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BASUNA ❥ Touch me like a delicate doll

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Elle avait besoin de se détendre. La beauté de Sousse, c'est qu'elle est immense et encore dans son jus historique. Ce qui compte aussi la présence de hammam. Luna aimait cet aspect de la Tunisie. Ils savaient comment profiter de la vie. Luna s'est forcément rendu dans un institut où ils prodiguent des soins du corps. C'était vraiment luxueux mais assez abordable pour elle. La jeune femme était surprise de cette organisation parfaite pour séparer les hommes et les femmes. Du moins, parfaite en apparence. Luna avait décidé de prendre un soin complet du corps qui comprenait un gommage du corps et des soins relaxants. Rien que de lire la description, elle était toute en joie. La masseuse l'invite dans une salle de massage et lui donne ses consignes pour se préparer. Luna acquiesce et attends qu'elle sorte pour se déshabiller. Elle dépose ses vêtements sur une petite chaise, enfile une serviette autour de ses cheveux pour les protéger. Elle vient s'allonger sur la table de massage, faisant glisser une serviette sur ses fesses. Elle ferme les yeux et se laisse transporter. Pendant quelques instants elle a l'impression de s'oublier. ça ne dure qu'un temps car la porte s'ouvre. Luna se demande bien pourquoi elle mets autant de temps. - Bonjour, merci de vous occuper de moi. ça va me faire tellement de bien... admet-elle, sentant qu'elle avait besoin de supprimer toutes les tensions dans son dos. Lorsqu'elle sent la présence de la personne auprès d'elle, Luna n'hésite pas une seconde. - Je ressens beaucoup de tensions au niveau des épaules et au bas du dos. n'hésitez pas à insister par là...

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  cet après-midi là tu paraissais crevé mais l’envie était plus forte, la tentation plus élevée. après un échange des plus banals sur meetsa, la discussion avait vite pris une autre tournure, bien plus intéressante lorsqu’elle concernait une rencontre dans l’heure, qui ne pouvait que vous contenter l’un l’autre. un arrangement comme un autre sauf que celui-ci demandait plus de doigté, une façon plus originale d’aborder une première rencontre et qui t’avait donné l’assurance nécessaire pour confirmer ta présence à celle-ci. après tout, une offre comme celle-ci ne se refusait pas. la jeune inconnue t’attendait donc patiemment dans un hammam de la ville et tu t’empressais de la rejoindre. elle se faisait chouchouter dans une salle dont elle t’avait donné les indications mais malheur à toi, elles ne te semblaient pas très claires. alors une fois arrivé au hammam, tu te doutas d’être au bon endroit mais impossible de poursuivre ton chemin. perdu, tu hésitas à l’appeler ou de la recontacter par un autre moyen mais ce serait gâcher le moment tant attendu. tu avanças dans le bâtiment et ne croisant personne, tu décidas un peu au hasard d'ouvrir une première porte et tu la vis, allongée sur la table de massage. à moitié dénudée, le reste de son corps était recouvert par des serviettes. cette vision te figea quelques secondes, amusé par le fait qu’elle t'attendait déjà dans cet état. tu refermas la porte derrière toi et attendis un moment pour t’approcher d’elle, captivé par ses jolies courbes. tu essayas de rester le plus silencieux possible pour profiter longtemps de cette vision quasi irréaliste, ne t’étant jamais mis à la place d’un masseur de ta vie. tu souris lorsqu'elle fit mine de ne pas savoir que c'était toi. évidemment que tu allais bien t'occuper d'elle et de son joli corps. savourant le moment, doucement tu glissas tes doigts le long de son échine. le bout de tes doigts caressant son soyeux épiderme, tu remontas ensuite de tes deux mains vers ses omoplates puis commenças à enfoncer tes doigts dans sa peau pour la masser. peu de temps après, tu rapprochas tes mains de ses fesses, effectuant deux trois mouvements insistants comme demandé, avant de retirer la serviette qui les recouvrait. au même moment, tu déposas un baiser dans le creux de ses reins tandis que ta main agrippa une de ses fesses rebondies, le feu en toi.
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Ces jours-ci sont assez tendus pour Luna. Elle avait pris ses distances avec l'homme qui avait accaparé son coeur pour la première fois de sa vie. A tel point qu'elle avait hésité à rester à ses côtés. A l'aimer sans concession. Mais la peur, elle a grandit un peu plus chaque jour. Au point qu'elle a fait en sorte de prendre les distances avec lui. Douloureuses mais nécessaires. De le croiser à plusieurs reprises crées des tensions. Luna n'en peut plus et cette journée était un échappatoire qu'elle espérait réussir. Dénudée sur la table de massage, elle sentait sa peau frémir sous le mouvement d'air lorsqu'une personne s'approche d'elle. En confiance, elle sentit que " la masseuse " débutait son travail. Luna étant adepte de ce genre de soins, elle fut surprise de la douceur de ces premiers gestes. Puis cette poigne devient plus ferme et Luna se détend. Elle s'abandonne car elle obtient réellement ce dont elle a besoin. Se détendre. S'échapper. A tel point qu'elle n'est pas choquée quand elle ressent la serviette glissée loin de son corps.  * Nous sommes entre femmes, après tout ! Non ? * Luna se laisse aller jusqu'à ce qu'une sensation étrange s'imprime dans le creux de ses reins. Et que la main de "la masseuse" se montre déplacée. Luna se redresse aussitôt, elle n'est pas à l'aise. Mais lorsque ses yeux s'ouvrent et lui offre la vision de cet homme, son coeur se renverse. - eeeeh ! mais... espèce de ! Luna amorce le geste de défense pour se protéger, pour mettre de la distance avec ce qu'elle pense être un pervers sexuel. De l'autre main, elle tenait fermement la serviette qui s'était détachée de ses cheveux pour tenter de protéger son corps de la nudité. C'est alors qu'elle reconnait ce visage. Il ne lui est pas inconnu. - Aloïs... murmure-t-elle, adouci. Bien qu'elle ne garde pas un bon souvenir de leur rencontre. Du moins, de la manière ils se sont quittés. Elle est tout de même rassuré. Il lui a évité bien des déconvenues lorsqu'ils étaient à Boston et la dernière fois. Respiration qui reste soutenue, je parviens à garder mon sang froid. - Qu'est-ce que tu fous ici ? T'es venu pour me tripoter ? Sérieusement ?! finalement, elle hésite à le frapper véritablement. Luna ramène son bras sur sa poitrine pour s'assurer de ne pas trop en montrer. Elle qui se montre facilement, là, elle est gênée sur l'instant.

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  cette jeune femme là allongée et complètement relâchée, te paraissait bien vulnérable. cette vulnérabilité t'avait tout de suite plu dès l'instant où tu étais entré, cette impression de se livrer complètement à l'inconnu avait un côté plutôt excitant et c'était ce qui t'avait plus ou moins poussé à venir. après tout, le goût du risque tu adorais ça, surtout dans un pays où les libertés pour tout le monde n'étaient pas encore pleinement acquis. après l'avoir massée un bon moment, profitant de l'instant, tu te retrouvais la tête près de ses fesses en train de déposer des baisers dans le creux de son dos. sauf que la jeune femme réagissait de manière très bizarre, elle semblait surprise par tes gestes et se redressa aussitôt sur la table. lorsque tu vis son visage apeuré, tu compris qu'il y avait un problème mais quoi ? tu restas figé, comme si tu espérais encore que tout ceci n'était pas un canular. non il ne pouvait s'agir d'elle, la même femme qui l'avait invité à la rejoindre au hammam, elle aurait juste oublié ce détail en se détendant complètement. visiblement non car elle plaça une serviette contre son buste pour le cacher de ta vue. subitement, elle t'appela. — quoi ? mais que... que fais-tu là, jacobs ? impossible. mais pourtant, c'était bien elle, ses cheveux roses en témoignaient. éberlué, tu t'écartas plus loin de la table pour tenter de te remettre du choc. mais la jeune luna ne te laissa pas le temps de digérer ta déception, tu espérais juste que tout cela n'était qu'une vaste blague et qu'elle n'avait pas cherché à se venger de toi, pour la dernière fois. en se faisant passer pour une inconnue sur meetsa. non, cette hypothèse ne tenait pas, elle t'avait appelé aloïs alors que sur ton profil meetsa, tu étais bastille. — putain oui luna, je suis venu te tripoter et tu ne m'as même pas laissé finir. évidemment que tu n'en pensais pas un mot, t'étais juste tellement dépité. tu t'approchas d'elle, le visage furieux. ce n'était pas seulement le fait de la revoir, surtout dans cette tenue. même si elle n'était pas désagréable à regarder, tu avais autre chose en tête et tu voulus la dégoûter encore plus de ta présence. en réalité, tu perdais ton sang froid : — toi réponds-moi, bordel. j'avais rdv avec quelqu'un et certainement pas avec quelqu'un comme toi. tu étais sérieusement remonté ? oui, de la revoir puis d'être passé à côté de ce qui aurait pu devenir un moment inoubliable. la pilule te semblait dure à avaler.
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Luna se sent mal à l'aise dans cette situation. Avoir été touchée de cette manière sans y avoir inviter la personne, elle ne se sent pas bien. Alors que ce contact, en dehors de cette surprise, de savoir que c'est Aloïs, au fond d'elle, elle a un peu apprécié. Mais elle est trop de mauvaise foi pour l'avouer. Pour elle, il faut rester sur la défensive avec lui. - Je suis là parce que j'ai payé un massage dans ce hammam ! Et toi alors hein ?! rétorque-t-elle alors qu'elle n'a foncièrement pas envie de connaitre ses raisons. Elle veut juste qu'il s'en aille. Elle lui lance un regard noir lorsqu'il joue l'ironie en précisant qu'il voulait la toucher. - Tais-toi, tu es ridicule ! Luna devine bien cette attitude mais elle ne peut s'empêcher d'avoir un petit mouvement de recul comme pour protéger son intimité. Alors que ce n'est pas le genre de Luna d'être aussi pudique mais face à Bastille, cette mise à nue, cette vulnérabilité la mettait mal à l'aise. Comme s'il pouvait utiliser sa vulnérabilité pour la posséder. Sentiment qui effraie la jeune femme et la mets en posture offensive. à présent. Elle se sent vexée de ce qu'il peut dire. "Pas quelqu'un comme toi" parce qu'elle n'avait rien à se reprocher à juste titre ! C'était Aloïs qui était désagréable avec elle. Qui a mise à mal le jour même où elle s'était éloigné de ces sentiments gangréneux pour un homme pour qui ces sentiments étaient forts. - Quelqu'un comme moi ?! Luna monte sur ses grands chevaux. Elle descend de la table en maintenant la serviette contre elle et se rapproche d'Aloïs d'un air menaçant. - Je suis désolé pour toi que tu sois trop idiot mais j'ai clairement rien fait pour que tu viennes me toucher ! Je ne voudrais jamais qu'un homme comme toi me touche ! J'y retrouve aucun plaisir et tu me dégoûtes très clairement ! Elle sait bien que les mots seront plus forts que des gestes. Même s'il mérite une bonne claque, Luna est bien au dessus de ça. La jeune femme ne se laisse pas démonter et affronte Aloïs du regard sans sourciller. - Je crois plutôt que tu voulais de moi et comme je suis partie la dernière fois, tu te trouves une excuse pour me toucher. T'es frustré de la soirée qu'on a passé ensemble non ? Elle se rapproche au point que leur visage pourraient se toucher. - Je suis certaine que tu t'es imaginé que je te remercie en t'offrant une petite gâterie ? voir même une nuit inoubliable ? Spoiler alert, ça n'arrivera jamais ! T'es le genre de mec avec qui je trouverais aucun plaisir, c'est vu d'avance. Alors laisse moi tranquille ! elle essaie de croire que ces mots vont fonctionner et qu'il arrêtera de la mettre en alerte constante dans sa tête.

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  tu te retins énormément pour ne pas pouffer devant elle, sa réponse elle ne te contentait pas du tout. ici pour se faire masser tranquillou ? et toi alors ? t'étais pas là par pur hasard, c'était certain et tu restais persuadé qu'elle était derrière cette mascarade ou pas, finalement. sérieusement comment ne pas douter une seule seconde que tu n'étais pas la masseuse qu'elle attendait pour passer un moment en toute détente. tu tentas de garder ton sérieux mais c'était plus fort que toi, tu rigolas. — putain mais je te jure, je suis venu masser quelqu'un par surprise. si c'était pas toi, tu rates grand chose, à cause de toi je n'ai pas pu te montrer tous mes talents. c'était que de la provocation et cela t'aida à te calmer un peu plus. c'était sans compter sur les réflexions de la jeune femme, qui s'emportait facilement à ton grand étonnement. — mais c'est quoi ton problème ? j'en ai rien à foutre de toi, ni de ce que j'ai pu faire pour toi, parce que j'ai très bien compris que tu ne pouvais pas me saquer plus d'une seconde. je vais te faciliter la tâche car moi non plus, je n'ai pas envie de perdre mon temps avec toi. tu t'apprêtas à tourner les talons pour laisser la jeune femme tranquille mais elle continua ses réprimandes, ce qui te coupa dans ton élan. mais que dieu me vienne en aide. le visage interloqué, tu allais partir mais la jacobs ne semblait pas en avoir fini avec toi, tu n'en pouvais plus de sa voix insupportable, surtout pour sortir des bêtises pareilles. tu inspiras un coup pour lui faire face, les traits fermes et les poings serrés. — tu es plus folle que je ne le pensais. tu ne représentes rien à mes yeux, ne viens pas alors imaginer que je souhaite que quelque chose se produise entre nous. tu planes complètement. certes, elle délirait. tu ne bougeas pas lorsqu'elle approcha sa tête à quelques centimètres de la tienne. tu ignorais à quoi elle jouait à cet instant précis mais comme tout cela ne te plaisait guère, tu protestas. — ma parole, je vais répéter une dernière fois, c'était pas prévu que je te retrouve ici. je ne te suis pas, tu ne m'obsèdes pas, alors je vais pas gaspiller ma salive plus que ça avec toi. donc si cette putain d'info ne veut pas rentrer dans ton crâne et que tu es toujours horrifiée de la marque que j'ai laissé sur ta fesse, ce n'est plus mon problème. tu ne te sentais pas rester en place plus longtemps, la présence de la jacobs t'horripilait à présent et tu saturais à cause de la présence d'ondes assez négatives dans la pièce que tu retournas vers la porte pour pouvoir sortir pour de bon. mais tu avais beau tirer sur la poignée, la porte restait close. — qué demonios ? what the fuck en gros et tu détestais lorsque la situation t'échappait, comme en ce moment.   
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Luna lève les yeux au ciel. - Bien sur que ce n'est pas moi ! Je ne sais même pas comment je pourrais te recontacter, idiot ! Et je m'en fiche de tes talents, t'es nul. il l'énerve et la mets dans des états pas possibles. Il semblerait qu'il ait bien senti l'animosité que Luna avait à son égard et à son tour, s'énerve. Il lui réponds avec la même férocité. Luna qui semblait se justifier de l'attitude passée de son interlocuteur s'en retrouve agacée qu'il lui réponde. Après tout, ce n'est pas lui qui a cherché cette situation ? Se demande-t-elle. La rose ne parvient pas à garder son sang froid. Et s'enflamme. Il rétorque encore. C'est un ballet incessant entre les deux adversaires. accusant l'un et l'autre face à une situation incompréhensible. Luna accusait le coup de son mal être et tentait d'avancer. Qui plus est, elle était d'une mauvaise foi sans pareil. - Putain, Quoi ?! Elle tente de regarder son fessier, elle remarque que c'est rouge mais elle ne voit pas très bien. En réalité, si ce n'était pas une situation tendue, elle ne serait pas gênée de ça. Mais là, elle ne veut pas l'entendre. Il n'a pas le droit. C'est tout. Rien ne pourra changer ça. - T'es vraiment un mec chelou ! C'est ça, casses-toi ! Elle sera enfin libéré de sa présence. Il l'insupporte. Même si au début, il y avait eu quelque chose. Qu'ils ont bien discutés au début. Mais là, ce n'est plus pareil. Luna porte son attention sur la serviette et tente de la tourner de sorte qu'elle entoure approximativement son corps. Sa poitrine menace de déborder et ses fesses sont à peine recouvertes. mais c'est mieux que rien. Elle entends une exclamation de la part d'Aloïs. Elle l'observe et remarque qu'il ne semble pas "pouvoir" sortir. - Qu'est-ce que tu fous ?! dit-elle en se rapprochant. - Me dis pas que tu me fais le coup de la porte bloquée pour rester ? Putain, t'es qu'un gros mito et un pervers ! Crois pas que je vais me laisser embobiner ! Elle approche de la porte à grand pas et pousse légèrement Aloïs pour poser sa main sur la poignet de la porte. Celle-ci ne réponds pas, bloquée, comme fermée de l'extérieur. - Putain... la jeune femme se retient de jurer davantage. - C'est pas possible... râle-t-elle, se tournant pour plaquer son dos contre la porte, les mains se portant à sa tête pour essayer de se concentrer. Elle a du mal à admettre que la situation l'échappe. Un soupir s'échappe de sa bouche, elle ouvre les yeux et fait face à Aloïs. pas qu'elle l'estime mieux mais elle ne lui porte pas un regard énervé. inconsciemment, elle se sait bloquer avec lui et ne veut pas se fatiguer dans une chamaillerie puérile. Elle le jauge pour voir sa réaction, voir comment il va agir à présent. Dans son cas, Luna est un peu perdue. blasée. et ce sentiment de vulnérabilité ne la quitte pas. Elle croise les bras contre son ventre, le mal être persiste mais pas pour les mêmes raisons.

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  luna jacobs, tu aimerais qu’elle disparaisse de ton existence toute entière. en plus de son comportement particulièrement irritable, tu ne souhaitais pas t’attarder plus longtemps avec elle. la dernière fois, elle n’avait pas manqué de citer une situation qui n’était pas sans te rappeler la période où tu avais été en couple, une partie de ta vie que tu aurais voulu qu’elle n’ait jamais existé. maintenant qu’elle avait réussi à te dégoûter de cette séance de massage qui aurait dû prendre une tournure bien différente, tu comptais partir pour ignorer cette folle une fois pour toutes. mais c’était sans compter sur cette porte bloquée, vous contraignant à rester dans la même pièce quelques minutes de plus. luna n’avait pas cru à ta réaction, pensant là que tu cherchais un moyen de rester encore avec elle. tu ne supportais plus de la voir, que tu te fis violence pour ne pas exploser sur place. tu n’en avais pas le courage, et tu avais réussi à diriger ta colère vers cette porte plutôt que vers elle. bien qu’un peu plus calmé, tu avais encore des choses à lui dire de vive voix. — t’es trop conne et butée, tu m’étonnes qu’il n’y a personne qui veuille de toi. oui je sais ce que tu vas me dire, je suis très bien tout seul comme ça aussi, ne t’y méprends pas là-dessus. tu vis ta vie et la mienne de mon côté. en attendant, cesse tes caprices de fille et viens débloquer cette porte. qu’est-ce que tu croyais réellement, luna ? que tu allais te démener pour vous libérer tous les deux et sortir de cette situation pénible et tendue à la fois. tu essayais de te changer les idées, loin de la jacobs qui essayait à son tour d’ouvrir la porte. tu l’observas, riant intérieurement de la voir perdre patience et commencer à paniquer. — ça doit être une erreur. en attendant, tu sais ce qu’il te reste à faire. évidemment que tu optais pour un comportement plutôt passif, en restant dans ton coin. à ton tour de profiter du spectacle et te mettre dans la place qui te seyait bien, celle du loup. tu savais par expérience que cela ne t’avait jamais bien servi de perdre les pédales dans ce genre de situation. les circonstances avaient de toute manière été rabattues et tu attendais d’elle soit des excuses soit la vision de ses bras s’abattant contre la porte. — dépêche-toi si tu ne veux pas t’embarrasser plus que ça de la présence du mec chelou. c’est vrai qu’il n’y a qu’un imbécile comme moi qui chercherais à te tripoter, c’est vraiment mal me connaître surtout que je t’ai sauvé les miches deux fois. tu fis le tour de la table de massage pour jauger la réaction de luna. elle n’avait pas le choix d’admettre une fois de plus qu’elle aurait besoin de ton aide. sauf si elle tenait vraiment à te rayer de sa vie et tu n’allais bien sûr pas l’en empêcher.   
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Luna ignore les mots d'Aloïs. Elle ne lui apporte aucun crédit même si au fond, elle est blessée de ces mots. Ces blessures ne font que renforcer la colère de la jeune femme et son souhait de s'éloigner encore plus de lui. Il faut sortir de cette pièce, qu'il s'en aille et que je retrouve ce summer camp que j'appréciais. Sauf que ce n'est pas possible. La porte est réellement bloquée et il ne semblerait que ce ne soit pas possible de le faire de notre côté. La jeune femme ne savait pas comment elle avait pu se retrouver dans cette situation. Quel bordel. Avec lui encore plus. La jeune femme est décontenancée, elle libère son visage de ses mains pour observer Aloïs qui s'éloigne d'elle. Lui, il est résolu à attendre. Et Luna se dit qu'elle n'a pas d'autres choix non plus. Elle s'est calmée, presque soudainement. Elle savait que ça ne mènerait à rien de s'en prendre à Aloïs présentement. Mais elle ne pensait pas qu'il continuerait ses remarques acerbes à son sujet. Elle décolle son dos de la porte, se rapproche de lui pour lui faire face et tapote le torse du jeune homme. il vient de la titiller encore. - Tu te fous de moi, Aloïs ? Oui, tu m'as sauvé 2 fois ! Et je te l'ai montré que j'étais reconnaissante, je voulais faire connaissance avec toi en t'invitant au restaurant ! On a même commencé à jouer un peu, c'était sympa ! Puis t'as fait quoi ? t'as été désagréable avec moi ! Je me suis confiée à un inconnu comme toi alors que je parle jamais à personne de moi ! Je viens de lâcher le mec que j'aime, parce que je suis putain d'effrayée ! Je venais de me faire agresser par un homme qui voulait me violer ! Et tu viens me reprocher d'avoir mal réagi face à ton attitude, Monsieur " J'suis pas très sympa et très exigeant". Tss. Je voulais juste passer une belle soirée, putain ! J'avais besoin de ça ce soir là ! J'ai besoin de ça ! Parce qu'oublier, ce n'est pas aussi aisé. Même si quelques jours ont passés. Luna n'est pas en crise d'hystérie. Elle est paniquée. Elle étouffe de cette situation avec Aloïs. Avec cette salle de massage. Elle ne maitrise rien. Au point qu'elle n'arrive pas à admettre qu'elle a peut-être surréagi ce soir là mais elle s'en excuse par son état mental du jour. Alors qu'elle avait fixé longuement son interlocuteur, elle se détourne pour aller jusqu'à ses affaires. Luna se sentait si vulnérable, sans sa carapace habituelle. Alors qu'elle vient à porter son string. Elle s'arrête un instant, tourne légèrement la tête vers lui. - Toi qui me déteste tant, patiente un peu dans ton coin en attendant qu'on nous sorte de là. J'en ferais de même pour ne pas rendre ça plus difficile. Elle regrette de ne pas avoir pris son téléphone, il est resté dans le vestiaire du hammam.

@Bastille Byers
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@Luna Jacobs  il se savait insupportable et sans cœur, et cela marchait avec la jeune femme. tu voulais te sortir de cette situation à tout prix, pour ne plus à avoir affaire à elle. même si tu comprenais mieux que quiconque pourquoi elle s’était facilement emportée face à toi, tu avais trop pris l’habitude de fermer les yeux sur tes propos, qui pouvaient blesser quelqu’un mine de rien, dont la jacobs. du fait qu’elle se renfrognait pour signifier clairement son dédain pour toi, tu accusas le coup, tu ne te savais pas complètement irréprochable. mais à force, tu avais appris à accepter que l’on puisse te détester. tu ne cherchais jamais à les faire changer d’avis, considérant cela comme une perte de temps. — et donc ? qu’est-ce que ça peut te faire si j’ai été désagréable comme tu dis ? c’est pas comme si je te devais de la sympathie parce que madame a besoin d’une soirée sans prise de tête. tu n’es simplement pas tombée sur la bonne personne. non mais franchement, je ne vais pas me faire chier à chaque fois de deviner ce dont tu as besoin, à chaque moment de la journée. c’est d’un chien de compagnie qu’il te faut, pas un mec. tu avais parfaitement conscience que tu étais toujours désagréable, pourquoi changer maintenant ? en dépit des efforts de la jacobs, pour te faire comprendre qu’elle t’avait donné une occasion de partager un moment sincère avec elle. — excuse-moi d’être différent, de ne pas répondre à tes attentes. une pointe d’ironie se ressentait dans tes propos, tu adorais tourmenter les états d’âmes des gens parfois, sans raison parce que ça t’amusait de les blesser. encore une fois pourquoi devenir soudainement cool avec elle, juste parce qu’elle le voudrait et qu’elle avait envie de te connaître ? elle n’en avait pas eu l’occasion au restaurant la dernière fois ? tu étais particulièrement tenace — et de mauvaise foi, ne laissant peu de chances aux gens de se rattraper et quelque part, tu voulais que la jacobs en bavait longtemps avec toi. on disait que tu étais impitoyable, c’était le cas de le dire. — franchement, même en restant à bonne distance de moi, tu fais toujours tâche. je regrette que tu n’aies pas su te détendre lorsque tu m’as reconnu, tu m’as tout de suite qualifié d’antipathique et de pervers. tu croyais que j’allais facilement me laisser faire ? tu te rapprochas d’elle par pur défi, après tout il fallait bien patienter et espérer par miracle que la porte se débloquât assez rapidement. donc tu perças les iris de la jacobs, avec un regard dur qui mettrait mal à l’aise n’importe qui. une fois encore, tu ne te souciais peu de ce qu’elle ressentait. était-ce là une obsession ou un besoin de la dénigrer ? non, autre chose occupait ton esprit mais tu n’avais pas la force d’en saisir le sens. tu soulevas son regard un instant, te plaisant à remarquer qu’elle semblait aussi tenace que toi. mais bordel, qu’il était dommage de chercher à la détester, tu étais bien d’accord pour dire que sans cette tension entre vous, elle aurait été une cible de plus à ton tableau de chasse. — pousse tes fesses. tu contournas la jacobs pour atteindre une sorte d’interphone mural, quelle chance que tu l’aies aperçu. après quelques manipulations, tu soupiras, l’appareil semblait hors service. c’était quoi ce hammam et ses équipements tout pourris ? tu t’attendais à tout à ce stade, même une pelleteuse qui viendrait arracher le plafond par surprise. tu aurais aimé disparaître sous terre à cet instant, oubliant un moment la présence de luna. — on n’a pas de chance durant ce summer camp. si je me montre désagréable, ce n’est pas de ta faute. que t’arrivait-il bastille ? ce qui ressemblait plus à un aveu n’était pas dans tes habitudes.
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