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Can't you tell that this is all just a contest? The one that wins will be the one that hits the hardest ♦ Emrys

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    Normal que ça ne lui plaisait pas.Cette situation dans sa globalité ne lui plaisait pas.La relation qu'ils avaient désormais ne lui plaisait pas.Elle aurait tellement préféré que tout se passe autrement.Qui aimerait ? Elle n'allait pas simplement sourire, en attendant la prochaine. Comme on dit, tendre l'autre joue sans répliquer, sans se défendre.Au moins, le silence qui s'était installé entre eux lui évitait les remarques désobligeantes, voire blessantes.La parole avait laissé place à un jeu de regard : quand il ne la regardait pas, c'est elle qui le regardait du coin de l'œil. Un jeu beaucoup plus dangereux car plus difficile de tricher, de mentir. Surtout quand leurs regards avaient le malheur (bonheur?) de se croiser.Mais, inconsciemment, c'était peut-être ce qu'elle cherchait enfait ... Qu'il lui accorde encore un peu d'attention , malgré ce qu'il pouvait dire.Enfait non, elle ne savait plus ce qu'elle cherchait.D'ailleurs, qu'il demande des précisions sur la signification du mot « ami » fût comme une petite satisfaction , qu'elle se hâta bien de cacher , même si intérieurement cela eût le don de la faire sourire.Elle l'observa avec attention en train d'essayer de justifier sa question,un sourire espiègle s'esquissant peu à peu.Bah oui, c'est qu'elle l'attendait la petite touche méchante sinon ce n'était pas normal.Donc, c'était ça,maintenant, elle était une briseuse de cœur.Le cœur de qui ? Le sien ?Non,non,non ,impossible parce que apparemment, il semblait dire que cela ne lui avait rien fait qu'elle le quitte. En tout cas, c'est ce qu'il lui avait toujours fait très bien comprendre depuis des années et qu'il lui répétait encore aujourd'hui. « Comme tu t'es toujours foutu de nous, de notre relation. » murmura-t-elle spontanément plus par méchanceté , par impulsivité que par raison.Voilà pourquoi elle enchaina direct , en espérant que cette petite pique passe inaperçue car elle la regrettait déjà. « Et puis, honnêtement,qu'est ce que ça peut te faire ? Est-ce que je te demande combien de filles faciles tu te tapes ? Et fille facile est le terme poli.»
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J'avais piqué, sans vraiment le faire pour me rattraper et ne pas montrer les blessures qu'elle avait pu m'infliger deux ans auparavant. Quand la fille que tu croyais être la femme de ta vie te fait le coup comme ça, tu ne l'oublie pas et c'est ce que j'avais fait ; jamais oublié. Je la regardais et c'était comme si, dès que je cessais de la regarder, c'était elle qui le faisait, je sentais son regard sur moi comme à l'époque où nous étions heureux et jouions avec nos regards. Elle avait voulu répondre, je la sentais énervée un peu et très vite, elle reprit donc la parole avec un léger ton de méchanceté que je n'appréciais guère dans sa bouche. Elle osa me sortir que je m'étais toujours foutu de nous et heureusement pour nous, nous étions pas loin d'un arrêt d'urgence parce que sinon, nous aurions eu un accident parce que direct, j'ai arrêté la voiture. Directement, oui. J'ai freiné comme un dingue alors qu'elle continuait à parler, tchatchant sur mes relations avec des filles faciles et leur nombre. Non mais oh, elle me fait quoi là. Nous étions donc arrêté et ni une ni deux, je me suis tournée vers elle sans attendre et j'ai ouvert ma gueule. J'étais hors de moi et je me maitrisais pas niveau parole, je le sentais ; JE ME SUIS FOUTU DE NOUS ? MOi ? Nous avions souvent eu des moments pour nous provoquer et j'avais toujours nié avoir eu mal ou quoi que ce soit par rapport à nous, je faisais toujours le fier mais au bout d'un moment, il était hors de question d'entendre ce genre de phrase toute faite à la Victoria Newman dans l'autre série de crotte les deux de l'amour ... ça non ! Je t'ai ouvert mon cœur, je suis sortie avec toi, j'ai pris soin de toi et tu m'as lâché comme une vieille merde et pourtant, c'est moi qui me fout de nous ? ALLO ? tu me fais une blague ou quoi ? Je tremblais presque de colère, il n'y avait pas mieux pour me mettre en colère me lâcher une telle bombe, une phrase à la noix, mettre en doute quelques choses que j'avais fait alors que même si je voulais pas l'avouer, c'était très simple de voir que si j'étais comme ça avec elle, c'est parce qu'elle avait brisé quelques choses moi. Je ne dirais jamais ouvertement, enfin je crois, le mot briser pour notre fin de relation, mais là, j'avais déjà lâché quelques trucs qui me mettaient bien mal à l'aise mais ça calmé ma colère parce que ce qu'elle venait de dire, était intolérable. Je reprenais de plus belle ; Je t'interdis de dire ça et je fais ce que je veux avec ma queue, penses ce que tu veux de moi par rapport à ça, j'm'en suis toujours foutu de l'avis des autres, mais ça par contre, tu évite ... parce que si moi je m'étais foutu de nous, c'est moi qui t'aurait quitté ... mais moi, j'aurai eu une raison valable, je ne suis pas un lâche !
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    Pourquoi ? Elle avait l'air d'envie de rire ? Non, son sens de l'humour parfois sarcastique et ironique n'allait quand même pas jusque là.Mais,ce petit côté à la Victoria Newman ? Ouai , ça devait être un héritage de son côté brésilien ça , elle qui a été bercée aux télés novelas depuis l'enfance. Son excessivité , ça aussi , elle l'avait sans doute hérité de ses origines brésiliennes.Elle était ainsi entière et impulsive: ses coup de gueule , ses excès de colère étaient aussi authentiques que ses éclats de rires, que ses sourires.Même quand elle se contrôlait, le naturel revenait toujours.Cependant,parfois,elle reconnaissait qu'elle devrait faire plus attention avant de l'ouvrir. Oui, il y avait encore du boulot. Papa ne lui avait pas encore offert la combinaison du parfait petit diplomate qui aurait pu lui servir dans ce moment.Premier conseil : éviter de s'engueuler en voiture.Elle n'avait pas attendu la réaction d'Emrys pour d'ores et déjà regretter ses paroles et sa méchanceté. Même si bon, il l'avait cherché aussi.Au moins cela leur offrait l'occasion d'avoir une discussion franche. Une discussion qu'ils n'avaient jamais vraiment eu,qu'ils n'avaient jamais vraiment osé avoir.Sa réaction était d'ailleurs toute légitime.A sa place, elle l'aurait sans doute eu la même (et peut-être même encore plus excessive).Au fond d'elle,elle savait tout cela : qu'il l'avait aimé , qu'il avait toujours été présent , qu'ils s'étaient livrés leurs précieuses confiances , qu'ils étaient heureux ensemble mais que c'était elle qui avait gâché leur bonheur et briser leurs illusions. Bien sûr qu'elle savait tout cela.Même si elle était bien trop fière pour reconnaître ses torts.C'est d'ailleurs parce qu'elle était consciente de tout cela qu'assumer cette décision n'avait pas été facile.Combien de fois avait elle voulu revenir en arrière ? Alors vraiment pas besoin de lui rappeler la fin de l'histoire ! Elle connaissait mieux que quiconque cela. Et puis, il insinuait quoi là ? Qu'elle l'avait quitté sans raison valable ? « Parce que tu crois quoi ? Que ça a été facile de te quitter ? » le défia-t-elle du regard « Tu m'as juste laissé partir sans chercher à me retenir , sans te battre » C'est assez Newman ça ?
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Elle me foutait hors de moi. Elle m'énervait totalement. Elle me rappelait le jour où elle m'avait brisé le cœur, d'un coup de massue sans aucune raison valable. Je la sentais nerveuse et perplexe tout comme moi je pouvais l’être en plus de sortir peu à peu hors de mes gonds. Je ne savais pas quoi faire. Je ne redémarrais pas, manquant alors de professionnalisme mais c'était plus prudent d'un coté. Elle me faisait limite trembler des mains dans l'énervement mais heureusement, ça ne se voyait pas trop, juste de légère secousse du au stresse de la situation. Ses paroles, sa réaction vibrèrent en moi, comme se cognant contre les parois emprisonnant mon cœur parce qu'elles étaient touchante pour certaines, injustes pour d'autres. Je trouvais ça touchant de savoir enfin qu'elle avait souffert de notre séparation ou au moins eu du mal, mais quelle belle jambe ça me faisait ! Bien sur, elle ne put s’empêcher de continuer à m'énerver en me sortant que j'avais rien fait et du coup, j'ai démarré à nouveau au quart de tour ; Je ... Je n'ai rien fait .... A quelle heure je devais faire un truc ... tu n'avais aucune excuse pour me faire ça, me quitter comme ça tu n'avais pas de raison et j'aurai du te retenir ... je l'ai fait mais t'as su que m'éviter avoue-le alors ne me dis pas des choses comme ça ... Je revoyais nos instants de couple si beau, puis ce moment de cassure, de brisure entre nous, entre ce couple qui se voyait déjà ensemble pour la vie et qui en un instant avait perdu la possibilité de toucher à ses rêves. Alors maintenant, ta gueule ... je m'en tape t'manière alors la ferme, on reprend la route rapidement et comme ça, on se barre chacun de notre coté .... J'avais dit ça rapidement, nerveusement et très en colère. Je commençais à tourner la clé, redémarrant la voiture. Je détestais dire ce genre de mot violent comme la ferme et tout à une fille meme si j'aimais etre provocateur, cela était trop fort mais elle m’avait mit hors de moi.
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Une chose est sûre : elle ne supportait plus qu'il lui répète qu'elle l'avait quitté sans raison valable.Qui était-il pour juger de cela ? Il n'était pas à sa place.Si il n'y avait pas eu de raison valable, ils seraient encore ensemble aujourd'hui.C'est donc qu'il y avait une raison. Une raison que dans sa lettre, elle avait tenté de lui expliquer.Elle ne l'avait pas quitté sur un coup de tête , comme si en se réveillant à ses côtés un matin, elle ne l'aimait plus. Non, ça ne s'était pas passé ainsi.En lui reprochant aujourd'hui de n'avoir rien fait pour la retenir, c'était en fait un aveu de comment elle aurait aimé que les choses se passent , qu'elle aurait aimé que pour une fois dans sa vie quelqu'un lui prouve qu'elle n'avait pas à laisser son père dicter sa vie , que quelqu'un lui dise qu'elle faisait un mauvais choix.Ok, c'est vrai,ça, c'était un combat perdu d'avance.Mais, avouer tout cela serait reconnaître ses faiblesses.Surtout pas dans cette situation qui s'envenimait. Mais il était sérieux lui à lui parler ainsi ? Mais il se prenait pour qui ? Personne n'avait le droit de lui parler ainsi , surtout pas de lui donner des ordres.Voir cette facette de sa personnalité ne lui plaisait pas du tout. Ce n'était pas l'homme dont elle était tombée amoureuse , l'homme qui connaissait ses secrets et ses faiblesses , l'homme qui aurait pu être l'homme de sa vie si le monde était aussi facile.Elle ne souhaitait pas que toute cette image , ces souvenirs soient brisés pour quelques mots. Elle lui lança un regard noir digne des yeux revolvers : « Je t'interdis de me parler ainsi. Arrête la voiture ! Vaut mieux qu'on arrête là. » ordonna-t-elle sur un ton menaçant alors qu'il redémarrait la voiture encore au milieu de nul part.Mais,elle préférait largement arrêter ce covoiturage ici.Parce qu'il croyait quoi ? Qu'ils allaient pouvoir reprendre la route en silence et qu'elle allait lui obéir ? Surtout pas après cela.Jusqu'à alors, elle avait réussi à se contenir , à ne pas laisser voir ses émotions mais elle ne supportait vraiment pas qu'il ose lui parler ainsi.Cette situation était devenue de plus en plus oppressante et la tension à son comble.Elle ne savait que dire ou faire pour apaiser les choses. Peu importe ce qu'elle dirait pour sa défense, il la jugerait d'avance et la condamnerait sans présomption.Malgré tout, par impulsivité, elle ne pût s'empêcher de reprendre : « Tu veux que je te dise quoi ? Dis moi ce que tu veux entendre.Que je suis désolée ? Que je regrette ? Que j'ai fait une erreur ? Oui , oui et oui. Quoi d'autres ? Dis moi ce que tu veux» le défia-t-elle du regard.
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Bien sur, au moment où j'avais remis a voiture en route, la furie était repartie direct en cacahuète me demandant de l’arrêter de nouveau. Un regard noir et elle se prenait pour une duchesse me demandant de ne pas lui parler comme ça. Mais pour qui se prenait-elle ? elle parlait de tous ça et je devais me taire alors qu'elle m'avait fait du mal. Je ne voulais pas me calmer, je voulais pas faire le chien, c'était hors de question. Elle avait l'air de vouloir descendre et vu que c'était pour quelqu'un d'autres la voiture à la limite, j'aurais pu la laisser là comme une vieille chaussette après tout parce que bon, ça devenait saoulant. Un long moment de silence s'était installé tandis qu'elle reprenait comme une furie de nouveau. Elle se foutait vraiment de ma gueule. Elle tentait de régler nos comptes surement. Mais c'était à moi de le faire car ouais, c'était moi la victime. Je détestais être pris pour une victime mais là, elle allait trop loin. Elle me parlait du fait que je voulais entendre certaines choses, me demandant justement quoi, répondant positivement mais totalement bêtement avant de me dire de lui dire ce que je voulais. J'enlevais mes mains du volant alors que j'avais arrêté de nouveau la voiture assez rapidement. Je me tournais un peu vers elle, affrontant son regard, ne lâchant rien. je voulais lui faire comprendre quitte à pour une fois, baisser ma garde et exposer ce que je pensais intérieurement. Je prenais la parole : J'aimerais juste enfin savoir ce qui m'a valut que tu me quittes ? Ouais, ça me fait chier, mais je veux savoir ... oui, tu m'as blessé et oui, j'ai eu super mal quand tu m'as quitté parce que t'as fait ça sans aucune raison ! Alors oui, ça fait deux ans que tu es une salope dans mon esprit, oui, j'ai été blessé, oui, je veux entendre tous ça, t'es contente ? J'ouvre la porte pour que tu puisses te foutre de ma gueule ...
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    C'était elle la furie alors que c'est lui qui a commencé à mal lui parler ?! C'était bel et bien une réaction de légitime défense car il était hors de question que ça se passe comme lui l'avait dicté. C'était finalement peut-être l'occasion qu'ils avaient maintenant de pouvoir commencer à régler leurs comptes.Choses qu'ils auraient peut-être dû faire des années auparavant.Si cela avait été le cas,si tout cela avait été dit plus tôt,qui sait le destin différent qu'ils auraient eu ? Et tant pis si cela devait passer par de la provocation.Puisqu'apparemment, c'était le seul moyen qu'ils avaient trouvé pour s'adresser la parole et se dire tout ce qu'ils avaient à se dire.Elle était perdue , ne sachant plus vraiment ce qu'elle voulait au final (Mais a-t-elle déjà su un jour ce qu'elle voulait ?).L'entendre dire qu'il avait été blessé était à double tranchant.D'un côté, savoir ce qu'il pensait enfin était ce qu'elle avait toujours voulu savoir, lui qui lui a toujours montré que cela ne l'avait pas affecté.Mais de l'autre, cela ne faisait qu'accroitre ce sentiment de culpabilité.Un sentiment qu'elle portait depuis le jour qu'elle l'avait quitté.Alors ouai, elle avait beau se montrer froide face à lui , encaisser tout cela ne la laissait pas indifférente au fond d'elle.Bien au contraire ... Bien sûr qu'elle était désolée, vraiment.Même si elle pouvait être maladroite dans ses paroles, elle le pensait. « Tu veux savoir pourquoi ? Ok » commença-t-elle sur un ton beaucoup plus calme et posé que précédemment, tout en se passant une main dans les cheveux comme un signe de résignation et à la fois expression d'un sentiment « insecure » , de faiblesse. « Mais avant,j'ai besoin que tu me croies quand je te dis que je suis désolée parce que si tu me crois pas , comment pourrais-tu me croire si je te dis que je n'ai pas eu le choix même si je t'aimais.» Elle ne supporterait pas une seconde qu'il puisse remettre en question sa sincérité. Elle espérait juste qu'en la regardant dans les yeux, il puisse se souvenir,reconnaitre la preuve de sa sincérité.Comme par le passé.
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Oui, je m'ouvrais à elle parce que j'en avais marre de vivre sentimentalement ainsi qu'intérieurement, dans le passé, c'était fou les dégâts que tous cela pouvait faire. Je ne dis pas que ça réglerait tout et surtout que ça me changerait mais j'avais l'envie de savoir, que ma haine contre elle s'intensifie clairement ou au contraire, se stoppe nette. Je ne savais pas a quoi m'attendre meme si pour l'instant je pensais vraiment que y avait aucune raison qu'elle ait une raison valable pour excuser ce qu'elle avait fait à mon cœur. Là, oui, j'étais une victime. Je ne le dirais pas ainsi face à quelqu'un mais je me sentais comme tel, ce qui m'était détestable. Je la regardais, fixement, l'affrontant, mais tentant de m' adoucir suite à ma colère. Elle aussi semblait se calmer peu à peu et c'était plutot bien pour leur nerf à tous les deux. Dans une question rhétorique, elle me montra qu'elle allait surement me répondre ... Enfin ! Je la regardais, vraiment concerné et attentif à ce qu'elle pouvait me dire d'une minute à l'autre. Oui ? Avais-je dit très sérieusement pour lui montrer que ma patience avait des limites. Elle passait sa main dans ses cheveux, elle allait le dire et surtout, elle semblait un peu anxieuse de devoir se justifier enfin. « Mais avant,j'ai besoin que tu me croies quand je te dis que je suis désolée parce que si tu me crois pas , comment pourrais-tu me croire si je te dis que je n'ai pas eu le choix même si je t'aimais.» Je ne savais pas quoi répondre, quoi dire, je plongeais enfin réellement dans la lueur fine de ses yeux comme pour y retrouver des émotions, des indices qui me guideraient puis j'observais, tout en me remémorant ses dernières paroles pour savoir quoi dire, quoi faire ... Elle semblait avoir réellement une raison au final mais je voulais pas avoir de faux-espoirs, je sentais pourtant au regard de la lueur qui se faufilait presque juste dans mon regard qu'elle était sincère, réellement, ce qui manqua de me faire ouvrir la bouche de béatitude ou d'étonnement ! Je veux bien croire tous ce que tu veux, si c'est quelques choses de valable et je suis désolé de croire que tu ne m'aimais pas, mais si je crois cela c'est parce que j'n'ai eu aucune raisons justement ... Je veux définitivement tourner notre page alors je te demande avec le peu de bonté qui est en moi comme dirait certains salopards de me dire pourquoi tu as fait ça , c'est tout .. avais-je calmement dans une sincérité et une spontanéité incroyable. Je m'étais meme étonné dans mes paroles étranges mais tellement sincère.
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    Only know you love him when you let him go

    Il n'était pas le seul à devoir s'ouvrir.Elle devait aussi le faire.Sa façon de prendre son temps était la preuve d'une lutte contre elle-même. Elle qui cherche partout, par tout le temps et par tous les moyens , à cacher tout ce qui peut la montrer faible et fragile aux yeux des autres. Là, en dévoilant sa sincérité, c'était dévoiler une facette plus sensible de sa personnalité, c'était baisser la garde. Une garde qu'elle avait érigé depuis le jour de leur séparation. Une séparation dont elle devait se justifier maintenant devant lui.Une raison valable, voilà ce qu'il voulait.L'entendre dire qu'il avait besoin de cela pour pouvoir tourner « leur » page ne la laissait pas indifférente.Tourner leur page définitivement ... Leur page. Définitivement. Même si ça lui faisait quelque chose d'entendre cela , elle se dit qu'elle ne pourrait pas toujours fuir et que face à la sincérité dont il faisait preuve en retour, il méritait une explication.Au nom de leur histoire , au nom de leurs sentiments, de l'estime qu'ils avaient l'un pour l'autre.Presque spontanément,son regard se plongea dans le sien. «Mon père.» finit-elle par lâcher crevant le silence. « Depuis que je suis toute petite, mon père a toujours décidé.Petite, c'étaient des choses futiles.Puis, il a commencé à avoir cette obsession pour mon avenir, ma carrière donc il a décidé de mes études ,de l'université dans laquelle je devais étudier et puis bien sûr des hommes que je devais aimer et ceux dont je ne devais surtout pas tomber amoureuse » Son ton était calme, posé. « Jamais personne n'a osé lui tenir tête ou contredire ses ordres. Je sais,c'est pathétique,de laisser son père dicter sa vie comme ça. »La femme qui se disait si indépendante et si forte avait laissé place à la petite fille fragile et peu sûre d'elle.L'avouer,le dire, c'était comme reconnaître l'emprise de son père sur sa vie. Et cela était le point faible de sa vie. Elle se détestait de devoir l'avouer ainsi. Pour elle, c'était une raison valable et craignait que son ancien amour ne la comprenne pas ainsi.

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Je m'étais dévoilé et ça, c'était fou, ça me rendait fou carrément. Je croyais pas normal d'avoir eu à me dévoiler et ça me tuait d'avoir pu le faire, j'avais honte de ça. Je n'aimais pas me sentir si vulnérable et je sentais qu'elle aussi avait du mal à baisser le voile de doute qui pouvait la submerger. Je regardais la jeune femme, droit dans les yeux car je savais que j'avais plus grand chose à perdre. J'avais pourtant par honte brisé ce lien qu'elle voulut reprendre très rapidement surement parce que je disais lui faisait plaisir , étrange ? Oui, elle semblait vouloir me percer à jour et bien sur, elle m'étonna plus encore quand elle ne lança qu'un simple mot. Son père ? je ne comprenais pas tout de suite, alors j'attendais ne rompant guère le lien que nos yeux avaient pu créer. Je ne bougeais pas gardant la distance de nos corps tendus par le stresse de la conversation tant attendue. Dans un ton calme et posé, la jeune femme, cette ex demoiselle que j'avais tant aimé tenta d'expliquer et je fus étonné, grimaçant en comprenant peu à peu ce qu'elle voulait dire, où elle voulait en venir et c'était comme un coup dans le cœur à chaque fois parce que peu à peu, au fil de ces propos, je comprenais une chose : je m'étais trompé. Malgré que ce soit de sa faute, je m'étais trompé. Elle termina par se blamer et je n'osais toujours pas parler, me contentant de la regarder encore et encore mais à l'intérieur, je souriais de joie comme de désespoir, c'était bizarre. Nous avions été séparé par ... par les choix de son père. Son père ne voulait donc pas de moi, ma pauvreté me jouait donc encore des tours. J'étais si mal au fond pourtant si heureux d'apprendre qu'elle ne m'avait pas quitté parce qu'elle ne m'aimait plus, mais je ne montrais rien, rien du tout. Restant de marbre, je reprenais : Oui, je suis content de savoir pourquoi maintenant ! Je ne montrais rien et j'étais trop fier pour cela si bien qu'elle devait me prendre pour un beau salop. Oui, donc je suis pas assez bien pour lui, maintenant que j'ai au moins la raison, c'est déjà ça pour te rayer de ma vie de pauvre petit paysan ... Avais-je ironiquement, l'ayant un peu mauvaise mais surtout n'osant pas montrer ma joie de savoir que c'était pas parce qu'elle m'aimait pas, oui, je suis con, je l'assume mais si je m'écoutais, je ferais tout pour la reconquérir quitte à me bruler encore et encore les ailes. Je me retournais sur mon siège, bien droit et je démarrais rapidement, reprenant la route. Bon, on va se dépêcher d'arriver pour que je te libère et qu'on s'occupe de la voiture au garage ... Je roulais ensuite en silence, ne voulant plus trop parler.
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