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❝Shock to your system❞feat Presley & Gwen ✖ Le salon de tatouage avait enfin ouvert ses portes, je n'avais plus besoin de bosser au black pour tatouer les gens. Ce qui était cool, c'est que c'était un emploi du temps aménagé avec mes cours à Harvard. Dès que j'avais du temps libre, je filais au salon, comme aujourd'hui. J'avais un rendez-vous avec une certaine Presley Ravenswood, ce qui me fit sourire. Non seulement je la connaissais par Elysia parce que c'était sa cousine, mais en plus, malgré le fait qu'elle soit membre de l'Eliot House, on était amies. J'attendais donc son arrivée tout en mettant en place mon matériel, le stérilisant et préparait le motif qu'elle avait demandé. Il ne manquait plus qu'elle et le travail allait commencer. Dis comme ca, on dirait que je suis sage-femme...(Invité)
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Aujourd'hui, j'allais me faire un nouveau tatouage. j'en comptais déjà deux à mon actif, c'était peu mais je préférais des tatouages ayant une signification plutôt que des motifs qui allaient dans tous les sens et n'avaient aucun sens. Le premier était celui au niveau du bas du dos deux ailes d'ange me rappelant le surnom que mon père me donnait souvent et aussi qu'il était parmi eux puis il y avait eu la date de son assassinat qui avait tout changé dans ma vie -en mauvais évidemment- sur mon poignet droit. J'avais décidé de le marquer pour montrer que je comptais me rappeler de ce jour où on me l'avait enlevé et que je comptais bien me venger car jamais, je n'oublierais. J'avais pris un rendez-vous deux semaines auparavant, voulant donc en rajouter un au niveau de ma cheville ; une ancre pour La sécurité, l'espoir, le salut et l'espérance orné de la date de la découverte de mon affiliation avec Lily. J'avais ce besoin de noter ces choses sur moi, comme les événements de ma vie et nous savions que c'était réellement un fait sur et puis, même si cela s'avérait faux, le fait de l'avoir cru faisait de cela quelques choses d'important pour moi. Le symbole de l'ancre était important pour moi et quand j'avais voulu une originalité cette date m'était venu en tête, simplement.
Bref, Quand l'heure approchait, je me dirigeais vers Imman Square pour rejoindre le salon Redemption Tatoo, ce serait la première fois dans ce salon car j'avais fait les autres à New York. Je ne connaissais pas le nom de ma tatoueuse mais la réputation du tout nouveau salon s'était déjà faite et je n'avais eu que de bons échos. Je pénétrais un peu en avance dans le salon et me présentais à l’accueil, attendant qu'on vienne me voir. Je vis de loin une silhouette qui ne m'était pas inconnue, celle de Gwen, une amie d'Elysia mais aussi, une de mes amies malgré nos statuts de Eliot et Mathers. Je la vis se retourner pour venir me recevoir et je me décidais à parler : Salut ... Je ne savais pas que tu travaillais là ! Je lui offrais un sourire, ravie de savoir qu'elle était surement ma tatoueuse car je la savais douée.
- Spoiler:
- hj; tkt je ferais plus court mais le premier est toujours long car je trouvais important de parler du tatouage dans le cadre de mon personnage :)
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Ce qui me faisait rire dans ce métier parfois, c'est les idées farfelues qu'avaient les gens. Une fois, un mec était venu me voir pour que je tatoue le nom de sa copine sur son sexe. Pour une lesbienne, voir un pénis, c'est vraiment drôle, surtout quand on voit que les vibrations de la machine à tatouer lui font de l'effet mais qu'il pleure parce que ca brûle. C'était vraiment une petite nature ce mec. Total, j'avais pas fini mon travail, qu'il m'a demandé d'arrêté et qu'il m'a payée au tarif plein. Avantage certes, mais une grosse crise de fou rire. Quand j'ai fait mes premiers tatouages, et j'en ai beaucoup, je savais à quoi m'attendre et je m'étais dit de ne pas trop aller dans les zones sensibles. Au final, j'ai la clavicule tatouée et je compte bien rajouter des choses pour que ca atteigne ma poitrine, je trouverai bien un motif avec mon inspiration débordante.
Bien que ce salon venait d'ouvrir, il avait déjà sa réputation. On était un super salon, selon les sources internet que je suis allée voir récemment. Avec une bonne déco, un bon cadre stérile et tout. Notre réputation n'était donc plus à faire, c'était vraiment cool. J'attendais donc l'arrivée de Presley au comptoir du salon, regardant l'agenda de la semaine pour savoir qui le patron m'avait donné et je regardais également l'emploi du temps de Marloes, savoir si on allait bosser en même temps cette semaine ou non. Presley pointait donc le bout de son nez dans le salon, étonnée que je travaille ici. Hey ! Et oui, j'avais ma réputation de tatoueuse à l'extérieur, j'ai été embauchée à l'ouverture. T'es prête pour que j'te fasse vibrer ? Je lui souriais, lâchant cette allusion pour la provoquer. En effet, un soir il s'était passé un truc entre nous et depuis, je m'amusais à lui lancer des pics amicalement pour lui rappeler sa seule expérience avec une femme. Je suis l'expérience de beaucoup de femmes, en fait. Je me dirigeais vers ma petite salle, en attendant qu'elle s'installe. Tu veux le faire où cette fois ?
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Mon étonnement de la voir ici, ne l'étonna pas et du coup, tout en me saluant, elle m'expliqua qu'elle avait été embauché à l'ouverture tu salon. Ensuite, elle me fit une remarque étonnante, oui, totalement loufoque qui me rappela cette soirée étrange où j'avais fait des choses tout aussi bizarre avec elle alors que j'étais censée être hétérosexuelle quoi. Enfin bref, quand elle sortit sa petite phrase pleine de sous-entendu, je ne sais pourquoi, surement parce que c'était elle, et qu'elle avait ce truc qui me donnait envie de jouer le jeux, je lui répondais, d'un air provocateur ; Je suis toujours prête à Vibrer ... On se dirigeait vers la petite salle et je faisais exprès de la fixer. Je savais que je jouais à un jeu dangereux mais tant pis, ça me faisait rire et puis, avec Gwen, c'était comme ça, je sais pas. Intérieurement, j'étais gênée mais je pouvais pas ne pas suivre son délire, surtout en ce moment où j'essayais de me rouvrir aux autres et de plus faire ma grande malade entrain de devenir reine des glaces. Je m'installais alors sur la table pour qu'elle puisse s'occuper de moi et elle m'interrogea sur l'endroit où je voulais mon nouveau tatouage, je la regardais et répondit rapidement ; A la cheville gauche, s'il te plait, vers l'extérieur ... Je souriais, j'avais hare de voir le résultat, j'étais éternellement impatiente pour ce genre de chose. Je repris la parole, toujours provocatrice -pourquoi ? ça je savais pas - ; Pendant un moment, j'ai cru que tu me demandais où je voulais que tu me fasses vibrer dans ce cas, ce serait bien plus haut ... Javais rit comme une gosse.
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Bizarrement, le petit pic que je lui avais lancé lui donnait visiblement envie de jouer ce jeu là avec moi. C'était plutôt drôle, de repenser à cette soirée, et ca me faisait penser que j'avais couché avec les deux cousines Ravenswood. Carton plein les gars ! Elle me lâchait donc qu'elle était toujours prête à vibrer, ce qui me fit sourire avec toute la provocation possible. Quand tu veux Elle me fixait alors qu'on allait dans mon local à tatouages pour que je puisse préparer comme il faut son motif, le faisant chauffer sur la feuille à l'aide de la machine faite pour ca. Elle s'installait ensuite sur la table, alors que je détachais la languette de la feuille pour calquer le motif sur sa peau. Elle m'indiquait qu'elle voulait le tatouage à la cheville gauche vers l'extérieur. J'appliquais donc la feuille et déposais le motif à l'endroit indiqué. J'attrapais ma machine, la démarrant pour voir si la buse n'était pas trop sortie et tout, les vérifications de base. Elle reprit la parole un brin provocatrice, ce qui me fit sourire. Ca peut toujours s'arranger tu sais ? Je la regardais avec mon sourire à moitié provocateur et à moitié joueur, avant de reposer mon regard sur sa cheville et commencer à la tatouer.
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J'avais ri comme une gosse avant de me décider à reprendre mon sérieux. Elle, elle n'avait pas été choqué par mes petites provocations puisqu'elle avait en quelques sortes commencé et surtout que ça allait bien avec son genre. Lorsque je m'étais remise à parler sur mon ton bien provocateur, j'avais pu voir que ça la faisait sourire. Elle continuait néanmoins à rester très professionnelle, préparant ces petits outils de tatouage, etc ... Je me contentais de la regarder. C'était bizarre de réussir à être aussi provocatrice ou naturelle avec elle, mais elle avait ce coté garçon manqué que je trouvais attirant et ça n'avait pu que m’étonner parce que j'étais bel et bien hétérosexuelle, juste c'était différent. Elle me lança un petit truc encore joueur et provocateur, en me disant que ça pouvait encore s'arranger avec ce petit ton interrogateur puis je sentis bien qu'elle commençait à me tatouer car ça chauffait un peu au niveau de ma cheville. Je repris la parole, tentant de sourire malgré la petite douleur, l'avantage était que je la supportais plutôt bien quand même. Écoute, si ça peut s'arranger, parle moi de tes idées ? Je clignais des yeux, comme pour provoquer et faire des sous entendu. Je ne pouvais pas bouger pour l'instant mais le haut du corps si alors je passais ma main dans mes cheveux doucement jusqu'à la passer près de mes épaules jusqu’au dessus de ma poitrine en souriant. Ensuite, je riais parce que au final, de jouer avec le feu, c'était gênant et je posais mon bras sur le coté.
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Ce que j'avais de différent avec certains tatoueurs, c'est que lorsqu'on me lançait certaines provocation, je restais très professionnelle et à la fois je répondais aux provocations le plus naturellement du monde. J'étais imperturbable et en règle générale, cela les décontenançaient. Alors que ma machine caressait sa peau, elle me demanda de lancer mes idées d'arrangement, ce qui me fit sourire. T'as envie de retenter l'expérience, Presley ? Je riais légèrement afin de ne pas trembler en la tatouant, alors qu'elle me provoquait gestuellement. Tu sais que j'réfléchis pas et que j'agis directement... Elle arrêta ensuite ses petites provocations, alors que je continuais de passer ses traits avec ma machine. Ca pique pas trop ? dis-je en la regardant rapidement, essuyant les bavures d'encre de temps à autres.
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Je restais normal, cherchant son regard, incapable de rester tranquille. Ce n'était pas moi mais elle avait ce truc qui vous faisez etre tous sauf ce que vous pouviez etre mais le pire c'est que ça pouvait etre en bien. Je ne pouvais que sourire en l'écoutant répondre à mes provocations tout en restant sérieuse dans ce qu'elle faisait. Je n'avais pas trop mal juste de picotement. Elle me demanda si j'étais prete à retenter l'expérience et face à cette question, je rougissais. J'osais pas répondre pour l'instant, je me contentais de la regarder sans oser répondre. ça me tuer d'avoir une envie de lui répondre oui alors que ce n'était pourtant pas mon truc les filles, mais je la considérais pas totalement comme une fille, enfin non je me donne des excuses. Elle continua à montrer qu'elle voulait jouer et répondre sans soucie à mes provocations avant de me demander, plus professionnellement, si ça ne me piquait pas trop. Je ne faisais que bouger la tete pour lui répondre que non, gardant mon regard sur elle. Quand je rouvrais la bouche, ce ne fut que pour reprendre mes provocations ; a quoi bon, je voulais jouer autant y aller. Tu sais ... une fois qu'on aura fini ça se pourrait que j'ai pas envie de partir sans t'avoir récompensé, s'était elle presque étonné à dire en me mordant les lèvres d'une manière très provocante. Si on m'avait vu ainsi, on se serait demandé qui j'étais parce que ouais, je ne montrais que rarement ce coté de moi. Je voyais déjà un peu la forme de mon dessin sur ma cheville que je tentais de garder immobile malgré les picotements et mon envie de bouger. Je me sentais exciter par ses provocations et ça me faisait trop bizarre tout en me plaisant. Ouais, je me trouvais étrange. C'était comme si l'autre Presley prenait le contrôle de mon corps, de mes pensées. Je tentais de me pencher vers elle en ne bougeant que mon buste pour ne pas trop déconner non plus et me faire mal en bougeant alors qu'elle bossait mon dessin. Je le vais ma main pour l'approcher de ses cheveux et y passer la main, descendant dans son cou ; Il est vrai que ça ne m'a pas déplu la dernière fois malgré que ça ne soit pas mon truc, enfin je crois pouvoir dire "n'était pas mon truc" ... Je me surprenais encore et encore, à chaque geste, à chaque instant mais bon, je savais que j'avais toujours eu un coté provocante, rebelle et tout en moi, mais réussir à le laisser prendre le dessus comme ça alors que depuis longtemps, je lavais abandonné, c'était trop bizarre. Ok, Gwen devenait mon exutoire dans le bon sens du terme ; une aide pour faire sortir certaines facettes que je voulais pas montrer.
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Ses réactions étaient assez drôles. Elle me provoquait et quand je lui répondais, elle ne savait plus vraiment quoi dire, elle était rouge pivoine et ca m'éclatait. Je sentais également que son regard sur moi n'était pas aussi innocent qu'il n'y paraît. En même temps, j'étais sa seule expérience avec une femme et je pense que malgré tout, je marquais son esprit. Ca m'étonnait vraiment qu'elle n'aie pas plus de répondant envers moi, je lui avais pourtant dit qu'elle pouvait me dire ce qu'elle voulait sans que cela ne me déconcentre. Alors que je lui demandais si ca piquait pas trop, elle répondit non de la tête. Je pensais presque que je l'avais rendue muette le temps d'un instant, mais ses provocations reprenaient doucement. Tu sais ... une fois qu'on aura fini ça se pourrait que j'ai pas envie de partir sans t'avoir récompensé J'arquais un sourcil avant de lâcher un petit rictus amusé. J'veux bien connaître cette récompense, tu m'intrigues... Là, je reconnaissais la Presley que j'ai connu. Provocante à souhait, comme je lui avais dit de faire. Il fallait qu'elle apprenne à connaître sa sexattitude et pour ca, j'étais un bon coach. Le dessin sur sa peau prenait peu à peu une forme humaine, malgré les tâches d'encre qui se battaient par ci par là, que j'essuyais avec mon kleenex. Je sentais ses nerfs se contracter par endroit, donnant de légères secousses à sa cheville. Soudain, elle se relevait légèrement et passait sa main dans mes cheveux puis dans mon cou. Un léger sourire marquait mon visage. Il est vrai que ça ne m'a pas déplu la dernière fois malgré que ça ne soit pas mon truc, enfin je crois pouvoir dire "n'était pas mon truc" J'étais étonnée qu'elle avoue cela comme ca, mais c'était plutôt un compliment pour moi. Je la regardais rapidement avant de reporter mon regard sur sa cheville. Il n'y a qu'une façon de savoir si c'est pas ton truc...re-tenter l'expérience... Je prenais une voix suave en disant cela, pour mieux répondre à ses provocations.
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Provocante. Excitante. J'aimais l'etre avec elle, pourtant, c'était une fille, et j'aimais les hommes, un amusement ? surement. Je la regardais en passant doucement, avec adresse, ma langue sur mes lèvres la regardant. En tout cas, elle répondait bien à tous cela, à ses provocations me disant qu'elle voulait connaitre la récompense dont je parlais. Je voyais que le dessin avait déjà bien pris forme, petit à petit, ... A présent, elle me parlait de retenter l'expérience mais je sentais que mon annonce n'avait pas manqué de l'étonner. Je souriais face à ses paroles tandis qu'elle terminait les dernières finitions de mon tatouage, je sentais encore quelques picotements faisant bouger doucement ma cheville et elle la tenait pour empêcher que je bouge trop, voir souffrir. Je restais silencieuse un instant pour serrer un peu les dents, la fin semblait être proche. Je regardais ma compagne du jour et tatoueuse émérite. avant de prendre de nouveau la parole : Pourquoi pas avais-je dit d'un regard bien provocateur. Néanmoins, penser qu'on allait recommencer, me faisait légèrement flipper et j'osais sans peur dire mes inquiétudes ; ça fait tellement bizarre ... disais-je en riant doucement. Je balançais mes cheveux tombant dans mon cou. Quand elle eut finit, sans attendre ses recommandations, je me bougeais un tout petit peu, restant sur la table pour pas faire de connerie avec ma cheville sans qu'elle ait dit quoi que ce soit et je m'approchais d'elle, timidement pour l'embrasser sur la bouche, un baiser très timide, voir trop timide.
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