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For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval)

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For the truth, look into the deepest of the eyes.


L'allemand est une langue très compliquée et pour l'avoir brièvement étudiée par intérêt, tu t'es vite rendu à l'évidence que ce ne serait pas une langue que tu pourrais rapidement apprendre. Tu connais quelques mots de base ici et là, mais ce n'est clairement pas fluide. Un léger sourire en coin pour son commentaire concernant ton accent. Certains diront comme lui, d'autres non. Tout est au goût personnel de chacun. Tu hoches doucement de la tête, ne sachant pas trop quoi dire pour continuer sur cette voie, mais lors des présentations, tu ne peux pas passer à côté de son prénom qui sort de l'ordinaire. Et la question fuse, un peu par automatisme et curiosité. Il doit se l'être fait posée plus d'une fois, mais tu es curieux. La réponse ne te surprend pas sur le coup, mais c'est en sachant qu'il a trois frères qui portent eux aussi les prénoms de Camelot qui te surprend. Haussant légèrement les sourcils, tu ne réponds pas plus non plus. Tu l'amène faire un tour de la maison. Quant à avoir un invité, autant bien faire les choses, non ? Vous terminez par ton bureau. Pièce personnelle, où tu n'as laissé presque personne y pénétrer. Tu le laisse y faire quelques pas, observer autour de lui. "- Certains diront que c'est toujours le cas.. De façon constante." Après tout, n'est-ce pas l'esprit typique d'un écrivain d'avoir le cerveau qui ne cesse de réfléchir et de tenter de créer de nouvelles choses ? Tu fronces les sourcils, néanmoins, à l'évocation que ce bureau rappelle celui de sa mère. Tu comprends rapidement qu'elle écrit elle aussi, ignorant même que tu possèdes des ouvrages d'elle dans ta maison. "- Je ne sais pas si elles serviront..." Portant la tasse vers tes lèvres, t'en bois une gorgée chaude et réconfortante. "- Je n'ai pas trop de chance pour le moment." Et pourtant, c'est faux. Si l'on s'attarde bien sur les morceaux de papiers, on peut voir ton style d'écriture, on peut y voir beaucoup de potentiel, une poésie qui s'imbrique dans chaque mot, qui expriment de belles idées... Mais qui ne font aucun sens ensemble, puisque tout est éparpillé. "- J'en comprends que votre mère doit écrire ou être dans le domaine." Tu baisses les yeux sur le liquide de ta tasse. "- Je suis dans le style dramaturge, certains diront dans le drame romantique, d'autres non." Ce n'est pas si étonnant lorsqu'on apprend à te connaître, en fait. T'es quelqu'un de romantique, mais beaucoup de cette vision a disparue avec la société d'aujourd'hui. Tu penches un peu la tête sur le côté, les yeux toujours baissés. Un petit soupire triste te traverse. Cette pièce peut être un havre de paix et de créativité, mais elle te semble froide et surtout elle te fait mal, parce que tu n'arrives pas à écrire ce que tu veux. À chaque fois, il s'agit d'un échec et ça commence à peser lourd sur tes épaules... À te dire que tu n'y arrivera jamais, que ça ne servira à rien. Tu t'avances pour poser la tasse sur le bureau, sur un couvert. Parce qu'il y en a toujours un afin d'éviter les dégâts avec le papier. Tu poses une main sur l'un de tes avant-bras, près de ton poignet, serrant légèrement les doigts. Il t'arrive de ressentir un élancement à l'un ou l'autre, ou même les deux, lorsque tes pensées dérivent un peu, ravivant des souvenirs et la douleur qui s'y rattache. Tu ne peux pas les cacher, ces cicatrices. Elles font parties de toi, aussi. Mais elles sont à la fois extrêmement douloureuses comme souvenir, mais elles sont un combat fièrement gagné pour le moment. Il y a toujours deu xcôtés à une médaille.

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Perceval Hoffmann

Âge : 37
Lieu de naissance : Houston, Texas, mais n'en garde aucun souvenir, ayant grandi à Boston (USA) et à Hamburg (Allemagne)
Quartier d'habitation / Colocation : Vit dans un dans un appartement de Beacon Hill (Boston - City Center) très souvent accompagné d'un bel acteur
Situation sentimentale : en couple avec un charmant prof de théâtre (Kristofer Vermeer), bel acteur qui a s'est glissé dans ses jours et ses nuits pour son plus grand plaisir
Études / Métier : Doctorat en Finances et management (2005 à 2014) + maîtrise en Littérature et langues étrangères (2014 à 2021) - Harvard // Commis à l'administration à l'université d'Harvard et propriétaire d'une firme de transformation de produits pétroliers, copropriétaire d'une agence immobilière louant principalement aux étudiants et personnel d'Harvard à moindre coût
Date d'inscription : 15/06/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : joemaw
Icon : Kevin Pabel
Faceclaim : Kevin Pabel
Crédits : joemaw
Multicomptes : Cornelius Koch / Griffith Exner
Description (1) : Taille : 6'2'' / 188 cm

For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 3LndnM2 For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 AvWdpSr

Abordable et accueillant. Actif. Calme et apaisant. Confiant. Discipliné. Éduqué et intelligent. Indépendant. Loyal et respectueux. De bonne écoute. Ouvert d'esprit et curieux.

Description (2) :
For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 M7ektGL For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 UdjtJAF

Amateur de musique - en particulier de mélodies au piano -, de vieilles légendes de chevaliers et de romans en tout genre, Perceval aurait parfois le profil type de l'intellectuel cliché - lunettes incluses bien que stylées -, si ce n'est qu'il est tout aussi actif, faisant un jogging à tous les jours ou presque, tirant de la fonte à la salle de sport, trainant sur les cours de tennis ou acceptant une position de joueur manquant pour une partie de soccer (foot européen) ici et là.

De manière générale, il dégage une aura calme et apaisante. Et bien qu'il n'aie pas toujours le réflexe de partager les détails de sa vie, se faisant parfois meilleur écoute qu'autre chose, il suffit parfois simplement de poser la question pour avoir la réponse. Gentleman à ses heures, il a parfois des attentions auxquelles certain/nes ne sont plus habitué/es dans la vie courante.

Préférant un mode de vie simple, il a tout de même été élevé en voyant ce que peut-être une vie sous les projecteurs, passant la sienne dans les coulisses du succès de sa mère, écrivaine, et de son grand-père, haut dignitaire allemand.

Il tend à choyer les personnes qu'il apprécie sans réellement compter, ni attendre de retour et, ce, que ce soit de son temps ou son argent. Cependant, même s'il est bien élevé et ne souhaite que très rarement prendre part à des confrontations, il peut vous faire comprendre assez rapidement qu'il ne cautionne pas vos actions, votre attitude ou votre personne dans son ensemble, pour ce qu'il en connaît.

Description (3) :
For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 3iumCiP For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 Cm18Dh5 For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 LF85JLB

For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 Perceval

For the truth, look into the deepest of the eyes. (Perceval) - Page 2 Lp8yn2o

Warnings : concernant l'histoire de Perceval : tromperie/enfant illégitime
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Perceval Hoffmann
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t148628-perceval-hoffmann-kevin-pabelRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t166737-perceval-hoffmann-oliver-matthew-davis-griffith-exner-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166501-perceval-hoffmann-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155943-meetsachussets-thehoffmannknight01
For the truth,
look into the deepest of the eyes


@Izaäk Madsen & @Perceval Hoffmann

Découvrant le bureau, sanctuaire d'inspirations et de travail du jeune homme, tu y fais quelques pas, ton regard se promenant ici et là, tâchant de ne pas trop s'attarder sur une note ou une autre, ne voulant le mettre mal à l'aise. Hochant la tête, tu approuves ses dires, même si ce n'est pas ton cas, t'as déjà entendu ta mère expliquer que c'était sa situation, qu'elle avait toujours des idées pleins la tête. Raison pour laquelle, elle trainait constamment un carnet ou cumule les notes sur son téléphone. Le tout est souvent pêle-mêle, mais avec les années, elle semble avoir trouver une certaine méthodologie pour s'y retrouver. Ça n'empêche que c'est l'une des raisons qu'elle a poursuivit dans sa carrière.

Ton regard s'adoucit lorsqu'il laisse entendre un aveu. Pas trop de chance en ce moment. Que ce soit en jours, semaines ou mois, si ce n'est années, tu ne questionnes pas le délai, ne voulant remuer le couteau dans la plaie.

- La chance tourne bien souvent. Elle a son propre rythme, qu'on ne saurait contrôler, commentes-tu doucement.

Tu te souviens que ta mère a parfois eu des baisses de productions, le "syndrome de la page blanche" comme le disent les écrivains ou même des romans qui fonctionnaient beaucoup moins bien. Mais ce n'était cependant qu'un creux de vague, non sa carrière en entier. Certes, elle avait des ressources et avec le temps s'est créé un bon réseau dans le milieu. Mais parfois, il s'agit de retrouver l'étincelle partie en balade sans nous avertir.

Un simple sourire répond à sa déduction au sujet de ta mère, une étincelle d'amusement brillant peut-être dans ton regard, mais tu n'as pas à prononcer la moindre syllabe qu'il t'informe sur son style, sa formulation te faisant tiquer légèrement. Et t'y porte véritablement attention pour la première fois, mais il utilise des formulations du genre depuis le début, maintenant que t'y penses.

- Certains disent beaucoup de choses, mais toi qu’en dis-tu? Le questionnes-tu tranquillement, le tutoyant pour la première fois, sans y penser alors que tu poses ton regard sur lui, voulant croiser le sien. Après tout, il est le principal intéressé dans tout ça, personnage principal de cette carrière, seul auteur des traits de crayon qui s’alignent sur les feuilles qui cumulent sur ces murs. Remarquant sa position, ses poignets, tu t'avances posément, restant cependant à une distance respectueuse. T'as pas envie de le brusquer, pas si t'as compris ce que t'as vue. De manière générale, t'es pas comme ça, de toute façon, mais aussi, son énergie, sa posture et ses mots te poussent à faire un peu plus attention. On te dit souvent que ta présence est apaisante parce que tu apprécies rester dans le calme, que tes gestes sont souvent posés; lui a mentionné que ton attitude était étrange, peu commune de nos jours et, d'un sens, t'espères que ça le repose. Tu sais pas trop pourquoi exactement, tu connais pas son histoire, mais il te laisse avec l'impression qu'il a clairement pas besoin d'une dose de stress supplémentaire.

(Perceval Hoffmann)



   
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Tu plisses légèrement les yeux à la réplique de l'homme. Il a raison, mais encore là... C'est très vagues comme propos. Tu baisses un peu les yeux. "- La chance c'est comme l'amour ou même l'amitié. On croit ne pas avoir de chance, comme dans le malheur également... Mais on dit que tout tournera un jour. Malheureusement, la seule chose qui saura déterminer tout dans son ensemble, c'est le temps." Et tout le monde n'a pas le temps qu'il pense. La vie est imprévisible sur toutes les sphères qui existent et c'est pourquoi tu ne pense pas tellement te définir sur la chance en soit, mais l'ennemi reste l'aiguille qui ne cesse de tourner. La variante inconnue de demain. Peut-être que demain tu vas retrouver l'inspiration, qu'un éclair de génie te foudroiera... Mais tu ne crois pas que ce soit quelque chose qui se produira. Un peu de le déni et l'espoir perdu d'une passion bafouillée par le désir perdu, tu ne réplique guère davantage que tu ne l'a déjà fait.

Tu avais perçu en relevant les yeux sur son visage les subtilités, te confirmant que sa mère est écrivaine, mais tu ne demande pas davantage. Pas dans quel style. Ni même que tu ignores bien qu'il y a des bouquins d'elle dans ta maison. Tu t'es un peu reculé de sa présence lorsque tu as senti que tes poignets te font souffrir. Il t'arrive de ressentir la douleur parce que les blessures ne date pas au-delà de deux ans, mais aussi parce que les douleurs dîtes fantômes accentuent le tout. Tu serres les mains sur tes poignets, les bras presque croisés. La question de Perceval te fit froncer les sourcils. Premièrement parce que c'est une question très vague, mais aussi parce qu'il avait laissé tombé le vouvoiement. Tu le vois bouger. Tu remarques ses yeux qui s'abaissent et remontent. Son énergie est calme, mais tu sais... Tu sais qu'il a vu et tu détournes le regard.

"- Peut-être que le dramaturge n'est pas vraiment l'oeuvre que j'ai tenté d'écrire... Mais ma propre vie." Tu soupires en ouvrant les doigts et tu les bouge légèrement pour enlever l'engourdissement. "- C'est un combat que j'ai failli perdre il y a plus d'un an. Elles sont là de façon quotidienne comme la douleur pour me le rappeler." Que tu as survécu, certes, que tu as réussi à survivre à une relation basée sur la violence domestique, mais aussi elle te rappelle le mauvais côté d'avoir échoué. Tu n'es toujours pas certain de ta place en ce monde, sur cette Terre. Si tu mérites réellement de vivre de belles histoires. Si tu n'es que l'ombre de qui tu étais, un fantôme matériel que l'on peut toucher, mais un humain au coeur brisé et effacé depuis le temps où seul le mécanisme de survi à résister.

"- Je suis désolé pour ce triste moment. Tu n'en demandais pas d'en savoir autant." Et de t'excuser sur le même ton pour peut-être l'avoir choqué dans un sens ? L'incertitude se lisant sur tes traits, mais la fatigue et la douleur toujours se tiennent-elles au plus profond de cet océan qui te sert de regard. Cette tempête de pluie qui n'a jamais cessé de tomber derrière ces yeux bleutés, pluie éternelle par un corps attristé et un esprit tourmenté.


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@Izaäk Madsen & @Perceval Hoffmann

Ta réponse ne semble pas le convaincre entièrement, ni même lui convenir exactement, alors que tu y voyais une façon de possiblement brosser un poid de sur ses épaules, culpabilité peut-être trainante alors que tu n'y vois pas la raison. Mais après, tu ne connais pas véritablement le jeune homme devant toi, alors tu es loin de saisir toute sa complexité et ce qui peut lui convenir.

Alors qu'il te confie quel style d'écriture on lui attribue, tu en penches la tête sur le côté, affirmant en quelque sorte que ce que disent les autres n'est pas nécessairement le plus important, le question sur ce qu'il affirme de son propre genre de plume, préférant savoir s'il rêve de poésie, mais se retrouve coincé dans un carquois qui n'est pas le sien. Peut-être est-ce pourquoi tu as laissé tomber le vouvoiement de manière plus ou moins consciente, après tout, tu arrives souvent à de meilleurs résultats à régler les conflits à l'université lorsque ton vis-à-vis semble saisir qu'il peut te parler comme un à un et qu'une barrière n'est pas irigée entre vous, te posant plus haut puisque tu fais partie de l'équipe administrative. Ce n'est pas le cas, tu ne te sens pas supérieur pour autant, ton grand-père ne t'as pas éduqué de la sorte et le pouvoir ne te prend pas la tête comme certains de tes collègues. Mais bon, chacun leur vie.

Suite aux mouvements de Izaäk, tu remarques quelques cicatrices, cicatrices dont il est facile de connaître les résultats probables, mais presqu'impossible d'en connaître réellement les raisons. Pourtant, tu arrives à comprendre que c'est encore un sujet délicat lorsque tu croises son regard à nouveau et qu'il se détourne. Tu en déduis que c'est relativement récent, qu'il n'a pas forger une carapace encore pour se protéger des commentaires, des préjugés, et qu'il en est probablement encore à se débattre avec la honte, la douleur ou les hauts et bas qui l'ont poussé jusque là. Pourtant, tu n'affiches pas la moindre émotion négative. Au contraire, tes traits sont doux lorsqu'il se confesse, t'informes du temps qui a coulé depuis l'incident. Lorsqu'il s'excuse, tu secoues tranquillement la tête, lui offrant un sourire calme lorsque tu reprends la parole.

- C'est d'autant plus un honneur de te rencontrer, alors, affirmes-tu doucement. Et bien que je ne te forcerai pas à m'en raconter plus, si tu ne t'en ressens pas, sache qu'il n'y a pas de limites à ce que tu pourras me confier, lui confirmes-tu, ne voulant pas qu'il se sent mal de s'être divulguer, d'avoir partagé une brève part de sa vie. Une pensée éclairant ton regard, tu as un mouvement pour récupérer ton portefeuille dans l'une de tes poches, allant y piger une carte que tu lui tends avant de ranger tes effets. Une simple carte de visite au nom de Perceval N. J. Hoffmann, confirmant tes coordonnées. Si tu as besoin de partager à nouveau un thé avec quelqu'un qui n'est pas "comme les autres", offres-tu avec un léger sourire amusé en reprenant ses mots.

(Perceval Hoffmann)



   
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Les traumatismes appartiennent à la personne l'ayant vécu, les autres réagiront tous de manière différente, même si ça peut se ressembler. À voir les cicatrices sur tes poignets, certains ont ressenti la pitié à ton égard, d'autres ont simplement détournés le regard ou bien se sont moqués de toi. Les plus vilaines langues diront que tu n'as pas eu le courage d'aller jusqu'au bout, mais ta langue à toi s'était tordue pour ne pas dire qu'on t'avais sauvé in extremis et contre ton gré. Tu avais détourné le regard de ces mauvaises gens, ne désirant pas répondre. Ça ne méritait pas ton temps et ton énergie. Perceval dégage une énergie calme, ce qui t'a aidé pour ne pas paniquer de le voir regardes poignets, qui a aidé à ce que tu lui dise pour le temps qui s'est écoulé. Néanmoins, tu ne lui révèle pas le pourquoi elles sont là. Tu ne comprends pas tout de suite pourquoi il sourit, mais à ses mots qui font leur chemin jusqu'à ta tête, tu saisis que c'est davantage une image doucereuse, qui se veut réconfortante. T'es assez intelligent pour le remarquer, pour le comprendre. Le non-verbal est une maîtrise longue à saisir. Tu ne connais pas parfaitement son langage, parce qu'il n'y a personne qui est sans faille, mais tu te débrouille très bien sur le sujet. C'est quelque chose que tu as travaillé... Longuement travaillé durant ces dures années sous le joug d'un homme violent. À guetter la moindre réaction sur son visage, sur ses mains. Chaque tressautement. Chaque petit haussement de sourcil. Tout.

Elles sont douces, les paroles de Perceval, mais tu ne ressens pas l'urgence de lui raconter ce qui s'était passé. "- Peut-être arriveras-tu à le deviner tout seul..." Que tu lances. Sans ironie, sans sarcasme. Seulement des mots à la consonnance attristée. Parce que tu sais que tu peux avoir des réactions rapides et impulsives, te protégeant d'une personne levant la main un peu trop vite pour prendre quelque chose qui est près de toi. Tu le vois plonger la main derrière, ressortant avec son portefeuille pour te tendre une carte de visite. Fronçant un peu les sourcils, tu tends lentement la main vers lui afin de la regarder, observant ainsi son patronyme complet et les informations qu'il a sur sa soi-disante carte. Tu la pose sur ton bureau, là où tu ne risque pas de la perdre. Il arrive à te décrocher un faible rictus sur le coin de tes lèvres. Ce n'est pas aisé, de te faire afficher un petit sourire, quelle que soit sa grandeur. Tu tends la main afin de récupérer la tasse maintenant vide de Perceval. "- Ça a été un plaisir. Viens, je te raccompagne." Le temps passe rapidement lorsque la compagnie n'est guère déplaisante. Tu avais un peu oublié ce que ça faisait : de discuter calmement avec quelqu'un. Tu avais oublié une partie de toi, envolée avec le reste d'une partie de ton âme avec les violences. La coquille trop épaisse, mais craquelée. Fragilisée. Tu le raccompagne jusqu'à l'entrée de la maison, le laissant remettre ses chaussures avant de poser les tasses sur la petite table près du canapé.

Légèrement gêné, mais prenant les devants, tu viens tendre la main vers lui en douceur. Lorsqu'il la serre, tu plonges tes yeux dans les siens. "- Merci. Pour ta bienveillance et ta patience. Je te recontacterais, sois-en certain." Peut-être pas demain. Peut-être pas dans une semaine... Qui sait? Cela pourrait prendre un mois avant que tu te décide à lui envoyer un message. Obnubilé par tes tentatives d'écrire, oubliant le monde extérieur, plongé dans les fleurs ou encore parce que tu craignais de le déranger. Cette dernière n'est qu'une pensée intrusive qui ne devrait pas exister, mais qui est pourtant bien là. Ce soir avait été le dénouement d'une rencontre fortuite. Intéressante, sortant de l'ordinaire. Tu ne t'étais pas attendu à ce qu'un inconnu accepte - tout d'abord - de t'aider avec tes fleurs et encore moins d'observer le coucher du soleil avant de rentrer chez toi pour t'aider avec tes fleurs. Naturellement, tu lui avais proposé un thé (ou un café) afin de le remercier. C'était la moindre des choses que tu pouvais faire. Verrouillant la porte, tu vas porter les tasses sur le coin du lavabo, gagnant le canapé sur lequel tu te laisse choix, la nuque sur le dossier et fermant les yeux. Sous cette soirée qui change de l'ordinaire aux pensées un peu plus légères, tu t'endors...

FIN
AVENGEDINCHAINS
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