PRESLEY&GWEN ♦ Shock to your system

J'aimais bien ce petit jeu dangereux qui s'était installé entre nous. C'était plein de provocation et d'excitation cachée, ou non. C'était amusant et déconcertant en même temps. Mais à force de jouer, on peut se brûler, voilà pourquoi je m'impose toujours des limites interpersonnelles. J'essayais de rester concentrée sur son tatouage, qui se terminait presque. J'avais pris soin de finalement tenir sa cheville pour éviter les nombreux mouvements indésirables lorsque ma buse passait sur les nerfs, histoire qu'il n'y ai pas de raté, ou encore de ne pas lui faire mal. Pendant ce temps, Presley restait silencieuse, je sentais qu'elle avait légèrement mal, mais c'est souvent à la fin d'un tatouage que la douleur se manifeste. Il ne restait que les petits détails, que je terminais assez vite. Je donnais un dernier coup de mouchoir alors qu'elle me lançait un Pourquoi pas rempli de provocation. Un sourire s'affichait à nouveau, mais je ne répondis rien. Je lui passais de la crème apaisante sur la cheville alors qu'elle reprenait la parole. ça fait tellement bizarre ... Elle s'inquiétait mais en riait un peu. Je posais ma machine sur la tablette à mes côtés avant de la regarder. C'est normal, à la base t'es pas attirée par les femmes... J'attrapais le film plastique pour couvrir son tatouage, alors qu'elle bougeait légèrement de sa place, se rapprochant de moi et m'embrassant très timidement. J'étais étonnée, mais je lui rendais cependant ce léger bisou. Je souriais avant de dire [color=#62ad30][C'est ma récompense ?/color]

Alors que je l'avais embrassé, elle semblait étonnée mais avait très vite repris la main pour répondre à ce doux baiser. Je sentais que ça me plaisait plus que e le voulais tout simplement. Je la laissais me mettre son film plastique, ne voulant aucun problème avec mon tatouage avant de la regarder avec gourmandise et limite ce petit coté pervers très excitant. Elle me demandait si c'était sa récompense et je n'attendais pas pour me rapprocher pour lui dire non loin de bouche, les yeux rivés sur celle-ci ; Je peux te dire que j'ai plein d'autres remerciement à te faire .... Je reculais mon visage du sien, comme pour jouer avec son désir qui se voyait au moins un minimum présent, elle ne pouvait le nier et commençais à débouter ma chemise déjà un peu ouverte pour laisser mon débardeur blanc voyant, avec mon décolleté et laissais la chemise ouverte pour lui laisser découvrir mon corps mouillé par celui-ci. Je me plaçais de façon a ce que chacun de mes jambes puissent presque l'entouré car elle était restée debout et passant mes bras autour de son cou, je recommençais de plus belle, fourrant ma langue dans cette bouche que j'avais le désir de posséder pour quelques instants, sans vouloir plus que du jeu, du désir avec la personne en question. Nos langues s’entremêlèrent pour une danse endiablée. Je brisais de nouveau nos liens, reculant mon buste, appuyant mes mains derrière moi, en la regardant ; Bien sur ... si tu préfère, je peux partir .... Dis-je en relevant l'un de mes jambes pour la remonter sur la sienne, juste derrière pour la remonter presque juste derrière ses fesses. Un petit sourire pervers s'affichait sur mon visage puis j'enlevais mes jambes et descendais de la table, toujours provocatrice au maximum, cherchant bien à ce qu'elle choisisse si elle voulait qu'on continue nos baisers et dans ce cas, qu'elle m’empêche de marcher plus vers son guichet pour payer puis la sortie ... quoiqu'elle avait surement des rendez-vous dans ce cas, j'avouerais sans problème ma déception ! J'avançais donc vers la sortie du petit local mais c'était plus fort que moi, je me retournais dans l’embrasure de la porte, la regardant du genre alors on fait quoi là ? ça devait être drôle à voir car on devait sentir dans mon regard à la fois l'envie et la peur de ce que j'étais entrain de faire.

Je peux te dire que j'ai plein d'autres remerciement à te faire .... Elle était tellement proche de mon visage que je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage alors qu'elle me parlait. C'était sensuel et cela m'arrachait un sourire. Ah oui ? Elle reculait alors son visage, comme pour jouer avec moi, attiser un désir qui était déjà un peu présent. Elle se jouait de moi et ca me plaisait. Elle déboutonnait sa chemise, laissant apparaître son débardeur blanc, avant de passer ses jambes autour de moi. s'accrochant ensuite à mon cou, m'embrassant avec moins de timidité. Nos langues se caressaient, s'adonnant à une danse endiablée plutôt sensuelle. Le baiser interrompu, elle se recula. Bien sur ... si tu préfère, je peux partir .... Je sentais sa jambe caresser la mienne, arrivant jusqu'à mes fesses. Elle me cherchait et n'allait pas tarder à me trouver vraiment. Elle se levait finalement, sourire plein de perversion aux lèvres et se dirigeait vers la sortie, avant de se retourner et s'appuyer au cadre de la porte. Je m'approchais finalement d'elle, attrapant sa main et l'attirant vers moi. Et si on passait un peu de temps ensemble, enfermées ici ? dis-je d'une voix suave et provocatrice.

J'aime l'effet que cette fille a sur moi, j'aime l'effet qu'elle me fait, j'aime passer du temps avec elle et surement, malheureusement, j'aime ce qui est peut-être sur le point de se passer, mais je crois que je ne peux l'aimer qu'avec elle. Ce moment où le désir est possible sur une seule personne qui est spéciale, je veux dire plusieurs hommes peuvent faire l'objet de mon désir, mais jamais je n'ai désiré de femme sauf elle alors je crois qu'elle fait exception. Je suis dans l'encadrure de la porte, je m'y suis calée, la provoquant en proposant mon départ après l'avoir bien chauffé. Je la regarde, provoquant son regard en montrant que ma froideur peut, aussi surprenant que cela puisse paraitre, devenir provocant, sexy, sauvage, coquin tant de chose. Je la voyais alors s'approcher de moi, me ramenant à elle en prenant ma main. Elle me dit alors d'une voix suave quelques choses qui ne fit qu'attiser plus mon désir, mon envie, mon excitation. Ouais, le moment où elle proposa de rester enfermé ici pour un petit moment me fit trembler d’excitation. Je sentais que j'en avais envie. Je m'avançais vers son oreille, collant ma bouche pour lui murmurer ; Tant que tu veux... Si on m'avait surpris, personne n'y aurait cru, parce que Presley Ravenswood ainsi, non, oh grand jamais ! Je la tirais par la main, vers la porte avant de la fermer, fermant le verrou avant de me retourner vers elle et me coller dos à la porte puis je la tirais pour emprisonner de nouveau ses lèvres. Je forçais le barrage pour que ma langue puisse rejoindre la sienne. Je la voulais, oui, je sentais que je voulais cette fille, que tout mon corps la voulait alors que pourtant, je n'étais pas ... lesbienne. C'était étrange mais mon désir me faisait m'en foutre complètement. J'aimais ce que je découvrais avec elle, j'aimais me savoir aucunement jugée. Nos langues se taquinaient, se perdaient avant de se retrouver, valsant ensemble presque sauvagement avant que je me détache d'elle. Pendant ce moment, je suis à toi Gwen ... Avais-je dit dans un murmure, plein de désir. Je laissais mes mains commencer à parcourir son corps mais j'aimais qu'elle mène la danse, du coup, je ne sais pas pourquoi mais je me suis mise tout en descendant mes mains à la regarder d'un regard enfantin, mutin telle une gamine qui ne connaissait guère tout ça, comme si je me lançais dans un jeu. Je me lachais, là, c'était clair ... Attention, une étrange Presley vient de sortir de sa boite !

Je ne l'avais jamais vue ainsi. Si provocante, si sensuelle. J'étais là, comme un pauvre diable, prête à l'entrainer dans mon enfer, pouvant lui prouver que c'est pas si mal parfois de changer ses habitudes. D'accoutumée, elle est plutôt calme et angélique, mais avec moi, c'était une toute autre femme, plus ouverte, plus sensuelle et ô combien plus intéressante que lorsqu'elle se trouve avec ses copains de l'Eliot House. Alors que je la ramenait vers moi, je sentais un frisson qui parcourait son corps, et ce n'était pas le froid qui faisait cela, au contraire. Elle s'approchait de mon oreille, me lançant dans un murmure Tant que tu veux... Un sourire malin s'affichait sur mon visage, comme si j'étais fière de moi. Elle m'attirait vers la porte, fermant cette dernière et fermant le verrou, se posant contre cette dernière. Je me collais à elle, comme si elle voulait que je puisse avoir le contrôle sur la situation. Elle captura à nouveau mes lèvres pour qu'on se donne un baiser des plus langoureux. Pendant ce moment, je suis à toi Gwen ... disait-elle dans un murmure. J'aimais quand elle me disait ca, commençant timidement à parcourir mon corps, ne sachant pas réellement comment faire. Elle me regardait d'un air enfantin pour que je puisse vraiment avoir le contrôle. Je passais alors mes mains sous son débardeur, le relevant légèrement, avant d'embrasser son cou et récupérer ses lèvres.

J'aimais ce qu'elle me faisait ressentir. J'aimais sa présence pour le désir qu'elle pouvait éveiller en moi pourtant je me savais aucunement amoureuse d'elle, c'était juste une attraction, une étrange attraction, limite bizarre. Je la regardais de mes yeux mutins, enfantins, coquins tant d'émotions se faufilaient en moi que je ne savais plus les discerner. Elle avait comprit que je voulais qu'elle dirige, que je voulais jouer, que je voulais jouer à etre à elle, tout entière, à faire ce que la jolie mather au look androgyne voudrait. Sa main passa sous mon débardeur et j'enlevais précipitamment, tout en continuant de l'embrasser, ma chemise que j'avais précédemment dénouée pour la jeter au sol. Je sentais ses mains sur ma peau, montant jusqu'à mon soutien gorge, elle y était presque. J'aimais ce contact si proche, si intime, si ... enfin pas encore assez proche, alors je posais mes mains sur ses hanches deux minutes pour la tirer et lui faire comprendre que je la voulais tout contre moi, au plus proche tandis que ses mains parcouraient toujours ce qui se cachait sous mon débardeur alors avant qu'elle puisse faire se rapprochement, je me permettait de lui mâcher le boulot en l'embrassant par intermittence tout en enlevant le débardeur. J'étais à présent en soutien-gorge et je me collais de nouveau contre elle, portant mes bras à son cou pour continuer nos embrassades et cette fois, réellement lui laisser la direction des opérations, malgré que c'était plus fort que moi, je voulais diriger sans en être parfaitement capable. Nos langues se joignirent encore pour une danse effrénée, j'en voulais plus, je laissais mes mains maladroites avec elle, se balader sous son t-shirt à mon tour, les laissant glisser pour profiter de simples caresses.

Entre Presley et moi, c'était une étrange relation et attraction qui opérait. Elle était surement la seule Eliot que j'appréciais vraiment et qui était différente des autres. Ne me demandez pas pourquoi on s'attire ainsi alors qu'elle est totalement hétérosexuelle de base et qu'elle n'est vraiment pas mon type de femme, mais on ne choisit pas toujours là où nos pulsions nous mènent. Je prenais finalement le contrôle de la situation, laissant aller mes mains sur son corps en dessous de son débardeur, alors qu'elle dégageait sa chemise, avant qu'elle ne retire ensuite son débardeur, me laissant le libre accès à son soutien-gorge. Nous nous embrassions à nouveau, laissant nos langues danser ensemble. Elle m'entrainait encore plus près d'elle alors que finalement, mes mains allaient détacher lentement son jeans. Elle me donnait terriblement envie et je voulais le lui montrer, alors que ses mains parcouraient maladroitement mon corps pour le caresser.