a n’ pas réellement duré longtemps tout ça. On devait juste boire un coup sans plus. Pas s’embrasser. Comme quoi, l’alcool fat partir en vrille. Mais en même temps, j’avais envie de compassion et autre chose. Je regardais Priape. Je déglutis, je venais de l’embrasser et j’ai coupé cours au baiser, sauf que … j’avais une envie irrésistible de recommencer. Nous voila tous les deux en train de regretter ce qu’il s’est passé. Sauf que je m’en foutais. Tant pis. Je veux vivre au jour le jour et si je regrette c’est tant pis pour ma poire. Je regarde alors Priape
« C’est pas trois verres qui font de nous deux ivrognes »
Je le regarde encore et sans crier gare, me met sur lui pour l’embrasser. Rien à faire je voulais passer un moment avec lui, s’il voulait que je parte il avait qu’à me le dire. Je restais sur lui
« Si tu veux que je parte … dis le moi. Je regretterais rien puisque c’est moi qui t’attaque »
Je le regarde une fois encore … avant de l’embrasser une nouvelle fois
J’utilisais l’alcool comme excuse mais la vérité c’était que j’en avais envie. Nous avions bu, mais il n’y avait pas que cela. Le fait d’être allongés à côté de Blue, la sensation qui m’avait envahi lorsque ses lèvres s’étaient collées contre les miennes, cela avait éveillé mon désir. J’avais envie d’elle, de la sentir contre moi, de l’embrasser à nouveau. Mais j’avais peur aussi. Nous étions amis, de simples amis jusque là, et je ne voulais pas prendre le risque de tout ruiner. Je craignais qu’elle regrette dès le lendemain, que cela anéantisse ce lien si précieux que nous avions. Elle était malheureuse, désespérée suite à la rupture d’avec son ex, elle agissait probablement sous le coup des émotions. Mais pourtant j’aurais fait n’importe quoi pour lui redonner le sourire. Elle souligna que nous n’avions bu que trois verres. Je savais aussi qu’il en fallait peu à mon amie pour se sentir enivrée. Elle me regarda puis se mit à califourchon sur moi avant de m’embrasser de nouveau, je la repoussai pas, appréciant une nouvelle fois la douceur de son baiser. Elle me demanda si je voulais qu’elle parte, elle m’assura qu’elle ne regretterait rien. « Non reste.. » Une nouvelle fois ses lèvres se posèrent sur les miennes et je me laissais entrainer dans ce baiser. D’un geste je la fis basculer sur le côté et j’inversai nos positions. Je me retrouvais au dessus d’elle alors et entre deux baisers je lui murmurai : « Tu es sûre de toi Blue ? » Avant de continuer, il fallait que je m’assure qu’elle était certaine de ce qu’elle faisait et de ce que ça allait probablement entrainer pour nous.
tait-ce une erreur ? J'en savais fichtrement rien. Je regardais Priape et soudainement, je me suis mise sur lui pour l'embrasser. L'envie était là, palpable. Je ne voulais pas regretter et je ne le ferais pas. Je cédais donc à cette envie de chair et je m'en fichais royalement. Je séparais nos lèvres, lui demandant s'il voulait que je parte. Il refuse. Il m'embrasse et se met sur moi. Il me redemande si j'en suis sûre, le baiser que je lui donne veut tout dire
J'en suis sûre »
J'étais bien dans ses bras je voulais oublier Gabriel, oublier tout le reste ... ma peine ... mes envies ... ma vie ... j'embrassais Priape, prenant son visage dans mes mains. Je ne voulais pas retourner en arrière et tout arrêter ...
Je devais m’assurer qu’elle savait ce qu’elle faisait, qu’elle était sûre de vouloir aller plus loin. S’embrasser était une chose, l’étape supérieure risquait d’être une étape bien plus chamboulante pour notre amitié et la nature de notre relation. Un nouveau baiser assuré et brulant constitua la première partie de sa réponse puis elle prononça un –j’en suis sure- qui ne laissait pas de place au doute. Nos lèvres se retrouvèrent de nouveau et je sentis une vague de désir m’envahir. L’une de mes mains glissa doucement sous le T shirt de la jeune femme. Le contact de sa peau sous mes doigts attisa encore davantage l’envie que ses baisers avaient réveillé en moi.
e m'en foutais pas mal de ce que je pouvais faire là de suite maintenant. Je voulais passer du bon temps et c'est tout. Je regardais Priape, lui assurant que j'étais sûre de ce que je faisais, ce qui était le cas, et je l'embrassais avec fièvre et assurance. Priape était sur moi, je l'embrassais, frissonnais sous ses caresses ... ses mains sous mon t shirt attisaient grandement mes envies. Alors, je fais de même, je passe ma main sous son t shirt, caressant doucement son dos et là, je lui enlève son t short. Je lui caressais le dos puis son torse bien fait avant d'attiser un peu plus notre baiser. Je me sentais bien dans ses bras, ma tête faisait un tour complet, j'avais presque plus de souffle, j'ai rompu le baiser pour déglutir et reprendre mon souffle avant de recapturer ses lèvres entre les miennes
Lorsqu'elle glissa à son tour ses mains sous mon T shirt, le contact de ses doigts sur ma peau m'électrisa, attisant un peu plus le désir que nos baisers faisaient naitre en moi. Elle tira ensuite sur les bords du tissu et se débarrassa de mon haut. Je me retrouvais alors torse nu, au dessus d'elle, toujours un peu plus brulant. Elle s’empara de nouveau de mes lèvres et je répondis à son baiser avec la même fièvre. Je l’imitai ensuite. Ma main toujours glissée sous son T shirt s’activa pour se défaire de ce morceau de tissu superflu. Après lui avoir retiré, mon regard contempla un instant la jolie dentelle de son soutien gorge qui soulignait à merveille sa jolie poitrine. Un sourire orna mes lèvres puis je penchai de nouveau mon visage vers le sien pour reprendre notre baiser. Mes lèvres glissèrent ensuite le long de son cou que j’embrassais avec passion tout en m’enivrant des effluves raffinés de son parfum. Soudain, je ne pensais plus aux conséquences, j’étais juste bien dans ses bras et j’avais plus que jamais envie d’elle…
amais je n'aurais pu croire à ça. Coucher avec Priape ? Pas possible. mais ce soir, je m'en fichais. Vraiment. Comme de l'an 40. Je me foutais des conséquences. Pour moi, j'étais consentante et ... j'avais besoin de ce moment tendre, charnel peut être, mais surtout de cette douceur masculine contre moi. Me sentir désirée et désirable. J'étais sous Priape, finissant par être dans ses bras. J'avais obtenu ce que je voulais. De la douceur, de la tendresse, du réconfort avec les gestes. Je fermais les yeux, me laissant totalement aller. je caressais son visage tout en l'embrassant avec douceur. Il finit par me défaire de mon haut, alors que je venais de faire la même chose avec le sien, i resta un instant à regarder ma poitrine encore emprisonnée dans mon soutient gorge qu'en un clic, il l'enleva. Ma poitrine était libérée, la chaleur de cette pièce était palpable. Pripae commença à descendre un peu plus vers mon cou, ce qui me fait sourire et me chatouilla. Je me vengeais en lui caressant le dos du bout des doigts. je ne pouvais rien faire, lui avec sa carrure imposante, j'étais simplement bien dans ses bras ... oui, c'était tout bonnement agréable
La peau nue de Blue contre celle de mon torse termina d’exciter la moindre parcelle de mon corps. Mes lèvres parcoururent son cou, le parsemant de baisers enflammés. Jamais nous n’avions eu ce genre de relation Blue et moi. Jusqu’alors, notre amitié avait toujours été dénuée d’ambiguïté. Mais ce soir, je me sentais incapable de résister aux charmes de la jeune femme. J’avais envie d’elle, je voulais lui faire du bien, lui donner du plaisir et lui redonner le temps d’une nuit le sourire. Je sentis les mains de ma partenaire dans mon dos, ses doigts enflammant chaque centimètre carré de ma peau par leurs caresses. Un petit sourire étira mes lèvres. Je me redressais un instant et mes mains glissèrent jusqu’à la ceinture du pantalon de mon amie que j’entrepris de défaire.