(harlena) i wanna be your slave, i wanna be your master

chambre au dernier étage du boston marriott coplay place

@Jelena Rodrič — mardi 12 juillet, 09:14am

Après la nuit qu'on venait de passer, le repos du guerrier était de mise. J'crois bien que j'avais dormi 3h d'affilée quand finalement je rouvrais les yeux. T'étais encore là, allongée à côté de moi à dormir aussi. Je me souviens pas avoir fait autant d'expérimentations avec une même personne en aussi peu de temps. T'avais quand même réussi à m'épuiser, pour que je m'endorme comme ça. Le chariot du room-service étant toujours là, je me décidais à me lever afin d'aller attraper quelques frites froides encore présentes sur le plateau. Décidant de te laisser dormir, j'optais pour aller prendre une douche, non sans me remémorer quelques passages de cette nuit caliente. Corps recouvert d'une fine couche d'eau, de mousse, je me prélassais sous le jet qui faisait du bien à ma peau. Au bout d'une quinzaine de minutes, je décidais de sortir, simple serviette autour de la taille. C'était en arrivant vers le lit que je remarquais tes yeux à peine ouverts. — hey, bien dormi ?

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@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

j'ai l'impression d'être dans un état second. épuisée et le corps pourtant encore en mouvement. cette nuit c'était.. indescriptible. c'était brutale et sauvage et puis parfois c'était doux, presque romantique. le corps endolori, des courbatures aux jambes, les fesses qui me brulent et les morsures aux hanches qui me font l'effet de petites plaies sur mon derme, je m'étire doucement avant d'entendre la douche couler. je me demande si je vais être capable de marcher jusqu'à celle-ci quand ce sera mon tour et en regardant l'heure je me rends compte qu'il faut que je sois apte à avancer un pied devant l'autre pour 18h ce soir. je reprends ma position de petit chat, referme les yeux quelques secondes avant de les ouvrir à nouveau et de voir ton corps d'apollon s'approcher de moi. « hey .. pas assez mais oui, le lit est tellement moelleux » ou alors c'était le fait de m'endormir dans tes bras ? aucune idée. « tu.. tu pars déjà ? » que je demande un peu affolée, me redressant, la peau de ma croupe qui me brule et me tire une grimace.

@Jelena Rodrič — Je m’installais sur le lit, découvrant une nouvelle fois ta tête au réveil. T’étais comme moi, pas du matin, encore moins avec si peu d’heures de sommeil dans les pattes. Mais aucunement je ne regrettais la nuit qu’on venait de passer, pleines de nouvelles expériences, autant pour toi que pour moi. — vu le prix de la chambre, encore heureux Hôtel de luxe, forcément que le confort doit être un minimum présent. Mais quoi qu’il en soit, c’est vrai que c’était une bonne nuit, aussi courte soit-elle. Puis tu es prise de panique, juste parce que j’ai pris ma douche. — non, non, calme toi. j’ai juste profité que tu dormes encore pour me laver histoire de pas te réveiller Simple serviette sur le dos, j’étais même pas habillé pour le coup, loin d’être sur le départ donc. — par contre, faut que tu saches… Je m’installais un peu plus dans le lit, caressant doucement la peau de ton bras. — je raffole des câlins au réveil Douce morsure sur ma lèvre inférieure, espérant que le message soit passé.

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@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

seulement trois heures de sommeil, mon corps me fait si mal. je suis pas du matin, c'est pour ça que je suis barmaid, parce que je bosse le soir et ça me suffit. c'est une torture de devoir mettre un réveil et se lever avant 11h du matin. j'essaie d'étirer mes doigts de pieds mais les courbatures m'en empêche. en me soulevant un peu, assise contre la tête de lit, le draps pour cacher mon corps parce que j'ai dormi nue, j'attrape un verre d'eau et le descends d'une seule traite. je pouffe de rire à ce que tu dis avant de lever les yeux vers toi. « oh d'accord » je suis pas encore habituée au nuit de sexe où on se casse dès le lendemain matin. et j'ai pas envie que tu t'en ailles maintenant. tu viens t'assoir près de moi, mes yeux qui suivent tes mouvements, ta main qui caresse mon bras. « toi t'aimes les câlins le matin ? pourquoi tu m'en as jamais ... » oh. je viens de comprendre. on parle pas de câlin où on se prend dans les bras pour se caresser les cheveux. on parle de remettre le couvert. je me demande déjà comment je vais faire pour me lever alors un round 12.. je souris doucement. « je vais déjà aller prendre une douche non ? c'est pas juste si toi tu sens bon et que moi je pue » je pue pas, mais je me sens moins fraiche que toi.

@Jelena Rodrič — Je sais que t’es encore newbie dans le domaine mais pour le coup, tu te démerdais quand même pas trop mal. Après la nuit qu’on venait d’avoir, je peux assurer que t’étais un bon coup, malgré le manque d’expérience. J’espérais malgré tout avoir été à la hauteur de mon côté et que l’orgasme ait été au rendez-vous. Le regard perplexe, je cherchais à comprendre où tu voulais en venir avant de capter que t’avais pris ça au premier degré. Au moment où toi tu captais que je n’étais pas premier degré justement. Ça résultait alors en rire ainsi qu’un mouvement de tête négatif. Moue sur le visage, je finissais par accepter ta requête. — ouais, pas de souci, j’vais appeler le room service pour avoir un petit dej. n’hésite pas à m’appeler si t’as besoin d’aide pour le dos, les fesses… Sourire sur les lèvres avant de venir les poser sur le coin des tiennes.

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@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

on est quand même un peu loin de se premier baiser dans mon ancien appartement. celui où je t'ai mordu la lèvre après t'avoir mis un coup de tête sans faire exprès. heureusement d'ailleurs. hier soir c'était incroyable. j'ai beau être extrêmement sportive, avoir de l'endurance est un cardio a tout épreuve, tout ce que tu m'as fait hier, c'était plus que ce que je pouvais imaginer vivre. je sais pas combien de fois on l'a fait, j'ai arrêté de compter au bout d'un moment. j'avais jamais eu autant d'orgasme à la suite, surement parce que j'en avais eu que depuis peu. souvenir de cette nuit qui danse dans mes iris et pourtant je percute pas quand tu me parles de câlin du matin. quand enfin je comprends je me mets à rire, toi aussi. c'est bon de te voir rire. c'est bon d'être la raison de celui ci. tu m'as tellement regardé comme si tu avais me tuer ces derniers moi, cette fois où tu m'as presque étranglé contre le container pendant notre mission. on est loin de ce moment. « je voudrais un café seulement » que je précise en essayant de m'entourer dans le draps pour me lever couverte. contre toute attente, tu viens poser tes lèvres aux coins des miennes et je t'arrête avant que tu ne recules ton visage pour t'embrasser. « tu pourrais oublier le petit déjeuner et venir m'aider pour mon dos ? » je me mords les lèvres avant de rire. « j'ai super mal aux fesses, tu veux pas m'aider ? » c'est pas glamour mais tant pis

@Jelena Rodrič — Une endurance à toute épreuve qui nous a permis de passer cette nuit loin d'être de tout repos. Et si on avait pris quelques heures pour se reposer, je suis quasi certain qu'on allait tous deux s'écrouler dans nos lits une fois qu'on aurait quitté cette chambre. Mais pour l'instant, c'était une bulle, un havre de paix et j'allais profiter au max de ce temps ici pour faire de toi ce que je voulais. Enfin, pas de façon péjorative, au contraire. Plutôt dans le sens de t'aider à t'ouvrir au monde du sexe et des rapports intimes. — va pour le café Et alors que je te laisser un baiser sur le coin des lèvres, t'en profitais pour m'embrasser directement, sans que je ne puisse avoir la moindre résistance. — commence et j'arrive une fois que j'ai commandé si tu veux. j'ai besoin absolument d'avaler quelque chose si je veux arriver en un morceau chez moi finissais-je par admettre, attrapant le combiné pour commander. Laissant ma main claquer ta fesse quand tu passais à mes côtés avant de te voir partir à la douche, je finissais par me concentrer sur mes envies actuelles. Après avoir passé commande, enlevant le badge à l'entrée pour laisser le personnel entrer afin de poser le petit dej dans la chambre. Je finissais par te rejoindre dans la douche, m'occupant ainsi de ton dos, de tes fesses, de tout ce qui pouvait être endolori chez toi finalement.

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@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

quelques mois auparavant, je n'aurais jamais imaginé être là. au moment où tu refusais de me parler, que tu ne te gênais pas pour m'attraper par le cou et me cracher ton venin au visage. à aucun moment je pensais qu'on en arriverait là. depuis que j'ai fais ma première fois avec Horace, tout se bouscule dans ma tête. parce que j'ai envie de recommencer, j'ai envie de tester de nouvelle chose, j'ai envie d'apprendre. la timidité a laissé place à ma curiosité naturelle. tout est chamboulé dans ma tête, ce que tu me fais ressentir depuis qu'on se connait, le nouvel attachement certain pour Horace et Astra. je suis complètement perdue et en même temps je continue de foncer. comme quand j'attrape tes lèvres au vol et que je t'embrasse doucement avant d'acquiescer et de me lever. quand je passe devant toi, tant bien que mal avec mon draps autour du corps, ta main vient claquer mes fesses et m'arracher une grimace. « aïe ! » que je lâche en me retournant, le regard noir, tout en souriant. j'entre dans la salle de bain, lâche le draps blanc et laisse couler l'eau bien chaude avant de me faufiler sous le jet. mon dieu ce que ça fait du bien, les muscles qui se détendent alors que ma peau endolori commence à se réveiller. au bout d'un moment, je vois la lumière de la chambre et je sens rapidement ton corps contre le mien. tes mains sur ma peau massent délicatement les zones douloureux, me soulageant quelque peu. « je crois que la prochaine fois tu vas y aller doucement avec claque et les griffures. parce que je voudrais pouvoir m'assoir après » que je dis en riant, me retournant pour être face à toi. mes yeux qui parcours ton visage, bloquent sur tes lèvres avant de remonter à tes yeux. je viens caresser ta joue avant de me mettre sur la pointe des pieds pour t'embrasser tendrement à nouveau. je sais que c'est pas ce que tu aimes. t'aimes quand c'est bestiale mais quand t'es là contre moi, j'arrive pas à contrôler mon affection pour toi.

@Jelena Rodrič — Ce moment aurait été difficile à prévoir, si j’avais pas mis de l’eau dans mon vin. Je t’en veux toujours d’avoir rejoint le gang, t’ayant alors mis en lumière par tes façons de réagir que tu n’étais pas encore prête à ça. Mais peu importe, c’était trop tard. Si on mettait de côté tout ça, tu restais la fille avec qui j’avais eu un attachement particulier assez rapidement. Les questions que tu voulais, j’ai cherché à me les poser, je me les pose encore. Et quand je vois à quel point ça ne me rebute pas de coucher avec toi de façon douce, que tes baisers ne me donnent pas envie de vomir… ouais, possiblement que j’ai des sentiments pour toi. J’ai envie de veiller sur toi, malgré ma peur de te perdre de façon totalement conne, comme j’ai perdu mon frère et ma soeur. Idéalement, j’aurais aimé que les choses se passent autrement mais c’est pas comme si j’avais vraiment le contrôle sur tout non plus. Sourire en coin quand je t’entends exprimer ta douleur avant que tu ne te perdes dans la salle de bains. Finalement tranquille, je m’occupais de passer commande avant de te rejoindre. Mains posées sur tes fesses, sur le bas de ton dos, je voyais encore les marques laissées par ma propre initiative. — t’aurais préféré quelque chose de plus visible ? comme un suçon dans le cou ? Ca faisait surtout très adolescent pour le coup, chose que nous n’étions plus depuis bien longtemps. Même si, pour le coup, tu devais l’être un peu avec tes récentes découvertes. Mais là, tu venais m’embrasser de nouveau, comme tout à l’heure, sans passion mais plutôt tendresse. — va falloir que t’arrêtes de m’embrasser comme ça… soufflais-je contre tes lèvres, alors je venais te plaquer contre la paroi carrelée de la douche. — ça me donne des idées loin d’être saines pour ton corps meurtri Le visage vient se fourrer dans ton cou, pour embrasser ta peau humide.

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@Harlow Wilcox — mardi 12 juillet, 09:14am

je sais que c'est toujours aussi tendu concernant mon arrivée chez les Brotherhood. je sais que tu n'es toujours pas d'accord avec ma décision et que tu ne comprends pas comment j'ai pu faire une si grosse erreur. moi je le vois pas comme ça. en intégrant le gang, je m'offre une protection que je n'avais pas avant, quand je dealais pour mon compte. Kassim me donne parfois d'autres missions un peu plus délicates dont j'évite de parler avec toi. je sais que le sujet de ma place dans le gang est encore trop compliqué à aborder pour qu'on en discute ouvertement. alors j'en parle pas, jamais. mais moi je ne regrette rien du tout et même si tu penses que je suis inconsciente, je sais dans quoi je me suis engagée. et je sais qu'au font de toi, tu me veilles sur moi et tu me protèges dans l'ombre. alors j'ai confiance. comme tu me donnes confiance en moi, assez pour me retrouver nue sous tes yeux et ne pas chercher à me cacher. de toute manière vu la nuit qu'on vient de passer, plus aucune parcelle de mon corps t'es étrangère. « j'aurais préféré quelque chose de moins douloureux et de pas aussi voyant qu'un suçon » je souris, l'eau qui dégouline sur moi. « comme ça » que je dis avant de venir mordre ton torse tout en gardant mes yeux plantés dans les tiens. une pression d'abord légère avant de commencer à serrer la mâchoire autour de ta peau. c'est surement quand je sens que je risque de faire très mal que je lâche, toi t'es de marbre parce que la douleur, tu l'a gère. mais à en croire par ce qu'il se passe entre tes jambes, ça t'as plu. le sourire aux lèvres à nouveau quand je viens t'embrasser. malgré ce que tu me dis, je secoue doucement la tête à la négative. hors de question que j'arrête alors que j'adore le gout de tes lèvres. ton corps qui me pousse, la paroi glacé de la douche qui vient m'arracher un petit cris de surprise, calme presque immédiatement la douleur sur mes fesses. « ça te donne quoi comme idée ? » que je peine à demander quand ta bouche emprisonne mon derme et qu'une de mes mains vient se loger dans tes cheveux.