(harlena) i wanna be your slave, i wanna be your master

@Jelena Rodrič — Loin de me douter qu'on en arriverait là toi et moi, je me laissais simplement vivre le moment comme si c'était le dernier. Après tout, nous connaissant, ça pouvait être vraiment le cas. Que ce soit nos caractères de merde comme nos jobs un peu trop dangereux, il suffisait d'un rien pour rompre le lien qui nous liait. Corps l'un contre l'autre alors qu'on se trouvait sous le flux ruisselant de l'eau, tes lèvres trouvaient place sur ma peau, tes dents également. C'était le début d'une morsure que tu me prodiguais en exemple, afin d'éviter la présence d'un suçon sur ta peau. — mh, je vois le genre. j'te ferai ça la prochaine fois alors Parce que clairement, je n'étais pas de marbre et ton regard l'avait bien capté. C'est pas comme si je m'en cachais de toute façon. Ton corps assez rapidement plaqué contre la paroi de la douche, ton sourire satisfait indiquait que t'étais pas contre recommencer, ici même. — t'es sûre de pouvoir assumer ? que je demande, lèvres dans ton cou, déposant plusieurs baisers histoire de provoquer quelques frissons chez toi. Rapidement, je laissais mes mains attraper tes cuisses afin de te soulever à hauteur de mon visage. — parce que là, j'ai envie de te baiser contre le mur, dans cette position que je confiais contre tes lèvres avant de t'embrasser de plus belle.

chambre au dernier étage du boston marriott coplay place

@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

ce matin j'ai un peu l'impression d'être dans un film, pour ne pas dire un conte de fée. j'ai pas envie de me réveiller, de devoir retrouver à la vie réelle où t'es pas attentionné et les yeux rivés sur moi et seulement moi. pour une fois que j'ai envie d'être la seule. morsure presque érotique que je dépose sur ta peau avant d'arrêter de te provoquer, je veux savoir ce que t'en pense, si t'aimes. ta réaction est plutôt agréable, surtout quand tu me le propose. « je crois que ça pourrait me plaire oui » marqué par la fougue de ta mâchoire contre mon derme. rien que de penser à ce moment là j'en frissonne, indépendamment de la fraicheur du carrelage contre ma peau. je ris à ta question, secouant la tête à la négative. « j'ai du mal à tenir debout, j'ai plus de force » tu m'as épuisé, à faire trembler mon corps toute la nuit. tes mains qui glissent contre mes cuisses pour me soulever, ma poitrine qui se colle contre ton torse alors que mes bras viennent entourer tes épaules pour prendre appuie. « j'imagine que si tu me soulèves, j'ai pas besoin de tenir alors ça peut le faire » que je chuchote entre tes lèvres avant de venir t'embrasser langoureusement, laissant ma langue s'insinuer entre tes lippes. « oublie pas la capote  » que je j'essaie d'articuler entre deux baisers.
c'est pas vraiment le moment de me retrouver avec un mioche dans le tiroir.

tw: sexe

@Jelena Rodrič —