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BASUNA ❥ Touch me like a delicate doll

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Qu'il peut être agaçant celui-là ! Luna se demande comment elle a fait pour l'avoir en sympathie dans les premiers temps de leur "relation", si on peut dire ça ainsi. Elle n'avait pas réclamer la lune mais il semblerait qu'il soit de nature à être aussi désagréable. Ce n'est pas qu'avec elle. - Au moins, un chien est beaucoup plus agréable à vivre que toi. murmure-t-elle entre ses lèvres, toujours plus agacée. Il a le don de la chercher, de démontrer encore plus de mots négatifs à son égard. Elle saisit bien la conversation et surtout l'attitude qu'il a avec elle. La jeune femme lève les yeux au ciel et décide de ne pas lui répondre. Elle est fatiguée de ça et surtout, ça ne ferait que de rendre la situation encore plus agaçante entre eux. Il la cherche mais cette fois, il ne trouvera pas de réponse. Rester à distance, attendre que le moment passe jusqu'à ce qu'on se décide de nous libérer de là. Luna lui lance un regard désespéré lorsqu'il lui fait part de ses remarques. - Sérieusement ? Elle tend les bras de chaque côté dans un signe d'incompréhension, pour lui démontrer qu'il pousse un peu. - En même temps, tu croyais que je devais penser quoi à cet instant ? J'attendais une masseuse ! Pas qu'on m'embrasse et qu'on me tripote les fesses ! En plus, t'as pas été des plus sympa avec moi ! Je devais penser quoi de toi ? tenta-t-elle de dire alors qu'il se rapproche. Elle roule ses lèvres vers l'intérieur de sa bouche dans une moue enfantine. Que veut-il ? Elle maintient son regard dans l'attente d'une nouvelle remarque blessante à son sujet. Luna l'interroge du regard et n'obtient qu'en réponse de se pousser. - C'est toi qui vient me coller. lui fait-elle remarquer pendant qu'il fait une nouvelle tentative avec un interphone sur le mur. Luna ne l'avait même pas remarqué. Elle resserre la serviette sur sa poitrine, scrutant la pièce pour avoir une quelconque idée mais il semblerait qu'ils soient obligés de faire une chose : attendre. Luna se complait à regarder ses doigts s'entremêler d'ennui jusqu'à ce que la voix d'Aloïs s'élève. Luna ne pouvait pas le contredire, la chance ne fait pas décidemment pas partie de notre vie. Mais qu'il ne la porte pas en faute. Que lui arrive-t-il ? Luna se rapproche de lui et dépose sa main sur son épaule. - Aloïs ? A vrai dire, c'était une discussion qui changeait. Luna avait senti la différence de température et avait réagi sans aucune rancœur contrairement aux mots qu'ils ont pu échangés depuis. - Qu'est-ce qu'il se passe réellement ? ce n'est pas ce blocage dans la salle de massage. C'est antérieur à cette journée. C'est Tunis le tournant. - Si je ne dois pas prendre personnellement ce qu'il s'est passé. Qu'est-ce qu'il s'est réellement passé, Aloïs ? Le ton de sa voix est plutôt douce. Elle ne cherche pas à infantiliser mais elle montre qu'elle veut réellement discuter avec lui.


@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  tu étais aussi désespéré qu’elle, la situation te mettait dans une position des plus inconfortables et cela ne s’arrangeait pas avec la présence de la jacobs. non pas qu’elle t’éprouvait du dégoût, la nature semblait l’avoir plutôt bien faite, mais cela t’insupportait qu’elle puisse avoir réponse à tout, même lorsqu’elle avait tort, cela t’irritait qu’elle montrait une certaine indifférence à ton égard. tu n’étais pas sympa, mais quand même, tu méritais plusieurs chances contrairement à elle. bien sûr que tu estimais avoir toujours raison, même lorsque ce n’était pas le cas. et tu regrettais le fait de ne pas pouvoir profiter d’un moment censé être agréable avec une fille rencontrée sur meetsa. en lieu et place, tu revoyais la jacobs, d’une façon pas très civilisée. —  mes gestes sur toi étaient déplacés, mais il s’agit d’un malentendu, une fille sur meetsa m’a chauffé et donné rdv ici, je croyais que c’était elle sur la table. que tu aies apprécié ou pas, je regrette. tu avais suffisamment de lucidité pour admettre parfois des actes ou des mots qui t’avaient échappé, il n’était pas question là de fierté mais d’apaiser la situation. comme tu ignorais jusqu’à combien de temps vous seriez enfermés dans cette maudite pièce. enfin tu considéras la jacobs d’un nouvel œil, enroulée dans une petite serviette depuis le début. où étaient ses vêtements ? cette pensée t’arracha un sourire mystérieux, repensant à cette ligne de dos bien creuse que tu avais massée quelques instants plus tôt. —  oui et alors ? c’est pas comme si j’avais de nouveau reposé mes mains sur toi. cet essai avec l’interphone n’avait pas été fructueux, ce qui ne fit que grandir la déception qui te gagnait. sans remarquer la présence de luna qui se rapprocha de toi, tu sursautas presque au contact de sa main sur ton épaule. —  comment ça ? ta mauvaise humeur revenait et tu fis mine d’ignorer parfaitement à quoi elle faisait allusion. tu n'avais pas trop envie d'étaler ta vie privée ou d'y penser un seul instant, surtout que tu ne la connaissais pas très bien. même si tu saluais les efforts que faisait luna pour rendre la situation plus tenable. —  sérieusement, tu ne voudrais pas te faire masser ? t'es ici pour ça après tout, non ? tu avais ce don d'esquiver toute tentative d'approche te concernant, tu détestais cela alors ça t'arrangeait, même pendant un court instant, d'admettre que tu n'étais pas parfait devant elle. dès lors, elle semblait plus ouverte à un échange bien moins virulent et plus posé, ce qui n'était, d'ailleurs, pas non plus ton fort. cependant, tu fis un effort, pas pour elle mais pour toi, pour éviter que la situation ne t'échappe complètement. sinon tu serais déjà bien loin et la jacobs, rayée définitivement de ta vie. ce n'était pas parce que tu avais été au bon endroit au bon moment par deux fois pour elle qu'il fallait se montrer gentil avec elle. comme tu le pensais, elle ignorait tout de toi et c'était sûrement la raison pour laquelle elle s'était adoucie pour s'intéresser à ta malchance. pour être honnête, tu n'avais jamais été épargné par la vie, voyant souvent les choses en noir mais tu n'ignoras pas à quel point tu n'avais rien à envier pour ta nouvelle situation. — bon tu pourrais penser que je suis une mauvaise personne. je ne vais pas le nier et personnellement, que tu me détestes, je m'en fous. dire tout haut ce que tu pensais tout bas, en règle générale, tu le faisais et c'était ainsi que tu te fis pas mal d'ennemis, pouvant être blessant à tout moment. mais là, tu le disais de façon sincère, sans aucune arrière-pensée envers luna. juste un moment d'égarement, où tu dévoilais une part de ta face sombre à la jeune femme.
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Elle doit bien l'admettre, Luna sait quand un homme ment ou non. Et elle le voit bien qu'Aloïs ne lui ment pas. Il n'était pas là pour elle. Bien qu'elle se demande comment il n'a pas remarqué ses cheveux roses ou encore ces tatouages. Dans un coin de sa tête, elle se rappelle qu'il n'y a rien d'amical ou charnel entre eux alors elle ne peut s'imaginer qu'il ait pu retenir ça. De plus qu'il avait raison, il se rapproche d'elle mais ne la touche pas. Ce n'est pas de mauvaises intentions qu'il le fait. Enfin, pas sexuelle. Elle se doute bien qu'il ne l'imagine pas ainsi. Luna décide de passer à autre chose, de calmer le jeu. Surtout qu'il vient à se confier que ce n'est pas contre elle. Alors contre quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe pour qu'il se comporte ainsi avec elle ? Lorsqu'elle se rapproche, curieuse, presque inquiète, elle sursaute légèrement quand il se retourne, retirant rapidement sa main. Luna ne sait pas sur quel pied dansé avec lui et elle aurait aimé lui faire manger son attitude avec son poing. Mais elle se retient car elle a ce côté un peu maternel qui se réveille en elle. Cependant, il semble remonter la barrière qui s'était abaissée durant quelques secondes en lui proposant de se faire masser. Elle secoue légèrement la tête. - Ce n'est pas contre toi mais je ne me sens pas de me faire masser en sachant que nous sommes enfermés ici. Je n'aime pas ça. Être enfermée. Parce qu'elle l'a été pendant trop longtemps par le passé. Et Luna ne parvient pas à se laisser aller. Elle n'y est pas jusqu'à la crise d'angoisse mais l'inconfort est présent. Elle se dresse devant lui, sans geste brusque, mais pour tenir son regard et essayer de comprendre. Les mots d'Aloïs semblent démontrer qu'il baisse un peu les armes avec la rose. Elle le ressent ainsi et se dit que c'est l'occasion de retrouver cette posture agréable entre eux. Avant qu'il braque Luna. Avant qu'ils n'arrivent plus à se piffrer comme il s'est passé quelques minutes plus tôt. - Détester, j'en sais rien. Mais c'est clair que tu peux te montrer désagréable et pas très diplomate, parfois. Petit sourire gêné qu'elle offre à Aloïs alors qu'elle se mets à pointer ses défauts du doigt. Il lui a un peu tendu la perche mais Luna n'a pas pu s'empêcher de le faire. Avec son avant-bras gauche, elle maintient sa serviette. De l'autre main, elle vient glisser celle-ci sur la joue. Ce n'est pas un regard de pitié, encore moins de douceur. Luna voulait juste capter son attention. - Tu m'as sauvé par 2 fois, gros nigaud. Tu penses vraiment que mon intention était de finir par me clasher de cette manière avec toi ? Au début, ça se passait bien entre toi et moi... et puis... ça a tourné ainsi... ? Dis-moi les choses clairement, Aloïs... Je ne suis pas le genre de personne à juger, quelque soit les raisons ! Luna fronce les sourcils, déterminée à ce qu'il dise clairement ce qu'il se passe. Elle ne sait pas si elle s'y prend de la bonne manière ou non avec lui, elle ne le connait pas assez pour ça. Mais elle sait qu'il faut crever l'abcès entre eux.

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  — personne n’aime rester enfermé, le regard interrogateur, tu levas la tête pour la regarder. tu pris même le temps de l’étudier, ses cheveux roses qui descendaient jusqu’à ses épaules nues lui conféraient une attitude rebelle qui te plaisait bien, puis ses nombreux tatouages qui recouvraient une bonne partie de son corps. tu n’en discernas pas la totalité, la plupart à moitié recouverts simplement parce que tu ne les regardais pas sous le bon angle et d’autres sûrement cachés sous cette serviette qui était l’ultime rempart entre sa nudité et toi, à la vue de son joli décolleté qui devait faire fureur en temps normal, au souvenir de cette courbe du dos à laquelle tu avais eu honneur, tes lippes gardaient toujours en souvenir le goût de cette partie désormais inaccessible de son corps et semblaient en redemander encore. surtout si elle restait longtemps dans cette tenue de fortune, que tu aurais arraché dans une autre vie. tu secouas la tête pour chasser ces pensées pas très catholiques, tu avais réellement plus important à penser et à t’inquiéter, c’était cette maudite porte qui demeurait close. fallait-il peut-être frapper pour attirer quelqu’un ? tu te demandas comment cette idée toute bête ne t’était pas venue plus tôt ? tu maugréas quelques propos incompréhensibles dans ta langue maternelle à destination de la jacobs, expression de ta colère que tu tentais de contrôler, conscient qu’elle était au coeur du problème, celle qui t’avait empêchée de raisonner normalement et cette position ne te plaisait pas du tout. habituellement, tu savais gérer ce genre de situations ou plutôt, tu te débrouillais pour chercher une solution à n’importe quel problème auquel tu te retrouvais confronté, si des éléments perturbateurs ne t’empêchaient pas de réfléchir normalement. dans le cas actuel, le coupable tout désigné était la jacobs, depuis le début elle s’offusquait de ta simple présence, certes tu admettais n’avoir rien à faire ici, d’avoir ta part de responsabilité là-dedans mais sans mauvaise foi, tu n’avais rien demandé à tout ça, au point d’avoir eu l’esprit embrouillé par ses remarques et de voir tout en noir. la faute lui incombait à cette jacobs, en dépit des efforts pour te calmer, tu te contins à nouveau pour ne pas remettre le feu aux poudres. tu esquivas d’un mouvement de tête ses paroles, marquant ton indifférence. — et donc, luna ? tu vois pas que tu aimes me chercher, me provoquer, parce que tu n’avais pas aimé la façon dont je t’ai parlé au restaurant et de ton petit-ami. oui tu n’étais pas idiot, comprenant parfaitement que sa frustration venait du fait qu’elle avait ressenti de la colère et sûrement du dégoût à ton égard, alors qu’elle tentait et faisait tout pour oublier ce qu’il lui était arrivé pendant cette journée à tunis, comptant sur ta présence pour la distraire. mais c’était sans compter sur ton mauvais caractère, la jacobs ignorait quel genre d’homme t’étais, certes son sauveur mais pas du tout celui qu’elle imaginait au premier abord grâce à tes actions, et tu ne désirais pas non plus qu’elle découvrait qui tu étais réellement. simplement par méfiance, tu ne savais pas encore quel genre de femme elle était et le peu que tu savais d’elle ne te motivait pas assez pour être suffisamment diplomate comme elle disait. — luna jacobs, la prochaine fois, fais moins la maligne ou la fière avec moi. ce jeu là, c’est moi qui gagne toujours, alors si tu réfléchissais comme moi et faisais moins attention à mon physique d’ange, tu aurais trouvé le moyen de sortir. tu plongeas un regard dur dans ses azurs, peu soucieux de l’offusquer encore par tes propos, et alla frapper fort à la porte comme tu aurais dû le faire plus tôt. finalement, la porte s’ouvrit et ton coeur se desserra aussitôt de soulagement. — pense bien à moi, jacobs, lorsque tu te fais masser la prochaine fois. que tu ajoutas, sourire narquois sur le visage, à son intention avant de la faire sortir de ton champ de vision pour de bon. bon débarras et tu souris à cette pensée plutôt agréable.
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