summer, camp, c’étaient juste deux amis qui se retrouvaient, je sais que cette conversation, on ne peut pas y échapper. J’ai certainement sauvé sa vie avec cette cure que je lui avais imposé, je sais qu’elle en a consciente. Elle sait que de son côté elle ne fera plus les mêmes erreurs qu’elle avais commise avant notre divorce. Tout est bon pour qu’on retrouve le bon chemin… De mon côté, j’ai juste envie d’échanger avec elle, de mettre tous sur la table pour ensuite la prendre dans mes bras afin de lui dire a qu’elle point elle m’avais manqué.

Thomas était enfin arrivé, il devait bien se marrer en train de lire un journal alors que la plupart des gens sont passés au numérique. Je le regarde en souriant avant de lui répondre.

Coucou, mon ami, dis-je en souriant à nouveau. Je vais plutôt bien et toi Thomas ? Dis-je avant de poursuivre, te connaissant t'a du passé tout l’été a travaillé ? Dis-je en attendant une réponse de sa part. Oui évidemment. Je fais signe au serveur afin qu’il nous apporte une carte, l’air amusé, j’observe mon ami en train de se balancer sur la chaise. Je suis content également  mon petit Thomas. Dis-je en recevant la carte du serveur. Oui, ne t’en fais pas je vais tout te raconter, mais pour le moment moi aussi, j’ai une faim de loup, dis-je en riant de bon coeur. Nos conversations m’ont manqué, il n’y a pas deux gars comme toi, tu es unique.

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T
homas sent la clope froide. Ses cheveux sont en bataille, mais il porte toujours des costumes griffés. Son look est décalé, en comparaison à son allure, mais il aime être différent. Se mêler aux communs des mortels lui a toujours semblé d’être d’un ennui mortel, alors, il peaufine son côté décalé, en affichant des couleurs qui pètent, bien que vêtements de maison de couture. Ils sont généralement signés Dior, parce qu’il adore cette marque et ses souliers sont toujours des Louboutin. Il pue le luxe, l’architecte, qui pourtant, à cause de sa dégaine, paraît seulement en marge, et non immensément riche, bien que ce soit le cas. Il n'affiche rien, aucune marque n'est écrit en grand sur ses vêtements. Il n’y a que son Aston Martin qui puisse faire dire aux badauds qu’il a du pognon et d’ailleurs, il la conduit pratiquement toujours, sauf lorsqu’il pleut, car il préfère les 4×4 en temps pluvieux.
S’étant garé non loin du café, l’anglais pure souche passe la porte et rejoint aisément son meilleur pote, ce dernier se voyant de loin, lui aussi. Faut dire qu’un grand brun, constamment musclé et qui attire tous les regards des femmes, ce n'est pas compliqué à débusquer ! Le retrouvant, il sourit à sa lecture d’un journal papier, pour s’installer face à lui et commencer à se balancer sur son assise, tel un gamin.
- « Ça va. » Qu’il prononce pour toute réponse, puisque tant qu’il travaille, il n’a pas à penser à sa vie et à toutes ses emmerdes. « Comme tu dis ouais. » Il esquisse un sourire. « J’ai bossé, bossé et bossé pendant que tu te dorais la pilule en draguant des femmes, j’me trompe ? » Son regard suinte d’amusement alors qu’il se balance toujours, pour lui dire qu’il lui a évidemment manqué, comme tous ceux qui lui ont fait faux bond durant les vacances d’été. Faut dire que le Summer Camp attire pas mal de monde, à croire que tout Boston répond présent quand il faut se barrer durant deux mois pour faire la bringue. Il aurait aimé la faire lui aussi, plus jeune, s’il avait été plus insouciant. Seulement, aujourd’hui, ce n’est plus le cas et donc : pas à son goût de partir ainsi, délaissant tout pour approximativement deux mois. De plus, lui, à titre personnel, avec son boulot, il ne peut pas se le permettre, alors, même si cela l’attirait, il ne pourrait pas s’en aller comme ça, avec insouciance.
- « T’as plutôt intérêt. J’ai la sensation que le tout Boston s’est barré durant le SC. Il n’y avait quasiment personne dans les rues ! J’ai du mal à me refaire à tout ce brouhaha à cause des jeunes qui hurlent, s’appellent, rient et tout le reste, tu vois. » Thomas sait que Niccolò va le comprendre sans le moindre mal. Car ils ont cette capacité de s’écouter, pour interpréter les dires de l'autre et ne pas se juger. C’est assez rare de nos jours : il faut quand même le souligner. « J’suis content de pas être le seul à avoir la dalle ! » Il répond gaiment pour se saisir de la carte que lui tend un serveur avant de le remercier dans un hochement de visage. « Alors, alors, alors… » Froncement de sourcils. Plus il lit la carte, plus il a faim et plus, il se dit qu’il devrait tout commander. « Tu vas prendre quoi, toi ? » Il a besoin d’aide, l’homme perpétuellement décoiffé, car sinon, il va faire une razzia de toutes les pâtisseries du café. « J’sais pas quoi choisir. » Il ajoute, penaud, à l’image d’un gosse, toujours, bien qu’il sache une chose : il va commander un café noir, long, très allongé. « Ah ! » Il sourit de plus belle. « Moi aussi, ça m’a manqué. Et j’te remercie pour le compliment. » Bien qu’il n’aime pas spécialement qu’on lui en fasse, à cause de ce qu’il a vécu.

@Niccolò Russo
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Un café avec mon meilleur ami
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Etre dans un stade de football, c’est quelque chose d’incroyable. Je sais qu’au États-Unis, on ne parle pas beaucoup de ce sport, pourtant, c’est un sport incroyable. Un sport qui procure beaucoup d’émotion. C’est tout simplement à mes yeux le plus beau sport au monde. Quand j’en parle à des amis, ils sont complètements
perdus, ils ne comprennent pas le but de ce sport. Mon premier stade, je l’ai fait quand j’avais environ treize ans, j’étais accompagné de mon oncle. L’ambiance était
exceptionnel le public, le match tout y était. Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était le match AC Milan vs Inter Milan. Le score, c’est terminer sur un
match nul. Mais il y avait quatre buts une intensité grandiose, ça a failli se finir sur une bagarre, mais heureusement, ce ne fut pas le cas rien que pour la sécurité du public. En ce moment je ne me déplace plus trop dans les stades, je voyage seulement pour la formule 1 en Italie avec mon jet privé. D’ailleurs le week-end prochain grand événement le Grand Prix se passe au pays en Italie, je suis pressé, je n’attends que ça. Dragué des filles tout l’été ? Il se pourrait que j’aie glissé mon numéro de téléphone à certaines filles, il se pourrait que j’aie proposé un tour en bateau à certaines, oui, mais ça n’a pas était plus loin, j’avais quelqu’un d’autre dans ma tête. Je regarde mon meilleur pote avant de lui répondre. Soulagé de ta réponse, tu va bien, je l’écoute je souris en fermant mon journal. Même pas une minute pour boire une petite bière ? Dis-je en plaisantant, il connaît mon humour, toujours à prendre avec le second degré bien sûr. Oui, j’ai dragué de la meuf, mais dis toi qu’aucune ne me plaisait en fin de compte, dis-je avant de poursuivre, mais c’était assez marrant de voir des filles se battre pour moi. Dis-je en riant. Avant de reprendre mon sérieux, tous les étudiants hors de la ville, ça du être l’été parfait pour Thomas dis moi ? Dis-je avant de rajouter. Ah ça le retour des vautours ça a du être perturbant pour toi. Grrrr, t’entends mon ventre. Il est en appel à l’aide-là. Hum, dis-je en prenant mon malin plaisir avant de lui répondre. Je pense que je vais prendre deux pains au chocolat accompagné d’un brownie bien chocolaté, tu sais qui coule bien dans l’assiette puis je vais prendre un café aussi accessoirement. Mon ami en plein dilemme, je le regarde en essayant de le sauver, pourquoi pas prendre comme moi ?  Mince ... Des gaufres qui me font de l’œil sur la carte, c’est abusé cette faim. Dis-je en lâchant la carte avant de dire oh des chouquettes. Je le regarde presque honteux de ne pas lui avoir demandé plutôt ma famine me rend mal élevé parfois. Je suis désolé, je ne t’ai pas demandé. Ton travail il y a de la nouveauté ? Bien que je ne connaissent
rien n'a l’art, j’essaye de m’y intéresser pour mon ami Tomy.

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Un café avec
mon meilleur pote

Un café avec son meilleur ami. (FF) Glass-10 with @Niccolò Russo and Thomas Hemingway
Un café avec son meilleur ami. (FF) Megaph10 warning : familiarité
Un café avec son meilleur ami. (FF) Calend10 flashforward Un café avec son meilleur ami. (FF) Marker10 dans un café, Boston
Thomas crève littéralement la dalle et il commence à avoir mal au crâne. Sans doute parce qu’il dort peu, avant de s’écrouler après quatre jours à faire des siestes de temps à autre. En tout cas, sa fatigue est visible sur son visage et même au niveau de son teint encore plus blafard que d’habitude. Déjà qu’il n’est pas bronzé du tout, pour ne pas dire blanc comme un cul, il se retrouve quasi fantomatique à présent et des cernes ornent ses prunelles claires.
- « Ouais, ça va toujours quand je bosse. Tu le sais, j’crois, non ? » Il esquisse un sourire puis passe une main dans sa chevelure déjà en bataille. « Une petite bière ? Nan. » Il s’essaye à ne plus sourire et incline même son visage de droite à gauche, tel un grand comédien. « Par contre, j’ai bu un tas de whisky ! » À présent, il se met à rire et il se balance une nouvelle fois sur son assise. « Vas-y, raconte. » Croisant les bras, se moquant du fait qu’il puisse chuter en arrière, Thomas fronce les sourcils et écoute attentivement son meilleur pote. « Elles se sont carrément battues pour toi ? Wow ! » Il applaudit et se reprend aux nouvelles paroles de Nicco. « Ouais, c’était top. » Il acquiesce dans un hochement de visage. « Pas de p’tits cons en vélos avec des sweats Harvard, ni même des étudiants bourrés qu’il faut pas renverser alors qu’ils titubent sur la route. Le paradis ! » Bien qu’il ne conduise pas lorsqu’il se fait trop tard, car évidemment épuisé, c’est à son chauffeur d’éviter les couillons alcoolisés. « Par contre, leur retour me donne un putain de sacré mal de crâne. » Grimaçant, Thomas entend le ventre de son ami crié famine, tout comme le sien. « Si on commande pas, bientôt, plus personne ne pourra discuter ici. Y’aura que l’écho de nos ventres de perceptible. » Il rit, mais ne sait pas quoi commander. Ça n’a pas avancé, niveau de ce qu’il désire déguster, mais heureusement, Niccolò est présent, avec toutes ses idées.
- « Putain, tu m’donnes envie. » Qu’il prononce en frappant des mains sur la table. « Brownie, pains au chocolat… Un café, c’est certain. » Il se gratte un sourcil. « Quoi ? » Thomy redresse la tête. « Des gaufres ! Quelle bonne idée. » Et avant même qu’il ajoute quoi que ce soit, sa bouche s’entrouvrant, il pense aux chouquettes. « Hein ? Quoi ? » Il a du mal à en revenir à autre chose que la bouffe. « Heu… Ouais. Une femme veut que je bosse sur sa maison ou villa. » Il balaye le sujet d’un revers de la main. « J’te propose un truc. » Il pointe du doigt son meilleur pote et le fixe droit dans les yeux. « On commande tout ça et on partage le tout. Fin, tout ce qui se partage. Donc, les gaufres, les chouquettes, les pains au chocolat et on commande chacun notre brownie qui dégouline et notre café, puisque ça, on le coupe pas en deux. T’es partant ? » L’architecte l’espère vraiment quand il songe à ce projet, à cette piscine qu’elle désire, et tout le reste qu’elle veut avec… Seulement, ne s’étant jamais rendue chez Leandra, donc il n’a pas pu commencer à dessiner quoi que ce soit.
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L’alcool est un démon pour chacun d’entre nous. Chaque personne qui touche à une bouteille, on sait que le long chemin sera un enfer. Ma mère est une ancienne alcoolique. Je sais de qui je tiens de ce côté-là. Ma mère était violente envers mon père, j’ai des souvenirs insoutenables, mais j’avais encore des marques dans mon esprit des nombreuses disputes de couple de mes parents. Mon père avait du mal a géré le comportement de ma mère, il faut dire qu’il était faible, il était dépassé par les événements. Il se réfugiait donc dans des hôtels de luxe pour baiser des putes. Des parents instables de la violence que ce soit physique ou moral. J’ai su me maintenir en vie face à cette vie de destruction. J’ai honte de parler de ma famille. Honte de parler de leur passé. Aujourd’hui, ils font les adultes responsables avec l’entreprise familiale et me reprochent mon comportement, alors qu’ils étaient ainsi à leur époque. Ça me fait doucement rire leur leçon de moral. Si je suis un tel personnage, c’est de leur faute. S’ils pensent qui se sont bien occupé de moi, c’est faux. Malheureux ? Oui, en quelque sorte, j’ai raté ma vie. Certes, j’ai un beau métier, mais la mort le divorce ne me procure aucun bonheur. Je me souviens d’un soir, ou ma mère menacé mon père de le frappé une nouvelle fois, mais cette fois avec une bouteille d’alcool à moitié cassé. Ma mère avait du sang sur les mains, mon père tremblé. Il ne cherchait qu’une chose
la fuite, moi de mon côté, j’étais totalement terrifié. Je me cachais sous mon lit en me cachant les oreilles, pour que ce mauvais moment se termine. Quand ma mère était saoule, elle devenait hystérique, elle criait partout dans la maison, elle sortait même dehors en pyjama. La dernière fois que mon père était dans ce genre de folie, il l’avait retrouvé au bus comme-ci qu’elle aussi voulais s’échapper de ce triste monde. Mes parents se sont miraculeusement sortis de cette merde. Le pire dans tout ça, c’est que mes parents ne cherchent pas le pardon, d’avoir traumatisé  ma vie d’enfant. J’ai des séquelles qui resteront à jamais gravées dans ma mémoire. Je regarde mon meilleur ami avant de répondre. Oui, je sais comment tu es avec le travail, dis-je en souriant avant de poursuivre. Tu as bien raison, te connaissant une petite bière, c’est une insulte même si c’est bon. Dis-je en souriant une nouvelle fois. Le whisky il n'y a que ça de vrai. Dis-je en riant doucement. Oui, oui, carrément, dis-je en étant un peu fier. Bas quoi, c’est toujours flatteur de raconter un peu partout qu’on me drague encore malgré mon âge de dinosaure. Nos vacances était donc parfait chacun de nos côtés, c’est le principal. Ah ses petits cons-là avec leur sweat Harvard, j’ai envie de les frappés, je te jure. Dis-je en riant. J’ai envie de retirer leur sweat pour ensuite les ligotés a des lampadaires. Dis-je en riant une nouvelle fois. Suis-je un peu trop sauvage ? Dis-je en me grattant la tête. Laisse tomber, j’ai déjà pris des cachés pour le mal de tête. Je regarde mon ami carrément mort de faim, je lui réponds. Totalement, notre ventre mérite d’être rempli de bonne chose. Je le regarde une nouvelle fois avant de lui dire. Toutes ces choses sont d’une qualité succulente mon ami. Dis-je en lui donnant encore plus envie. Mais des gaufres franchement il n'y a pas mieux quand on a faim comme nous. Quelle idée moi aussi de posé des questions, alors que nous avons faimmmmmmmmm. Dis-moi tout, dis-je en attendant Thomas,  j’avais hâte de savoir ce qu’il allait me proposer. J’étais même impatient. Une proposition que j’accepte, dis-je en souriant. Je me suis rendu compte que ma question, posé sur son travail, était pénible, donc chez nous dans notre amitié, quand on veut changer de sujet, on oublie tout et on passe rapidement à autre chose. C'est comme ça qu'on fonctionne. Si ça ne me regarde pas, je comprends, c’est sa décision.

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@Niccolò Russo

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C’est comme ça qu’il les préfère les rentrées de septembre, Thomas. Malgré le fait que les petits cons d’étudiants reviennent, ses potes font de même et ainsi, ils les retrouvent pour partager ce qu’ils ont vécu. Celui qui lui importe le plus, c’est Niccolò, qui cette année, s’est rendu à ce putain de Summer Camp. Il n’y a jamais été lui et pourtant, il a étudié à Harvard. Seulement, il pouvait pas se permettre de disparaître durant deux mois. Nan, il devait bosser encore et toujours afin de devenir le meilleur et c’est en cherchant des stages, des études du soir et des cours pour améliorer ses facultés dans le dessin qu’il restait à Boston. Il le regrette pas, l’architecte de renom, puisque aujourd'hui, quand on cause d’Hemingway dans le design et l’architecture, tout le monde sait de qui on parle, mais il est quand même passé à côté de ses années d’étudiant, comme il continue de le faire, dans le fond, en bossant encore et encore, jusqu’à s’écrouler sur son bureau.
- « Mon job, c’est tout ce que j’ai. » Il continue, réaffirme, dans un sourire qui sonne faux. Parce que littéralement, ouais, il n'a que ça. Bien sûr, Thomas a des proches, mais durant ses deux putains de mois, il a fait que bosser. Cela signifie bien qu’il a que ça, dans sa misérable vie. Parce que pas heureux, à cause de son divorce, de son fils qui veut pas le voir, ni même lui adresser la parole et de son putain de beau-père absolument parfait qu’il adore, son propre môme. « J’avoue que c’est bon. J’suis quand même un Anglais pure souche ! » Il sourit. « Mais putain ! Qu’est-ce que je préfère le whisky. » Et ça, il pourrait jamais le nier, vu ses deux bars personnels : celui qu’il a chez lui et celui dans son propre bureau. « Ouais, on va dire ça. C’était parfait. » Ce n’est pas le mot qu’il utiliserait. Disons que ses vacances à lui, ont été productives, mais il s’est fait chier comme un rat mort, lorsqu’il était seul. C’est pour ça qu’il a pas arrêté, plus que d’habitude. « Attends ! J’te jure. Si un jour, tu l’fais, je t’aide ! » Thomas rit de bon cœur. « Putain, j’adorais faire subir ça à l’un de ses p’tits cons. » Il continue de rire, pose même une main sur sa poitrine, puis reprend : « Nan, t’en fais pas. T’es pas sauvage. N’empêche, ça m’fait penser à un épisode de Gossip Girl. » Il a vu toutes les saisons, est un fan inconditionnel du couple Blair et Chuck. « C’est pas Nate qui devait se faire tabasser et Chuck a fait croire que Nate c’était Dan, un truc dans le genre ? Il a fini en calfouette, attaché à un poteau. » Ouais, il se rappelle bien ce moment, il en avait bien ri. « Ouais, faut bien qu’on se nourrisse avec tout c’qu’on a à faire et j’crois qu’il faut que j’reprenne quelques kilos de toute façon. » Car boire ne nourrit pas, malheureusement. « OK, j’te crois. J’pense que j’vais dévaliser c’qui ont. » Un franc sourire s’inscrit sur son visage quand il fait une proposition à Niccolò qu’il termine d’accepter. « Cool. On va faire ça. J’aurais dû devenir avocat, si j’suis aussi persuasif. » Il rit de lui-même, comme souvent, le gamin qui continue de se balancer sur sa chaise. « HEP ! On veut commander ! » Il interpelle l’un des serveurs pour lui faire part de leur grosse commande, quand, une fois qu’il se tire, Thomy reprend : « J’ai accepté le chantier sur une maison, d’une certaine Leandra, j’sais pas si tu l’as connais. J’pensais qu’elle se payait potentiellement ma tête, vu qu’elle a mis du temps pour revenir m’parler, mais finalement, on est OK. J’espère que ça va lui plaire et bien s’dérouler. » Parce qu’il veut toujours que tout soit parfait, même s’il sait que c’est impossible, de son point d’vue à lui. Mais ce qui compte, c’est que ses clients soient heureux ; il l’a appris avec le temps.


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Dans deux mois, ce sera la fête que je déteste le plus au monde. En effet, le 31 octobre aura lieu la traditionnelle fête d’Halloween. Je n’ai pas peur de quoi que ce soit, je vous voir venir. Mais je ne vois pas en quoi cette fête est intéressante, pourtant dans le monde entier, mais surtout au États-Unis cette fête rend les gens fous. Ils ne pensent pas aux gens à qui ça peut effrayer, des gamins peuvent avoir peur à vie. C’est traumatisant pour un môme de huit ans qui se promène dans les rues, puis il tombe nez à nez sur un clown. Bon, je l’avoue, je ne suis pas fan des clowns. Je fais le
bonhomme qui n’a peur de rien, l’italien fier, l’homme fort tout dans les muscles. Pourtant, les clowns me donnent la chair de poule. Même encore aujourd’hui, je ne peux pas regarder un film d’horreur avec des clowns ça me fait trop peur. Personne ne le sait. De toute façon, j’ai tout prévu, personne ne me fera chier ce soir-la. Je serais chez moi devant la télé avec mon chien et ma tortue comme d’habitude. Je ne dis pas être à la recherche de bonbon avec sa bande de potes, c’est plutôt rigolo, mais voir les gens se déguiser en tout est n’importe quoi, je trouve sa absolument absurde. Bien sûr, quand j’impose mes idées sur Halloween, on me traite de vieux ringard, je l’assume, moi à vingt est une heure, je suis avec mon petit thé dans mon lit. Je me vois mal aller dans un magasin pour m’acheter un masque du Joker par exemple. Ah et il y a aussi cette folie de raconter des histoires qui font peur aux enfants dans la forêt au tour d’un feu. Je trouve ça complètement débile, on ne sait pas comment va réagir l’enfant en rentrant chez lui ? Ça peut rapidement partir en couille, on ne connaît pas la sensibilité de la personne. Bon, il faut que j’arrête de faire mon vieux rabat-joie. Je suis pareil que toi, dis-je avant de poursuivre en soufflant en silence. Ah, tu l’avoues, c’est délicieusement bon surtout en apéro. Dis-je en souriant. Le whisky, matin, midi est soir frérot. Oui aucune modération avec moi. On va former un duo d’enfer mon gars, ce sera comme si, qu’on était les rois de Gotham. Dis-je avec un clin d’œil. Avant d’ajouter un rire derrière. Ah oui, maintenant, que tu m’en parles, je m’en souviens, dis-je en riant de bon cœur. Les meilleures séries, c’était à l’époque bro. Dis-je avant de poursuivre. Oui c’est ça, c’était drôle, je n’aurais pas aimé être à sa place, dis-je en étant mort de rire. C’était en saison deux, je crois. Ah oui, il faut que tu manges beaucoup, t’inquiète pas avec moi, tu seras servi. Surtout, avec de la nourriture italienne, il va kiffer. Avant de dévaliser quoi que ce soit, il faut prendre des forces avec tes petits bras. Dis-je en plaisantant avec lui. Maitre Hemingway, sa claque.
Dis-je en souriant. Non, je ne la connais pas, mais c’est bien pour toi, je suis très content Tommy. Tu vas en avoir du travail, c’est pour cela qu’il faut que tu manges beaucoup, il faut des kilos en plus bro.

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Thomas, y’a plein de choses qu’il dit pas. Pourtant, aujourd’hui, tout le monde veut tout savoir. Lui, ce qu’il donne, c’est réfléchi. Déjà sur son réseau social et puis, ce qu’il fait, seules les personnes présentes près de lui à ces instants le savent. Sinon, on ne sait pas. L’architecte est secret, mystérieux et il vit bien ainsi. Fin, c’est ce qu’il pense, puisqu’il se sent seul. Surtout durant l’été. Mais il est passé et bientôt, ce sera Halloween. Il s’est décidé à le fêter cette année, parce qu’il l’a jamais réellement fait. Mais il va pas non plus y passer des heures, bien qu’il soit noctambule. Lui, ce qu’il préfère, c’est bossé encore et toujours. Fais ses dessins d’immeubles, de maisons, pour leur donner vie. Fin tout dépend du projet, mais il n’aime pas particulièrement quand il doit créer un lieu qui selon lui n’aura pas d’âme. C’est sans doute dingue, mais c’est comme ça. Il a cette envie de créer pour les autres ce qu’il n’a pas réellement connu : un foyer. Car dès que ses parents sont décédés, sa vie est partie en vrille.
- « Évidemment que c’est bon la bière. Mais ceux qui jurent pour celles sans alcool. » Il en grimace. « D’ailleurs, j’comprends pas que ça existe. » Pour un Anglais comme lui, c’est presque une insulte de boire de la bière à 0 %, comme le fait qu’un Anglais puisse détester le thé : c’est renié qui il est. « Le whisky, c'est même au bureau. Mais tard, l’soir, quand j’suis seul. » Parce que devant les architectes qui bossent avec lui, ça craindrait, bien qu’ils s’aperçoivent forcément qu’il a un bar dans son bureau où ils font tous de nombreux aller et retour. « 'Fin bon, j’passe surtout mon temps à cloper. » Il a toujours besoin d’avoir une cigarette en bouche ou entre ses doigts. Il se sent « presque nu » c’est con d’le penser, quand il ne fume pas. « J’adorai être Batman ! » Il répond dans un large sourire quand il cause du fait qu’ils puissent être les rois de Gotham alors qu’il se balance toujours sur sa chaise. « On r’ferait le portrait d’un tas d’étudiants dont on aime pas la gueule. » C’est vrai que ça le botte cette simple idée. Puis, à son évocation de GG, il sourit de plus belle en passant ses deux mains dans sa chevelure, en équilibre sur sa chaise. « Ouais, quand ils doivent aller à la fac et que Blair et S se battent pour je sais plus laquelle. Une pour les gens pétés d’tunes. » Après ça, son ventre cri famine et se fait entendre dans la salle. « Merde, faut vraiment qu’on commande. » Puis il acquiesce dans un mouvement de tête. « J’veux tellement m’rendre en Italie, j’vais prévoir ça. » Il termine pour héler un des employés et passer leur commande.
Lorsque Nicco le nomme maître Hemingway, l’architecte peut pas s’empêcher de se marrer et puis il reprend sur l’un de ses projets.
- « Des kilos en plus, autant que ça ? Combien à ton avis ? » Il pense à son ami qui est professeur de sport à Harvard. « J’crois que quelqu’un pourrait m’aider pour ça. Fin, prendre les bons. Parce que manger, ça va m’faire avoir que du gras, hein. » Faut pas se mentir, surtout quand il commande comme ça. « Tiens, putain ! Ils arrivent à plusieurs pour nos plateaux. » Il a hâte d’attaquer, de se remplir le ventre.


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